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Un professeur attaque le cannabis

Le débat concernant la légalisation du cannabis fait rage depuis belle lurette, et voilà qu’un professeur, docteur et pharmacologue attaque les « vertus » de la marijuana ainsi que son image surfaite, selon lui.

C’est ce que rapporte santelog.com, qui reprend ses propos. Selon le Dr Jean Costentin, qui a été directeur de l’Unité de Neuropsychopharmacologie (CNRS) et de l’Unité de Neurobiologie clinique (CHU de Rouen), l’image avancée par les médias dans le cas du cannabis est souvent fausse et teintée par la motivation du profit.

Selon lui, on fait trop souvent bonne presse à cette drogue, dans le but de la faire entrer « par la grande porte » dans nos sociétés développées. Il rappelle les effets néfastes et secondaires possibles de la marijuana, précisant qu’au final, ce sont les trafiquants qui y gagnent au change, et non la population.

Il cite en exemple le cas de la Californie, qui a assoupli ses politiques et qui a vu les cas de fraude de prescriptions et d’abus augmenter en flèche, en devenant trop libérale sur le sujet.

Le principe actif du THC (tétrahydrocannabinol) peut être administré à des patients par d’autres voies que celle de la fumée, conclut-il.

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Les interactions entre médicaments et suppléments à éviter

Les gens qui consomment des médicaments d’ordonnance sont de plus en plus nombreux, et la mode des suppléments alimentaires atteint son paroxysme. S’il n’y a aucun problème dans le fait que les gens se soignent ou s’occupent de leur organisme, certains peuvent survenir lorsqu’on mélange les deux.

C’est ce qu’affirme une étude chinoise que rapporte santelog.com. Ainsi, les spécialistes s’inquiètent d’un nouveau phénomène lié aux interactions entre médicaments et suppléments alimentaires, comme les vitamines en capsule.

Les chercheurs chinois ont étudié 54 articles et 31 études afin de déterminer les effets néfastes possibles de ces interactions. De façon plus précise, on cible les gens traités pour des problèmes neurologiques et cardiovasculaires, ainsi que les consommateurs de médicaments et suppléments contenant du millepertuis, du magnésium, du calcium, du fer ou du ginkgo.

Les résultats tendent à confirmer les craintes de l’équipe de chercheurs. Quelque 882 interactions potentiellement risquées ont été dénombrées. Les principes actifs warfarine, insuline, digoxine et ticlopidine sont des éléments cernés, et il faudrait éviter de les mélanger avec des suppléments.

Des contre-indications sont aussi émises dans le cas de la graine de lin, de l’échinacée et de la yohimbine.

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Les Canadiens s’alimentent mal

Les habitudes alimentaires des citoyens du Canada sont pointées du doigt dans un rapport, selon lapresse.ca.

Ce dernier, intitulé Les adultes canadiens comblent-ils leurs besoins en nutriments uniquement grâce à l’alimentation?, publié par Santé Canada, tenait à déterminer si les Canadiens mangent suffisamment bien pour combler tous les besoins de leur organisme.

Et il semble que non, puisque les résultats placent le régime alimentaire canadien moyen au box des accusés. Manque de calcium, de magnésium, de vitamines A et D, bref, la liste des déficiences alimentaires au pays est longue.

Et ce serait vrai pour plus de la moitié des jeunes Canadiens (19 ans et moins) ainsi que pour 39 % des adultes.

Ainsi, si l’on se voit dans l’incapacité de suivre un régime alimentaire équilibré, on suggère aux citoyens de se doter de suppléments, après avis médical. Des tests permettent de déterminer les carences de l’organisme, qui varient selon l’individu.

Santé Canada urge les citoyens de consommer plus de produits laitiers, de poissons, de légumes, de fruits, de volailles et de fruits de mer.

Le rapport décrit une situation fort décevante pour un pays à l’avant-plan au niveau économique mondial.

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Encore 400 cas de virus du Nil aux États-Unis

Les CDC (Centers for Disease Control and Prevention) américains dénombrent 400 nouveaux cas de patients qui auraient contracté le fameux virus du Nil, dans la dernière semaine seulement, apprend-on sur nlm.nih.gov.

Il s’agit de la deuxième pire vague enregistrée par cette maladie de l’histoire, mais les autorités assurent qu’elle semble vouloir s’estomper. En date du 25 septembre, on répertoriait 3545 cas depuis le début de l’année en cours.

Du nombre, 38 % proviennent de l’État du Texas. Les autres États ayant enregistré les pires hausses sont le Mississippi, le Michigan, le Dakota du Sud, la Louisiane, Oklahoma, et la Californie.

Dans sa pire forme, le virus du Nil peut mener à une méningite ou encore à une encéphalite. Dans sa forme plus douce, elle ressemble beaucoup à la grippe dite traditionnelle, avec des symptômes similaires.

La maladie a été détectée pour la première fois à New York en 1999 et proviendrait de l’Afrique, prétendent les experts dans le domaine.

147 personnes sont décédées des suites du virus, et il s’agit des pires résultats depuis l’épidémie de 2003. Les autorités demandent au public d’être prudent, mais affirment qu’il n’y a pas lieu de céder à la panique.

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L’avortement est-il perçu comme un moyen de contraception?

Celles qui ont recours à l’avortement à répétition ont souvent déjà plusieurs enfants à leur charge, sont sur le chômage ou vivent des situations instables dans leur vie personnelle ou relationnelle, indique un précédent rapport de l’Observatoire régional de la santé de Bourgogne paru en 2005.

Le taux d’interruption volontaire de grossesse (IVG) répétée augmenterait d’ailleurs avec l’âge, révèle un nouveau rapport du National Health Service britannique, qui vient de mettre en garde la population quant à l’utilisation de l’avortement comme simple moyen de contraception.

En effet, selon les dernières statistiques, le nombre d’IVG à répétition pratiquées au Royaume-Uni serait passé de 30 % en 2000 à 34 % en 2010.

Il semblerait que le pays dépense l’énorme somme d’un million de livres par semaine pour mettre volontairement un terme à des grossesses non désirées.

Avec un taux de 35 % d’avortements répétés, le problème est également à prendre en considération en France, selon le rapport.

Malgré des statistiques déplorables et un portrait typique des femmes qui sont le plus susceptibles d’avoir recours à l’IVG répétée, le document ne fait pas état des raisons et motivations qui peuvent pousser les femmes à mettre un terme à leurs grossesses.

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Quand violence conjugale rime avec dépression post-partum

Pour les spécialistes, il n’est pas surprenant qu’il y ait un chevauchement entre la dépression et la violence d’un partenaire intime. Il s’agit là d’un indice fondamental pour dépister un problème ou l’autre lors de consultations avec ces patientes.

Pour le Dr Barry Salomon, l’auteur principal de l’étude : « C’est un grand message que nous voulons envoyer aux pédiatres qui voient les mères accompagner les bébés en clinique. Si vous détectez la dépression post-partum ou la violence conjugale chez une femme, soyez alerte et aidez-les, car l’un est fortement associé à l’autre et vice-versa ».

Le Dr Salomon n’a pas hésité à souligner à nouveau à Reuters « que les mères qui sont déprimées ou sont dans une relation violente ont un effet négatif sur les enfants ».

Grâce à des questionnaires remplis par des mères qui visitaient des cliniques de pédiatrie depuis février 2008, les chercheurs ont conclu que la plupart des femmes violentées étaient des adolescentes qui avaient donné naissances et des Afro-Américaines. Une mère sur quatre semblait avoir souffert de dépression post-partum, et une sur 14 était violentée.

Les mères qui vivaient une relation malsaine avec leur partenaire étaient deux fois plus susceptibles de souffrir de dépression post-partum que celles qui ne vivaient pas de sévices.

De même, les femmes souffrant de dépression post-partum étaient quatre fois plus susceptibles d’être parmi celles qui étaient victimes de violence à la maison.

L’étude, publiée dans le Journal of Pediatrics, a également constaté que les mères souffrant de dépression post-partum étaient plus susceptibles, probablement par anxiété, d’amener leurs enfants à l’urgence plus souvent.

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Des oeufs pour rester éveillé et alerte

Oubliez le chocolat! Pour retrouver votre énergie lorsque vous vous sentez somnolent, mangez des œufs.
 
Des scientifiques ont découvert qu’une protéine des œufs, que l’on retrouve surtout dans le blanc d’œuf, aide à rester éveillé et alerte. Cette protéine est beaucoup plus efficace que les glucides du chocolat, des biscuits ou d’autres aliments sucrés.
 
L’équipe de l’Université de Cambridge a examiné les effets des substances nutritives sur les cellules du cerveau. On constate que la protéine des blancs d’œufs active les cellules et déclenche la libération continue de l’orexine, alors que le sucre inhibe cette libération.
 
Par le passé, les œufs ont eu une mauvaise réputation. On croyait qu’ils favorisaient le mauvais cholestérol et augmentaient ainsi les risques de troubles cardiaques. Cette pensée est toutefois erronée, et des études ont démontré qu’il est très sain de manger des œufs.
 
Le cholestérol retrouvé en petite quantité dans cet aliment n’a que très peu d’effets sur les risques de crise cardiaque.
 
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Grippe porcine : l’OMS hausse le niveau d’alerte

L’Organisation mondiale la santé (OMS) a haussé hier (29 avril) le niveau d’alerte de 4 à 5, sur une échelle de 6, ce qui signifie qu’une pandémie de grippe porcine est de plus en plus plausible.

« La possibilité d’une pandémie doit être considérée très sérieusement, principalement en raison de la facilité du virus à se répandre dans tous les pays du monde », a mentionné la directrice générale de l’organisme, la Dre Margaret Chan.

Malgré cette décision, Mme Chan a voulu rassurer la population. « Le monde n’a jamais été aussi bien préparé à faire face à une pandémie. Pour la première fois de l’histoire, nous pouvons suivre l’évolution de la pandémie en temps réel », a-t-elle ajouté.

Au Canada, les autorités de la santé ont fait état de 19 cas d’infection au virus H1N1, dont 7 en Ontario et 6 en Colombie-Britannique.

Aucun cas n’a été répertorié au Québec, mais l’Institut national de la santé publique du Québec surveille la situation de près.