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L’Amour est dans le pré: Denis a déjà fait son choix (en hélicoptère!)

Cette semaine à L’Amour est dans le pré, nos fermiers favoris continuaient de rencontrer la famille et les amis de leurs prétendantes et, dans le cas d’Alex, de son unique prétendant.

Denis, comme Alex il y a deux semaines, a révélé précipitamment son choix final lorsqu’il a déclaré son amour à Ève après leur balade en hélicoptère : « Avec le tour d’hélicoptère, t’as vraiment frappé dans le mille. […] Je veux t’aimer le restant de mes jours. »  Il y avait, bien sûr, d’autres phrases entre ces deux énoncés, mais pas tant que ça non plus.

David a fait faire sur mesure un livre intitulé Notre Histoire, avec son visage et celui d’Alex dessinés en couverture, pour qu’ils puissent y colliger tous leurs précieux souvenirs d’amour : « J’ai envie que ce soit un livre qui devienne laid, dans le sens où on l’utilise tellement. » On peut dire que c’est déjà mission accomplie!

Crédit:Capture d’écran Noovo

Dans l’hélicoptère, Denis caressait à deux mains le cou d’Ève depuis le siège placé derrière elle, geste censé être tendre et romantique, mais qui, visuellement, évoquait davantage une pratique à teneur asphyxiophilique (surtout avec leurs masques).

Les extraits du prochain épisode montraient Alex et David en compagnie de Martin Picard, mais nous aurions préféré que ce soit plutôt Martin qui rencontre l’autre Martin à cause de leurs voix très similaires : tous les deux parlent toujours en empruntant un ton qui se veut à la fois terre-à-terre et philosophique (i.e. monocorde, détaché et saccadé). Ils ont les mêmes mêmes patterns prosodiques, vous ne trouvez pas?

La semaine prochaine, on découvrira les choix finaux de Martin, Julien et Marc-André, et on verra les couples faire des activités dans la région de Montréal en remplacement du voyage final habituel. Bota Bota suivi d’un tour de calèche? Café céramique, puis Récréathèque? À suivre!

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L’Amour est dans le pré: Alex a déjà fait son choix!

Ce jeudi, à L’Amour est dans le pré, nos agriculteurs préférés choisissaient les prétendantes et LE prétendant qui auront la chance de les accueillir dans leur ville au cours des prochains épisodes.

Denis a ainsi éliminé Nathalie, et ira visiter Ève et Josée. Martin a éliminé Lydia, et ira visiter Audrey et Émilie. Julien a éliminé Audrey, et ira visiter Alyssia et Chloé. Alex a éliminé à la fois Pier-Luc et Samuel, et ne visitera donc que David, de qui il dit être en train de tomber amoureux. Quant à Marc-Antoine, il ira, bien sûr, visiter Anne et Alexa, Marie-Pier étant partie d’elle-même une journée à l’avance.

Les informations factuelles maintenant évacuées, passons aux observations intéressantes.

En ouverture, Katherine Levac a mis au défi les téléspectateurs et téléspectatrices de ne pas pleurer durant cette émission. Bébé lala : nous ne sommes même pas passés proche. Par contre, du côté de chez Alex, qui se sentait coupable d’exclure et Pier-Luc et Samuel, ça pleurait beaucoup, beaucoup. Visiblement, malgré son amour pour l’Angleterre, Alex n’est pas un adepte du stoïcisme britannique. En tout cas, si jamais ça l’intéresse, nous serions disposés à lui enseigner l’art du stiff upper lip, et il pourrait, lui, nous apprendre à pleurer — comme dans le film Thoroughbreds.

Émilie a dit à Martin qu’elle était contente d’avoir persisté jusqu’au bout de l’aventure malgré les difficultés rencontrées durant les premiers jours. Nous avons beau avoir écouté tous les précédents épisodes avec la vigilance scrupuleuse du chroniqueur culturel rémunéré, nous n’avons aucun souvenir de l’incident auquel elle fait référence. Note à la production : mieux faire les petits récapitulatifs de début d’émission, merci infiniment par avance.

Que sont devenus les enfants de Denis? On les a vus au premier épisode, mais plus jamais ensuite. On aurait bien aimé qu’ils participent au choix de leur belle-mère. Aussi, parlant du premier épisode, nous avions omis de le mentionner dans notre résumé, mais Denis y avait désigné la copine de Tristan, son fils de 16 ans, comme étant la « conjointe » de ce dernier. À 16 ans. Seigneur.

La semaine prochaine, nos agriculteurs rejoindront leurs prétendantes et leur prétendant dans la grande ville, probablement accompagnés — de ce que nous comprenons des moeurs paysannes — par leur grand-mère assise dans une chaise berçante attachée à l’arrière du pick-up.

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«L’Amour est dans le pré»: Une candidate quitte d’elle-même

Ce jeudi, à L’Amour est dans le pré, les préférences de nos agriculteurs bachelors apparaissaient plus claires que jamais alors que le premier tour d’élimination se profile à l’horizon. Voici donc, dans un style fragmentaire et digressif, notre résumé de ce septième épisode.

Après avoir rencontré Chloé, il y a deux épisodes, le quatre-roues de Julien a fait, cette semaine, la connaissance d’Audrey. Julien aurait pu, à la place, la présenter à son Ski-Doo ou à son Sea-Doo, question de varier. Mais non. L’amour de Julien pour les petites machines à moteur nous a cependant inspiré une idée : si jamais ça ne fonctionne pas entre lui et ses prétendantes, nous lui suggérons d’entrer en contact avec la députée de Brampton-Sud, Mme Sidhu. Julien n’aurait qu’à épeler son nom différemment dans sa tête et, juste comme ça, par la magie de l’homophonie, la femme de ses rêves se matérialiserait sous ses yeux. À bon entendeur!

Crédit:Capture d’écran Noovo

La candidate dont on annonçait le départ volontaire de l’aventure s’est révélée être Marie-Pier, qui a décidé de partir après que Marc-Antoine l’ait prévenue, la veille de la journée d’élimination, qu’il était peut-être préférable pour elle de ne pas être trop surprise si jamais, le lendemain, elle était éliminée puisque, justement, en l’occurrence, il avait décidé de l’éliminer. Nous apprécions la dissidence et l’esprit saboteur de Marc-Antoine. C’est de loin notre préféré.

À notre grand mécontentement, Denis semble en voie d’éliminer Nathalie au profit de Josée, qui n’est, disons, pas notre favorite. On aimerait bien que quelqu’un la mette au courant qu’il est possible de prononcer une phrase autrement qu’en prenant une voix venteuse et un ton serein affecté. Le delivery de Nicole Bordeleau ne sied pas à toutes circonstances, chère Josée.

Après leur promenade en quatre-roues, Julien et Chloé ont conversé longuement, assis sur des bottes de foin, une discussion dont nous n’avons rien retenu, trop distraits par le fait que Julien était en t-shirt, alors que Chloé portait, elle, un manteau d’hiver, des gants, une tuque et un gros foulard. Sur la seule base de ce contraste, nous croyons que ces deux-là ne devraient jamais former un couple.

Alex a révélé à Samuel n’avoir jamais été victime d’homophobie dans sa communauté rurale. C’est plutôt surprenant. HollywoodPQ a lui-même grandi dans un milieu semi-campagnard, et il peut témoigner que ses intérêts pour les potins et la mode y étaient assez mal reçus. À titre d’exemple, son papa, Allô Police, refusait de lui acheter des poupées sous prétexte que ce n’était pas assez masculin. HollywoodPQ se revoit encore en train de fixer, au moyen d’un élastique, un petit carré de popeline à l’arrière de ses voitures jouets, geste désespéré pour les habiller d’un semblant de robe de bal. Mais tant mieux si ça ne correspond pas à l’expérience d’Alex.

La semaine prochaine, on découvrira l’identité des prétendantes et des prétendants qui auront la chance d’accueillir nos agriculteurs préférés chez eux. Tourlou!

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«L’Amour est dans le pré»: Les étonnantes passions des agriculteurs!

Après un premier épisode consacré aux lettres reçues par les agriculteurs, un deuxième épisode consacré au speed dating, puis un troisième épisode consacré, lui aussi, au speed dating, les prétendantes et prétendants de L’Amour est dans le pré débarquaient enfin, ce jeudi, sur la ferme de nos agriculteurs préférés. Voici donc ce qui a retenu notre attention dans ce quatrième épisode.

Marc-Antoine et Martin ont tous les deux eu l’idée de clore la visite guidée de leur ferme avec une petite surprise : des chatons tout mignons, dans le cas de Marc-Antoine, et une vache avec un nerf coincé en train d’agoniser par terre, du côté de chez Martin. Des choix différents, mais tout aussi valables.

L’astucieuse Josée a sciemment choisi de dire à Denis « quand on va être ensemble, on fera de la randonnée », plutôt que « si on est ensemble, on fera de la randonnée », afin de bloquer, par le pouvoir des mots, la possibilité qu’elle ne soit éliminée. Pauvre Denis, piégé par une conjonction de subordination.

Autant Martin que Denis avaient préparé des paquets cadeaux pour leurs prétendantes. Ceux de Martin contenaient « des petits chocolats, des petites chandelles » et ceux de Denis, un t-shirt rouge accompagné de sacs de chips. Avec des beaux cadeaux comme ça, on se croirait à Blablabla.

Alex a dévoilé deux de ses passions : la littérature (il fait même partie d’un club de lecture!) et l’Angleterre (essentiellement à cause de Harry Potter). Il s’avère qu’HollywoodPQ est lui-même un aficionado de littérature britannique. Nous faisons donc à Alex les prescriptions littéraires suivantes pour ses prochaines réunions : Loot de Joe Orton et les sonnets de Shakespeare (mais uniquement ceux à teneur homoérotique, où Shakespeare s’adresse à son twink, ou plutôt à son « fair youth », comme on disait dans le temps).

Ah, Shakespeare, l’Angleterre… Nous comprenons bien l’amour d’Alex pour ce pays. En fait, HollywoodPQ s’y sentirait à sa place comme nulle part ailleurs (à l’exception de son cher Québec, bien sûr). C’est que, voyez-vous, là-bas, potinage et dérision sont des pratiques non seulement acceptées, mais valorisées. Il s’agit ni plus ni moins que d’un trait définitoire du peuple britannique, comme en témoigne notamment la dernière scène de la pièce d’Alan Bennett Kafka’s Dick — une autre œuvre parfaite pour le club de lecture d’Alex (qui devrait franchement considérer nous y inviter)!

God save gossip!

God save the queen!

God save L’Amour est dans le pré!

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«L’Amour est dans le pré»: Les candidats LGBTQ volent déjà le show!

Difficile de se faire une idée des prétendantes et prétendants de nos agriculteurs bachelors, qui ne sont encore, dans ce premier épisode de la neuvième saison de L’Amour est dans le pré, que des créatures de papier : c’est uniquement par le truchement d’une lettre de présentation accompagnée de quelques photos que nous faisons leur connaissance; il faudra attendre le deuxième épisode pour finalement les voir en personne.

Comme toutes les lettres sont assez similaires, les prétendantes font un peu l’effet d’une masse indifférenciée se décrivant comme « simple, directe et active » (qualités essentielles, semble-t-il, de la douce moitié de l’agriculteur). Le sourire, aussi, apparaît comme un critère récurrent, que ce soit pour Denis (le sexagénaire), à la recherche d’une « femme qui sourit » ou Julien (le barbu), qui souhaite partager sa vie avec « une fille avec le sourire qui [le] fait sourire ».

Du côté de chez Marc-Antoine (le jock), on retiendra, parmi ses prétendantes, Anne, avec qui il partage une même conception de la galanterie : tout homme bienséant se doit de marcher du côté du trottoir bordant la route (pour protéger la femme des automobiles).

La chose routière semble également occuper l’esprit de Martin (l’autre jock) : son enthousiasme était plus que palpable lorsqu’il a découvert en lisant la fiche d’Émilie la « pas peureuse » qu’elle possédait un permis de conduire classe 1 lui permettant de conduire, notamment, un tracteur routier de deux essieux.

Mais nous ne mentirons pas, c’est surtout Samuel, Tommy, Sébastien, David et Pier-Luc, les prétendants d’Alex, que nous avons hâte de rencontrer. Les personnes issues de la communauté LGBTQ+ sont très peu représentées dans la téléréalité québécoise; il faut gratter les fonds de tiroir pour trouver des exemples : Cintia et Marjorie d’OD Chez nousKevins-Kyle de Loft Story III (lequel n’avait, soit dit en passant, pas vraiment la possibilité de finir en couple puisqu’on avait omis de mettre un autre homosexuel parmi le groupe).

On pourrait aussi inclure, par dépit, l’incident de la branlette d’Occupation Double à Whislter, quand Jean-Philippe S. s’était tripoté sous le regard indifférent de Jimmy, un épisode qui n’avait pas manqué d’émoustiller le chroniqueur au Soleil Richard Therrien. (Malheureusement, et le lien URL de la vidéo et celui de l’article de Richard Therrien qui narre toute l’affaire en détail sont désormais inactifs, mais c’est vraiment arrivé, il faut nous croire : toute l’équipe d’HollywoodPQ en garde un souvenir vif!)

Bref, vivement un spin-off queer de L’Amour est dans le pré. On a même déjà un titre : Le Gai Terroir.

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Katherine Levac et beaucoup d’amour dans les prés

L’année a commencé comme si un truck de déneigement nous avait déversé son contenu en pleine poire. Entre les annonces liées au confinement au Québec et les événements de la dernière semaine chez nos voisins du Sud, 2021 manque jusqu’à maintenant de soleil et de douceur. Eh bien, on en aura une bonne dose tous les jeudis à 20h à compter du 14 janvier, puisque L’Amour est dans le pré s’apprête à lancer sa neuvième saison. On vous le dit en partant : des couples ont été formés durant les tournages cette année encore!

La téléréalité qui a jusqu’à maintenant créé 12 unions durables et bientôt 23 enfants (il y en a un actuellement en construction) présente cette année quelques petites nouveautés. D’abord, il y a bien sûr le changement d’animatrice, puisque Katherine Levac succède à Marie-Ève Janvier. On sent par moment que sa prédécesseure l’a bien coachée, mais l’humoriste qui marque ici sa première animation met ses couleurs assez rapidement dans l’émission, sans la dénaturer. On peut dire mission accomplie pour cette fan de ce qu’elle décrit en conférence de presse comme un « Tinder agricole extrêmement « trustable » ».

D’ailleurs, le premier épisode de la saison est légèrement différent de ce qu’on a vu au cours des dernières saisons : plutôt que de livrer les lettres aux agriculteurs, Katherine va les voir pour qu’ils lui dévoilent les cinq personnes qu’ils souhaitent rencontrer. Ça donne des discussions plus vivantes, ça permet de donner plus de temps d’écran à la nouvelle animatrice pour qu’on se familiarise avec elle et ça évite la manipulation des lettres par trop de gens, chose qui n’aurait pas été souhaitable en temps de pandémie.

La pandémie, justement, implique que les idylles naissantes sont plutôt platoniques. Mais attention, elles ne sont pas plates pour autant! Suivant les recommandations, la production a demandé aux agriculteurs ainsi qu’à leurs prétendantes ou leurs prétendants d’appliquer la distanciation sociale, même durant la semaine où tout le monde habite sous le même toit, à l’exception des 15 minutes par jour allouées par l’UDA durant lesquelles les contacts leur étaient permis… mais pas les baisers.

On nous glisse à l’oreille que ça se dévore du regard malgré tout et que la tension sexuelle n’est pas moins présente. On vous rassure aussi : il y aura des échanges de salive. Seulement, ils auront lieu une fois que les agriculteurs n’auront plus qu’une seule personne dans leur coeur. Dans le même ordre d’idées, les voyages dans le Sud ont bien sûr été abandonnés cette année. On verra plutôt les tourtereaux finir leur aventure avec des escapades dans la région de Montréal avant le désormais classique épisode de retrouvailles qui viendra conclure la saison. Vous pouvez aussi oublier les partys de région dans le garage ou au bord d’un feu de camp.

L’ultime nouveauté à l’émission, c’est un premier agriculteur gai de l’histoire de la téléréalité au Québec. Le format international de L’Amour est dans le pré a connu plusieurs couples du même sexe, mais aucun qui n’a duré jusqu’à maintenant. Ça pourrait donc être doublement une première avec Alex, un producteur laitier, avicole, porcin, acéricole et meunerie de 30 ans qui s’est décidé à s’inscrire à l’émission à force d’être confiné. La fin du monde, ça se vit mieux à deux!

On ne vous le cachera pas, Alex est un véritable coup de coeur pour notre équipe et on s’imagine bien qu’il le sera aussi pour le public. Il est charismatique, il est attachant et, surtout, il veut vraiment trouver l’amour. Notre petit doigt nous dit qu’il ne finira pas l’aventure tout seul…! Vraiment, c’est difficile de ne pas l’adorer et lui souhaiter en partant une multitude d’enfants avec l’homme de ses rêves.

Denis risque également de plaire à bien des téléspectateurs et téléspectatrices, comme c’est souvent le cas avec les agriculteurs plus âgés (pensons à Nicolas, qui file toujours le parfait bonheur avec sa belle Louise!). Ce producteur laitier et de maïs sucré de 60 ans est décrit par la production de L’Amour est dans le pré comme un « homme de parole ».

Julien, 30 ans, producteur laitier et de grandes cultures, est le « viking au coeur tendre » de la saison. Bien intentionné, il aura quelques « maladresses » que ses prétendantes n’hésiteront pas à lui mettre au visage. C’est aussi comme ça que Martin Métivier, producteur exécutif de la téléréalité, décrit Marc-Antoine, 25 ans, producteur de veaux de grain et de grandes cultures qui est par ailleurs un grand ami de Philippe de la dernière saison de l’émission. À la recherche de l’amour pour la première fois, il sera lui aussi plutôt « maladroit » et se le fera dire par les filles présentes sur sa ferme.

Finalement, Martin, un producteur laitier de 25 ans, touchera sûrement le public avec sa démarche sincère, lui qui ne veut pas d’un choix superficiel. C’est lui qui a reçu le plus de lettres de prétendantes, mais on ne vous dira pas le total pour ne pas lui enfler la tête!

Comme d’habitude, les agriculteurs choisiront les trois personnes qui viendront sur leur ferme après en avoir rencontré cinq. Ces séances de speed dating sont toujours aussi délicieuses; elles comportent cette année encore la classique question du nombre d’enfants désirés (toujours un peu étonnant quand c’est entre des gens qui se connaissent depuis environ 45 secondes), mais aussi de magnifiques malaises, comme une demoiselle qui compare la vie de ferme avec le chalet sur le bord du lac ou encore le fantastique lapsus « je suis enfin contente de te voir ». Mais surtout, ces premières rencontres vous permettront de voir ce qui a tout l’air d’un coup de foudre…

L’Amour est dans le pré connaît un vent de fraîcheur cette année, juste assez pour se renouveler sans rien enlever de ce qui fait son succès depuis 10 ans.

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«L’Amour est dans le pré»: Découvrez les agriculteurs de la 9e saison!

La date de retour de L’Amour est dans le pré a été dévoilée, tout comme les cinq agriculteurs qui tenteront de trouver l’amour en cette 9e saison de la populaire téléréalité agricole. Le 14 janvier 2021, dès 20h, sur Noovo, nous aurons donc la chance de tous les rencontrer et enfin voir Katherine Levac dans son nouveau rôle d’animatrice!

Celle-ci n’aura toutefois pas besoin de nous convaincre davantage, car on est déjà bien excitée de la voir reprendre le flambeau de Marie-Ève Janvier. Le premier aperçu de l’humoriste dans la vidéo de présentation des participants finalistes rendu disponible sur la page Facebook de l’émission nous laisse bien voir son énergie différente, mais ô combien contagieuse!

Mais revenons à nos moutons, ou plutôt à nos agriculteurs qui ont reçu le plus de lettres de prétendantes et de prétendants, car oui, Alex, le producteur laitier, avicole, porcin, acéricole et meunerie de 30 ans et premier participant homosexuel a été retenu pour vivre cette expérience hors du commun! Il sera rejoint par Denis, 60 ans, producteur laitier et de maïs sucré, Julien, 30 ans, producteur laitier et de grandes cultures, Marc-Antoine, 25 ans, producteur de veaux de grain et de grandes cultures (et grand ami de Philippe, candidat lors de la dernière saison de L’Amour est dans le pré), et Martin, 25 ans, producteur laitier.

Après avoir visionné la première promo de cette nouvelle mouture, on a très hâte au 14 janvier pour suivre ces nouveaux candidats remplis d’espoir quant à la possibilité de trouver l’amour, et qui sait, continuer la grande tradition familiale de l’émission! Après tout, en près de 10 ans d’existence, ce sont plus de 12 couples qui se sont formés, en plus des 22, bientôt 23, enfants que tout cet amour sincère a engendrés!

C’est donc un rendez-vous le 14 janvier, 20h, sur Noovo, pour cette nouvelle saison de L’Amour est dans le pré!