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Réduire les risques de cancer du côlon liés au… barbecue

Vous avez bien lu, il semble que des risques de développer un cancer du côlon soient accrus lorsqu’on cuisine sur le barbecue, une activité bien populaire au Québec à l’arrivée de la saison estivale.

Heureusement, il existe des trucs pour réduire au maximum ces risques, comme le rapporte The National Library of Medicine.

D’abord, un grand pourcentage de ces risques est associé à l’utilisation de viandes rouges et transformées, souvent utilisées sur le grill en été.

Le choix de la viande est donc aussi important que la façon de la faire cuire, croient les spécialistes de l’American Institute for Cancer Research.

Il faudrait donc réduire ses apports en viandes rouges et transformées au profit des poissons et des volailles, qui peuvent devenir absolument succulentes avec l’ajout d’épices et de sauces typiquement estivales.

On conseille également de faire mariner sa viande préalablement durant environ 30 minutes, avant de l’apposer sur le grill. Il serait important de réduire le plus possible le temps passé à cuire la viande sur le barbecue, la durée de cuisson s’avérant un autre facteur de risque.

Pour terminer, servez les viandes et grillades avec des accompagnements abondants de légumes, et ne lésinez pas sur les fruits tout l’été pour contrecarrer les effets de vos écarts de conduite alimentaires estivaux!

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Le lait obtient de nouveaux appuis

Top Santé propose de faire le point sur le lait, qui essuie plusieurs critiques de la part d’un nombre important de spécialistes en santé et en nutrition.

Le lait, que l’on qualifie ici d’indispensable à la santé, possède une histoire riche qui remonte à plus de 10 000 ans, apprend-on. S’il fut jadis un symbole de richesse et de fertilité, il est maintenant un élément de controverse alimentaire.

Pourtant, il est vrai que le lait est riche en calcium et qu’il est important d’en consommer pour assurer la solidité des os et un apport adéquat en calcium. Il ne faudrait cependant pas en abuser, comme le proposent plusieurs publicités subjectives sur le sujet.

Outre le calcium, on reconnait les apports en vitamine B et B12 du lait de vache, alors que le lait de chèvre permet des apports en vitamine A et D.

Plusieurs associations de la santé confirment donc les bienfaits du lait, lorsqu’intégré dans un régime alimentaire équilibré. C’est le cas de l’Académie Nationale de Médecine, qui rappelle aussi l’importance de consommer des produits laitiers en prenant de l’âge.

Bref, rien ne sert de sombrer dans la paranoïa en ce qui concerne le lait et ses dérivés, semble-t-il.

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La somnolence de jour liée à l’alimentation

Êtes-vous du genre à tomber de fatigue en plein milieu de la journée, que vous soyez au travail ou à la maison?

Si vous souffrez de ce genre de somnolence diurne et qu’il vous est difficile de rester alerte durant le jour, une étude suggère qu’il faudra vous tourner vers votre alimentation pour démasquer le coupable.

C’est ce qui ressort des conclusions publiées par des chercheurs américains dans le journal SLEEP et rapportées ici par Medical News Today.

Ainsi, selon le sexe, le poids et certaines caractéristiques des individus, le type d’aliments ingérés précédemment joue un rôle primordial sur le métabolisme durant le jour et dicte le niveau d’énergie ressenti.

On pointe principalement du doigt les aliments à forte teneur en gras, ce qui coïncide avec la montée statistique du phénomène, puisque l’obésité et la malbouffe sont des fléaux qui sont eux aussi en pleine croissance.

De plus, on croit que manger des aliments gras trop souvent a plus d’incidence chez les personnes de poids normal que celles en surpoids.

Si vous ressentez les effets de la somnolence dans le jour, vous devrez donc considérer sérieusement à améliorer votre alimentation et ralentir le rythme en terme de malbouffe.

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Choisir les bons aliments avant d’aller au lit pour favoriser le sommeil de qualité

L’insomnie et les troubles du sommeil frappent de plus en plus fort au sein de nos populations largement stressées, mais il existe quelques façons de combattre les ennuis nocturnes.

À commencer par l’alimentation, mais plus précisément en choisissant des aliments stratégiques à manger avant d’aller au lit. Si vous êtes incapable de vous empêcher de manger avant le coucher, choisissez des aliments capables de favoriser le sommeil, au détriment des aliments sucrés et lourds.

On conseille notamment les céréales de grains entiers qui, associées au lait, forment un duo de choc contre l’insomnie, selon ShedYourWeight.com.

On vante également le mérite du jus de cerise (à 100 %), un produit moins conventionnel, mais qui serait apparemment fort efficace.

Les autres produits laitiers sont également conseillés, comme le yogourt grec, qui jouit d’une vague de popularité impressionnante en ce moment.

La banane, riche en potassium, permet de contrer les maux d’estomac et les crampes, pour ceux qui en souffrent la nuit tombée.

Bien sûr, on évite les sucres et la caféine trop tard en soirée, et il faut aussi s’assurer de prendre un bon souper pour éviter de trop manger avant d’aller rejoindre Morphée.

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Encore un blâme salé pour les multinationales alimentaires

Top Santé rapporte un nouveau et énième rapport concernant les surdoses de sel contenues dans les différents produits alimentaires usinés retrouvés sur le marché.

Alors que la limite de sel prescrite quotidiennement pour un humain moyen est de cinq à huit grammes, plusieurs produits sur le marché facilitent le dépassement de cette indication, par beaucoup.

On note, du côté de l’Observatoire de la qualité de l’alimentation, que des améliorations ont été tentées et sont observables en ce qui a trait à certains produits, mais que ces changements sont généralement encore trop faibles pour assurer un impact significatif sur la santé des citoyens.

Les spécialistes rappellent l’urgence d’agir, alors que le sel est de plus en plus ciblé comme l’une des principales raisons qui expliquent plusieurs problèmes de santé modernes auxquels font face les populations occidentales.

On rappelle également l’importance de se faire à manger soi-même le plus souvent possible, en choisissant des ingrédients sains et frais, et de ne pas toujours compter sur les restaurants et les grandes compagnies alimentaires productrices de repas « déjà faits », ceux-ci renfermant des quantités de sel parfois ahurissantes.

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Conseils pour rendre la cuisson au micro-ondes plus sécuritaire

The National Library of Medicine publie un rapport qui comprend quelques conseils et suggestions concernant la cuisson four à au micro-ondes, qui doit être effectuée avec précaution.

Un fait que l’on oublie souvent en raison de la banalité du geste, puisque les fours à micro-ondes font maintenant partie de notre quotidien.

La température des aliments devrait tout de même être vérifiée, selon ce rapport qui indique qu’il est très important de suivre les indications offertes sur les emballages de produits allant au four micro-ondes.

Il est aussi important de vérifier et de calibrer la puissance du four selon nos besoins, mais aussi selon l’âge de la machine.

Les instructions concernant le fait de brasser, tourner ou couvrir ses aliments devraient être suivies à la lettre, d’autres gestes que l’on ne fait pas toujours.

Enfin, on conseille également d’utiliser le four conventionnel pour faire cuire les viandes et tous les aliments qui peuvent poser problème pour la santé s’ils ne sont pas suffisamment cuits.

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Démasquez le sucre qui se cache dans vos aliments

Il appert que de lire les étiquettes et les tableaux de valeurs nutritives sur les aliments ne suffit plus.

C’est la première constatation qui nous frappe à la lecture de l’article publié par Lorishemek, qui parle des quantités de sucre « cachées » dans nos aliments.

On explique d’abord qu’une des principales clés d’une bonne santé est d’éviter et de prévenir les inflammations de bas niveau (low-level), souvent causées par le sucre.

Or, même en essayant d’éviter le sucre à tout prix, il semble qu’il soit bien difficile d’y parvenir dans le cadre de nos régimes alimentaires nord-américains.

De ce fait, les aliments qui renferment discrètement dans ses emballages l’ennemi numéro 1 de la bonne santé sont nombreux.

Heureusement, toujours selon l’article, il est possible de déjouer le système et de démasquer le sucre qui se cache dans nos aliments. D’abord, on doit bien comprendre que les ingrédients sont placés en ordre d’importance, donc de quantité, sur les étiquettes. Si le sucre est le premier mentionné, le produit doit être évité…

De surcroît, plusieurs autres appellations représentent le sucre, à commencer par les notions de « sirop (syrup) », « sucre brun », « dextrose », « miel », « jus de fruits », « lactose », « maltose », « sirop de malt », « mélasse », « jus de canne », et « sucrose ». En bref, ce sont presque tous les éléments qui se finissent en « ose » qui devraient être évités. Bonne chasse!

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Manger sainement avec un budget limité

Si vous voyez l’arrivée de l’été avec appréhension, car vous aurez à vous serrer la ceinture sur le plan financier, sachez qu’il s’agit peut-être d’une occasion unique de changer certaines habitudes alimentaires et d’utiliser cette mauvaise passe pour améliorer votre état de santé.

Bien manger et adopter de bonnes habitudes ne coûte pas une fortune, souvent bien au contraire. Les CDC américains proposent justement quelques conseils pratiques qui vont dans ce sens.

Premièrement, buvez de l’eau. Exit les boissons sucrées, les jus onéreux et les boissons gazeuses qui, de toute façon, sont nocifs et vous feront prendre du poids. En buvant de l’eau, nécessaire au bon fonctionnement de l’organisme, vous vous assurez de ne pas payer une fortune pour vous abreuver, tout en entamant un virage santé très important. Les spécialistes le disent : boire de l’eau est un geste simple, mais combien important!

Ensuite, tournez-vous vers les noix, les fruits, les légumes (même en boîte) et les aliments légers, au détriment des viandes et des produits usinés souvent lourds de conséquences pour l’organisme. L’été est la parfaite saison pour manger moins de calories et choisir des aliments plus frais et moins gras.

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Chauffer ses aliments dans un contenant de plastique est-il dangereux?

Nutrition News pose une question qui risque de lancer un tout nouveau débat : faire réchauffer des aliments dans des contenants de plastique peut-il s’avérer dangereux pour la santé?

On connait déjà la polémique entourant plusieurs contenants et boîtes de plastique retrouvés en magasins et dans plusieurs usines alimentaires, mais la combinaison plastique/chaleur est soulevée pour la première fois.

« Nous ne savons pas si, et à quel point, les gens meurent à la suite de ce genre de comportement et d’exposition au plastique », lance le Dr Rolf Halden, directeur du Center for Environmental Security du Biodesign Institute de l’Arizona State University.

L’équipe y va d’un raisonnement inversé, en établissant que même si on ne connait pas l’impact du plastique « réchauffé » sur notre santé, on sait cependant que les pays industrialisés et développés font face à des problèmes de santé que les pays en développement n’ont pas.

Il y a donc assurément certains phénomènes à pointer du doigt, qui découlent de nos technologies et de nos habitudes. Le micro-ondes et le plastique peuvent-ils être une partie de la réponse? Le Dr Halden croit fermement que oui.

Il y a fort à parier que ce débat ne fait que commencer…

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Un rapport rappelle l’importance des fibres pour l’organisme

Les fibres sont assurément les alliées des consommateurs, rapporte Santé Log, alors qu’un rapport sur le sujet est publié par Tate & Lyle, une firme alimentaire.

Attention, cette compagnie œuvre notamment dans le domaine de la distribution de produits alimentaires et de fibres, mais le rapport semble s’appuyer sur des études réelles et concrètes.

De toute façon, il n’existe pas réellement de controverse ou de polémique entourant les fibres, et les bienfaits de celles-ci sont unanimement reconnus par les spécialistes en nutrition de partout dans le monde.

Donc, on rapporte qu’outre les apports nutritifs essentiels offerts par les fibres, comme le calcium, celles-ci permettent également une meilleure satiété. Cela signifie que votre faim sera mieux rassasiée en consommant des fibres, ce qui évite de sombrer dans les repas surchargés et les collations constantes.

De plus, les fibres permettent une meilleure digestion, un processus essentiel au bon fonctionnement de tout l’organisme.

On déplore le manque de fibres dans le régime alimentaire moyen des Nord-Américains, et on ne saurait trop conseiller aux gens de découvrir les vertus associées aux fibres, conclut le rapport.