Désobéir : Le choix de Chantale Daigle est un tout nouveau drame portant sur la lutte au droit à l’avortement, qui paraîtra sur Crave au printemps 2023. La série est produite par Sophie Lorain et Alexis Durand-Brault et écrite par Daniel Thibault et Isabelle Pelletier.
« La série porte sur l’affaire Chantale Daigle qui a eu lieu en 1989 et la bataille judiciaire entourant le droit à l’avortement au Canada. Elle est produite par Sophie Lorain et Alexis Durand-Brault, et ce dernier en assurera également la réalisation », pouvait-on lire par voie de communiqué.
« Nous avons décidé de traiter du sujet sous l’angle de ce fait vécu marquant, qui a défrayé les manchettes de l’époque et permis à de nombreuses femmes de pouvoir disposer de leur corps comme elles l’entendaient »
« Désobéir : Le choix de Chantal Daigle relate à l’échelle humaine le droit à l’avortement, un jalon important de l’histoire des droits des femmes au Canada qui, 30 ans plus tard, demeure fragile. C’est pourquoi nous avons décidé de traiter du sujet sous l’angle de ce fait vécu marquant, qui a défrayé les manchettes de l’époque et permis à de nombreuses femmes de pouvoir disposer de leur corps comme elles l’entendaient […] Nous sommes fiers de cette deuxième collaboration entre Bell Média et Les productions ALSO après le succès de Sortez-moi de moi », a souligné Sophie Parizeau, directrice générale, fiction de Bell Média.
La série tourne autour de l’histoire de Chantale Daigle qui, à l’âge de 21 ans, est tombée amoureuse puis enceinte de Jean-Guy Tremblay, un homme manipulateur et agressif. Après avoir vécu une relation toxique avec celui-ci, Chantale a quitté Jean-Guy et choisit de se faire avorter. Mais Jean-Guy, pas prêt à laisser tomber son orgueil et leur relation, fait appel à la justice pour empêcher Chantale de se faire avorter. À la grande surprise de tous et toutes, un juge a donné raison à Jean-Guy, bien que l’interruption de grossesse ait été décriminalisée un an plus tôt.
« L’affaire relance le débat sur l’avortement à l’échelle nationale et internationale. Devenue le centre d’un cyclone médiatique et politique, Chantale voit sa vie bouleversée à jamais. Trouvera-t-elle la force d’assumer son choix jusqu’au bout?[…]Racontée telle une véritable course contre la montre, Désobéir : Le choix de Chantal Daigle met de l’avant un sujet qui, 30 ans plus tard, demeure encore d’actualité : la liberté des femmes de disposer de leur propre corps ».
Mentionnons que Sophie Lorain est très occupée ces temps-ci, non seulement avec cette toute nouvelle série originale de Crave mais aussi avec les tournages d’Un lien familial, dont elle est la réalisatrice.
La distribution compte entre autres Rachel Graton et Maxime Allard qui seront les têtes d’affiche. Ces derniers seront accompagnés de Pierre-Yves Cardinal, Geneviève Rochette, Nathalie Doummar, Virginie Ranger-Beauregard, Chantal Fontaine, Noémie O’Farrell, Maxime De Cotret, Ted Pluviose et plusieurs autres.
La série est décrite comme flirtant entre le « désenchantement féminin » et le « fantasme masculin », la pression ressentie face à performance ainsi que la guerre des sexes. C’est en gros un bel hommage réaliste sur la lutte de survie de certaines familles.
Rappelons aussi que l’actrice est également en tournages pour la deuxième saison de l’excellente série télé à saveur de thriller policier, Portrait-Robot.
En bref, pas un, pas deux, mais bien trois petits bijoux de Sophie Lorain à regarder très bientôt! Nous sommes choyés.
Bonne nouvelle pour tous les admirateurs et admiratrices de la série Portrait-robot! L’émission sera de retour pour une deuxième saison! En effet, les tournages du thriller policier commenceront dès mardi et la distribution est toujours aussi impressionnante.
Produite par ALSO (Sophie Lorain, Alexis Durand-Brault) en collaboration avec Québecor Contenu, le deuxième volet de la série sera offert dès l’automne. Dix nouveaux épisodes encore plus intenses seront signés André Gulluni et réalisés par Alexis Durand-Brault.
« L’Unité continuera sa chasse aux coupables dans le Grand Montréal à travers cinq enquêtes se déployant chacune sur deux épisodes »
Jean-Michel Anctil, Véronique Bannon, Juliette Gosselin, Alexandre Goyette, David La Haye, Jean L’Italien, Pascale Montpetit, Geneviève Néron, Ludivine Reding et Marc St-Martin s’ajouteront à la remarquable distribution aux côtés de Rachel Graton, Sophie Lorain, Rémy Girard, Adrien Belugou, Kathleen Fortin, James Healy, Ted Pluviose, Alex Bisping et Carla Turcotte.
Alliant suspense et drames humains, cette histoire est celle d’Ève Garance (Rachel Graton), une jeune portraitiste judiciaire capable de reconnaitre tous les visages. Non seulement elle en connaît chaque ligne, mais elle est en mesure d’y déceler les secrets qui s’y cachent.
« Dans cette deuxième saison, Ève se remet des événements qui lui ont permis de découvrir la vérité sur la disparition de son fils William. De son côté, Maryse (Sophie Lorain) compte les heures qu’il lui reste au centre de réadaptation où elle réside depuis son attaque. Comme elle se remet d’une commotion cérébrale, certains moments entourant les événements de son attaque lui échappent. Elle a besoin d’Ève pour trouver le visage de son assaillant et comprendre le mobile de son agression. Depuis le congé de Maryse, Bernard (Rémy Girard) doit assurer l’intérim de l’Unité et le seul point positif à cette situation c’est qu’il peut poursuivre sa thérapie. Depuis les tristes événements de la tuerie à Montréal, Anto (Adrien Belugou) a quant à lui pris du galon et même, parfois, les mauvais plis du molosse. Maintenant en couple, Anto fait tout pour oublier les horribles événements qui l’ont poussé à tuer. Heureusement pour lui, Elektra (Kathleen Fortin), qui s’est récemment jointe à l’Unité et avec qui il a développé une amitié, veille sur lui…
Est-ce qu’un seul geste – aussi horrible soit-il – nous définit pour le reste de notre existence? Voilà la question principale à laquelle Ève et les autres membres de l’Unité auront à répondre pendant la saison. Parallèlement à la quête de chacun des personnages principaux, l’Unité continuera sa chasse aux coupables dans le Grand Montréal à travers cinq enquêtes se déployant chacune sur deux épisodes ».
En avril dernier, Rachel Graton a voulu soulever en rencontre de presse, l’évolution fascinante des personnages : « Ève, c’est un personnage très complexe. Ce qui est beau dans l’écriture d’André [Gulluni, l’auteur], c’est que les personnages ne sont pas donnés. On a l’impression de les découvrir au compte-gouttes tout au long de la série. Les personnages qu’on apprend à connaître à l’épisode 10 ne sont pas nécessairement ceux qu’on pensait connaître à l’épisode un ».
La série télé qui aura facilement été notre coup de coeur de l’année 2021, Portrait-robot, mettant en vedette Sophie Lorain, Rachel Graton, Adrien Belugou et Rémy Girard, a été vendue à l’international, apprenait-on mardi matin par voie de communiqué. C’est une excellente nouvelle comme la série du Club illico sera vue sur pas moins de quatre nouveaux continents.
Rappelons que l’histoire de Portrait-robot Portrait-robot suit l’équipe de l’Unité des enquêtes composée de la directrice Maryse Ferron (Lorain), de la portraitiste d’exception avec des espèces de visions Ève Garance (Graton), du jeune technicien de scène de crime Antony Kamal (Belugou) et de l’enquêteur d’expérience Bernard « Molosse » Dupin (Girard). Ensemble, ils doivent résoudre divers crimes sordides survenus dans le Grand Montréal. En parallèle, Ève poursuit une quête toute personnelle : résoudre la disparition de son fils survenue cinq ans plus tôt.
La série policière est très explicite et parfois même terrorisante, ce qui garde ses téléspectateurs et ses téléspectatrices bien en place, le nez collé sur leur écran, attendant la suite avec impatience.
« Nous sommes ravis de la qualité des partenaires avec lesquels nous nous sommes entendus pour diffuser cette production. La série sera vue sur au moins quatre continents, ce qui reflète son attrait universel », lance Xiaojuan Zhou, présidente d’Attraction Distribution.
Effectivement, la série a été achetée en France, en Australie, au Brésil et en Scandinavie. Rien de moins.
« […] Nous prenons note de l’accueil chaleureux de notre production par ces prestigieuses entreprises du monde entier. Nous avons conçu la série en pensant à un public international et espérons qu’ils l’apprécieront autant que nous l’avons fait lors de sa création », ajoute Alexis Durand-Brault, le producteur et co-réalisateur de la série.
Félicitations à toute l’équipe!
Autre bonne nouvelle, Portrait-robot a été renouvelée pour une deuxième saison qui verra le jour à l’automne prochain, sur le Club illico!
Aaaah, le printemps! Le retour du soleil et des oiseaux, le goût de passer son temps dehors et… les nouveautés télé qui nous donnent finalement envie d’être dans notre salon à longueur de journée. Dans le style, la prochaine série du Club illico risque de vous clouer à votre siège pendant un bon 10 heures. Portrait-robot est le genre de thriller qui nous attire dans son gouffre par son univers englobant.
Le thriller se concentre sur les quatre membres d’une unité d’enquête et sur les affaires qui tombent entre leurs mains. Il y a Ève (Rachel Graton), spécialisée dans les portraits-robots (un métier qui lui fait très bien gagner sa vie si on se fie à son impressionnant penthouse) et quasiment dotée d’un sixième sens qui, sur papier, semblait peu convaincant, mais dont le rendu à l’écran est vraiment fort, comme si elle hypnotisait les gens et entrait dans leurs souvenirs. Surtout, elle est hantée par la disparition de son fils, survenue cinq ans plus tôt. Maryse (Sophie Lorain) est experte en analyse et en planification stratégique, en plus d’être la directrice de l’unité à laquelle on s’intéresse ici. Cartésienne, limite froide, elle est atteinte d’un syndrome qui fait qu’elle se déplace principalement en fauteuil roulant (et qu’elle nous rappelle Mr. Glass, le personnage de Samuel L. Jackson dans la trilogie Glass, mais ça, c’est une autre histoire).
Il y a également Bernard (Rémy Girard), alias Molosse, qui est un homme raciste, misogyne et homophobe aussi assumé que peu subtil, mais qui trouve le moyen, aussi choquant que ça puisse paraître, de se montrer attachant, entre autres en se laissant agréablement surprendre par la petite recrue, un nouveau collègue racisé. Ce dernier, Anthony (Adrien Belugou), est du genre bien déterminé à faire ses preuves. Peu expérimenté, il a beaucoup de volonté, mais son nouveau métier de technicien de scènes de crimes risque de le confronter à des réalités qu’il n’était pas prêt à voir.
Cette évolution des personnages, c’est d’ailleurs un des points que Rachel Graton a voulu soulever en rencontre de presse, cette semaine : « Ève, c’est un personnage très complexe. Ce qui est beau dans l’écriture d’André [Gulluni, l’auteur], c’est que les personnages ne sont pas donnés. On a l’impression de les découvrir au compte-gouttes tout au long de la série. Les personnages qu’on apprend à connaître à l’épisode 10 ne sont pas nécessairement ceux qu’on pensait connaître à l’épisode un. »
En ayant vu les deux premiers, on peut dire qu’en effet, les personnages se dévoilent tranquillement. C’est surtout vrai quand on pense au handicap de Maryse ou à l’histoire de la disparition du fils d’Ève, mais c’est moins le cas quand on parle de la bipolarité de cette dernière, qui est établie de manière un peu précoce, comme s’il s’agissait de l’essence de son personnage, alors qu’on a plus l’impression d’observer quelqu’un avec un trouble de stress post-traumatique. Disons qu’on aurait pu l’aborder dans la première heure plutôt que dans les premières 10 minutes, mais l’interprète a tenu à jouer cet aspect de son personnage « dans le plus grand des respects », sans tomber dans la caricature ou les préjugés, et cette sensibilité ressort.
Parenthèse ici. Depuis quelques années, il y a cette mouvance voulant que des comédiens et des comédiennes soient sélectionnés pour incarner des personnages qui ont une réalité semblable à la leur, surtout si cette réalité est marginalisée. C’est particulièrement le cas pour les personnages trans, mais certains aimeraient que ça soit appliqué aussi, notamment, aux personnages en situation de handicap. Ce courant est loin de faire l’unanimité, et Sophie Lorain n’y adhère pas, chose sur laquelle elle a été plutôt claire en rencontre de presse. « Premièrement, le handicap dont il est question n’existe pas, il est inventé de toutes pièces, alors trouver uncomédien capable de jouer [ça] aurait été très difficile, a-t-elle expliqué avant d’ajouter que l’auteur se donne ainsi plus de latitude concernant le développement du syndrome en question. Il y a aussi le fait que nous sommes dans des appropriations de toutes sortes quand on joue. […] Rachel n’est pas bipolaire et portraitiste, Rémy Girard n’est pas sexiste et raciste… Les cadavres, faudrait que ce soit des vrais morts. On n’en finit plus… faudrait arrêter ça bientôt. » 10-4, fin de la parenthèse!
Les grandes lignes de l’histoire sont pour ainsi dire tracées dans les personnages, mais s’ajoutent à leurs intrigues personnelles plusieurs affaires criminelles qui font toujours le succès des séries policières. Ces intrigues se déroulent chacune sur deux épisodes, donc cinq au total pour la saison, sans compter celle sur la disparition du fils d’Ève.
On commence avec une jeune femme de 20 ans (Romane Denis) qui a été kidnappée des années plus tôt avant de réussir à s’enfuir et que notre portraitiste tente d’aider en la faisant fouiller dans sa mémoire pour retrouver le visage de son assaillant, qui n’a jamais été retracé. En parallèle, il y a une alerte Amber, et c’était écrit dans le ciel que ces deux trames narratives se rejoindraient assez vite. Pas de gros punch, mais bien des émotions.
L’auteur, AndréGulluni, a résumé les autres enquêtes sur le bureau de l’unité : un tueur en série en prison qui se montre repentant et qui veut identifier une de ses victimes, un cadavre au visage défoncé, des corps attachés ensemble d’une façon étrangement mystique et un tireur déchaîné qui fait des victimes dans la ville de façon aléatoire. C’est assez horrifiant, on va se le dire! C’est aussi par ces histoires qu’on découvrira davantage nos quatre enquêteurs, dont le passé remontera parfois à la surface en devant naviguer à travers tous ces dossiers difficiles.
Portrait-robot aurait pu être une énième série policière, un genre surexploité dont on a souvent l’impression qu’on a fait le tour. Mais de temps en temps, il arrive une nouveauté comme celle-ci, une nouveauté qui trouve un angle franchement rafraîchissant pour aborder des enquêtes qui peuvent se permettre de tomber davantage dans le déjà-vu. Ici, c’est clairement grâce au métier méconnu de portraitiste et au talent d’Ève d’entrer dans le subconscient des gens, voire dans la subjectivité de leur mémoire. Parce qu’on joue beaucoup sur l’interprétation de nos souvenirs, sur comment on peut percevoir un même événement de différentes façons à travers le temps et sur comment notre cerveau nous protège de nous-mêmes en nous faisant oublier. L’amnésie est d’ailleurs assez présente chez plusieurs personnages.
Les histoires sont supportées par un esthétisme qui rappelle David Fincher, comme ça a été évoqué par plusieurs en rencontre de presse et comme ça sera observé par ceux et celles qui sont familiers avec le travail du cinéaste. Cet esthétisme instaure un climat très rapidement, tandis que l’ambiance sonore contribue au sentiment d’angoisse qui nous prend par le ventre ici et là. Aussi, c’est franchement fascinant comment la série nous montre les personnes non identifiées dont les visages se modifient sous nos yeux comme un portrait-robot en construction.
Portrait-robot est une série réalisée par Alexis Durand-Brault ainsi que Yan Lanouette-Turgeon et sera offerte sur le Club illico à compter de ce jeudi. Pour voir des photos des personnages, glissez ci-dessous. Pour la bande-annonce, c’est par ici.
Près d’un an après avoir annoncé l’arrivée de la série Sortez-moi de moi de Sophie Lorain et Alexis Durand-Brault, Crave dévoile enfin plus de détails sur ce drame captivant qui prendra l’affiche sur sa plateforme au printemps prochain. Entre temps, la production originale vient tout juste de débuter ses tournages avec une distribution plus qu’impressionnante!
Vincent Leclerc, Pascale Bussières, Sophie Lorain, Émile Proulx-Cloutier, Valérie Blais, Bruno Marcil, Danielle Proulx, Émile Schneider et Sandra Dumaresq se donnent en effet la réplique durant les six épisodes de 60 minutes de la série qui plongera le public québécois dans l’univers de la santé mentale.
On y suivra l’histoire de la Dre Justine Mathieu (Pascale Bussières) qui s’occupe de patients amenés par l’équipe d’intervenants de première ligne en urgence de soins, composée de Clara St-Amand (Sophie Lorain), Myriam Melançon (Sandra Dumaresq) et Gabriel Beauregard (Bruno Marcil). Alors qu’on apprendra à connaître ses trois derniers sur le terrain, dont leurs problèmes familiaux, on pourra plutôt observer la relation secrète qui s’établira entre la Dre Justine Mathieu et son nouveau patient bipolaire, David Ducharme (Vincent Leclerc).
« Alexis et moi avons déjà exploré les problèmes de santé mentale dans un projet précédent. Nous avions ici le désir de mettre l’accent sur les tenants et aboutissants de cette thématique sous un autre jour, en soulignant d’une part sa pluralité, mais aussi son côté lumineux, voire parfois extraordinaire. Nous croyons sincèrement que les acteurs talentueux qui se sont joints à nous et que nous vous dévoilons aujourd’hui sauront apporter toute la profondeur nécessaire pour raconter ce drame de mœurs », a déclaré Sophie Lorain pour décrire ce projet sensible et humain.
Sortez-moi de moi, un rendez-vous au printemps 2021, sur Crave.
Pour voir les premières images de la série, glissez au bas de l’article.
Ce mercredi avait lieu le lancement de la programmation 2020-2021 du Club illico qui, comme pour son année précédente, continue de surprendre avec une offre extrêmement diversifiée et attrayante pour tous les âges et tous les goûts. La fiction est bien entendu au coeur du dévoilement, tout comme les artistes et artisans québécois qui brillent dans chacune des nouveautés présentées. Les fans de documentaires ne seront pas en reste avec les 6 ajouts à la plateforme.
La fiction au premier plan
Pour lancer les festivités, Club illico était heureux de dévoiler qu’une toute nouvelle série était en travail, soit Audrey s’est réveillée, dans laquelle on suivra l’histoire incroyable d’une femme, qui après une quinzaine d’années dans le coma, revient à elle-même. Ce petit bijou est une création de Guillaume Lambert et Florence Longpré, deux complices qu’on a pu voir dans Like-Moi!
On peut donc dire que Florence Longpré n’a pas chômé, car elle a aussi signé le scénario d’Autant en emportent les framboises avec Suzie Bouchard. Cette comédie dramatique représentera le tout premier saut en télé du réalisateur Philippe Falardeau qui capturera derrière sa caméra le quotidien d’une fermière novice et sa belle-famille écorchée. On peut s’attendre à une sortie à l’automne prochain, comme les tournages sont prévus à l’été 2021.
Portrait-robotest aussi une autre nouveauté très attendue sur le Club illico comme le thriller policier mettra en vedette les acteurs Sophie Lorain, Rémy Girard, Rachel Graton et Adrien Bélugou. Au centre de l’intrigue mariant le drame et le suspense, une jeune portraitiste judiciaire qui a le talent unique de se souvenir de tous les visages et les secrets qui se cachent derrière eux. Reste que son talent ne lui a pas permis de retrouver son fils, disparu il y a de cela cinq ans. Émile Schneider, Hubert Proulx, Romane Denis, Jean-François Pichette, Marie Turgeon, Kathleen Fortin, Rémi Goulet et plusieurs autres comédiens viennent compléter la distribution de cette production réalisée par Alexis Durand-Brault et Yan Lanouette-Turgeon, et scénarisée par André Gulluni. Le tout sera présenté à l’hiver prochain!
On en sait finalement plus sur la série imaginée par Josélito Michaud, Le chaos. C’est nul autre que l’ancien participant de La Voix et de Star Académie, Simon Morin qui tiendra l’affiche de ce drame bouleversant racontant l’histoire de jeunes adultes dont la vie changera du tout au tout quand une tragédie surviendra en plein concert. Daniel Bélanger signera quant à lui les chansons de ce suspense psychologique qui promet de nous tenir en haleine. À voir en 2021!
Les fans de Patrick Sénécal pourront bientôt déguster les histoires d’horreur de l’auteur dans la série Patrick Sénécal présente, réalisée par Stéphane Lapointe. Chacun des 10 épisodes se déroulera donc dans son propre univers avec une distribution distincte. C’est l’année dernière que le Club illico avait dévoilé le projet, mais c’est seulement à la fin octobre que les tournages seront enclenchés. Cinq épisodes seront rendus disponibles à l’hiver prochain.
Les documentaires arrivent toujours à aller chercher un très large public au Club illico, c’est donc toujours avec cette grandissante popularité en tête que la plateforme a ajouté 6 nouveautés, en plus de compter sur le retour de Bureau d’enquêtequi offrira trois captivants reportages d’ici à la fin de l’année.
La surprise de notre côté va sans équivoque à Supernaturel, histoire de vin nature piloté par la comédienne Magalie Lépine-Blondeau. Celle-ci a en effet été à la rencontre de vignerons de vins nature d’Europe et d’Amérique au cours de l’année dernière afin de faire découvrir aux abonnés de la plateforme cette tendance. Disponible dès le 12 novembre.
On a aussi très hâte de mettre la main (et nos yeux) sur le documentaire LARA, qui, vous l’aurez deviné, portera sur la chanteuse Lara Fabian. Initialement prévu pour le printemps dernier, c’est le 15 octobre prochain qu’il sera finalement dévoilé. Réalisé par Jean-François Fontaine, LARA suivra l’artiste au cours de sa tournée mondiale 50 World Tour pour y tracer un bilan de sa vie. Lara Fabien y offrira également une de ses plus authentiques entrevues avec Jean-Philippe Dion.
Le dernier felquiste (1er octobre), Frontière(5 novembre), Coroner, la voix des victimes (19 novembre) et La preuve viendront quant à eux combler les abonnés friands de tout ce qui touche l’univers de la police et des enquêtes.
Bon visionnement!
Pour voir la galerie photo du lancement et des premières images de certaines émissions, glissez au bas de l’article!
La vie, la carrière et les remous médiatiques concernant le dopage de Geneviève Jeanson feront l’objet d’un film, provisoirement intitulé L’histoire d’un mensonge, rapporte La Presse.
L’opus sera produit par Richard Lalonde et réalisé par Alexis Durand-Brault, duo responsable du film à succès Ma fille, mon ange.
Le cinéaste, troublé par les aveux de l’ancienne cycliste au sujet de son dopage à l’émission Enquête, diffusée en septembre dernier, a décidé de transposer sa vie à l’écran. « J’aimais l’athlète que j’allais voir courir sur le mont Royal à l’époque. Puis quand je l’ai vue à Enquête, je me suis demandé quel était le prix à payer pour réussir », a-t-il révélé au quotidien.
Geneviève Jeanson n’a pas hésité à se confier au tandem. « Elle était ouverte. Elle nous a fait plusieurs révélations. J’ai compris pourquoi elle avait menti. Elle était prise dans un engrenage. Enquête a mis en lumière qu’elle se dopait, mais ça va beaucoup plus loin », a ajouté Durand-Brault.
Le long métrage, qui sera écrit par le coscénariste du film Trois p’tits cochons Claude Lalonde, s’inspirera de la vie de Jeanson, mais comportera également des éléments de fiction.
Le rôle de l’ex-championne cycliste n’aurait, quant à lui, pas encore été attribué.