Le Telegraph (UK) rapporte une étude britannique qui conclut à l’efficacité probable d’une taxe sur les boissons gazeuses et sucrées, à tout le moins à long terme.
Ce sont des experts des universités Reading et Oxford qui se sont penchés sur le sujet, alors que de plus en plus d’autorités de la santé et politiques souhaitent voir augmenter le prix de la malbouffe et, en ce qui nous concerne ici, des boissons gazeuses ou trop sucrées.
Le groupe de spécialistes arrive à la conclusion, un peu en surprise, qu’une telle mesure serait effectivement efficace et qu’elle permettrait une réduction globale de la consommation de ces produits, et donc une baisse du poids moyen des individus.
« Notre travail suggère qu’une taxe sur les boissons sucrées aurait un meilleur impact en termes de réduction de l’obésité chez les jeunes adultes », confirme le Dr Oliver Mytton, qui participe à l’étude.
Plusieurs régions sont en train d’étudier une telle possibilité, notamment du côté de Mexico, San Francisco, New York et même ici, au Québec.