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Certains produits pour lentilles cornéennes pourraient causer des lésions

Radio-Canada rapporte des informations importantes pour tous les myopes du Québec qui ont recours aux lentilles cornéennes.

Selon Santé Canada, certains produits retrouvés sur les rayons pourraient causer des problèmes, à commencer par des lésions oculaires.

On parle des produits de marque Clear Care, Aosept et Oxysept, qui contiendrait 3 % de peroxyde d’hydrogène.

Le problème, c’est que les produits renfermant cet élément doivent être utilisés avec précaution, et il est nécessaire de les laisser reposer dans un étui spécial avant de placer les lentilles sur les yeux.

Cependant, l’information ne circule pas, et plusieurs personnes se sont plaintes de lésions dues à une mauvaise utilisation de l’une ou l’autre de ces marques.

On suggère donc aux utilisateurs de ces produits pour lentilles de lire attentivement les instructions fournies dans l’emballage, mais des changements devront également être apportés par les fabricants.

Santé Canada conclut en effet que plusieurs emballages ne sont pas assez clairs, et rappelle qu’il faut privilégier les solutions salines pour éviter tout problème.

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Les cas de gonorrhées en hausse au Québec

Depuis un peu plus d’un an, les cas de gonorrhées diagnostiquées sont en hausse au Québec, ce qui inquiète grandement les autorités de la santé du Québec.

C’est le constat alarmant que rapporte La Presse, alors que des experts croient qu’il est temps d’agir. Surtout que si la tendance se maintient, on pourrait voir apparaître sur notre territoire une souche de la maladie qui s’avère incurable.

« On voit apparaître des souches de gonorrhée qui ont une sensibilité réduite aux céphalosporines… On s’approche du seuil où ce sera préoccupant. Il n’y a pas beaucoup d’autres options », lance Brigitte Lefebvre, du Laboratoire de santé publique du Québec (LSPQ).

En chiffre, la hausse des cas de gonorrhées se traduirait par une augmentation de 407 % depuis 1997!

« C’est clair que le nombre est sous-estimé, parce qu’on ne teste pas tout le monde », déclare quant à lui le Dr Côté.

La maladie touche beaucoup les 20-29 ans, et les autorités rappellent l’importance de se protéger lors des rapports sexuels. Il reste manifestement encore beaucoup de travail en prévention et en sensibilisation au Québec…

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Un produit dangereux utilisé en centre hospitalier

C’est toute une histoire que celle rapportée par Radio-Canada. Elle traite d’une étude nouvellement publiée qui cible un produit potentiellement dangereux utilisé dans les hôpitaux.

L’étude parle en fait de l’hydroxyéthylamidon, un produit notamment utilisé en soins intensifs pour gonfler le volume sanguin. Cette pratique est utilisée entre autres pour réanimer des patients qui affichent une pression sanguine faible.

Or, on apprend via cette étude que l’hydroxyéthylamidon pourrait bien faire basculer plus de patients vers la mort que vers le réveil…

Ce sont les conclusions obtenues par les chercheurs de l’Université Laval et de l’Université du Manitoba, qui joignent leurs efforts et qui partagent le même avis sur le dossier.

Cette super-étude analysait les données de 38 essais cliniques du produit et de la méthode, ce qui représente à peu près 11 000 patients, si on fait une moyenne.

Après ces analyses et des tests qui ont convaincu les chercheurs canadiens de leur présomption, ces derniers n’y vont pas de main morte dans leurs recommandations.

Pour eux, il faut carrément cesser l’utilisation de l’hydroxyéthylamidon dans nos hôpitaux. Et le plus rapidement possible.

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Des céréales Kellog font l’objet d’un rappel

Kellog (Kellog Co) publie un communiqué selon lequel des milliers de boîtes de céréales font l’objet d’un rappel, et doivent donc être retirées des tablettes des supermarchés.

On demande également à la population d’être très vigilante, car il appert que les boîtes visées contiendraient des fragments de verre, ce qui comme on le comprend, pourrait s’avérer fort dangereux pour les consommateurs.

Pas moins de 36 000 boîtes de céréales font l’objet de ce rappel, notamment et principalement des boîtes de marque Special K aux fruits rouges (red berries).

« La compagnie prend cette mesure par précaution, due à la possible présence de fragments de verre dans une seule série d’ingrédients. », lance Kris Charles de chez Kellog.

On ne rapporte pour l’instant aucun incident, et il semble que le rappel vise principalement les États-Unis.

Les produits visés affichent la date du 13 décembre 2013 ou du 30 novembre 2013 comme limite de péremption.

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Rappel de salsa Choix Du Président par Loblaws

Loblaws a lancé un avertissement à sa clientèle concernant certains produits Choix du Président, à savoir de la salsa dans ce cas-ci, rapporte Radio-Canada.

Le produit, fort populaire, pourrait contenir du plastique, avouent les autorités de chez Loblaws.

Les produits visés sont ceux vendus en format de 650 millilitres et fabriqués à base de maïs et de haricots noirs, ainsi que la salsa douce de 450 millilitres, de marque Choix du Président (PC).

Une autre bonne façon de savoir si l’on possède l’un de ces produits est de vérifier la date de péremption sur le pot de salsa. Il faudra se méfier particulièrement de ceux affichant la date limite du 30 janvier 2014.

Bien qu’aucun incident n’ait été rapporté et que Loblaws ait vraisemblablement retiré tous les produits visés, on demande à la population d’être vigilante.

On retrouve la salsa Choix du Président notamment chez Loblaws, Maxi, Maxi & Cie, Provigo, AXEP, Groupe Distribution et L’Intermarché.

Le rappel touche plusieurs provinces canadiennes, dont le Québec.

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L’alcool serait aussi un facteur de développement du cancer du sein

La consommation d’alcool n’est pas assez reconnue pour ses propriétés cancérigènes, notamment en ce qui concerne le cancer du sein, croient des chercheurs américains.

Ces derniers, issus de l’École de médecine de Boston, viennent de publier une étude sur le sujet, qui parle du danger lié à la consommation d’alcool chez la femme, un danger qui serait vérifiable à partir de deux consommations par jour, rapporte Top Santé.

Si cela peut sembler peu, il appert que cela est suffisant pour placer les femmes à risque, croit l’équipe de spécialistes.

« Boire deux verres d’alcool par jour est suffisant pour augmenter le risque de développer un cancer. Même s’il s’agit d’une consommation qui peut sembler modérée, voire raisonnable, cela suffit à multiplier le risque de souffrir d’un cancer, et notamment de développer un cancer du sein », résume l’équipe de chercheurs bostonnais.

Classé comme substance cancérigène depuis 1988 par l’OMS, l’alcool doit donc être pris au sérieux en tant que facteur de risque du cancer du sein, selon l’étude en question.

Cette dernière avance également que plusieurs décès liés au cancer du sein et potentiellement développés par l’alcool sont « cachés » dans les statistiques de cancer, alors qu’ils découlent d’un problème d’alcool.

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Les suppléments de vitamine D ne seraient pas toujours conformes

Les suppléments de vitamine D ne seraient pas toujours conformes, selon ce que rapporte The National Library of Medicine.

En fait, certains de ces produits ne respecteraient même pas ce qu’ils affichent sur leurs propres étiquettes, selon un rapport alarmant publié dans la plus récente édition de JAMA Internal Medicine.

Même les posologies affichées ne seraient pas toujours véridiques, certains suppléments renfermant plus de vitamine D que ce qu’annonce l’étiquette, alors que d’autres en contiendraient moins que prévu.

Les chercheurs en tête de l’étude sont spécialement inquiets de cette dernière affirmation, car ceux qui se voient prescrire ce genre de suppléments alimentaires ont le droit d’obtenir la dose requise.

« Il est plutôt difficile de faire une surdose de vitamine D. Par contre, ces conclusions peuvent être une source d’inquiétude pour ceux qui doivent prendre ces suppléments de vitamine D sur ordre du médecin et qui se retrouvent avec un produit qui n’en contient pas assez », explique la Dre Erin LeBlanc, du Kaiser Permanente Center for Health Research de Portland.

On veut que les compagnies productrices de ces produits fassent preuve de plus de rigueur. Au même moment, les apports nécessaires en vitamine D font l’objet d’une polémique.

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Réduire le sel dans l’alimentation collective pourrait sauver 500 000 vies

Si l’on réduisait l’apport en sel dans le régime alimentaire collectif des citoyens, on pourrait sauver jusqu’à 500 000 vies sur une période de dix ans, rapporte The National Library of Medicine.

Comme ces chiffres sont basés sur la population des États-Unis, on pourrait même s’attendre à ce qu’il soit sérieusement bonifié si on incluait le Canada à ces prévisions.

Ce constat est le fruit d’une étude américaine, dont les résultats ont été publiés dans la plus récente édition du journal Hypertension. Pour les chercheurs de San Francisco en tête de l’étude, réduire la quantité de sel consommée par les Nord-Américains est une quête primordiale et prioritaire.

Si on regarde les statistiques de mortalité, on se rend compte que le principal tueur en Amérique prend maintenant la forme des maladies cardiaques, cardiovasculaires et de la haute pression. Or, l’un des grands contributeurs à ces problèmes de santé est le sel.

Les chercheurs rappellent que le citoyen moyen consomme trop de sel par rapport à l’apport quotidien suggéré, et ce serait particulièrement vérifiable chez la gent masculine.

On recommande d’abord d’éviter la malbouffe (restauration rapide, burgers, etc.), les restaurants à outrance et les repas-minutes congelés.

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Bilan de santé désastreux pour les baby-boomers

Radio-Canada rapporte une nouvelle concernant le bilan de santé des baby-boomers, et il ne semble pas très reluisant.

En fait, il semble que la génération phare de la société québécoise moderne ne soit pas préoccupée outre mesure par les risques de problèmes de santé qui se pointent le bout du nez avec l’âge.

Pourtant, les mêmes répondants à ce sondage proposé par la Fondation des maladies du cœur affirment avoir des plans précis et de grands projets pour leur retraite et leurs jours dorés.

Pour y parvenir, encore faut-il s’y rendre… vivant! Pour la Fondation, les baby-boomers doivent commencer à prendre leur santé au sérieux. On semble croire que les bilans sont bons du côté des principaux intéressés, mais lorsqu’interrogés sur leurs habitudes alimentaires et de vie, il y a de quoi s’alarmer.

Nourriture excessive et malbouffe, manque de fruits et de légumes, trop peu d’activité physique, bref, tout y passe. En moyenne, il semble que cette génération, pourtant vieillissante, s’assure de ne pas finir ses jours en beauté.

Selon Statistiques Canada, même avec une plus grande durée de vie, il existe un écart de près de dix ans entre l’espérance de vie moyenne et l’espérance de vie… en santé.

Une prolongation de vie inutile si on ne peut en profiter.

 

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Tous les produits contre la grippe ne sont pas propres à la consommation

La FDA (U.S. Food and Drugs Administration) lance un avertissement sur son site web déclarant que plusieurs médicaments douteux se retrouvent en vente un peu partout en Amérique du Nord.

On veut donc sensibiliser la population à ce genre de pratiques que l’on dit carrément frauduleuses.

On apprend donc du même coup que plusieurs charlatans et vendeurs de pacotilles profiteraient de la saison froide, et donc des rhumes et des grippes, pour tenter de vendre des produits pharmaceutiques de seconde zone.

Pire encore, ces produits ne seraient ni testés ni approuvés par une agence ou organisation de la santé reconnue.

« Lorsqu’une nouvelle menace pour la santé émerge, les produits frauduleux font de même, presque du jour au lendemain. En ce moment, ce qui fonctionne bien, ce sont ces prétendues alternatives au vaccin contre la grippe. Ces produits non testés apportent un sentiment de sécurité non fondé auprès des consommateurs », explique Gary Coody de laFDA.

On conseille fortement aux consommateurs de toujours faire affaire avec des praticiens et spécialistes accrédités par le système de santé local.