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Les fumeurs occasionnels boivent davantage

Des chercheurs de l’Université Yale ont observé 6 000 jeunes adultes pour en arriver à la conclusion que ceux qui ne fumaient que de temps en temps avaient tendance à abuser davantage de l’alcool que les non-fumeurs.

Ces résultats viennent confirmer d’autres études qui prétendaient que la cigarette et la consommation d’alcool allaient de pair.

L’auteure principale de cette recherche, la Dre Sherry A. McKee, suggère même aux différents paliers de gouvernement d’intervenir et d’interdire la cigarette dans les bars, pour ainsi réduire la consommation d’alcool.

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Un traitement prometteur de l’alcoolisme

Une étude publiée cette semaine dans le Proceedings of the National Academy of Sciences démontre qu’un nouveau traitement testé sur des rats de laboratoire est efficace pour diminuer la consommation excessive d’alcool et également diminuer le risque de rechute.

Cette nouvelle méthode consiste à augmenter la dose dans le cerveau d’une protéine dérivée des cellules gliales, surnommée facteur neurotrophique (GDNF), aussi utilisée auprès des personnes atteintes de la maladie de Parkinson.

Outre le fait que seulement 10 minutes après l’utilisation de cette technique, les rats n’avaient plus envie de boire d’alcool, les chercheurs se réjouissent qu’aucun effet secondaire désagréable n’ait été observé chez les rongeurs.

« Seulement trois médicaments ont été approuvés pour traiter l’alcoolisme, mais malheureusement, ils comportent des limites. Nos découvertes ouvrent la porte d’une nouvelle ère dans la lutte contre cette dépendance », a souligné le Dr Dorit Ron, l’auteur principal de la recherche.

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Un traitement prometteur contre l’alcoolisme

Selon une étude publiée dans le Journal of Clinical Psychiatry, la nouvelle version du médicament Naltrexone, qui est maintenant injecté, réduit la consommation d’alcool deux jours après le traitement.

Le Naltrexone empêche l’action des opiacés sur leurs récepteurs du système nerveux central.

L’équipe du Dr Domenic A. Ciraulo, du département de médecine de l’Université de Boston, a testé le médicament auprès de 600 alcooliques. Les patients ont reçu deux doses mensuelles de Naltrexone XR pendant 24 semaines. Une thérapie a également été suivie par les participants.

Les chercheurs ont observé une baisse significative de la consommation d’alcool chez les sujets à qui l’on avait administré le Naltrexone XR, contrairement à ceux qui prenaient le placebo.

Le Dr Ciraulo se réjouit de tels résultats : « Les effets rapides et efficaces de la médication sur le système nerveux des patients facilitent grandement le traitement de l’alcoolisme et les motivent tout au long de ce processus à atteindre leurs objectifs de sobriété. »

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Une journée sans alcool selon Educ’alcool

Une nouvelle publication de l’organisme gouvernemental, Les niveaux de consommation d’alcool à faible risque, recommande aux adultes de ne pas consommer d’alcool au moins une journée par semaine afin de ne pas créer d’accoutumance à l’alcool.

Educ’alcool précise également les quantités recommandées qui diffèrent selon le sexe. Celles-ci varient entre deux et trois verres par jour ou entre quatre et cinq lors d’un même évènement.

Les femmes enceintes, ou sur le point de le devenir, devraient aussi se tenir loin de l’alcool puisque plusieurs études en démontrent les effets néfastes sur le foetus lors de la gestation.
 
Hubert Sacy, le directeur général d’Educ’alcool, tient toutefois à préciser que ces recommandations ne sont qu’à titre indicatif et peuvent varier en fonction de chaque individu.
 
Le site Internet d’Educ’alcool permet de télécharger Les niveaux de consommation d’alcool à faible risque. Les personnes peuvent aussi se le procurer dans les centres hospitaliers, les CLSC et les succursales de la Société des alcools du Québec.
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Une découverte qui explique le tabagisme et l’alcoolisme

Selon une étude présentée au Congrès de la Société canadienne de cardiologie, il y aurait une relation d’ordre génétique entre le stress, le tabagisme et l’alcoolisme.

Les gènes d’où provient notre façon de réagir au stress seraient aussi les responsables de nos prédispositions à l’alcoolisme et au tabagisme.

Les résultats de cette étude menée au Saguenay montrent que les individus de nature stressée auraient génétiquement tendance à consommer alcool et tabac.

Les chercheurs auraient constaté que plus d’hommes que de femmes vivraient des situations de stress intense entraînant l’alcoolisme et le tabagisme.

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Réduire la dépendance à l’alcool

Selon une étude parue dans le Journal of the American Medical Association (JAMA), les alcooliques pourraient réduire leur dépendance en prenant un médicament dont la fonction première est de traiter les épileptiques.

Les chercheurs ont observé que le Topamax, lorsque pris par un alcoolique, permet d’espacer la consommation d’alcool ainsi que de réduire la quantité qu’il prend.

Selon Bankole Johnson, professeur à l’Université de Virginie, cette découverte pourrait permettre à un alcoolique de se sevrer lui-même chez lui au lieu de devoir se rendre dans un centre de désintoxication.

Les individus de l’étude ont augmenter le nombre de jours par mois où ils étaient sobres, sans alcool, en prenant le Topamax. Ils sont passés de trois jours par mois à plus de 16 jours par mois sans boire du tout.