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Matthew Perry vend sa maison de réadaptation

L’ex-star de Friends, Matthew Perry, vend son manoir de Malibu reconverti en maison de réadaptation venant en aide aux alcooliques, rapporte Female First (UK).

L’acteur souhaite déménager son centre du côté de Los Angeles, dans un endroit moins cher à opérer. C’est la deuxième tentative de Perry pour vendre la demeure, lui qui avait tenté d’attirer des acheteurs en 2011, avant de renoncer au début de 2012.

Le prix demandé est maintenant de 12,5 millions de dollars, soit une baisse d’un million comparativement au prix initialement demandé.

Matthew Perry pourrait faire un profit substantiel avec la vente de cette demeure, lui qui se l’était procurée au coût de 6,55 millions de dollars en 2005.

Aucune inquiétude cependant pour les visiteurs de son centre, puisque Perry assure qu’il entend continuer ses opérations afin de venir en aide aux hommes qui éprouvent des problèmes d’alcoolisme.

L’acteur a lui-même vécu de nombreux problèmes de consommation d’alcool, avant de finalement retrouver le chemin de la sobriété. Il souhaite maintenant continuer d’aider ceux qui traversent la même épreuve.

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Channing Tatum se dit alcoolique mais fonctionnel

L’acteur de 34 ans Channing Tatum est en promotion pour son plus récent film, 22 Jump Street. Il fait également la couverture de l’édition de juin du magazine GQ et se confie sur la « tendance à laquelle il doit échapper ».

Pour Tatum, l’alcool (bière ou bourbon) est une échappatoire, mais aussi une association au plaisir. « Je bois probablement trop, vous savez », admet-il. « Je dirais que je suis alcoolique, enfin je crois. »

Mais la tendance au vice ne s’arrête pas là. Il adore le gâteau et toute la nourriture réconfortante. « Je peux m’y perdre, vraiment, un cheeseburger, de la pizza, de bonnes frites, une bière. »

Nouveau père depuis moins d’un an de la petite Everly qu’il a eu avec Jenna Dewan, sa femme, l’acteur a aussi confié regretter d’avoir donné tant de misère à sa mère.

« Je mettais tout à l’envers, je grimpais partout. Je me sens vraiment mal maintenant que j’ai un enfant et que je sais à quel point c’est difficile. »

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Channing Tatum se dit alcoolique mais fonctionnel

L’acteur de 34 ans Channing Tatum est en promotion pour son plus récent film, 22 Jump Street. Il fait également la couverture de l’édition de juin du magazine GQ et se confie sur la « tendance à laquelle il doit échapper ».

Pour Tatum, l’alcool (bière ou bourbon) est une échappatoire, mais aussi une association au plaisir. « Je bois probablement trop, vous savez », admet-il. « Je dirais que je suis alcoolique, enfin je crois. »

Mais la tendance au vice ne s’arrête pas là. Il adore le gâteau et toute la nourriture réconfortante. « Je peux m’y perdre, vraiment, un cheeseburger, de la pizza, de bonnes frites, une bière. »

Nouveau père depuis moins d’un an de la petite Everly qu’il a eu avec Jenna Dewan, sa femme, l’acteur a aussi confié regretter d’avoir donné tant de misère à sa mère.

« Je mettais tout à l’envers, je grimpais partout. Je me sens vraiment mal maintenant que j’ai un enfant et que je sais à quel point c’est difficile. »

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Colin Farrell – père alcoolique et drogué

Colin Farrell, au moment de la naissance de son premier fils, en 2003, avait affirmé, selon film-news.co.uk : « J’ai pris la décision de ne pas changer ».

Aujourd’hui, dans l’édition de novembre du magazine Details, l’acteur confie qu’il est heureux d’avoir changé d’idée. « J’ai dit, littéralement, “Je ne changerai pas! Je serai son ami”, comme si mon fils de 6 mois, à l’époque, avait besoin d’un père alcoolique et drogué qui souhaitait devenir son ami ».

Il s’agissait de son premier fils, James, né de son union avec Kim Bordenave. En octobre 2009, en couple avec l’actrice Alicja Bachleda-Curus, il a agrandi la famille avec son second fils, Henry.

Colin Farrell affirme qu’il est très proche de ses deux fils, et que ce sont eux qui l’ont aidé à faire volte-face dans sa vie. Désormais, il est conscient de l’apport positif que sa sobriété lui a apporté.

« J’ai 8 heures par jour maintenant, que je n’avais pas avant, lorsque je buvais. J’ai fait ça pendant 18 ans… c’est honnête, c’est la réalité. Cesser la boisson, c’est simplement la chose la plus extraordinaire que j’ai faite. »

Colin Farrell a déjà affirmé que James, son premier fils, avait sauvé sa vie. Il le pense encore aujourd’hui.

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Parents alcooliques : la santé mentale des enfants atteinte

L’étude Bottling It Up: The Next Generation, réalisée en Ukraine au cours de la dernière année, a démontré que dans ce pays, plus de 12 000 personnes avaient joint des groupes d’aide et que 2,6 millions d’enfants vivaient avec au moins un parent alcoolique.

La santé mentale de ces jeunes peut être affectée par l’alcoolisme parental, se traduisant par des désordres alimentaires, la dépression et même le développement d’une psychose à l’âge adulte.

Ces enfants seraient également portés à expérimenter les mondes de l’alcool et des drogues plus tôt que les autres.

En effet, sur 1000 parents alcooliques, 52 % autorisent leurs enfants à consommer. Soixante-dix-sept pour cent d’entre eux donnent le feu vert avant que l’adolescent ait 16 ans, et 6 % ne disent rien lorsque leurs enfants boivent avant l’âge de 10 ans.

Seuls 28 % de ces adultes sont conscients que leur problème d’alcool fait manquer des cours ou nuit à la concentration de leurs bambins en classe.

La moyenne de consommation quotidienne était de 10 fois la limite permise, soit l’équivalent de trois bouteilles de vin ou 15 chopines de bière.

Près de la moitié des gens qui ont rejoint des groupes d’aide sont des mères qui ont trois enfants ou plus et qui craquent à l’idée d’être des « supermamans ».

Pour déconnecter, sauver les apparences et tenter d’être toujours à la hauteur, la plupart des femmes boivent en cachette, le soir, lorsque les enfants sont au lit. Certaines vont même jusqu’à prendre de la vodka pour éviter l’odeur trop forte d’autres boissons.

Certaines disent que le manque de soutien de leur conjoint les pousse à sombrer dans l’alcool.

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Des alcooliques de plus en plus jeunes

Bien que la prévention sur l’excès d’alcool soit très présente, notamment dans les médias, il semble que cela n’empêche pas les jeunes d’en consommer, et ce, à un âge de plus en plus jeune.

Nous pouvons en effet nous questionner sur l’alcoolisme dans nos sociétés après avoir pris connaissance de récentes données recueillies par la Santé publique britannique.
 
Selon les derniers chiffres, 13 enfants âgés de moins de 13 ans ont reçu des soins pour alcoolisme, de 2009 à 2010, au Royaume-Uni.
 
De plus, pour cette même période, 70 adolescents de 13 à 16 ans ont eux aussi reçu le même type de soins, tandis que 106 ont été déclarés alcooliques.
 
Mentionnons au passage qu’à la suite d’une enquête datant de 2009, les jeunes Britanniques ont été reconnus comme les plus grands consommateurs d’alcool de l’Union européenne.

Malgré tout, ces récentes statistiques nous font voir que l’alcool est encore aujourd’hui très accessible aux moins de 18 ans et que les problèmes de santé y étant reliés semblent de plus en plus importants.

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Lien entre l’alcool et l’hospitalisation

Une recherche effectuée pendant près de 28 ans avec plus de 6 000 hommes âgés de 35 à 64 ans démontre qu’il existe une association entre la consommation d’alcool et l’hospitalisation.

Comparativement aux candidats sobres, les patients qui buvaient tout près de 22 consommations par semaine voyaient leur risque d’hospitalisation augmenter de 20 %.

Même à huit verres d’alcool hebdomadairement, le risque d’hospitalisation est en hausse et peut augmenter le séjour au centre hospitalier, selon cette étude publiée dans le Journal of Epidemiology and Community Health.

Parmi les raisons qui justifient une hospitalisation, on note les accidents vasculaires cérébraux, les difficultés respiratoires ou encore les maladies coronariennes.

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La résistance à l’alcool, une question de gènes

Une récente étude, effectuée par des chercheurs du Centre de recherche de la clinique Ernest Gallo, nous apprend que les gènes auraient peut-être quelque chose à voir dans la tolérance à l’alcool.

Les personnes qui possèdent le marqueur génétique chromosomique 15q25.1 ont démontré une plus grande tolérance à l’alcool, selon le Dr Geoff Joslyn, auteur principal de cette recherche.

« Cette découverte confirme que le degré de réponse à l’alcool […], associé à la dépendance et à l’abus d’alcool, est influencé par une composante génétique », a-t-il écrit.

De plus, cette découverte confirme l’hypothèse qu’une tolérance à l’alcool peut possiblement mener à la dépendance à cette substance.

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Un traitement prometteur de l’alcoolisme

Une étude publiée cette semaine dans le Proceedings of the National Academy of Sciences démontre qu’un nouveau traitement testé sur des rats de laboratoire est efficace pour diminuer la consommation excessive d’alcool et également diminuer le risque de rechute.

Cette nouvelle méthode consiste à augmenter la dose dans le cerveau d’une protéine dérivée des cellules gliales, surnommée facteur neurotrophique (GDNF), aussi utilisée auprès des personnes atteintes de la maladie de Parkinson.

Outre le fait que seulement 10 minutes après l’utilisation de cette technique, les rats n’avaient plus envie de boire d’alcool, les chercheurs se réjouissent qu’aucun effet secondaire désagréable n’ait été observé chez les rongeurs.

« Seulement trois médicaments ont été approuvés pour traiter l’alcoolisme, mais malheureusement, ils comportent des limites. Nos découvertes ouvrent la porte d’une nouvelle ère dans la lutte contre cette dépendance », a souligné le Dr Dorit Ron, l’auteur principal de la recherche.