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Nouveau remède contre l’alcoolisme

C’est dans le Figaro que nous apprenons la nouvelle. Selon Michel Reynaud, psychiatre à l’hôpital Paul-Brousse (Villejuif), ce médicament va permettre aux médecins, y compris les généralistes, de proposer à leurs patients autre chose que l’abstinence à vie.

Le Dr Philippe Batel, psychiatre à l’hôpital Beaujon (Clichy), ajoute pour sa part : « Chez certaines personnes, boire deux ou trois verres provoque un emballement dans la production d’endorphine par le cerveau, ce qui amène à boire jusqu’à l’ivresse ».

Ce nouveau médicament pourra être pris à la demande, avant une fête par exemple. Il aurait pour rôle de jouer sur l’activité du circuit cérébral de la récompense. Le malade devrait être ainsi soulagé du besoin irrépressible de boire. Bien qu’il n’y ait pas de molécule miracle, les médecins sont d’accord pour dire qu’il s’agit d’une réelle petite révolution dans l’aspect de traitement de la maladie.

Pour un des médicaments en voie d’être commercialisé en Europe, les essais cliniques ont montré qu’il entraîne une diminution de la consommation d’alcool de près de 60 % après six mois de traitement, et ce, avec très peu d’effets secondaires.

Souhaitons que ce médicament connaisse le succès escompté et soit offert partout sous peu!

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Lacunes observées dans la prévention de l’alcoolisme

Une étude rapportée par The National Library of Medicine fait état de certaines lacunes dans le dépistage ou la prévention de l’alcoolisme.

Les praticiens ne parviendraient pas, dans une majorité de cas, à diagnostiquer avec précision les cas d’alcoolisme chez leurs patients, explique l’étude.

Au lieu de se fier simplement à leur instinct et aux indices présentés par les patients, les médecins devraient utiliser certaines méthodes de dépistage connues, croient les auteurs de l’étude.

Après avoir compilé les données des dossiers de près de 1700 patients, les auteurs constatent que l’absence de diagnostic d’alcoolisme est observable dans 70 % des cas.

Il s’agit d’un constat alarmant, comme l’explique Bruce Goldman, directeur des Substance Abuse Services de l’hôpital Zucker Hillside de Glen Oaks (États-Unis).

« La consommation massive et à haut risque d’alcool est un contributeur majeur à plusieurs graves problèmes de santé observables dans notre société. Les praticiens sont parfaitement positionnés pour déceler ces troubles et diagnostiquer des problèmes de consommation chez leurs patients. »

Si plusieurs experts corroborent ces dires, d’autres affirment qu’il est plus difficile d’y parvenir en pratique qu’en théorie. Selon eux, plusieurs patients seraient réticents à consulter s’ils constataient que leur médecin se concentre davantage sur un problème d’alcool possible que sur leurs symptômes du moment.

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Le bacoflène serait bel et bien efficace pour contrer l’alcoolisme

On vous parlait récemment de l’optimisme des spécialistes concernant le bacoflène, un médicament qui pourrait bien s’avérer un précieux allié dans le traitement de l’alcoolisme.

Voilà que l’on confirme ses propriétés, selon topsante.com, alors que des chercheurs français viennent de publier une étude sur le sujet.

Originalement, le bacoflène est un traitement neurologique utilisé dans certains cas, mais on lui a découvert récemment des propriétés qui faisaient croire aux spécialistes qu’il pourrait aussi servir de traitement contre l’alcoolisme.

Depuis, on a testé cette théorie sur une centaine de patients du Groupe Hospitalier Paul-Guiraud, tous diagnostiqués avec des problèmes de dépendance liés à l’alcool.

Les conclusions sont faciles à tirer pour les chercheurs : le bacoflène fonctionne vraiment.

Pratiquement tous les patients ont vu leur consommation d’alcool baisser, et « l’envie de boire » serait bel et bien moins envahissante.

Cependant, on note certains effets secondaires possibles. De la somnolence, des vertiges, des hallucinations, des nausées, de l’hypotension, de l’énurésie et des réactions dépressives sont tous des symptômes qui ont pu être observés chez les patients sous bacoflène.

Ceux-ci ne seraient cependant pas observables de façon systématique.

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Un gène pourrait être lié à la dépendance à l’alcool et au binge drinking

Santelog.com nous apprend que des chercheurs croient pouvoir affirmer qu’ils ont trouvé un gène qui serait à l’origine de certains comportements en lien avec l’alcool, dont le binge drinking.

Le binge drinking est un phénomène récent qui s’avère terriblement dangereux. Il se décrit comme le comportement d’une personne qui boit énormément d’alcool par séquences, s’arrête, puis recommence.

Le concept avait été mis à l’avant-plan de l’actualité à la suite de la mort de la chanteuse Amy Winehouse, qui était familière avec ce comportement.

Des chercheurs du King’s College de Londres ont publié une étude dans les Actes de l’Académie américaine des Sciences (PNAS) pour signifier l’importance du gène RASGRF2 dans la susceptibilité d’une personne de développer un problème d’alcool grave.

Toutefois, on rappelle que même si une personne est génétiquement plus sujette à ce type de dépendance, le gène n’explique et n’excuse pas tout le processus qui mène au passage à cet acte d’autodestruction.

On confirme simplement que le binge drinking peut avoir un effet plus intense chez certaines personnes que d’autres, en vertu de leurs gènes. Cela place certains individus devant une prédisposition à l’alcoolisme plus importante que chez les autres.

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Comment aider les enfants d’alcooliques

Les enfants d’alcooliques sont notamment 4 fois plus susceptibles de devenir à leur tour alcooliques ou toxicomanes que les autres. Voici quelques pistes pour les épauler dans cette épreuve, selon PsychCentral.

Trouver de l’aide pour le parent alcoolique : Lorsque c’est possible, c’est la meilleure chose qui puisse arriver, pour lui comme pour sa famille.

Trouver de l’aide pour l’enfant : Il existe des groupes de soutien ou des thérapeutes et psychologues qui peuvent les assister et leur faire sentir qu’ils ne sont pas seuls.

Expliquer la maladie : Les enfants doivent savoir que l’alcoolisme est une maladie, causée par une combinaison de facteurs génétiques, environnementaux, émotifs, etc., et que ce n’est pas leur faute.

Démontrer de la compassion : Peu importe la manière dont ils réagissent face au problème, les enfants savent que ce qu’ils vivent n’est pas juste, et ils ont besoin de compassion et de respect.

Privilégier la routine : La prédictibilité de certains rituels, comme le souper en famille à la même heure, peut leur apporter une certaine stabilité.

Cultiver la résilience : Il est possible pour ces enfants d’en arriver à mener une vie normale, s’ils apprennent à communiquer, à mettre l’accent sur le positif, à se distancer de la dynamique familiale dysfonctionnelle et à trouver du soutien auprès d’adultes sains.

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L’alcoolisme plus mortel que le tabagisme

De nouvelles recherches suggèrent que l’alcoolisme est plus ravageur que le tabagisme quant à l’espérance de vie, entre autres.

Ces résultats, rapportés par www.nlm.nih.gov, tendent à démontrer que la durée de vie serait raccourcie de plus d’années chez un alcoolique que chez un fumeur. On affirme aussi que cette statistique s’applique d’autant plus chez les femmes aux prises avec un problème d’alcool.

Voilà qui a de quoi surprendre, puisque la cigarette est devenue l’ennemi public numéro un en matière de santé au fil des dernières années.

Les chercheurs allemands à l’origine de ces recherches sont convaincus de ce qu’ils avancent : le taux de mortalité est 4,6 fois plus élevé chez les femmes alcooliques, et 1,9 fois plus chez les hommes, en comparaison avec le reste de la population dite « générale ».

Il s’agit d’une super-étude, puisque des données concernant plus de 4000 individus ont été compilées pour arriver à ces résultats.

Le directeur de l’Institute of Epidemiology and Social Medicine de l’University Medicine Greifswald urge les gens qui ont des problèmes d’alcool à consulter le plus rapidement possible afin d’obtenir de l’aide.

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Cinéma

Justin Timberlake combattrait l’alcoolisme par l’amour dans The Last Drop

(Relaxnews) – L’acteur et chanteur est en lice pour incarner un critique culinaire alcoolique dans cette comédie romantique, annonce Variety.

Maintenant à l’affiche dans Trouble with the Curve, Justin Timberlake négocie le rôle principal de The Last Drop. En cas d’accord, le long métrage le placera dans la peau d’un critique gastronomique du New York Magazine, affligé d’un sérieux penchant pour la bouteille. Une belle rencontre lui permettra de combattre sa dépendance.

Peter Sollett, réalisateur de Nick and Norah’s Infinite Playlist, réalisera également la mise en scène de ce long métrage, encore sans date de tournage.

Rappelons que Justin Timberlake apparaîtra, en décembre prochain, dans le nouveau film des frères Coen, Inside Llewyn Davis.

Le film s’inspire de la vie du compositeur et interprète Dave Van Ronk, sur une toile de fond new-yorkaise des années 1960. Il jouera aux côtés de Carey Mulligan, qui sera sa femme, et d’Oscar Isaac, campé dans le rôle principal.

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Justin Timberlake combattrait l’alcoolisme par l’amour dans The Last Drop

(Relaxnews) – L’acteur et chanteur est en lice pour incarner un critique culinaire alcoolique dans cette comédie romantique, annonce Variety.

Maintenant à l’affiche dans Trouble with the Curve, Justin Timberlake négocie le rôle principal de The Last Drop. En cas d’accord, le long métrage le placera dans la peau d’un critique gastronomique du New York Magazine, affligé d’un sérieux penchant pour la bouteille. Une belle rencontre lui permettra de combattre sa dépendance.

Peter Sollett, réalisateur de Nick and Norah’s Infinite Playlist, réalisera également la mise en scène de ce long métrage, encore sans date de tournage.

Rappelons que Justin Timberlake apparaîtra, en décembre prochain, dans le nouveau film des frères Coen, Inside Llewyn Davis.

Le film s’inspire de la vie du compositeur et interprète Dave Van Ronk, sur une toile de fond new-yorkaise des années 1960. Il jouera aux côtés de Carey Mulligan, qui sera sa femme, et d’Oscar Isaac, campé dans le rôle principal.

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Justin Timberlake combattrait l’alcoolisme par l’amour dans The Last Drop

(Relaxnews) – L’acteur et chanteur est en lice pour incarner un critique culinaire alcoolique dans cette comédie romantique, annonce Variety.

Maintenant à l’affiche dans Trouble with the Curve, Justin Timberlake négocie le rôle principal de The Last Drop. En cas d’accord, le long métrage le placera dans la peau d’un critique gastronomique du New York Magazine, affligé d’un sérieux penchant pour la bouteille. Une belle rencontre lui permettra de combattre sa dépendance.

Peter Sollett, réalisateur de Nick and Norah’s Infinite Playlist, réalisera également la mise en scène de ce long métrage, encore sans date de tournage.

Rappelons que Justin Timberlake apparaîtra, en décembre prochain, dans le nouveau film des frères Coen, Inside Llewyn Davis.

Le film s’inspire de la vie du compositeur et interprète Dave Van Ronk, sur une toile de fond new-yorkaise des années 1960. Il jouera aux côtés de Carey Mulligan, qui sera sa femme, et d’Oscar Isaac, campé dans le rôle principal.

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Bientôt des médicaments contre l’alcoolisme

Différents laboratoires pharmaceutiques développent des médicaments pour traiter l’alcoolisme, ce fléau qui cause tant de dégâts sur la personne elle-même et chez l’entourage.
 
Certains traitements auront déjà fait leur apparition d’ici deux ans, le temps que des études plus approfondies puissent réellement confirmer les effets bénéfiques.
 
C’est le cas de l’Alcover du laboratoire français D&A Pharma. « Ce traitement, utilisé en Italie depuis plus de quinze ans, a démontré son efficacité. Mais des essais cliniques approfondis doivent être finalisés avant une commercialisation élargie en Europe », explique le président du laboratoire, Patrice Debregas, au Figaro.
 
Le Selincro, quant à lui, ne vise pas une totale abstinence, mais il sera plutôt utilisé pour freiner l’envie irrésistible de continuer de boire après quelques verres.
 
Le Baclofène est un autre espoir en vue. Ce médicament est déjà utilisé pour la sclérose en plaques, mais les études sur ses effets sur l’alcool demeurent encore incomplètes.