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Plus de détails sur les menus de restaurant, une méthode qui fonctionne

On parle de plus en plus de cette volonté à obliger les restaurateurs à inscrire précisément ce que contiennent les repas affichés sur leur menu, afin de permettre au consommateur de faire des choix plus éclairés.

Voilà que The National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude américaine sur le sujet, qui vante les mérites de cette approche.

On avance même que cette façon de faire, notamment d’indiquer clairement les apports caloriques des mets sur le menu, permettrait non seulement aux gens soucieux de leur santé d’être mieux servis, mais également de conscientiser ceux qui ne se soucient guère de leur santé.

Plus facile de faire une prise de conscience lorsqu’on a tous les éléments en main, croient les chercheurs du Jean Mayer USDA Human Nutrition Research Center on Aging qui publient cette recherche.

« C’est encourageant, car l’information pourrait bien aider ceux qui en ont le plus besoin », conclut Lorien Urban, qui étudie justement les impacts d’ajouter de l’information sur les menus de restaurant.

Les sujets de l’étude ayant eu accès à un menu détaillé ont baissé leurs apports caloriques de façon hebdomadaire, et ces changements, même minimes, peuvent avoir un impact intéressant sur la santé physique.

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La nourriture hyperglycémique peut mener tout droit au diabète

The National Library of Medicine rapporte un constat que plusieurs connaissent déjà, mais qu’une nouvelle étude vient confirmer.

Selon cette dernière, les gens qui mangent beaucoup de plats préparés ou séparés mécaniquement qui sont, de plus, pauvres en fibres voient leurs risques de développer du diabète augmenter drastiquement.

Il s’agit d’une super-étude qui analyse les données de plusieurs précédentes sur le sujet. Il appert que les gens sont de plus en plus portés à consommer ce genre de plats qui renferment beaucoup de sucre et de sel, mais que très peu des autres éléments nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme.

« En augmentant les taux de sucre et en surchargeant le travail du pancréas repas après repas, jour après jour, ce régime hyperglycémique peut faire monter les risques pour la santé de façon alarmante », résume le Dr David Ludwig, du Boston Children’s Hospital, qui commente l’étude.

Cette dernière a par ailleurs été produite par l’Université de Californie et publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition.

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Autre bonne note pour la bière

Décidément, la bière est populaire auprès des chercheurs et des spécialistes en nutrition depuis le début de l’année 2013. Les recherches sur les produits du houblon pullulent, et plusieurs se contredisent, ouvrant ainsi la porte à un débat sain et rigoureux.

Et pourquoi pas, car après tout, les amateurs et buveurs de bière sont nombreux sur la planète et ils ont le droit de savoir quel impact leur boisson alcoolisée préférée aura sur leur santé!

Cette fois, rapporte Top Santé, c’est la nutritionniste Kathryn O’Sullivan qui publie une étude sur le sujet, intitulée Beer & Calories; A Scientific Review.

On y apprend notamment que la fameuse « bedaine de bière » ne serait qu’un vaste mythe, et que la bière ne fait pas réellement grossir, ou à tout le moins pas autant qu’on pourrait le croire.

« Malheureusement, la bière a cette image de boisson hautement calorique et riche en graisse. C’est très injuste. La consommation de bière en Angleterre est considérée par beaucoup comme un vice et non comme un composant d’un mode de vie équilibré et sain. Mais c’est contraire aux dernières preuves scientifiques », s’exclame O’Sullivan, en prenant soin de rappeler que ces conclusions sont valides en ce qui concerne une consommation modérée.

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Le sommeil serait le reflet de votre régime alimentaire

Plusieurs sources, dont Santé Log, rapportent aujourd’hui une nouvelle étude qui trace un lien entre les habitudes alimentaires des gens et leurs cycles de sommeil.

On dormirait comme on mangerait, donc, selon les chercheurs de Pennsylvanie. Ceux qui éprouvent des problèmes à dormir longtemps devraient regarder d’abord et avant tout leurs habitudes de consommation.

C’est ce que l’on comprend des conclusions de l’étude, qui cible particulièrement certains nutriments et apports alimentaires importants, dont les protéines, les glucides, les vitamines et les minéraux.

Aussi, on constate que ceux qui se satisfont de courtes nuits de sommeil ont tendance à consommer plus de calories que les autres dans une journée. Ceux-ci feraient aussi preuve de moins d’imagination quant aux choix des repas et des aliments consommés, contrairement à ceux qui dorment plus longtemps (sept ou huit heures de sommeil par nuit).

Donc, pour ces spécialistes, il est clair que dormir suffisamment et plus longtemps est un gage de santé, et cela améliore la qualité de vie. Cependant, il reste à déterminer l’impact du régime alimentaire sur la qualité du sommeil.

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Les suppléments de vitamine D ne seraient pas toujours conformes

Les suppléments de vitamine D ne seraient pas toujours conformes, selon ce que rapporte The National Library of Medicine.

En fait, certains de ces produits ne respecteraient même pas ce qu’ils affichent sur leurs propres étiquettes, selon un rapport alarmant publié dans la plus récente édition de JAMA Internal Medicine.

Même les posologies affichées ne seraient pas toujours véridiques, certains suppléments renfermant plus de vitamine D que ce qu’annonce l’étiquette, alors que d’autres en contiendraient moins que prévu.

Les chercheurs en tête de l’étude sont spécialement inquiets de cette dernière affirmation, car ceux qui se voient prescrire ce genre de suppléments alimentaires ont le droit d’obtenir la dose requise.

« Il est plutôt difficile de faire une surdose de vitamine D. Par contre, ces conclusions peuvent être une source d’inquiétude pour ceux qui doivent prendre ces suppléments de vitamine D sur ordre du médecin et qui se retrouvent avec un produit qui n’en contient pas assez », explique la Dre Erin LeBlanc, du Kaiser Permanente Center for Health Research de Portland.

On veut que les compagnies productrices de ces produits fassent preuve de plus de rigueur. Au même moment, les apports nécessaires en vitamine D font l’objet d’une polémique.

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Réduire le sel dans l’alimentation collective pourrait sauver 500 000 vies

Si l’on réduisait l’apport en sel dans le régime alimentaire collectif des citoyens, on pourrait sauver jusqu’à 500 000 vies sur une période de dix ans, rapporte The National Library of Medicine.

Comme ces chiffres sont basés sur la population des États-Unis, on pourrait même s’attendre à ce qu’il soit sérieusement bonifié si on incluait le Canada à ces prévisions.

Ce constat est le fruit d’une étude américaine, dont les résultats ont été publiés dans la plus récente édition du journal Hypertension. Pour les chercheurs de San Francisco en tête de l’étude, réduire la quantité de sel consommée par les Nord-Américains est une quête primordiale et prioritaire.

Si on regarde les statistiques de mortalité, on se rend compte que le principal tueur en Amérique prend maintenant la forme des maladies cardiaques, cardiovasculaires et de la haute pression. Or, l’un des grands contributeurs à ces problèmes de santé est le sel.

Les chercheurs rappellent que le citoyen moyen consomme trop de sel par rapport à l’apport quotidien suggéré, et ce serait particulièrement vérifiable chez la gent masculine.

On recommande d’abord d’éviter la malbouffe (restauration rapide, burgers, etc.), les restaurants à outrance et les repas-minutes congelés.

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Comprendre l’impact du zinc sur la santé

De plus en plus de Nord-Américains consomment du zinc, que ce soit dans leur alimentation quotidienne ou par la prise de suppléments, apprend-on via le site de la National Library of Medicine.

Les spécialistes se penchent maintenant sur la question des impacts du zinc sur la santé, et une nouvelle étude qui vient de paraitre traite des effets potentiels du zinc sur les infections.

Plusieurs personnes en consomment d’ailleurs pour contrer les grippes et autres problèmes similaires, et l’étude menée par Daren Knoell de l’Université d’État d’Ohio semble approuver ce comportement. Pour l’équipe de Knoell, le zinc permet en effet d’améliorer le système immunitaire et, par conséquent, ses réponses.

« Nous croyons que nos découvertes vont aider à améliorer la compréhension des effets de ce métal plutôt banal sur notre système de défense, notamment face aux infections », déclare le chercheur.

Ce qui est d’autant plus frappant, c’est de constater que le zinc se retrouve entre autres dans la viande rouge et la volaille, pourtant décriées par plusieurs nutritionnistes.

D’autres études sur le sujet sont à prévoir, puisque le zinc semble prometteur à bien des égards.

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Boire jeune, boire trop

Il appert que plus un individu commence à consommer de l’alcool tôt dans sa vie, plus il a de chance de boire trop et d’éprouver des problèmes de consommation.

C’est Santé Log qui rapporte une étude sur le sujet, qui cible particulièrement ce phénomène moderne qu’on appelle binge drinking. Les recherches, publiées dans la plus récente édition du magazine Alcoholism: Clinical & Experimental Research, démontrent des statistiques qui en disent long.

Ainsi, les 39 000 dossiers analysés par l’équipe de chercheurs de l’Université de Washington tendent à démontrer que les sujets qui ont commencé à boire de l’alcool avant l’âge de 21 ans sont aussi moins portés à en consommer avec modération.

Le binge drinking est un phénomène défini par le fait d’une personne qui consomme des quantités abusives d’alcool sur une période de temps donnée, un comportement de plus en plus populaire et remarqué chez les jeunes, particulièrement les étudiants.

Ce comportement mènerait, dans bien des cas, à des problèmes qui suivent les individus jusque dans leur vie d’adulte.

Cette étude avait pour but de déterminer si le fait de permettre à des jeunes de 18 ans de consommer de l’alcool légalement était une mesure responsable.

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L’obésité et la vitamine D

Un lien de plus en plus évident se trace entre des carences en vitamine D et l’obésité, observent des chercheurs qui publient une étude sur le sujet.

Rapportées par The National Library of Medicine, ces recherches font état d’observations qui tendent à laisser croire que l’obésité peut provoquer un manque de vitamine D dans l’organisme.

On ne pourra taxer cette étude de manquer de rigueur, puisque les chercheurs britanniques ont analysé les données de pas moins de 165 000 patients pour tirer leurs conclusions.

Ainsi, une baisse de 4 % du taux de vitamine D serait observable avec un gain de 10 % de la masse corporelle.

À l’inverse, une déficience de vitamine D n’influencerait que minimalement la prise de poids. Pour les chercheurs, donc, la guerre à l’obésité permettrait aussi de régler plusieurs cas de carence en vitamine D, un autre phénomène commun observé.

Plusieurs autres études sur le sujet n’arrivaient pas à conclure de façon claire si une carence pouvait mener à l’obésité, ou si c’était plutôt l’inverse. Il semble que nous ayons maintenant un début de réponse.

La vitamine D est essentielle pour le bon fonctionnement de l’organisme et solidifie les os.

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Importante mise au point concernant les gras et les oméga-6

Santé Log rapporte une importante mise au point et mise en garde concernant le mythe que les graisses animales sont adéquatement remplaçables par des oméga-6 dans le cadre d’un régime alimentaire sain et équilibré.

En fait, pour les chercheurs australiens et américains en tête de l’étude, ce comportement pourrait non seulement ne pas rallonger l’espérance de vie comme plusieurs le croient, mais plutôt la raccourcir.

Selon ce plus récent rapport publié dans l’édition actuelle du British Medical Journal, on ne peut remplacer les gras saturés et les graisses animales par les oméga-6, retrouvés notamment dans la margarine, les huiles végétales, les noix et les grains entiers.

Bien que l’un ne remplace pas l’autre, on indique qu’il est important de compter sur des apports alimentaires variés, sans abus. Donc, il faut manger des viandes avec modération pour éviter les risques de maladies cardiaques, mais elles sont tout de même les bienvenues dans un régime sain.

Les huiles végétales et autres sources d’oméga-6 sont également conseillées, mais en abuser peut mener à des problèmes de santé et même certaines maladies chroniques comme le diabète, apprend-on.