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La laitue et l’huile d’olive en prévention de l’hypertension

Si une pomme par jour éloigne le docteur pour toujours, une salade comprenant de l’huile d’olive pourrait tenir le cardiologue à l’écart pour un certain temps, si l’on se fie aux révélations proposées par MedicalNewsToday.

Une nouvelle étude en provenance de l’Angleterre estime en effet que la laitue et l’huile d’olive sont de précieuses alliées en prévention de l’hypertension, tout comme les autres gras insaturés et les légumes verts ou riches en nitrates.

Voilà qui explique notamment pourquoi la diète méditerranéenne a si bonne presse depuis quelques années, elle qui contient une abondance de laitue, huiles végétales et autres aliments bienfaiteurs pour le cœur et contre l’hypertension (noix, épinards, etc.).

L’étude, effectuée par des chercheurs du King’s College de Londres et appuyée par la British Heart Foundation ont de quoi convaincre n’importe quel sceptique de la pertinence d’ajouter laitues et huiles végétales, surtout d’olive, à leur alimentation. Les résultats obtenus en essais et sur des rongeurs sont pratiquement incontestables.

Les conclusions de cette plus récente étude sur le sujet ont été publiées dans le journal PNAS.

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La FDA approuve une nouvelle alternative au sucre

La FDA rapporte via son site web l’approbation d’une nouvelle alternative au sucre, soit un édulcorant appelé Advantame.

L’association fédérale américaine de la santé en profite pour rappeler quelques faits concernant ces « faux sucres », utilisés par un grand nombre de consommateurs et craints par plusieurs.

Selon la FDA, il est effectivement bénéfique de troquer les sachets et portions de sucre conventionnel pour quelques édulcorants, faisant ainsi baisser non seulement l’apport quotidien en sucre, mais aussi l’apport calorique chez un individu. De plus, les édulcorants ne font pas grimper les taux de sucre dans le sang, un autre avantage pour la santé.

Il existe cependant bel et bien quelques possibles problèmes découlant de l’utilisation d’édulcorants, comme certaines réactions allergiques. On suggère de consulter un médecin pour connaître son état de santé, et les bienfaits possibles d’ajouter un produit comme l’Advantame ou l’aspartame à son alimentation.

Ces édulcorants, comme la saccarine et le sucralose, doivent être utilisés avec modération, mais ne représenteraient pas nécessairement un risque pour la santé.

Le plus récent édulcorant approuvé par la FDA, l’Advantame, a été testé de façon exhaustive, rassurent les spécialistes. Il peut être utilisé pour les desserts, les confitures et les jus de fruits, notamment.

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Diabète : Deux repas pour freiner la maladie

Consommer deux repas bien construits quotidiennement pourrait s’avérer une meilleure stratégie que plusieurs petits repas étalés au cours de la journée pour les personnes souffrant de diabète de type II, selon une nouvelle étude.

C’est un groupe de spécialistes de République tchèque qui proposent cette conclusion, rapporte Top Santé, après avoir effectué des tests alimentaires sur deux groupes de sujets tests.

Le premier groupe consommait six repas divisés en petites portions par jour, alors que le second groupe avalait deux repas soutenus, le matin et le midi.

Après l’essai de trois mois, les sujets du deuxième groupe affichaient des taux de glycémie plus intéressants, en plus d’avoir perdu du poids. Ce groupe rapporte aussi ressentir une plus grande satiété que celui qui avait le « droit » de manger toute la journée.

Ce type de philosophie alimentaire semble par ailleurs s’appliquer à tout le monde, mais avec trois repas, alors que plusieurs études estiment qu’il est préférable de manger de « gros » repas à heure relativement fixe, mais sans collations quotidiennes.

D’autres études seront effectuées pour analyser les impacts de ce style de vie chez les personnes souffrant de diabète de type II.

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Aucun lien démontré entre la prise de calcium et le risque cardiaque chez la femme

Les femmes qui consomment des suppléments de calcium pour prévenir ou traiter l’ostéoporose ou la détérioration des os ne seraient peut-être pas aussi à risque de troubles cardiovasculaires que le croyaient les spécialistes.

Une nouvelle étude, rapportée par MedicalNewsToday, estime qu’il n’est pas possible actuellement d’établir un lien entre la consommation de calcium et ce type de risque, à la suite des analyses qui s’avèrent inconsistantes.

Ce sont des chercheurs du Brigham and Women’s Hospital (BWH) qui tirent ces conclusions, après avoir analysé le dossier de près de 75 000 femmes sur une période de 24 ans, rien de moins.

« Notre étude possède plusieurs forces comparativement aux études précédentes, notamment le nombre vaste de participantes et la durée du suivi », croit l’auteure de l’étude, Julie Paik.

Cette dernière admet toutefois que d’autres recherches exhaustives du genre seront nécessaires afin d’invalider définitivement le risque associé à la prise de suppléments de calcium chez la femme.

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La France veut un étiquetage plus clair de ses produits alimentaires

Une campagne de sensibilisation absolument pertinente en matière d’étiquetage des produits alimentaires s’entame en France, rapporte Top Santé, alors que des groupes cherchent à forcer les autorités à mieux renseigner les consommateurs.

Une idée dans l’air du temps qui fera sans doute réfléchir des consommateurs de partout dans le monde, en cette époque de paranoïa alimentaire et de désinformation.

La campagne s’entame par le lancement d’une pétition mise sur pied par la Société française de santé publique, qui reçoit l’appui de la CLCV et du CISS, des regroupements de consommateurs et de patients.

On demande la création d’un « système d’information sur la qualité nutritionnelle simple et compréhensible sur la face avant des emballages des aliments », à l’aide d’un code de couleurs facile à saisir et à voir du premier coup d’œil.

Alors que les autorités de la santé de partout dans le monde luttent contre la hausse de l’obésité et du diabète, et alors que le dossier des OGM et des aliments usinés prend de l’ampleur, il semble impératif de protéger le consommateur des dangers potentiels de certains produits et de lui fournir des indications quant à la qualité de ceux-ci.

Voyez la vidéo explicative proposée par la Société française de santé publique.

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Katie Couric s’attaque aux mythes caloriques avec Fed Up

L’ancienne présentatrice et chef de pupitre de CBC Evening News, Katie Couric, fait parler d’elle pour un nouveau projet qui se penche sur les mythes caloriques et alimentaires, en cette ère teintée par l’obsession de la nourriture et ce que les spécialistes qualifient d’épidémie d’obésité.

Le projet et l’enquête de Couric prennent la forme d’un film intitulé Fed Up, rapporte le New York Times, produit par la productrice du documentaire An Inconvenient Truth. Katie Couric affirme avoir voulu créer ce film afin de répondre aux nombreuses questions laissées sans réponse sur le sujet au fil de sa carrière.

« Ce qui me frappait est que plus je rapportais des choses sur l’obésité infantile et plus le temps passait dans ma carrière, plus le problème semblait s’aggraver. J’ai senti que nous n’avions jamais vraiment donné d’indications sur ce qui cause vraiment ça, et pourquoi les taux d’obésité explosent comme ça », explique Couric, qui assure aussi la narration du film.

La journaliste se penche notamment sur les « types » de calories, et croit que certaines sont plus dommageables que d’autres. Il ne suffirait donc pas, selon elle, de « moins manger et de faire de l’exercice » pour s’assurer d’un poids idéal.  De plus, Fed Up s’attaque au problème créé par l’industrie alimentaire, notamment en ce qui concerne le sucre ajouté.

Le documentaire semble dramatique et convaincant à souhait, et mérite le coup d’œil.

Découvrez la bande-annonce de Fed Up, avec Katie Couric.

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Quelques bières pour contrer l’arthrite chez la femme

Quelques bières consommées hebdomadairement pourraient s’avérer bénéfiques pour les femmes qui souhaitent ralentir ou réduire le risque de développement de l’arthrite rhumatoïde, rapporte The National Library of Medicine.

C’est une nouvelle étude en provenance de Harvard qui suggère les bienfaits de la bière chez la femme et qui en arrive à des conclusions étonnantes.

« La consommation modérée d’alcool à long terme pourrait aider à réduire le développement de l’arthrite rhumatoïde chez la femme », lance le Dr Bing Lu, auteur principal de l’étude.

Selon les chercheurs de l’équipe du Dr Lu, la consommation générale d’alcool, de façon modérée, permettrait une réduction d’environ 21 % des risques d’arthrite chez la femme, alors que la bière porterait la statistique à 30 %.

Attention cependant, on estime une consommation de bière modérée à trois ou quatre consommations par semaine.

L’étude s’étire depuis plusieurs années et se base sur l’analyse des dossiers médicaux de plus de 100 000 infirmières qui se prêtées au jeu et qui devaient répondre à des questions concernant leur santé et leurs habitudes de consommation chaque deux ans.

Les résultats de l’étude du Dr Lu ont été publiés dans l’édition printanière du magazine Arthritis & Rheumatism.

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Les tomates au service de la fertilité masculine

Les hommes qui aimeraient voir leur capacité de reproduction augmenter en puissance pourraient n’avoir qu’à se tourner vers… les tomates.

C’est ce qui ressort d’une nouvelle étude américaine, rapporte Top Santé, alors que des chercheurs auraient découvert un lien entre la consommation de tomates et la création de nouveaux spermatozoïdes.

Les chercheurs basés à Cleveland estiment même à 70 % l’augmentation de spermatozoïdes chez les hommes qui consomment des tomates, un nombre plutôt impressionnant.

L’étude abonde dans le même sens que certaines précédemment publiées, qui vantaient elles aussi les mérites du lycopène et des antioxydants, retrouvés dans les tomates, sur la fertilité. Une recherche de Harvard ajoutait également le bêta-carotène à la liste des aliments qui permettent une plus grande fertilité chez les hommes.

« Si ces résultats sont encourageants, nous devons réaliser d’autres études de plus grande ampleur pour analyser les effets du lycopène sur l’infertilité masculine. Nous devons établir quels groupes de patients tireraient le plus grand bénéfice de ce régime », résume Ashok Agarwal, qui dirige l’étude.

On rappelle en terminant que les hommes qui aimeraient tenter l’expérience et bénéficier des atouts de la tomate devraient se tourner vers celles biologiques, qui contiendraient jusqu’à 40 % plus de vitamines et plus de deux fois plus de phénols.

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3 essentiels pour contrer l’obésité juvénile

Medical News Today rapporte des informations fournies par le Dr Kristopher Kaliebe, professeur adjoint de la clinique de psychiatrie à l’école de La Nouvelle-Orléans (LSU Health Sciences Center).

Il s’agit d’objectifs orientés sur l’environnement familial pour éliminer les sources potentielles d’obésité et de troubles mentaux connexes. Selon le spécialiste, il faut enrayer nos habitudes de surconsommation et de tentation.

Les 3 sphères visées sont la nourriture, les dispositifs technologiques et la sédentarité. Rien de nouveau, si ce n’est la perspective. Dr Kaliebe affirme que ces facteurs sont non seulement responsables de l’obésité, mais des problèmes reliés, tels que le trouble de déficit d’attention avec ou sans hyperactivité, les troubles d’apprentissage et plus.

« Plusieurs comportements associés à l’obésité, tels qu’une vie sédentaire, une surexposition aux médias et des régimes inappropriés, sont également liés à un diagnostic en psychiatrie ou une détresse psychologique », indique Kaliebe.

Selon lui, c’est simple. Les êtres humains ne sont pas faits pour manger des aliments transformés, vivre de la technologie et demeurer sédentaires. Il faut donc éliminer les écrans et « honorer le silence », consommer de la nourriture fraîche et se lever de son siège.

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Coca-Cola retire un ingrédient controversé de ses produits

Le géant de l’alimentation et des boissons Coca-Cola décide d’aller de l’avant et retire un ingrédient de certains de ses produits, rapporte le New York Times.

L’annonce fait suite à la vague d’inquiétudes exprimées par de nombreux et vigilants consommateurs.  L’ingrédient visé est l’huile végétale bromée, qui contient du brome ajouté artificiellement et qui pourrait s’avérer nocive pour la santé, selon plusieurs.

Une campagne lancée par une citoyenne du nom de Sarah Kavanagh, en 2012, avait mené au retrait du même ingrédient de certains produits du concurrent de Coca-Cola, PepsiCo. Non sans satisfaction, la manœuvre de la jeune Kavanagh a ensuite été dirigée vers Coca-Cola, qui plie à son tour devant la pétition de plus de 60 000 noms et de nombreuses autres similaires.

« L’huile végétale bromée est utilisée dans certaines de nos boissons pour améliorer la stabilité de nos produits et prévenir certains ingrédients d’une séparation. Toutes nos boissons, incluant celles avec de la HVB (BVO), sont sécuritaires, et l’ont toujours été », déclare Coca-Cola, qui ira tout de même de l’avant avec le retrait.

On attend maintenant les réactions de PepsiCo, qui continue d’utiliser l’ingrédient dans plusieurs autres de ses produits et qui voudra sans doute imiter son compétiteur devant cette mobilisation.