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La prudence serait de mise concernant les études en nutrition sur le cancer

www.nlm.nih.gov nous met en garde contre plusieurs études qui seraient parues concernant le cancer et la nutrition. Notamment, certaines de ces études en avaient contre plusieurs aliments qui, selon elles, pourraient favoriser le développement de divers cancers.

On parle entre autres de la cannelle et du homard qui, selon des chercheurs californiens, ne seraient pas dangereux du tout. Ces chercheurs ont d’abord dressé une liste de 50 aliments aléatoires, puis ont fait des recherches pour dénicher des études qui supposaient des risques de cancer plus élevés les concernant.

Leurs conclusions : beaucoup trop d’études « bidon » sont publiées, ce qui désinforme la population.

« Nous avons vu et étudié un grand nombre d’études… beaucoup trop d’études qui suggèrent que certains aliments spécifiques favoriseraient le développement de certains cancers. Les gens prennent peur ou croient qu’ils devront changer de style de vie et prendre de grosses décisions, puis se rendent compte que les études en question sont finalement réfutées quelque temps plus tard », lance le Dr John Loannidis du Stanford Prevention Research Center, en Californie.

Selon lui, la façon dont les études sont faites et publiées devrait être revue, afin d’assurer la meilleure qualité possible d’information donnée au public.

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Le poisson : oui, mais attention au mercure

Les études et suggestions provenant de nutritionnistes de partout qui conseillent de manger beaucoup de poisson sont un peu contredites par un rapport qui met en garde la population mondiale contre les dangers du méthylmercure.

Cet élément serait très présent dans les produits de la mer et peut avoir un effet néfaste sur la santé, notamment sur le cerveau.

On le sait, les poissons contiennent des oméga-3, éléments importants pour l’organisme et la prévention de plusieurs maladies. Or, cet effet pourrait être contrecarré par les taux de mercure qu’ils contiennent.

C’est du moins ce qu’affirme une coalition internationale, qui comprend pas moins de 94 organisations, dans un rapport déposé et rapporté par Santelog.com.

Les spécialistes veulent sensibiliser la population au problème, avant qu’un accord officiel soit signé. On attend justement la ratification d’un traité international par les Nations Unies, qui devrait légiférer dans le dossier.

Le traité devrait être finalisé pour janvier 2013.

D’ici là, on parle de consommer le poisson de façon raisonnable. Le rapport des bienfaits des oméga-3 comparativement aux effets néfastes du mercure est encore à définir. Les chercheurs croient que plusieurs autres études seront nécessaires pour savoir si un argument l’emporte sur l’autre.

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Un régime alimentaire sain pour éviter les problèmes cardiaques récurrents

Si vous êtes aux prises avec une maladie cardiovasculaire ou que vous entretenez de mauvaises habitudes alimentaires qui pourraient endommager votre cœur, n’allez pas croire qu’il est trop tard pour y changer quelque chose et améliorer votre régime.

Une nouvelle recherche vient confirmer qu’une diète saine permet d’éviter un second incident cardiaque ou encore le développement d’une maladie cardiovasculaire.

Ainsi, les spécialistes de l’American Heart Association à la tête de ces recherches veulent sensibiliser les gens qui ont déjà des problèmes connus au cœur afin qu’ils comprennent bien l’importance d’un régime alimentaire sain.

De plus, on souligne que trop de gens croient que comme ils sont sous médication pour le problème qu’ils vivent, ils n’ont plus besoin de surveiller ce qu’ils mangent. Rien n’est plus faux, selon l’étude publiée dans le journal Circulation et rapportée par newsroom.heart.org.

Dre Mahshid Dehghan, chercheuse au Population Health Research Institute et auteure de l’étude en question, explique : « Parfois, les gens croient que leur régime alimentaire n’a aucune incidence à cause de leur traitement qui fonctionne déjà très bien, pour la haute pression ou le cholestérol, notamment. C’est faux. Les modifications au régime alimentaire sont aussi vérifiables que les effets des différents traitements qu’ils reçoivent ».

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La saison de la grippe s’annonce violente cette année

www.nlm.nih.gov rapporte une annonce des CDC américains concernant la grippe. La « version » de cette année s’annoncerait violente, et on tient à mettre les Nord-Américains en garde avant l’arrivée de la plus rigoureuse période de l’année.

Ainsi, on parle d’une souche très puissante de la grippe, la AN3H2, qui pourrait bien frapper à nos portes incessamment. Elle semble confinée à certains États du sud des États-Unis pour l’instant, mais les autorités veulent prévenir les gens et les sensibiliser à la vaccination.

D’ailleurs, les spécialistes parlent d’une bonne année pour se faire vacciner, alors que la souche qu’ils décrivent serait fort compatible avec le vaccin en cours. On peut donc parler d’une meilleure protection antivirale contre l’influenza cette année pour ceux qui iront se faire vacciner.

La période de grippe semble aussi commencer plus tôt cette année que dans les précédentes. Le Dr Thomas Frieden parle de : « … la plus hâtive saison de la grippe depuis l’hiver 2003-2004 ». Il urge la population à se faire vacciner dès maintenant.

Cependant, on sait qu’une bonne partie de celle-ci craint les effets de la vaccination et préfère s’en passer. Les statistiques nous diront si les sceptiques seront plus ou moins nombreux cette année.

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Des statistiques alarmantes concernant l’huile de palme

On apprenait récemment que le fameux Nutella pourrait bien se retrouver dans l’eau chaude à la suite de nombreuses études qui pointent du doigt les produits utilisateurs de l’huile de palme.

Cette huile est considérée par plusieurs comme néfaste pour la santé, ou à tout le moins grasse et propice au gain de poids.

Selon ce que rapporte topsante.com, il n’y aurait pas que le Nutella à placer au banc des accusés. De fait, on apprend qu’un produit sur trois vendu fréquemment en épicerie contiendrait de l’huile de palme ou une autre huile végétale grasse similaire, et que les étiquettes ne sont pas toujours claires à cet effet.

Une étude effectuée par l’Observatoire de la qualité de l’alimentation (Oqali) a permis de constater que la moitié des produits communs vendus dans les marchés contiennent de l’huile végétale grasse. Du nombre, 34 % contiennent de l’huile de palme.

Il semble que les grandes multinationales alimentaires aiment bien utiliser cette huile, en fonction de ses coûts de production moins élevés. On la retrouverait notamment dans les biscuits, les gâteaux industriels et les barres tendres.

On suggère aux gens de favoriser l’utilisation d’huiles végétales saines et l’achat de produits qui en contiennent, par exemple l’huile d’olive, l’huile de colza ou encore l’huile de noix.

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Des herbes très dangereuses pour la santé liées à des cas de cancer

De plus en plus de gens se tournent vers les médecines alternatives pour tenter d’enrayer des problèmes de santé, mais certains produits seraient hautement dangereux pour la santé, rapporte www.nlm.nih.gov.

C’est le cas des herbes qui contiennent de l’acide aristolochique, comme le Fang Chi.

Ce n’est pas la première fois que les agences de santé mettent la population en garde contre ce genre de produit. Une vaste campagne de sensibilisation avait été lancée en 2001, 2003 et 2005 au Canada et aux États-Unis, après que des tests aient révélé les dangers reliés à l’utilisation de produits contenant de l’acide aristolochique.

Cette fois, une étude taïwanaise vient mettre le clou final au débat, alors qu’elle conclut que des cas de cancers de la vessie et des reins sont directement liés à la prise de ces herbes. Plus précisément, l’étude parle de cas recensés chez des herbalistes et homéopathes qui ont été en contact direct et fréquent avec ces produits, dont le Fang Chi.

Le deux tiers des personnes au nombre des cas recensés étaient des femmes.

Plusieurs produits contenant de l’acide aristolochique sont toujours vendus en magasins en Asie, et les spécialistes tiennent mordicus à l’implantation de lois plus strictes pour en freiner la vente.

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Le sirop de maïs blâmé dans plusieurs cas de diabète

Le sirop de maïs est un ingrédient utilisé abondamment par les grandes compagnies du domaine de l’alimentation, et il serait à blâmer dans plusieurs dossiers, dont celui de la hausse des cas de diabète en Amérique.

C’est que le produit possède une haute teneur en glucose-fructose, rapporte Santelog.com, et que celui-ci s’avèrerait toxique pour l’organisme, comme on l’apprenait récemment.

Peut-on éviter de consommer de trop grandes quantités de sirop de maïs? La réponse est oui, mais il vous faudra faire quelques sacrifices. Choisir un bon régime alimentaire permet d’éviter le problème partiellement, puisque l’ingrédient en cause se retrouve majoritairement, vous l’aurez compris, dans les desserts et autres produits du sucre.

Par exemple, les biscuits, la crème glacée et les fameuses boissons gazeuses ont tous des teneurs en glucose-fructose beaucoup trop élevées.

Une étude qui analyse les habitudes de consommation de 43 pays dévoile que ceux qui utilisent des quantités abondantes de sirop de maïs dans leurs produits voient leur taux de diabète grimper de 20 % dans la population.

Difficile de nier le lien direct entre ces ajouts et la montée fulgurante du diabète, de type 2 notamment, à travers l’Amérique du Nord.

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La FDA urge la population d’abaisser sa consommation de sel

On le sait désormais, le sel n’est pas très bon pour la santé, voire nocif, et les aliments qui en contiennent sont pourtant fort nombreux.

Difficile donc de l’éviter, malgré toute la bonne volonté du monde. Cependant, la FDA veut essayer d’aider les gens en publiant quelques faits et suggestions sur son site www.fda.gov.

On note que la surconsommation de sel ne serait pas due à celui que les gens ajoutent dans leur assiette, mais plutôt à celui contenu massivement dans presque tous les produits.

On parle donc d’un effort « très difficile à réaliser » et de « réduction graduelle ». Ainsi, identifier certaines sources de sel et les éliminer de notre régime alimentaire petit à petit est déjà un excellent départ.

Lire les étiquettes des produits que l’on achète est hautement suggéré. On accuse aussi les restaurants de ne pas faire leur part, eux qui pourraient jouer un rôle majeur dans un revirement de situation éventuel.

Une surconsommation de sel peut mener à plusieurs problèmes de santé, dont des troubles cardiovasculaires et rénaux.

Selon des rapports américains, ces derniers devraient abaisser leur consommation de sel d’environ 2300 milligrammes… quotidiennement!

Voici quelques aliments populaires qui sont en tête de liste des aliments les plus salés : pain, pizza, viandes froides (jambon pressé, dinde, etc.), poulet, soupe, hamburger au fromage, sandwich, fromage, pâtes, croustilles, maïs soufflé et autres grignotines.

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Les médicaments contre la grippe et le rhume pourraient endommager le coeur

Topsante.com rapporte les conclusions des chercheurs du Centre Hospitalier Universitaire de Toulouse, qui veulent prévenir la population des effets potentiellement dangereux des médicaments contre la grippe et le rhume offerts sur le marché.

Ces traitements, vendus sans ordonnance, pourraient entraîner des complications cardiaques, selon eux, notamment chez les personnes qui ont des antécédents en matière de problèmes cardiovasculaires.

Il semble que le problème soit dû aux vasoconstricteurs contenus dans beaucoup de produits anti-rhume, qui agissent sur le cœur et les vaisseaux sanguins.

« Il faut éviter ces médicaments dont le risque est inacceptable au vu de la pathologie et préconiser plutôt l’utilisation du sérum physiologique », explique le service de pharmacovigilance européen.

Il conseille du même souffle que les gens aux prises avec des problèmes de coeur devraient se méfier des produits retrouvés sur les rayons et opter pour des solutions plus naturelles et simples, comme les vaporisateurs nasaux ou les solutions salines.

De plus, on rappelle de ne jamais utiliser les produits antigrippaux sur une période de plus de cinq jours d’affilée et de ne jamais dépasser la posologie quotidienne recommandée.

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Le pamplemousse et les médicaments : un danger réel

Ce qui semble au départ être une blague étrange devient vite inquiétant, alors que les sources qui confirment la dangerosité du pamplemousse, lorsque combiné à certains médicaments, se multiplient.

Au tour du Devoir de rapporter la nouvelle, parlant même de « cocktail explosif ».

Étrange tout de même de devoir considérer le pamplemousse comme un ennemi, mais le Dr David Bailey (Lawson Health Research Institute, Ontario) et ses collègues croient que le public n’est pas assez informé sur le sujet et qu’il doit l’être.

Ils ont d’ailleurs publié un article dans le Journal de l’Association médicale canadienne afin de sensibiliser tout le monde, y compris les spécialistes de la santé et les praticiens.

Le Dr Bailey explique que bon nombre de médicaments qui sont prescrits couramment et qui sont absolument nécessaires dans le traitement de maladies communes ou graves pourraient mettre les patients en danger lorsque combinés avec des agrumes, surtout le pamplemousse.

On parle de pas moins de 85 médicaments répertoriés qui réagiraient en présence de l’agrume. Du nombre, 43 pourraient avoir des conséquences aussi graves que le décès.

« Je ne crois pas que cette interaction soit connue aussi bien qu’elle le devrait, d’autant plus qu’il y a tellement de nouveaux médicaments qui apparaissent sur le marché et qui ont le potentiel d’engendrer des effets graves », conclut le Dr Bailey.