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Des alcooliques de plus en plus jeunes

Bien que la prévention sur l’excès d’alcool soit très présente, notamment dans les médias, il semble que cela n’empêche pas les jeunes d’en consommer, et ce, à un âge de plus en plus jeune.

Nous pouvons en effet nous questionner sur l’alcoolisme dans nos sociétés après avoir pris connaissance de récentes données recueillies par la Santé publique britannique.
 
Selon les derniers chiffres, 13 enfants âgés de moins de 13 ans ont reçu des soins pour alcoolisme, de 2009 à 2010, au Royaume-Uni.
 
De plus, pour cette même période, 70 adolescents de 13 à 16 ans ont eux aussi reçu le même type de soins, tandis que 106 ont été déclarés alcooliques.
 
Mentionnons au passage qu’à la suite d’une enquête datant de 2009, les jeunes Britanniques ont été reconnus comme les plus grands consommateurs d’alcool de l’Union européenne.

Malgré tout, ces récentes statistiques nous font voir que l’alcool est encore aujourd’hui très accessible aux moins de 18 ans et que les problèmes de santé y étant reliés semblent de plus en plus importants.

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Le gène de l’alcoolisme identifié

Nous avons souvent remarqué que plusieurs cas d’alcoolisme pouvaient se retrouver au sein d’une même famille; des chercheurs en ont maintenant trouvé la cause.

Ils ont isolé un gène qui libère la protéine TLR4, qui ferait en sorte que les personnes auraient envie de boire davantage.

En laboratoire, lorsque les rats qui préféraient l’alcool ont vu leur protéine TLR4 manipulée, on a alors remarqué que leur intérêt pour la boisson était diminué, et cet effet a duré près de deux semaines après la procédure.

Bien que les recherches doivent se poursuivre, on croit que la thérapie génétique de l’alcoolisme pourrait être envisagée dans l’avenir.

La protéine en cause est activée dans la zone de l’amygdale, le centre du plaisir du cerveau, que l’on avait déjà associée à l’alcoolisme.

Ce qui pourrait également expliquer la tendance à la beuverie. Rappelons qu’il a été prouvé qu’une grande consommation d’alcool en peu de temps était encore plus dommageable pour la santé qu’une ingestion régulière.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans le Proceedings of the National Academy of Sciences.

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Alcoolisme décelé dès l’enfance?

On apprend dans Medical News Today qu’une récente étude a fait un lien entre des traits de personnalité chez des enfants de moins de 12 ans et les abus d’alcool à l’âge adulte.

Menée par une équipe de l’Université Jaume I en Espagne, elle corrobore plusieurs études précédentes ayant porté sur ce sujet. On avait déjà statué l’influence génétique à 50 %.

Désormais, on pourrait prédire les abus d’alcool à 16 ans d’un enfant de 12 ans par l’analyse de certaines caractéristiques psychologiques et de certaines variables sociales.

Ainsi, il semble que les personnes extraverties qui recherchent la nouveauté, qui ont peu d’inhibitions et qui sont impulsives sont plus à risque des abus d’alcool.

Toutefois, on souligne que ces traits ne sont pas négatifs en soi : c’est leur combinaison qui peut influencer le développement de l’alcoolisme.

À la lumière des ces résultats, on recommande fortement faire de la prévention en ciblant mieux les personnes vulnérables.

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Un vaccin pour vaincre l’alcoolisme

Alors que des chercheurs américains tentent de mettre au point un vaccin pour aider les cocaïnomanes à mettre fin à leur dépendance, des chercheurs chiliens ont mis au point un vaccin contre l’alcoolisme.
 
Selon le Daily Mail, ce vaccin donnerait l’impression d’avoir une terrible gueule de bois simplement après quelques verres, limitant ainsi la consommation.
 
Le vaccin neutraliserait le groupe d’enzymes qui aident habituellement le corps à éliminer l’alcool.
 
Ce vaccin a été testé avec succès sur des rats dépendants à l’alcool, diminuant leur consommation de 50 %. D’autres essais seront effectués sur des animaux avant que le vaccin ne soit testé sur des humains, et ce, en 2012 environ.
 
On espère que ce traitement pourra aider les alcooliques à réduire leur consommation de 90 à 95 %, les rendant donc beaucoup moins dépendants à leur vice.
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Une variation génétique protègerait de l’alcoolisme

La revue Alcoholism: Clinical and Experimental Research nous apprend que des chercheurs américains de l’Université de la Caroline du Nord ont découvert une variation génétique qui aiderait à prévenir l’alcoolisme.
 
Bien que les chercheurs insistent sur le fait que l’alcoolisme est un problème complexe et que plusieurs facteurs entrent en jeu, une partie du problème pourrait être expliquée par cette variante du gène CYP2E1 qui est lié à la réaction d’une personne face à l’alcool.
 
Selon l’équipe du professeur Kirk Wilhelmson, les personnes qui ont cette particularité génétique n’ont besoin que de quelques verres pour se sentir ivres.
 
Par le passé, des études avaient démontré que les personnes avaient moins tendance à devenir alcooliques si elles avaient de fortes réactions à de petites quantités d’alcool. Cette fois, on a découvert que ceci serait dû à la variante d’un gène.
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Qu’arrivera-t-il à Lindsay Lohan?

Tôt le matin jeudi (26 août), l’actrice a été trouvée avec des amis dans une Maserati avec une boisson énergisante à la main.

Après 13 jours en prison et 23 jours en cure fermée, il semble que la jeune femme de 24 ans ait vite retrouvé ses vieilles habitudes.

Une personne près d’elle a confié à People : « Lindsay dit qu’elle est déterminée à rester sobre et à se concentrer sur son travail. »

Cette même personne a toutefois ajouté : « Nous avons été témoins de tels retours à la normale auparavant, mais aussitôt qu’elle goûte à la vie nocturne, elle retourne souvent à ses anciennes habitudes. »

L’avocate de Lohan, Shawn Chapman Holley, soutient quant à elle que la vedette est prête à changer sa vie : « Elle est sérieuse quant à sa sobriété. »

Rappelons que Lindsay Lohan devra respecter un régime strict de contrôle antidopage aléatoire, suivre une psychothérapie et les recommandations d’un comité sur la dépendance jusqu’au 1er novembre prochain, soit le jour de sa prochaine comparution.

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Un gène pour protéger de l’alcoolisme

Des chercheurs américains ont découvert que les personnes qui ne supportent pas l’alcool seraient porteuses d’un gène qui, étrangement, se retrouve surtout chez les populations d’origines africaines.
 
Selon le journal Clinical & Experimental Research, certaines personnes ne peuvent s’empêcher d’enchaîner les verres d’alcool alors que d’autres s’endorment après un verre. La différence entre elles serait le gène ADH1B*3 qui protègerait la personne porteuse d’une dépendance à l’alcool.
Ainsi, une personne ne sera pas portée à boire plus si cela la fatigue. C’est ce qui ressort d’une étude réalisée auprès de 91 jeunes Afro-Américains. Les chercheurs ont analysé leur comportement après qu’ils aient consommé modérément de l’alcool. Ceux qui somnolaient étaient porteurs du gène en question.
 
On ignore encore tout des mystères entourant le comportement humain envers l’alcool. Plusieurs facteurs peuvent jouer un rôle, comme l’éducation ou le travail, ainsi que certains autres gènes identifiés qui interagissent avec l’environnement. Des études plus poussées demeurent donc nécessaires.
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La santé psychologique, une affaire familiale

Une recherche effectuée auprès de 981 patients de la Nouvelle-Zélande, de leur troisième à leur 32e anniversaire, a permis de démontrer l’importance des antécédents familiaux en matière de dépression, d’anxiété et d’abus d’alcool ou de drogue.

« Nous avons découvert que l’historique familial est associé à la présence ou non de ces troubles mentaux, à leur récurrence et à la sévérité des symptômes », a fait savoir l’un des auteurs, le Dr Barry J. Milne de l’Université d’Auckland.

Selon les chercheurs, cette découverte peut sans doute permettre de diagnostiquer plus rapidement ces troubles psychologiques et s’avérer une avenue à explorer pour les traitements.

Tous les détails de cette recherche sont publiés dans la revue spécialisée Archives of General Psychiatry.

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Lien entre l’alcool et l’hospitalisation

Une recherche effectuée pendant près de 28 ans avec plus de 6 000 hommes âgés de 35 à 64 ans démontre qu’il existe une association entre la consommation d’alcool et l’hospitalisation.

Comparativement aux candidats sobres, les patients qui buvaient tout près de 22 consommations par semaine voyaient leur risque d’hospitalisation augmenter de 20 %.

Même à huit verres d’alcool hebdomadairement, le risque d’hospitalisation est en hausse et peut augmenter le séjour au centre hospitalier, selon cette étude publiée dans le Journal of Epidemiology and Community Health.

Parmi les raisons qui justifient une hospitalisation, on note les accidents vasculaires cérébraux, les difficultés respiratoires ou encore les maladies coronariennes.

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La résistance à l’alcool, une question de gènes

Une récente étude, effectuée par des chercheurs du Centre de recherche de la clinique Ernest Gallo, nous apprend que les gènes auraient peut-être quelque chose à voir dans la tolérance à l’alcool.

Les personnes qui possèdent le marqueur génétique chromosomique 15q25.1 ont démontré une plus grande tolérance à l’alcool, selon le Dr Geoff Joslyn, auteur principal de cette recherche.

« Cette découverte confirme que le degré de réponse à l’alcool […], associé à la dépendance et à l’abus d’alcool, est influencé par une composante génétique », a-t-il écrit.

De plus, cette découverte confirme l’hypothèse qu’une tolérance à l’alcool peut possiblement mener à la dépendance à cette substance.