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Les fans de téléréalité seraient plus enclins à se faire bronzer

Une étude rigolote propose la théorie suivante : les amateurs de téléréalité se feraient bronzer plus que les autres.

C’est ce qui ressort de la recherche effectuée par des chercheurs américains, rapportée par www.nlm.nih.gov, qui souligne le fait que ces émissions ne sont pas toujours de bons exemples en matière de santé.

Ce serait particulièrement le cas en ce qui a trait au bronzage, croient les chercheurs, parce que les protagonistes envoient souvent une image très « soleil », avec des bronzages éclatants et irréalistes.

« Les émissions de télévision ne réalisent pas qu’elles envoient le mauvais message et font de la mauvaise promotion en mettant en vedette toutes ces personnes attirantes et bien bronzées », croit Joshua Fogel, du programme City University de New York.

Il pense également que les médecins devraient interroger leurs jeunes patients concernant leurs habitudes de bronzage, particulièrement ceux qui sont avides de ce genre d’émissions de télé.

Un sondage parallèle à l’étude dévoile que 61 % des étudiants questionnés avouent aimer les émissions de téléréalité et de beauté, et presque la moitié de ce nombre affirme posséder ou utiliser une lampe de bronzage hebdomadairement.

Les risques associés au bronzage sont de plus en plus reconnus et décriés par les spécialistes.

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Les boissons gazeuses diètes reliées à des risques de dépression

Les gens qui consomment des boissons gazeuses diètes pourraient développer des troubles de dépression, suggère une étude rapportée notamment par www.nlm.nih.gov.

L’étude américaine trace cependant des paramètres, stipulant qu’on parle ici plus précisément des adultes et des gens qui boivent plusieurs de ces boissons quotidiennement.

La même chose s’appliquerait aussi aux buveurs de jus de fruits concentrés (qui ne contiennent généralement pas de fruits) ainsi qu’aux amateurs de thé glacé.

En contrepartie et dans la même veine, les buveurs de café seront heureux de lire que ceux qui consomment plusieurs cafés par jour ont moins de risque de devenir dépressifs.

Le même phénomène serait observable en ce qui concerne toutes les boissons sucrées, mais les statistiques concernant les boissons diètes, comme les sodas, sont plus élevées en matière de risques de développement de la dépression et de troubles de l’humeur.

Cependant, pour la professeure en psychiatrie Eva Redei, ceci soulève autant de questions que de réponses, et elle croit qu’on ne peut citer un facteur unique en ce qui a trait à la dépression.

D’autres études sur le sujet sont donc à prévoir.

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Des taux de caféine dans les suppléments qui inquiètent

www.nlm.nih.gov rapporte qu’une étude récente met en garde la population contre les quantités de caféine qui sont parfois retrouvées dans les suppléments alimentaires populaires.

En plus d’être une information que peu de gens connaissent, il semble que les compagnies productrices de ces compléments « oublient » très souvent de mentionner les taux de caféine que leurs produits renferment ou omettent carrément de mentionner qu’ils en contiennent.

L’étude affirme pouvoir démontrer que plusieurs produits populaires sont bourrés de caféine, alors que l’étiquette n’en fait aucune mention. Le pire dans tout cela, c’est que plusieurs de ces suppléments se retrouvent dans plusieurs genres de boutiques spécialisées, et non pas uniquement en pharmacie et sous ordonnance.

Le public a donc le droit d’être informé, selon le Dr Pieter Cohen, qui explique : « Moins de la moitié de ces suppléments affichent des informations précises ou utiles concernant la caféine dans le produit. Par exemple, si vous souhaitez augmenter vos performances, plusieurs suppléments pourraient bien vous décevoir, voire n’avoir aucun effet, en plus de contenir beaucoup de caféine ».

On suggère donc à la population d’être très vigilante lorsqu’il est question de ces fameux suppléments alimentaires, qui gagnent de plus en plus en popularité.

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Le sucre : un ennemi à surveiller durant les fêtes

Prendre du poids durant les fêtes est un classique, presque une véritable tradition de Noël. Cependant, il n’est pas obligé d’en être ainsi, rapporte e-sante.fr.

Il suffit de surveiller spécialement les quantités de sucre ingérées, puisque ce dernier est l’ennemi numéro un d’une taille de guêpe.

On apprend par ailleurs que selon certaines spécialistes, la mauvaise presse que connait le sucre ne serait vérifiable dans les faits que lorsque les quantités sont trop importantes. Le sucre ne serait donc pas nécessairement « toxique » comme on l’entend un peu partout, et l’est dramatiquement moins lorsque consommé avec modération.

Alors, s’il ne faut surtout pas se priver des bonheurs gastronomiques durant les fêtes, selon la diététicienne consultée par le site, il serait par contre bénéfique de faire des choix éclairés et d’éviter certains produits.

Les plus néfastes et sucrés sont notamment les boissons gazeuses, les biscuits et gâteaux industriels (vendus en boîtes), les bonbons et les céréales commerciales sucrées, la crème glacée et les pâtisseries.

On conseille d’éviter massivement ces produits ou d’en consommer avec une extrême modération, afin de profiter des autres beaux repas de Noël qui comprendront déjà leur part de glucose.

Bien sûr, on rappelle l’importance de faire de l’exercice, le parfait allié à la lutte au surpoids… et au sucre.

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La malbouffe serait plus dévastatrice que la faim dans le monde

C’est tout un constat que rapporte topsante.com, qui devrait franchement nous porter à réfléchir sur nos habitudes alimentaires en tant que Nord-Américains surgâtés.

Une étude internationale dévoile des statistiques étonnantes indiquant que la malbouffe et les comportements alimentaires des pays développés sont à l’origine de plus de décès que la malnutrition.

Véritable paradoxe alimentaire, cette situation est d’autant plus inacceptable qu’il est facile de penser que les deux situations pourraient sans doute s’améliorer si on « coupait dans le gras » en donnant nos surplus alimentaires aux pays affamés.

Selon l’étude, intitulée Global Burden of Disease, c’est plus de trois millions de décès dans le monde en 2012 qui sont liés à de mauvaises habitudes alimentaires. La faim, elle, est en cause dans près d’un million de morts.

Trois fois plus de décès pour trois fois plus de bouffe, il y a de quoi faire un sérieux bilan social.

L’étude compilait aussi les taux de mortalité impliquant d’autres facteurs, comme le tabagisme (1re place du lugubre décompte) et le cancer (qui est en progression de 38 % par rapport à 2011).

Les maladies et problèmes cardiovasculaires sont en baisse, avec un taux d’un décès sur quatre mondialement, contrairement à un sur cinq il y a 20 ans.

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Les antibiotiques seraient inutiles dans la plupart des cas de toux

Voilà qui risque de choquer bon nombre de Nord-Américains qui dépensent de l’argent dans les différents antibiotiques prescrits par les médecins afin de mettre un terme à leur vilaine toux.

www.nlm.nih.gov rapporte une étude sur le sujet qui affirme même que certains antibiotiques peuvent faire plus de mal que de bien chez les patients à qui on les prescrit, sauf si un cas de pneumonie est suspecté.

Les chercheurs suisses n’y sont pas allés de main morte pour prouver leurs dires, utilisant les services de 2000 adultes souffrant de toux comme sujets d’étude.

La moitié de ces 2000 patients ont été placés sous antibiotiques (l’amoxicilline dans ce cas-ci), et l’autre sous placebo. Ce dernier s’avérant tout aussi « efficace » que l’amoxicilline pour soigner les symptômes des patients, les chercheurs concluent que leurs théories initiales étaient exactes.

Le Dr Philipp Schuetz, de l’équipe de chercheurs suisse, explique : « Le principal message ici est que les antibiotiques ne sont généralement pas nécessaires pour traiter les infections respiratoires, si une pneumonie est écartée. Seulement quelques patients ont profité des antibiotiques, et cela s’explique sans doute par la présence d’une infection bactérienne chez ces sujets. Les praticiens et la population devraient s’abstenir de se tourner vers les antibiotiques pour des symptômes de toux. Des tests sanguins effectués avant la prescription peuvent aussi prévenir beaucoup de problèmes ».

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Nouvel avertissement majeur concernant les prescriptions de Ritalin

S’il est un dossier chaud qu’on ne traitera jamais assez, c’est bien celui du Ritalin et des prescriptions à la chaîne qui sortent des cabinets de médecins.

Oui, les médecins sont devenus « Ritalin-happy » depuis quelques années, et le tout frise le scandale. Après plusieurs études sur le sujet, Le Devoir rapporte maintenant un article paru dans le Journal de l’Association médicale canadienne, qui s’adresse directement aux praticiens.

On exhorte de baisser le taux de prescriptions accordées pour le Ritalin et la Dexédrine, notamment et spécialement dans les cas de personnes en pleine santé.

Parce que c’est bien là que le bât blesse… une bonne majorité des gens à qui l’on prescrirait ces médicaments contre le déficit d’attention, par exemple, seraient en parfaite santé.

Ceci vient confirmer que le Ritalin est devenu plus qu’un traitement au Québec, c’est une véritable mode. Plusieurs personnes consomment également du Ritalin qu’ils obtiennent de proches ou sur le marché noir.

Une récente étude dévoilait que plus de 11 % des étudiants universitaires ont recours au Ritalin pour obtenir de meilleures performances lors des examens.

Cynthia Forlini, de l’Université McGill, auteure en chef l’étude, rappelle que les effets positifs de ces traitements sur les gens en santé ne sont pas encore démontrés… au contraire des effets néfastes, qui sont nombreux.

Il s’agit d’un véritable travail de conscientisation publique qui attend le Québec si les autorités veulent améliorer cette situation alarmante.

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Les médicaments contre l’anxiété encore blâmés

On le sait, mais on ne le répètera jamais assez : si les médicaments contre la dépression et l’anxiété peuvent fonctionner et apporter une solution temporaire, il ne faut pas en abuser.

Il faut aussi mettre fin au traitement tôt ou tard, et plus tôt que tard sera certainement une bonne option.

Deux nouvelles études sur le sujet viennent de paraître et mènent à des recommandations que reprend Topsante.com.

Selon Bernard Bégaud, auteur en chef de l’étude, il y a d’abord un risque accru et vérifiable de démence chez les gens de 65 ans et plus qui utilisent ce genre de traitements.

Et ces « traitements » visés sont particulièrement ceux de benzodiazépines, prescrits pour traiter les troubles d’anxiété.

Selon les spécialistes questionnés, cette récente conclusion s’ajoute à la liste des autres risques observables en ce qui concerne les traitements par benzodiazépines.

On rappelle également que ces méthodes de traitement ne devraient être prescrites que lorsque d’autres méthodes ont échoué, notamment la thérapie.

De plus, les traitements de benzodiazépines peuvent créer une forte dépendance, laissant le patient aux prises avec un problème plus lourd qu’avant le traitement.

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Les régimes « yo-yo » seraient mauvais pour le coeur

Ce qu’on appelle le phénomène des régimes « yo-yo » est défini par le fait de perdre du poids rapidement et de le reprendre tout aussi vite.

Ce processus serait néfaste pour le cœur, spécialement chez les femmes un peu plus âgées. C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui parle d’une étude affirmant que ces femmes voient leurs chances de développer une maladie ou un problème cardiaque augmenter substantiellement.

Bien que le fait de perdre du poids soit une excellente chose pour la santé, c’est lors de la reprise de ces kilos perdus que le pire se produit. Non seulement ces personnes retrouvent tous les facteurs négatifs sur la santé d’avant, mais la reprise de poids les accentue.

C’est donc dire qu’elles seront en moins bonne santé après la reprise de poids qu’avant d’en perdre, théoriquement.

« Pour les femmes post-ménopausées qui considèrent une perte de poids, maintenir leur poids peut être tout aussi bénéfique que d’en perdre. Même une reprise partielle de la masse perdue peut mener à des risques accrus de diabète et de problèmes cardiovasculaires », explique l’auteur en chef de l’étude, Daniel Beavers.

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Envoyer des messages texte n’est pas dangereux qu’au volant… en marchant aussi

Des chercheurs de l’Harborview Injury Prevention and Research Center de l’Université de Washington (Seattle) ont publié une étude concernant le phénomène des messages texte en pleine rue, rapporte www.nlm.nih.gov.

S’il est facile de croire que le fait d’en envoyer en marchant dans les rues soit un phénomène marginal, il est stupéfiant d’apprendre que ce comportement serait observable chez une personne sur trois!

Oui, il appert que le tiers des gens envoient des messages texte alors qu’ils traversent des rues achalandées ou encore lorsqu’ils déambulent dans des quartiers qu’ils ne connaissent pas ou qui sont peu recommandables.

Ce comportement inquiète les chercheurs en tête de l’étude, puisque les accidents en lien avec celui-ci seraient à la hausse. On préfère donc aviser la population que le fait d’envoyer des messages texte en marchant dans la rue peut s’avérer aussi niais et dangereux que de le faire au volant d’une voiture.

Beth Ebel, directrice de l’Harborview Injury Prevention and Research Center, en rajoute : « Il est temps de faire preuve de jugement dans l’utilisation des appareils électroniques. Les texteurs en puissance sont négligents et ne regardent même pas où ils vont… ni avant de traverser une rue ni pendant. Ils marchent plus lentement et n’ont pas conscience de la circulation. C’est très dangereux ».