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Petit ou moyen contenant? Ces étiquettes qui nous influencent

Le fait de prendre un petit, un moyen ou encore un grand format de votre repas favori influence-t-il votre façon de le manger? Serez-vous plus tenté de laisser quelques bouchées dans l’assiette en commandant le grand format?

C’est en tout cas la réaction humaine moyenne que rapportent des chercheurs de l’Université Cornell, après avoir effectué une étude révélatrice sur le sujet, explique le Daily Mail (UK).

Menée par les Drs Wansink et Just, la recherche avait pour but d’évaluer les habitudes et réflexes alimentaires des sujets, selon le type de format qui leur était présenté. Les conclusions de ce test ne semblent pas avoir été bien difficiles à définir…

Les sujets ont, en moyenne, mangé le double de la portion si celle-ci était qualifiée de « petite », et ce, même si elle semblait franchement démesurée à l’œil nu.

Par contre, ceux qui ont reçu l’exacte même quantité de nourriture dans un format qualifié de « large » ont laissé quelques bouchées.

L’étude, quoique légère et sympathique, en dit long sur notre façon de réagir aux étiquettes et aux informations qu’on nous donne, ce qui n’est guère une bonne chose dans la chasse aux kilos.

Les chercheurs croient qu’il serait préférable de songer à un système de quantification qui laisse moins place à l’interprétation du consommateur et à moins de confusion de la part du commerçant.

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La dépendance à la nourriture, un phénomène bien réel?

Peut-on être dépendant de la nourriture? C’est une question ou plutôt une information largement répandue en cette période où le surpoids et l’obésité sont devenus des problèmes de santé de type pandémiques.

Doit-on considérer que certaines personnes ou certains comportements relèvent d’abord de la dépendance avant de soigner ou de diriger les patients vers des pistes de solution? Pour des chercheurs américains basés à l’Hôpital pour enfants de Boston, la réponse est oui.

Ces conclusions sont par ailleurs publiées dans l’American Journal of Clinical Nutrition et rapportées par le Daily Mail (UK), entre autres.

L’auteur en chef de l’étude, le Dr David Ludwig, explique : « Au-delà de la récompense et du manque, cette partie du cerveau est aussi liée à l’abus de substances et à la dépendance, ce qui soulève la question à savoir si certains aliments peuvent créer une dépendance ».

Le Dr Ludwig fait bien sûr référence au fameux « centre du plaisir » du cerveau, qui réagit fortement face à certains produits. Les plus connus sont bien sûr l’héroïne et la cigarette, mais on découvre qu’une réaction similaire est observable à la suite de l’ingestion d’aliments à forte teneur glycémique comme le pain blanc, les pommes de terre et plusieurs produits considérés comme de la malbouffe.

D’autres études doivent être faites, alors que le sujet demeure hautement controversé.

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Nouvelle tendance : mettre du beurre dans son café

Le Daily Mail (UK) rapporte une nouvelle tendance chez certains amateurs de café qui a de quoi rendre tout à fait perplexe.

En effet, une nouvelle vague de folie passagère semble avoir frappé une partie des buveurs de café, à tout le moins en Angleterre, alors qu’ils ajoutent du beurre dans leur boisson matinale.

Oui, du beurre. Jusqu’à 80 grammes de beurre, pour être précis, ce qui équivaudrait aux deux tiers d’une cuillère conventionnelle.

Pourquoi? On vante d’abord le rituel comme étant une bonne source d’énergie, mais ce qui étonne le plus, c’est que l’on croit que le stratagème permettrait de perdre du poids!

Vous aurez bien sûr compris qu’il s’agit, jusqu’à preuve du contraire, d’un mythe qui pourrait causer bien du tort aux personnes qui décident de tenter l’expérience quotidiennement. À moins que cela ne fonctionne vraiment?

Madelyn Fernstrom, du Today, s’insurge contre le concept. La nutritionniste, comme plusieurs de ses collègues, croit plutôt qu’il s’agit d’une recette parfaite pour la prise de poids (et non la perte), et que la sensation de gain d’énergie présumée ne serait en fait qu’un effet placebo.

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Les aliments à proscrire pendant la grossesse

Malheureusement, certains aliments ne causant habituellement aucun problème deviennent très risqués lorsqu’une femme attend un enfant. Afin de vous assurer la meilleure alimentation possible pendant ces 9 mois, le site Babble vous cite certains aliments que vous devriez tenir loin de votre assiette.

Les sushis. En effet, le poisson cru pourrait contenir la bactérie responsable de la listériose. Le fœtus pourrait s’en retrouver fort affecté. Même chose pour les fromages au lait cru et les viandes crues. En plus de la listériose, la toxoplasmose s’ajoute aux risques pour ces formages.

Une autre bactérie pouvant causer de sérieuses intoxications est la salmonellose. Celle-ci peut être retrouvée dans les œufs crus, donc, bien tristement, dans certains desserts. Il faudra toujours s’assurer que les desserts n’en contiennent pas quand viendra le moment de vous sucrer le bec.

La consommation d’alcool, de café ou d’autres stimulants de la sorte devrait être limitée pour ne pas dire évitée.

Aussi, un récent rapport de l’Agence française de sécurité des aliments émettait une inquiétude quant à la consommation d’édulcorant. Un lien aurait été fait entre sa consommation et les accouchements prématurés.

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Un vaste plan de réduction du sel alimentaire adopté en Amérique

Les quantités de sel retrouvées dans les plats des Américains (du Nord et du Sud) pourraient finalement être réduites de façon considérable d’ici sept ans, selon les informations rapportées par Medical News Today.

En effet, on rapporte la ratification d’un vaste plan d’action consistant à faire baisser de moitié la consommation de sel en Amérique par deux grandes associations de la santé, soit la Pan American Health Organization et la World Health Organization.

Baptisé SaltSmart, le consortium propose quelques recommandations et quelques actions qui seraient mises en place dès cette année (2013), en plus d’intensifier les campagnes de sensibilisation sur le sujet.

« Les diètes modernes mènent vers des quantités de sel excessives. Réduire ces apports en sel est la meilleure approche pour réduire les risques de crise cardiaque et d’attaques », lance Branka Legetic, coordinatrice du projet.

Les citoyens des deux Amériques devraient voir apparaître sous peu des mesures et des campagnes signées SaltSmart, et on les invite à emboîter le pas!

Le plan d’action promet de s’échelonner jusqu’en 2020.

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La vitamine D en contre-interrogatoire

La vitamine D passe sous la loupe des sceptiques, rapporte Santé Log, alors que plusieurs observateurs commencent à s’interroger sur la véracité de certains bienfaits constamment proposés par divers spécialistes et certaines sources.

Ces sceptiques ne sont pas les moindres, puisqu’il s’agit d’un groupe de spécialistes du National Health Service (UK)!

Le groupe propose maintenant un bilan qui comprend ses observations et conclusions. On constate d’abord que la vitamine D possède un tantinet trop de « superpouvoirs » dans plusieurs études, notamment ceux d’améliorer la santé pulmonaire, de réduire les risques de dégénérescence maculaire et d’Alzheimer, de solidifier des muscles et même d’offrir de meilleures chances de procréation.  

Or, outre une détérioration des os lorsque le corps présente une carence importante en vitamine D, très peu de problèmes liés à celle-ci sont confirmés et prouvés, tout comme les avantages énoncés demeurent également à être prouvés hors de doute, selon les membres du NHS.

Même chose concernant le fameux lien entre le manque de vitamine D et l’obésité, qui ne serait pas si évident à tracer.

On suggère donc de penser fortement à simplement profiter de quelques sources de lumière et de manger de façon équilibrée, ce qui serait amplement suffisant pour éviter toute notion de carence.

Par ailleurs, les spécialistes du NHS en tête de cette étude affirment qu’une prise de suppléments de vitamine D inutile peut s’avérer très dangereuse…

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Des études vantent les vertus du chocolat noir

Amateurs et amatrices de chocolat, à vos barres et assortiments! À condition que ceux-ci soient noirs, comprend-on des données proposées par Authority Nutrition, qui fait le bilan de plusieurs études sur le sujet.

On rapporte donc de nombreuses propriétés bénéfiques pour l’organisme, à commencer par les fameux antioxydants, que le chocolat noir possèderait en quantités non négligeables.

Assez pour prévenir plusieurs maladies ainsi que des problèmes cardiovasculaires, en plus des autres vertus protectrices apportées par les différents minéraux qu’il contient. Du nombre, les taux de fer du chocolat noir ainsi que les taux de magnésium, de potassium et de zinc, notamment, sont tous reconnus pour leurs bienfaits.

On avance que le chocolat noir peut aussi contribuer à faire baisser les taux de mauvais cholestérol dans le sang, protéger la peau et même améliorer les performances et les capacités cérébrales!

Cependant, les auteurs rappellent que tous ces avantages viennent avec un nombre tout aussi respectable de calories, et qu’il faut donc consommer le produit avec modération.

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Anémie : Comment contrer un problème grandissant

Il appert que les carences en fer sont un problème commun de nos jours, selon ce que rapporte notamment Top Santé, qui fait état de statistiques en hausse concernant l’anémie en France.

Des chiffres semblables sont avancés au Québec, le manque de fer étant l’un des problèmes nutritionnels les plus observables au sein de la population en ce moment.

Un phénomène d’autant plus préoccupant qu’il toucherait fortement les enfants, les jeunes femmes et les femmes enceintes.

Pourtant, il existe plusieurs façons d’assurer des apports en fer adéquats. Pour commencer, il faut se tourner vers les viandes rouges. Oui, ces mêmes viandes qui n’ont pas bonne presse depuis quelques années. Il faut penser modération, mais sans s’abstenir des plaisirs de la viande, si vous êtes un amateur.

Après tout, les viandes rouges sont importantes pour les apports de forme héminique, contrairement aux légumes verts, qui se chargent plutôt de la forme non héminique.

Un bon rapport viande rouge et légumes verts est donc un excellent début. D’ailleurs, les mélanger dans une même assiette permet un impact optimal sur la santé!

Pour maximiser d’autant plus l’impact du fer ingéré, on suggère en terminant d’être vigilant à la consommation de café, de vin, de thé et de jus, qui peuvent faire baisser les apports en fer, si absorbés en même temps.

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L’huile d’olive améliorerait les chances de survivre à un cancer de la prostate

Les huiles végétales obtiennent encore une belle presse ces temps-ci, alors que leurs bienfaits semblent s’empiler et se confirmer à un rythme effarant.

Il semble difficile de ne pas faire le choix des huiles végétales, donc, et notamment de l’huile d’olive. Cette dernière, rapporte Santé Log, est d’ailleurs vantée dans une nouvelle étude qui parle d’amélioration des chances de survie à un cancer de la prostate chez les patients qui en consomment.

On vante également les huiles extraites de noix, mais l’huile d’olive semble avoir un effet particulièrement efficace contre le cancer de la prostate. Un effet qui contribue à de meilleures chances de guérison, mais aussi à faire baisser les risques de développer la maladie, croient les chercheurs de l’Université de San Francisco qui publient cette plus récente recherche sur le sujet.

On risque d’entendre parler des bienfaits de ces huiles encore longtemps, car on commence à peine à sensibiliser la population à leurs bienfaits, spécialement en cuisson des aliments. 

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Le poids idéal, selon Jean-Michel Cohen

Le Dr Jean-Michel Cohen s’avère être un personnage qui détonne un peu en comparaison des autres nutritionnistes et auteurs.

C’est que le sympathique spécialiste n’hésite pas à personnaliser le concept de « poids santé » et déconseille vivement aux personnes qui désirent perdre du poids de se fixer des objectifs trop éloignés de leurs caractéristiques physiques.

Cette fois, c’est le Telegraph (UK) qui le cite en rapportant certains propos de l’auteur, à commencer par ceux qui traitent de la génétique.

Cette génétique qui, très souvent, trace des inévitabilités pour chaque individu. Des caractéristiques qui risquent de rendre une personne fort malheureuse si cette dernière se fixe des objectifs basés sur la génétique de quelqu’un d’autre.

Spécialement si l’on se fie à une image renvoyée par les médias ou les magazines, croit Cohen, qui lance le conseil suivant : « Ne soyez pas trop durs envers vous-même ». Le poids idéal d’une personne serait celui observé à son plus mince, sans régime.

Il explique d’abord l’importance de cesser de trop culpabiliser, mais de compenser. Par exemple, si vous faites un écart de conduite alimentaire aujourd’hui, cessez de vous culpabiliser et soyez plutôt vigilant le lendemain.

Il suggère également que l’alcool, surtout le vin,  n’est pas un ennemi mortel lorsque consommé avec modération, et que plus vous achetez de légumes lors de votre marché, plus vous pourrez manger sans gêne.

Il termine en conseillant d’éviter le stress à table et d’apprécier chaque repas!