Qu’ont en commun l’influenceure Chloé Dumont, la prof de yoga et candidate d’Occupation Double à Bali Alexandra Cosentino et la propriétaire des centres d’entraînement Missfit Stefani Derome?
En plus d’une amitié solide, elles partagent une envie profonde, voire viscérale, de promouvoir la diversité corporelle! C’est ainsi que, déçues d’être souvent dépeintes dans les médias comme des femmes superficielles, elles ont décidé de lancer un projet commun qui tâchera de démontrer qu’on peut s’aimer tel qu’on est et que nos petites imperfections sont loin de pouvoir nous arrêter.
C’est dans le magazine Mitsou qu’elles révèlent la nature de ce nouveau projet commun. Dans une séance photo des plus authentiques, elles se mettent à nue (ou en petite tenue signée Simone Pérèle, en fait) pour nous parler ouvertement de leur parcours respectif, de leurs complexes et de ce qui les rend fortes, chacune à leur façon.
Une entrevue des plus touchantes où la force, mais aussi la vulnérabilité, sont au rendez-vous!
Pour célébrer la publication de cette touchante entrevue qui, sans l’ombre d’un doute, en aidera plusieurs à faire quelques pas de plus vers l’amour de leurs mignons petits bourrelets, Chloé Dumont a d’ailleurs publié une vidéo behind the scene sur son compte Instagram. On y voit les trois femmes, à la fois fébriles et mises au défi par leur propre projet. En effet, bien qu’elles soient à l’aise avec leur corps, cette séance photo ou aucune retouche n’a été effectuée leur a fait vivre un niveau de vulnérabilité que peu de gens connaîtront dans leur vie.
Quoi qu’il en soit, les photos sont absolument magnifiques (évidemment) et vous devriez le constater par vous-même dès maintenant!
Les trois amies vont d’ailleurs produire une websérie où elles rencontreront des femmes inspirantes qui parleront de leur rapport à leur corps, mais aussi de leurs parcours personnels et professionnels. Des femmes que nous aurons donc l’occasion de rencontrer, nous aussi, dès l’automne!
Il n’y a pas à dire, ces influenceures ne cessent de prouver qu’elles n’ont rien de superficiel.