Catégories
Uncategorized

L’huile de maïs bénéfique pour la santé cardiovasculaire

De nouvelles recherches démontrent l’impact de l’huile de maïs sur la santé cardiovasculaire, et une récente étude parle même d’avantages encore plus marqués que ceux proposés par l’huile d’olive.

Ce sont les stérols retrouvés dans l’huile de maïs qui seraient responsables de ces bienfaits, rapporte MedicalNewsToday, selon les conclusions proposées par le Dr Kevin C Maki et son équipe.

Présentée lors de l’American Society for Nutrition’s Advances & Controversies in Clinical Nutrition Conference, l’étude de Maki confirme que l’huile de maïs permet de mieux réguler les taux de cholestérol dans le sang et de faire baisser le taux de LDL de près de 11 %, dans certains cas.

Tant pis pour les amateurs d’huile d’olive extra-vierge (qui s’avère tout de même un meilleur choix que plusieurs corps gras), l’huile de maïs pourrait donc s’avérer l’option à considérer pour les personnes soucieuses de leur santé cardiaque.

Les problèmes cardiovasculaires demeurent l’une des causes principales de mortalité en Amérique du Nord.

Catégories
Uncategorized

Une composante de la graine de raisin pourrait permettre le traitement du cancer de la prostate

Une nouvelle étude propose des conclusions très encourageantes en matière de lutte au cancer de la prostate, rapporte MedicalNewsToday, alors que des chercheurs croient avoir identifié un élément naturel capable de favoriser le traitement de la maladie.

Il s’agit d’une composante retrouvée dans les extraits de graine de raisin, expliquent les chercheurs du centre en oncologie de l’Université du Colorado, et qui semble démontrer la capacité à éliminer les cellules cancérigènes liées au cancer de la prostate.

C’est du moins ce que l’équipe de spécialistes mentionne dans son rapport d’étude, publié par le journal scientifique Nutrition and Cancer.

« Cette composante naturelle de la graine de raisin comprend un mélange complexe de polyphénols et, jusqu’ici, on ne pouvait établir clairement ses impacts sur les cellules cancérigènes », explique Alpna Tyagi, qui prend part à l’étude.

Cette recherche abonde dans le même sens que plusieurs autres études précédentes, qui démontrent toutes le potentiel du raisin et du vin rouge dans la lutte à plusieurs types de cancer.

Catégories
Uncategorized

Un dollar cinquante de plus par jour pour mieux manger

Alors que les campagnes et études pour nous inciter à mieux manger et à veiller sur notre santé abondent, les consommateurs motivés à changer leurs habitudes alimentaires semblent arriver massivement au même constat, si l’on se fie aux commentaires recueillis.

Ce constat, rapporte Top Santé, est celui d’un coût moyen plus élevé pour la nourriture, ce qui semble bloquer certains individus dans leur démarche, à tort ou à raison.

Afin de vérifier cette théorie populaire, des chercheurs américains de l’Université Harvard ont décidé de comparer les prix de différents produits, et ce, dans sept des pays les plus riches du monde. Après avoir comparé les comportements et les coûts retrouvés en Angleterre, en France, aux Pays-Bas, en Espagne, en Suède, en Nouvelle-Zélande et au Canada, les chercheurs en arrivent à un coût moyen supérieur d’environ d’un dollar cinquante, quotidiennement.

« Alors que l’on a tendance à affirmer que le coût d’une alimentation saine est un obstacle, et que c’est en partie à cause de ça qu’un Américain sur trois est obèse, personne n’a systématiquement évalué ni quantifié cette différence de prix entre une alimentation saine et des aliments moins bons pour la santé. »

« Sur une année, cela peut représenter un vrai fardeau pour certaines familles, et il est certain que c’est un frein pour promouvoir une alimentation saine et équilibrée », concluent les chercheurs de Harvard, malgré un résultat moins dramatique que celui auquel on aurait pu s’attendre.

Catégories
Uncategorized

Temps des fêtes : Un gain moyen de quatre livres et trois mois pour le perdre

À l’approche de la fête de Noël, le Daily Mail (UK) rapporte une amusante étude sur l’alimentation lors du temps des fêtes, dressant un portrait des habitudes moyennes en termes de nutrition et de gain de poids lors de cette période festive.

Ainsi, grâce à cette étude-sondage réalisée pour le compte d’une compagnie de suppléments alimentaires, on apprend que 52 % des gens doublent leurs apports caloriques, et que 44 % des répondants « se laissent complètement aller lors du temps des fêtes ». Une hilarante affirmation qui se traduit par un gain de poids moyen de quatre livres.

De plus, ce poids pris en l’espace d’une seule semaine, toujours en moyenne, prendrait ensuite trois ou quatre mois pour disparaître!

On peut donc dire que ce poids ajouté lors du temps des fêtes pourrait vous suivre… jusqu’à Pâques.

Les mets traditionnels, les aliments frits, les grignotines et, bien sûr, l’alcool, sont tous à blâmer, mais avouons qu’il n’est pas mauvais de cesser de se donner mauvaise conscience et de prendre une pause d’obsession de la minceur une fois par année.

Catégories
Uncategorized

Un dirigeant de Cola-Cola croit qu’il est temps de changer les choses

Incroyable revirement de situation, ou subite crise de conscience, alors qu’un des grands dirigeants de l’une des compagnies productrices de boissons gazeuses les plus connues au monde sort de l’ombre et donne son opinion concernant les habitudes alimentaires de ses clients, et sur les changements qu’il souhaite voir se produire dans le futur.

Cet homme, c’est James Quincey, rapporte le Daily Mail (UK), président de Coca-Cola pour le territoire européen.

Quincey affirme en entrevue que « les choses doivent changer », concédant que les grands formats de boissons gazeuses devraient être relégués aux oubliettes, et que les gens doivent se conscientiser davantage aux portions astronomiques de sucre que contient ce genre de produit, dont le sien.

« Les gens ne réalisent pas toujours combien de sucre renferme une boisson gazeuse. Les grands formats doivent être réduits », lance James Quincey, avant d’ajouter dans un soudain regain de lucidité professionnelle que son produit n’est pas plus calorique qu’un « croissant ou un capucino ».

Ces déclarations de la part d’un dirigeant de Cola-Cola semblent aller de pair avec certains des efforts récents de l’entreprise pour lutter contre l’obésité, un geste perçu par plusieurs comme fort hypocrite.

Un « petit contenant » de boisson gazeuse comme le Coke vendu au cinéma contiendrait 23 cuillères à thé de sucre, alors qu’un « grand contenant » en comprenant 44.

De quoi donner des armes à Michael Bloomberg!

Catégories
Uncategorized

Les sushis pourraient augmenter le risque de problèmes cardiovasculaires

Alors que les sushis ont pris d’assaut la planète entière et sont devenus en l’espace de quelques années une véritable tendance alimentaire, une nouvelle étude vient refroidir les ardeurs des fanatiques du mets japonais.

Selon MedicalNewsToday, qui rapporte l’étude américaine initialement publiée dans le Journal of Risk Research, des tests de mercure effectués sur quantité d’échantillons de sushis démontrent des taux beaucoup trop élevés de l’élément, mettant ainsi possiblement en danger la santé et la vie de nombreux Nord-Américains.

Les taux de mercure excèderaient tous les plafonds proposés par diverses organisations de la santé, par exemple la CDC et l’OMS, pavant ainsi la voie à de sérieux problèmes de santé cardiaque.

Ces résultats s’appliqueraient davantage aux sushis préparés avec du thon, qui contiendraient plus de mercure que les autres, comme ceux à base de saumon ou de crabe.

On suggère donc de minimiser sa consommation de sushis faits de thon, car non seulement sa surconsommation ferait grimper les risques de problèmes cardiovasculaires, mais mettrait également en danger plusieurs espèces en raison de la trop grande demande des consommateurs.

Catégories
Uncategorized

Un rapport laisse présager des lacunes dans le système de rappel des aliments

Un rapport somme toute inquiétant, bien qu’il ne faille pas s’alarmer outre mesure, concerne le système de rappel des aliments au Canada, rapporte Radio-Canada.

Déposé par le vérificateur général du Canada, M. Michael Ferguson, le rapport stipule que plusieurs façons de faire « créent de la confusion » au sein des membres du personnel appelé à effectuer ces rappels, et que le phénomène mène à des retards et à des risques inutiles.

Bien que les méthodes utilisées jusqu’ici aient permis de limiter massivement les problèmes de santé qui auraient pu découler de la consommation de certains aliments, Ferguson croit que les choses peuvent s’améliorer.

« L’Agence canadienne d’inspection des aliments gère bien la plupart des aspects des rappels. Toutefois, tant sur le plan du suivi post-rappel auprès de l’industrie qu’à celui des grands rappels d’urgence, les faiblesses que nous avons relevées soulignent des lacunes importantes dans le système de rappel des aliments. Quoique les cas de maladies aient été contenus dans les rappels que nous avons examinés, je ne suis pas certain que le système donnera toujours des résultats comparables », écrit le vérificateur général, avec une pointe d’inquiétude.

C’est donc surtout lors du processus post-retrait que les choses se compliqueraient, les autorités ayant du mal à confirmer la destruction des aliments fautifs, ainsi que les méthodes utilisées pour éviter la répétition des problèmes dans l’avenir.

Ne reste plus qu’à voir ce que ces observations et recommandations permettront de faire dans l’amélioration du système de rappel des aliments au Canada.

Catégories
Uncategorized

Des chercheurs québécois démontrent l’importance de l’asparagine pour le cerveau

Des chercheurs québécois proposent les conclusions d’une recherche qui contredit plusieurs spécialistes et qui démontre l’importance du rôle de l’asparagine sur le cerveau humain, rapporte MedicalNewsToday

C’est que l’asparagine, que l’on retrouve dans l’alimentation au sein des œufs, des viandes et des produits laitiers, n’était pas suggérée par les experts jusqu’à maintenant. Ces derniers affirment plutôt que le corps en produit de lui-même, ce qui ne rend pas nécessaire la consommation d’œuf ou de viande, ou encore de suppléments, pour en assurer les apports.

Mais pour les chercheurs de l’Université de Montréal et de Sainte-Justine, cela n’est vrai que dans le cas des cellules du corps, mais beaucoup moins lorsqu’il est question du cerveau et de son développement.

Ainsi, l’équipe de spécialistes du Québec croit que le rôle de l’asparagine pourrait mener à un traitement de certaines maladies cérébrales et du développement.

« … l’asparagine n’est pas bien transportée au cerveau via la barrière sang-cerveau. Nous ne sommes pas sur le point de trouver des remèdes miracles, mais au moins, nous savons où regarder », lance le Dr Jacques Michaud, directeur de cette recherche.

Il s’agit d’une étude qui pourrait changer la donne dans la compréhension du cerveau, de son développement et de ses besoins.

Catégories
Uncategorized

L’alcool est calorique, mais pourrait ne pas vous faire engraisser

L’alcool comporte, outre ses plaisirs évidents, une bonne dose de calories, confirment tous les spécialistes. Mais selon ce que rapporte le Daily Mail (UK), l’alcool ne ferait pas systématiquement engraisser, ce qui a de quoi surprendre.

C’est en effet la conclusion à laquelle arrivent plusieurs chercheurs, à commencer par l’éminent et regretté Charles S. Lieber, de Harvard.

Ce dernier était tout sauf un allié de l’alcool, martelant les effets potentiellement dangereux de la surconsommation et établissant pour la première fois le lien direct entre celle-ci et des problèmes aux reins et au foie.

Or, il a également affirmé en 1991 que l’alcool n’avait pourtant pas d’effet direct sur la prise de poids, une théorie maintenant récupérée et démontrée de nouveau par certains de ses homologues.

C’est le cas de Tony Edwards, qui publie un livre dans lequel on retrouve ses observations en matière d’alcool. Après avoir suivi le cas de 9000 femmes au cours d’une période de 13 ans, il dépose ses conclusions qui démontrent de façon évidente que celles qui ont pris le plus de poids n’étaient pas les plus grosses buveuses, au contraire. En fait, les femmes ayant consommé le plus d’alcool étaient celles qui affichaient les tailles les plus minces, un résultat stupéfiant.

Bien entendu, tout cela ne demeure que des études isolées, et le phénomène reste à prouver, mais de plus en plus de spécialistes en arrivent au constat que l’alcool ne fait pas systématiquement engraisser, sans toutefois parvenir à l’expliquer clairement.

Catégories
Uncategorized

Mangez des noix, vivez plus longtemps

Une nouvelle étude vient cristalliser l’impact de la consommation de noix sur la santé, rapporte The National Library of Medicine, et affirme qu’il est maintenant possible de tracer un lien direct entre les noix et la longévité

En clair, mangez des noix et vous vivrez plus longtemps, voilà comment on pourrait résumer les conclusions de l’étude proposée par des spécialistes de l’Institut Dana-Farber de Boston.

Pour ces derniers, manger une once de noix par jour, peu importe le type, pourrait signifier un gain moyen en terme de longévité, mais surtout un risque moins grand de mortalité précoce sur une période de trente ans.

« Ceci est une étude observationnelle, alors ce n’est pas absolu en termes de preuves. Mais, des études précédentes suggèrent aussi des bénéfices pour la santé… », résume le Dr Charles Fuchs, de chez Dana-Farber.

Il est vrai que cette étude corrobore toutes les autres sur le sujet, comme quoi il n’existe plus d’excuses pour ne pas se tourner vers les noix dans le choix d’une collation.

Une once de noix, la portion quotidienne recommandée par l’étude, équivaut à une vingtaine d’amandes, entre 15 et 20 cachous, ou encore plus de 30 arachides.