Étiquette : Alex Ovechkin

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Alex Ovechkin ne s’est pas saoulé l’été dernier?

Alex Ovechkin distribue des mises en échec à outrance.

Ça fait partie de son jeu, tout comme son nombre de lancers monstrueux pendant chaque rencontre.

Un style qu’il n’a aucunement envie de changer, malgré que la mi-trentaine pointe à l’horizon. Le week-end dernier, les Caps ont vaincu les Canes 6-0 et Dougie Hamilton a fait un petit **** dans ses culottes lors de cette séquence.

Sur les réseaux sociaux, Hamilton s’est fait traiter de poule mouillée et d’autres noms également. Le gars a juste eu la chienne de sa vie lorsqu’il a entendu le train de 5 heures s’en venir.

Bon, cette séance s’est produite le week-end dernier, donc passons à autre chose… Quoiqu’il est question d’Ovechkin, donc profitons-en pour étaler une déclaration juteuse de la part du capitaine des Capitals de Washington.

On sait que le numéro 8 ne déteste pas festoyer et il ne s’en est jamais caché, bien au contraire. L’an dernier, à la suite de la victoire des Caps sur les Knights, où le numéro 8 a enfin soulevé SA coupe, la dérape est partie… On a vu une tonne de photos et vidéos circuler sur le Web, démontrant qu’Ovechkin était sur le party.

Mais… Ovechkin a tenu à préciser une chose importante : il n’a jamais été en lendemain de veille. Cette nouvelle a été partagée via le site Habsolumentfan le week-end dernier. C’est une joke!

Vous me permettez d’en douter? Bref, ce gars-là est unique, il est une machine de guerre et je lui souhaite sincèrement une 2e Coupe Stanley.

En rafale

– Et avec raison!

– Mais parfois, un trop long repos peut tourner négativement.

– Et on l’a jugé négativement à ses débuts.

– Est-il l’un des problèmes, le P.K.?

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Alex Ovechkin a expliqué le geste « classy » de Sidney Crosby

La rivalité qui oppose les Penguins aux Capitals n’a plus besoin de présentation.

Cette rivalité est née officiellement lorsque Sidney Crosby et Alex Ovechkin sont devenus les deux « têtes » du hockey lors de la campagne 2005-06.

Plusieurs amateurs se sont rangés du côté de Crosby, mais quelques-uns se sont mis à développer un amour inconditionnel envers le Russe, qui électrisait la foule avec ses mises en échec percutantes, sa fougue, sa passion et son aptitude singulière pour enfiler des buts à profusion. Bref, la rivalité s’est ouverte peu à peu et lorsque les Caps sont revenus avec leurs anciennes couleurs, la vapeur a levé encore plus.

Les deux équipes se chamaillent depuis une décennie. Elles sont reconnues comme des franchises gagnantes depuis qu’Alex Ovechkin et Sidney Crosby guident leur club respectif. Pendant les rencontres opposant les deux clans, on a souvent des échauffourées, et même des mises en échec douteuses, comme celle-ci :

Malgré toute cette haine sur la surface glacée… malgré les mises en échec… malgré les coups disgracieux de part et d’autre, il y a beaucoup de respect entre les deux clubs. Ovi et le Kid sont différents, donc ils n’entretiennent pas une amitié très soudée. Par contre, l’un comme l’autre voue beaucoup de respect à l’autre. La preuve, hier, Ovechkin a récolté son 1200e point en carrière et aussitôt, le numéro 87 s’est dirigé vers lui pour le féliciter.

Non, il n’était pas question d’une petite bagarre verbale, mais plutôt de beaux mots d’un adversaire à un autre. 

Un geste de grande classe, à l’image du grand Sidney Crosby, qui a toujours fait preuve de grande classe depuis le lancement de sa carrière. On peut ne pas apprécier lorsqu’il se plaint aux officiels, mais il ne faut pas remettre son professionnalisme en cause pour ça.

Bravo pour ce geste grandiose, monsieur Crosby.

En rafale

– Parlant d’Ovechkin et Crosby.

– Larry? Le nouveau surnom de Carey Price?

– Max Domi a toujours le dessus sur Alex Galchenyuk.

– À quelques niveaux, oui!

– Thomas Chabot est blessé à l’orteil.

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Alex Ovechkin a expliqué le geste « classy » de Sidney Crosby

La rivalité qui oppose les Penguins aux Capitals n’a plus besoin de présentation.

Cette rivalité est née officiellement lorsque Sidney Crosby et Alex Ovechkin sont devenus les deux « têtes » du hockey lors de la campagne 2005-06.

Plusieurs amateurs se sont rangés du côté de Crosby, mais quelques-uns se sont mis à développer un amour inconditionnel envers le Russe, qui électrisait la foule avec ses mises en échec percutantes, sa fougue, sa passion et son aptitude singulière pour enfiler des buts à profusion. Bref, la rivalité s’est ouverte peu à peu et lorsque les Caps sont revenus avec leurs anciennes couleurs, la vapeur a levé encore plus.

Les deux équipes se chamaillent depuis une décennie. Elles sont reconnues comme des franchises gagnantes depuis qu’Alex Ovechkin et Sidney Crosby guident leur club respectif. Pendant les rencontres opposant les deux clans, on a souvent des échauffourées, et même des mises en échec douteuses, comme celle-ci :

Malgré toute cette haine sur la surface glacée… malgré les mises en échec… malgré les coups disgracieux de part et d’autre, il y a beaucoup de respect entre les deux clubs. Ovi et le Kid sont différents, donc ils n’entretiennent pas une amitié très soudée. Par contre, l’un comme l’autre voue beaucoup de respect à l’autre. La preuve, hier, Ovechkin a récolté son 1200e point en carrière et aussitôt, le numéro 87 s’est dirigé vers lui pour le féliciter.

Non, il n’était pas question d’une petite bagarre verbale, mais plutôt de beaux mots d’un adversaire à un autre. 

Un geste de grande classe, à l’image du grand Sidney Crosby, qui a toujours fait preuve de grande classe depuis le lancement de sa carrière. On peut ne pas apprécier lorsqu’il se plaint aux officiels, mais il ne faut pas remettre son professionnalisme en cause pour ça.

Bravo pour ce geste grandiose, monsieur Crosby.

En rafale

– Parlant d’Ovechkin et Crosby.

– Larry? Le nouveau surnom de Carey Price?

– Max Domi a toujours le dessus sur Alex Galchenyuk.

– À quelques niveaux, oui!

– Thomas Chabot est blessé à l’orteil.

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LNH : Alex Ovechkin renverse Zdeno Chara

Le Canadien de Montréal a été amorphe et sans saveur lors du duel contre les Blues, à Saint-Louis. Une mission ratée et un revers de 4-1, ce qui augmente encore les questionnements au sujet de l’équipe.

Enfin bref, lisez l’après-match ICI si vous souhaitez voir du beige, ou parcourez ce top-5 pour voir de la belle couleur.

1. Comment ne pas octroyer la position numéro un à Alex Ovechkin, qui a renversé le « gros » Zdeno Chara sur le banc de ses Capitals? Mais quel surhumain, ce Ovi!

2. Mattias Ekholm n’est pas seulement un excellent défenseur, il est également un bon gardien.

3. Mais quelle passe parfaite et chanceuse de Mattias Ekholm.

4. Cet arrêt, ou plutôt ce jeu défensif de Keith Kinkaid, se doit d’être souligné.

5. Je vous mets au défi de tenter de comprendre cette feinte magistrale de Mathew Barzal.

Prolongation

– Une bombe parfaite de T.J. Oshie.

– Voici le 300e filet en carrière du grand John Tavares.

– Un câlin de P.K. Subban au passage.

– Il ne manquait seulement que la rondelle traverse la petite ligne rouge.

– Plus chanceux que ça, tu meurs!

– Artemi Panarin a fait sursauter son entraîneur-chef grâce à ce filet.

… et avec raison!

– Point, le genou sur la glace, et il marque!

– Fallait bien trouver une façon d’insérer le but de Samuel Blais.

– Sven Baertschi y est allé de toute une manoeuvre, qui a fonctionné.

– Il est incroyable… mais il est seul au monde.

– Un peu de chance avec ça?

– Malgré tout, on a du plaisir à Ottawa. Du moins, Brady Tkachuk en a lui.

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Même si on lui interdit, Alex Ovechkin continuera de jouer à Fortnite

Alex Ovechkin fait preuve d’un grand leadership depuis la trentaine et disons que Barry Trotz n’est pas étranger à cette prise de maturité. Voici d’ailleurs l’un des moments qui démontre parfaitement les qualités de meneur du gros numéro 8, qui n’a plus besoin de recevoir autant de critiques que par le passé.

Enfin bref, Ovi, c’est un capitaine établi qui a désormais son trophée argenté dans son casier, donc plus besoin de casser les oreilles à personnes en disant qu’il n’a rien gagné. Par contre, le Tsar restera toujours un enfant qui aime s’amuser dans les bars ou en jouant à des jeux vidéo, et c’est bien correct puisqu’il performe et guide les siens sur la patinoire.

On sait que les Canucks de Vancouver interdisent à leurs joueurs de gamer à Fortnite, c’est devenu une règle d’équipe, comme on le voit dans certaines ligues juniors. Ovechkin sera certes intronisé au Temple de la renommée dès sa première année d’éligibilité. Donc, il peut bien faire ce qu’il veut de ses périodes libres, dont jouer à Fortnite. À ce sujet, voici ce qu’il pense de cette loi stupide (à ses yeux) des Canucks :

Si quelqu’un me dit de ne pas jouer à des jeux vidéo sur la route ou à la maison, je ne vais pas l’écouter … Je pense que c’est le choix des gens, non? Si vous regardez un film, vous regardez un film. Si vous jouez à des jeux vidéo, vous jouez à des jeux vidéo. Je joue aussi à des jeux sur mon téléphone. Pour moi, si nous sommes sur la route, je joue à quelques jeux. Je ne vais pas jouer toute la nuit. Je ne suis pas à cet âge. Mais parfois, il n’y a rien à faire à la maison et sur la route en particulier. – Ovechkin

Alex Ovechkin n’a pas peur de livrer le fond de sa pensée et c’est comme ça que les gens l’aiment. Souvenez-vous qu’il a aussi dit que même si la LNH l’interdisait, il allait participer aux Olympiques, ce qu’il n’a finalement pas fait.

En rafale

– Comment on dit cela déjà? C’est trop pour moi!

– Brian Boyle est blessé au haut du corps.

– Une question qui mérite d’être posée.

– Tuukka Rask n’a jamais envisagé la retraite.

– Les chances de voir Jean Pascal l’emporter sont très minces.

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Alex Ovechkin a célébré avec le peuple

Je me dois de revenir sur le dossier Ovechkin puisque même si le capitaine des Caps a enfin tenu la Coupe Stanley à bout de bras, en plus de dormir en cuillère avec elle, des gens continuent de le peinturer dans un coin sans arrêt. Certains ne sont pas capables de lui donner du crédit… Avant, ces gens-là disaient :  Il a combien de Coupes Ovechkin? Maintenant, ils disent : Il n’a qu’une seule coupe Ovechkin. Come on!

D’autres s’amusent à le basher par sa façon unique de célébrer cette première. On l’a vu fêter avec DJ Tiesto, on l’a vu boire dans la Coupe alors que ses coéquipiers le tenaient. On l’a vu dans le lit avec la Coupe. On l’a vu plonger dans l’eau d’une fontaine… on l’a vu ingurgiter de la bière en ondes alors qu’il était au Nationals Park et on l’a aussi vu complètement rater son tir protocolaire. Ouin, pis? Est-ce que tous les joueurs sont obligés de fêter cela de façon aussi sobre que Sidney Crosby ou Jonathan Toews? Non. Aucune règle n’indique ceci.

J’ai adoré ce qu’a dit Jay Filosa lors du dernier épisode des Columnists : il a fêté avec le peuple. Il a célébré avec des centaines de partisans. N’oubliez pas une chose, ça fait 30 ans que la ville de Washington n’a pas gagné.

Ovechkin, c’est un émotif, un passionné et il fête la Coupe Stanley comme il joue sur la glace… ça, ce sont les propos très justes de Tony Marinaro.

Au final, il a fermé le clapet de ses dénigreurs et il a prouvé qu’un capitaine russe pouvait réussir à rafler un championnat. Pourquoi continuer à s’acharner sur lui? Steven Stamkos, Claude Giroux et Max Pacioretty ont soulevé combien de Coupes Stanley, eux?

En rafale

– Ce gars-là est tout simplement incroyable.

– Je pense que tout le monde est pleinement d’accord avec ça, je me trompe?

– La petite signature du jour :

– DSP est un autre héros des Capitals de Washington.