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Santé, la salade? Oui, mais…

Santé, la salade? Oui, mais encore faut-il lui ajouter des ingrédients qui ne viennent pas contrecarrer ses effets bénéfiques.

Ainsi, The National Library of Medicine rapporte une série de conseils publiés par l’Academy of Nutrition and Dietetics, qui vous permettront de faire les bons choix.

On suggère d’abord de surveiller l’apport calorique de tout ce que vous intégrez à votre salade. On évite donc les ajouts de bacon (et ses dérivés), de poulet frit ou rôti, ou encore de crevettes. Il en va de même pour les noix, les nouilles et pâtes, ainsi que le fromage.

Choisissez plutôt des viandes maigres et saines, comme le poulet bouilli (ou grillé) ou le thon. Placez et demandez vos assaisonnements, vinaigrettes et sauces à part, et non dans la salade directement, et utilisez-les à très petites doses, avec modération.

Les épinards, les asperges et les autres légumes verts sont bien sûr des alliés de taille pour une salade parfaitement santé.

Pour finir, rappelez-vous que les salades plus pâles (comme l’Iceberg, très commune en marché) sont moins nutritives et efficaces sur l’organisme que la laitue romaine, par exemple.

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Deux fois plus de visites à l’urgence en lien avec les boissons énergie

C’est un constat alarmant que nous rapporte The National Library of Medicine, alors qu’un sondage gouvernemental américain révèle que les visites en urgence à la suite de la consommation de boissons énergisantes sont en hausse… du double.

Si l’on pouvait prendre avec un grain de sel les recommandations et avertissements concernant ces boissons jusqu’à présent, cette recherche démontre qu’il faudra démontrer plus de sérieux dans ce dossier.

Entre 2007 et 2011, les visites dans les urgences des différents hôpitaux sur le territoire américain sont passées de 10 000 à 21 000. Plus de la moitié de ces visites l’an dernier étaient exclusivement reliées aux boissons dites énergisantes, alors que la balance, 42 %, se rapportait aussi à des prises de drogue ou d’alcool.

Bien entendu, il n’est pas surprenant d’apprendre que ces cas touchent particulièrement les adultes et les adolescents, friands de ce type de produits.

Les spécialistes mettent en garde la population non seulement à cause de la caféine que renferment ces boissons, mais aussi (et surtout) à cause des autres ingrédients qu’elles contiennent.

Plusieurs doubles effets sont donc à prévoir, et cela peut même signifier un décès pour certaines personnes aux prises avec des conditions particulières.

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Twitter au service de la minceur

Une étude américaine surréaliste affirme que le réseau social Twitter peut contribuer à une perte de poids, annonce Santé Log.

Si cela peut paraître invraisemblable, il appert que les conclusions de l’étude sont très sérieuses. Pour les chercheurs, une personne qui est en processus de perte de poids et qui utilise Twitter de façon régulière pourrait voir cette activité contribuer à son processus d’amaigrissement.

En fait, les auteurs de l’étude parlent d’une perte de poids de 0,5 % par série de dix messages. Ces statistiques s’appliquent lorsqu’un programme de poids est enclenché, selon les spécialistes de l’Université de Caroline du Sud.

Pour arriver à ces résultats, les chercheurs ont étudié les cas de 96 hommes et femmes âgés de 18 à 60 ans durant six mois. Les sujets suivaient un régime et étaient invités à se doter d’un appareil mobile comme un téléphone intelligent (que l’on fournissait).

Après avoir évalué plusieurs comportements cybernétiques, les chercheurs ont découvert que Twitter se démarquait du lot par son impact sur le métabolisme.

De plus, le réseau social permet l’échange non seulement de trivialités, mais aussi d’importantes informations sur le poids et le corps, en plus d’offrir l’occasion d’envoyer et de recevoir des messages d’encouragement.

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Les personnes âgées pourraient bien manger ce qu’elles veulent

Une étude parue dans la plus récente édition du Journal of Nutrition Health and Aging, rapportée Santé Log, conclut que les personnes âgées pourraient probablement manger ce qu’ils veulent sans trop de conséquences.

En effet, l’étude des chercheurs de Penn State tend à conclure que le régime alimentaire des individus passés 75 ans n’a que très peu d’impact sur la vie de ceux-ci.

On constate d’abord avec étonnement que la consommation de sucre et de graisses n’aurait plus beaucoup d’impact sur les risques subséquents de maladies cardiaques et autres.

D’autres tests effectués sur des sujets de plus de 75 ans, notamment des régimes et changements alimentaires, n’auraient eu que très peu d’impact sur la perte de poids et la santé des patients en général.

La majorité des 449 personnes âgées analysées dans cette étude n’a vécu à proprement parler aucun changement de bilan de santé, malgré des variations de style de vie.

L’auteur en chef de l’étude explique : « Nous ne savons pas si les participants avaient ces habitudes alimentaires durant toute leur vie d’adulte, mais nous le soupçonnons. Il y a peu d’avantages, sauf affection grave, à priver une personne âgée du plaisir d’un aliment qu’elle aime ».

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Les petits fruits à la rescousse de votre santé cardiaque

Une toute nouvelle étude américaine vient saluer les vertus des petits fruits dans la prévention des maladies du cœur, rapporte Top Santé.

Ce sont des chercheurs de Harvard qui proposent ces conclusions, qui feront le bonheur des fanatiques de fraises, bleuets, framboises, mûres et autres petits fruits.

Comme Harvard ne fait jamais rien à moitié, les membres de l’équipe ont analysé les cas de près de 94 000 patientes âgées de 25 à 42 ans. Elles ont été suivies durant 18 ans et elles devaient répondre à plusieurs questions et sondages sur une base régulière.

Pour ces spécialistes de la prestigieuse université, il est évident que la consommation de fraises et de bleuets est hautement bénéfique pour la santé, plus particulièrement pour le cœur.

« Nous avons calculé que les femmes qui mangeaient des fraises et des bleuets au moins trois fois par semaine avaient 32 % moins de risques de souffrir de problèmes cardiaques que celles qui en mangeaient moins d’une fois par mois », lance le Dr Eric Rimm.

Les chercheurs notent également les effets à long terme de ces fruits. En effet, ils semblent que les gens qui en consomment dès leur jeune âge voient leur protection être efficace encore bien des années plus tard.

Cette étude devait d’abord statuer sur les effets des petits fruits sur la santé cardiaque des femmes, mais ils s’appliqueraient aussi aux hommes.

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Le jeûne n’est pas la solution

Il n’aura pas fallu une étude très profonde et exhaustive pour constater les effets néfastes du jeûne dans une tentative de perte de poids.

En fait, selon ce que rapporte Santé Log, il n’aura fallu aux chercheurs que 30 sujets (des femmes) pour tirer leurs conclusions.

Et ces dernières ne sont pas en faveur du jeûne, le fait de ne pas manger, allant même jusqu’à mettre en garde la population des dangers possibles d’un tel comportement.

L’étude a été publiée dans le magazine Nutrition & Metabolism et souligne néanmoins qu’il est possible d’utiliser le jeûne temporaire comme outil dans une démarche de perte de poids massive, mais sous supervision d’un professionnel (médecin, nutritionniste, etc.).

On associe au fait de se priver totalement de nourriture durant 24 à 72 heures des symptômes et effets secondaires qui vont des troubles du sommeil à l’anxiété, l’angoisse et la somnolence en journée, jusqu’à la déshydratation et des troubles du caractère (stress, irritabilité).

On suggère donc, particulièrement aux jeunes et aux adolescents, d’éviter ce type de comportement extrême. On rappelle qu’il existe beaucoup de dangers inhérents au fait de prendre ou de perdre du poids rapidement.

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Les émotions au service de la minceur

Top Santé rapporte une étude-sondage effectuée auprès de la population et de psychologues, qui explique que l’aspect émotionnel serait beaucoup plus important que l’on croit en matière de perte ou de prise de poids.

Pour contrôler son poids, on sait depuis longtemps qu’il faut manger moins et bouger plus. Les experts ne remettent aucunement en question cet état de fait, mais pensent que l’on doit également faire entrer la variable émotionnelle dans l’équation.

Ainsi, si vous respectez à la lettre les recommandations nutritionnelles et faites de l’exercice, mais que vous ne semblez pas arriver aux résultats escomptés, il se pourrait que vos émotions soient responsables.

Les répondants au sondage, professionnels ou non, affirment tous croire que les émotions jouent un rôle dans la perte ou la prise de poids, que ce soit pour le contrôle de soi (sur l’alimentation) ou encore la réaction éventuelle de l’organisme face à vos actions.

On suggère donc fortement aux gens qui veulent se mettre au régime ou changer radicalement de style de vie de consulter un spécialiste, un psychologue, afin de les aider dans leurs démarches.

Se faire aider par ses proches (encouragements, coaching, discipline) semble aussi être une technique qui porte des fruits.

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Les aliments « organiques » sont-ils vraiment préférables?

De plus en plus de gens mangent sainement et ne jurent que par les produits bios. Les aliments dits « organiques » sont donc répandus et jouissent d’une popularité grandissante.

Mais valent-ils vraiment la peine? Voilà la question que pose www.nlm.nih.gov, en collaboration avec l’American Academy of Family Physicians.

D’abord, il faut comprendre que pour se qualifier comme producteurs organiques, les cultivateurs doivent se plier à une série de règles. L’une d’entre elles, probablement la plus importante pour les fans de ces produits, indique que les aliments doivent être cultivés et produits sans l’utilisation de produits chimiques ou de pesticides.

Un bon point, mais en contrepartie, il appert que les valeurs nutritives des aliments organiques sont très similaires à celles des autres produits traditionnels.

Par ailleurs, si la façon organique implique de ne pas utiliser d’agent de conservation, cela signifie aussi que les aliments arriveront à terme plus rapidement.

Il y a aussi les fameuses hormones de croissance, un dossier chaud, qui donnent un autre bon point à l’organique, qui en est dépourvu. On dit aussi que cette façon de faire serait nettement meilleure pour l’environnement.

Au final, on note cependant les coûts astronomiques des aliments organiques, ce qui pourrait en décourager plus d’un.

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Prévention de la grippe : pas de régime en hiver

Une étude affirme que la pire résolution du Nouvel An pourrait être celle d’entamer un régime, rapporte Top Santé, puisque ce comportement laisserait la porte grande ouverte à la prolifération de la grippe.

C’est ce que l’on comprend des conclusions dévoilées dans cette étude américaine, qui rappelle l’importance d’entretenir un bon système immunitaire. Surtout en hiver, alors que plusieurs maladies aisément transmissibles se propagent allègrement, comme la gastro-entérite et la grippe, entre autres.

La Dre Elizabeth Gardner, de l’Université du Michigan et auteure de l’étude, explique : « À la base, nous pensions que la restriction de calories pouvait rendre le système immunitaire plus résistant, mais nous nous sommes aperçus que c’était en fait le contraire. Plus de calories pendant la saison grippale permettent d’éloigner le virus ou au moins de présenter moins de symptômes et de récupérer plus rapidement ».

Il faut donc manger pleinement lors de ces mois d’hiver, en choisissant aussi de bons aliments. Manger plus et éviter les régimes? Voilà une recommandation unique en son genre, surtout pour une étude en nutrition. Profitons-en!

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Le ginseng et la dysfonction érectile

On prête depuis des lunes des propriétés thérapeutiques ainsi que des vertus sexuelles et aphrodisiaques au ginseng.

Si certaines théories s’avèrent exactes, d’autres ne seraient que des légendes et des mythes. L’une d’entre elles propose que le ginseng puisse venir en aide aux hommes souffrant de troubles érectiles. Mythe ou réalité?

Santé Log s’est penché sur la question, en rapportant une étude coréenne sur le sujet. Publiés dans le Journal of Impotence Research, les résultats décevront les fans du ginseng : celui-ci n’aurait presque aucun effet sur les problèmes de dysfonction érectile.

Les chercheurs coréens parlent de « presque », car ils notent un léger effet placebo chez certains sujets, en plus d’une certaine amélioration des fonctions sexuelles chez des hommes déjà en bonne santé.

On lierait plutôt ce phénomène aux vertus aphrodisiaques confirmées du ginseng, plutôt que de parler de résolution dans les cas de troubles érectiles.

On attend d’autres recherches sur le sujet, mais il semble que ceux qui comptaient sur cet ancien ingrédient pour régler leur problème devront se tourner vers d’autres solutions.

Le ginseng ne comporte essentiellement aucun effet secondaire et peut être utilisé sans risque par la population.