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Du sommeil de qualité pour contrer l’obésité

Santelog.com rapporte une étude de l’Académie de Nutrition et de Diététique, qui affirme pouvoir faire une corrélation entre le manque de sommeil et la prise de poids substantielle.

Ainsi, lorsque vient le temps de construire un plan de match pour perdre des kilos en trop, il faudrait inclure le sommeil dans sa stratégie. Il est facile (et normal) de se concentrer sur son régime alimentaire et sur les exercices physiques, mais si on n’en dort plus la nuit, les effets seront plus limités, toujours selon l’étude.

Plusieurs recherches ont déjà démontré certaines corrélations entre le manque de sommeil partiel (moins de six heures par nuit), et il semble qu’elles avaient raison.

De fait, les gens dorment de moins en moins et gagnent du poids, un facteur souvent oublié par les praticiens et nutritionnistes, souligne la professeure Sharon Nickol-Richardsons, de l’Université de Pennsylvanie.

Son équipe a étudié d’autres recherches publiées entre 1996 et 2011 afin de faire la corrélation entre la privation de sommeil et son effet sur l’organisme.

Les chercheurs concluent qu’en plus de nuire au métabolisme, le manque de sommeil augmente l’appétit, ou l’impression d’avoir faim, deux facteurs qui ne favorisent en rien la perte ou la régulation de poids.

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Statistiques alarmantes de consommation chez les adolescents

La plus récente étude de l’Institut de la statistique du Québec concernant les habitudes de consommation diverses de nos adolescents renferme certaines statistiques alarmantes, rapporte radio-canada.ca.

D’abord, les chiffres sont toujours élevés en matière de surplus de poids, quoi que la courbe de progression, elle, ait ralenti.

La drogue, l’alcool et les produits du tabac sont toujours aussi prisés par la jeunesse québécoise, bien que l’on n’enregistre pas de hausse massive récente.

Il faut aussi noter qu’il s’agit de la première étude d’importance du genre dans le domaine, et qu’il est difficile de comparer avec des données précédentes, recueillies par d’autres méthodes. Ainsi, même si l’on semble constater que les courbes de progression sont stables, les chiffres n’en demeurent pas moins très élevés, surtout pour de jeunes humains encore en croissance.

En voici quelques-uns : 1 adolescent sur 5 présenterait des problèmes de poids (surplus), alors que la moitié (49 %) affirme ne pas être à l’aise avec son apparence corporelle.

En matière de consommation, l’alcool semble être le choix de prédilection du groupe visé, avec un taux de 60 % des répondants qui affirment avoir consommé de l’alcool au cours des 12 derniers mois.

La drogue fait partie de la vie du quart des répondants, qui avouent en avoir consommé dans l’année en cours. La marijuana est encore le choix numéro un des amateurs de stupéfiants dans nos écoles.

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La consommation de viande et l’asthme

La viande vient de subir un blâme de la part de spécialistes, pour sa collaboration possible dans le développement de l’asthme et de maladies similaires, comme le rhume des foins, affirme une étude rapportée par Lanutrition.fr.

L’étude australienne rappelle que l’asthme est une maladie respiratoire, et que pour ce type de problème, les facteurs alimentaires ne sont que très peu connus. En fait, on pointe souvent du doigt le mode de vie, la pollution et, bien sûr, les gènes.

Ce sont toutes des raisons réelles, mais qu’en est-il du régime alimentaire? Ce que nous mangeons peut-il influencer notre système respiratoire? Les chercheurs pensent que oui, à commencer par la viande.

Après avoir suivi 156 053 adultes âgés de 45 ans et plus ayant connu des problèmes d’asthme et/ou de rhume des foins, et en les questionnant sur leurs habitudes alimentaires, les spécialistes n’hésitent pas à faire le lien.

Donc, le facteur de risque pour ceux qui mangent beaucoup de viande augmenterait de près de 20 %, en comparaison avec les gens qui en mangent moins ou pas du tout.

En contrepartie, on suggère aux patients asthmatiques de manger plus de légumes, jusqu’à deux ou trois portions de plus que ce que suggèrent les guides alimentaires.

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La polémique concernant les produits bios fait rage

De plus en plus de gens se tournent vers les produits alimentaires biologiques depuis quelques années. Le nombre de gens résistant à l’idée est tout aussi nombreux, et la polémique entourant le concept bio fait toujours rage.

Une super étude sur le sujet risque d’alimenter les débats, puisqu’elle conclut que les aliments biologiques ne seraient pas « meilleurs » que les autres sur le plan nutritionnel, selon Lanutrition.fr.

Voilà qui a de quoi surprendre et qui mettra sans le doute le feu aux poudres dans le camp des pro-bio, qui vantent constamment les mérites de ces produits.

Les chercheurs ont donc sélectionné 237 études sur le sujet et analysé les résultats. Ils concluent qu’aucun effet significatif ne distingue l’agriculture biologique de l’agriculture conventionnelle, excepté le fait que les produits ne contiennent pas ou peu de pesticides.

Aussi, les aliments biologiques contiendraient moins de bactéries résistantes aux antibiotiques. Des avantages, certes, mais qui ont moins de poids que ce nous aurions pu croire. De plus, les aliments « normaux » contenaient en majorité des résidus de pesticides sous les normales obligatoires en alimentation.

Le bio serait un choix idéal pour les femmes enceintes, les enfants et les personnes âgées aux prises avec des problèmes de santé chroniques.

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Où se cache le fer?

Que vous soyez anémique ou non, tout le monde a besoin de fer. Il s’agit d’un élément important pour la santé, ainsi que pour assurer une belle énergie tout au long de la journée.

Mais manger des épinards suffit-il à apporter la quantité de fer nécessaire à l’organisme? Selon topsante.com, la réponse est non. Encore plus, il semble que les épinards contiendraient somme toute très peu de fer!

En effet, on compte 3 milligrammes de fer pour 100 grammes d’épinards, ce qui n’est pas très élevé. Il semble qu’une erreur de typographie lors de la rédaction d’un rapport médical, en 1890, soit à l’origine de ce mythe.

Alors, où le fer se cache-t-il? Dans les aliments qui proviennent des animaux, semble-t-il. On parle ici de « fer héminique » (absorbé par l’organisme), retrouvé dans les poissons, le foie, les abats, le boudin, etc.

L’autre fer, non héminique (moins bien absorbé par l’organisme), serait plus présent dans les aliments végétaux.

En outre, les spécialistes conseillent d’ajouter de la vitamine C à ceux qui désirent augmenter leur taux de fer. Le jus d’orange, par exemple, favoriserait l’absorption du fer dans le corps lors des repas. Il en va de même pour les fruits et légumes.

Une autre bonne raison d’ajouter une part de légumes dans votre assiette.

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Prenez garde à vos entrées

Un repas équilibré se compose aussi d’une entrée, mais attention à vos choix.
 
Les préparations de légumes comme les macédoines ou les betteraves avec de la vinaigrette contiennent beaucoup de lipides.
 
Optez plutôt pour les tomates, les concombres ou les carottes râpées. Évitez les avocats, qui contiennent beaucoup de graisse, rapporte le Monde diététique.
 
Pour les entrées chaudes, il faut en limiter les quantités. Entre les deux, préférez plutôt les entrées froides.
 
Pour l’apéro, faites attention également aux amuse-gueules. Les saucisses cocktails et les olives noires sont à éviter le plus possible.
 
Toutefois, les amandes et les fruits séchés peuvent calmer une petite fringale sans ajouter de nombreuses calories ou de graisse à votre alimentation.
Au dessert, le meilleur choix sera de prendre un fruit, mais vous pouvez aussi choisir une compote ou un yaourt.
 
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Les calories ne s’équivalent pas toutes

Une étude américaine parue dans le Journal of the American Medical Association fait valoir que les calories ne sont pas toutes équivalentes. En fait, certains aliments seraient plus efficaces que d’autres pour perdre du poids.
 
21 personnes obèses ont participé à cette étude et ont été suivies pendant un mois. Elles ont été soumises à différents régimes alimentaires. Même si elles consommaient le même nombre de calories quotidiennement, soit environ 1600, les personnes qui suivaient un régime pauvre en calories en brûlaient 300 de moins par jour que les personnes qui avaient le régime pauvre en glucides.
 
« C’est le nombre de calories que vous brûleriez en une heure de sport modéré. Les sujets brûlaient 150 calories de plus en suivant le régime à faible indice glycémique qu’avec le régime pauvre en calories. Nous pensons que les régimes pauvres en glucides et à faible indice glycémique ne déclenchent pas de système de réaction à la faim, car ils n’entraînent pas d’augmentation et de chute du taux de glucides dans le sang. Lorsque le corps croit qu’on va l’affamer, il met le métabolisme en veille pour conserver l’énergie », explique l’auteur David Ludwig.
 
De plus amples recherches doivent être faites, mais déjà par le passé, il avait été démontré que de consommer trop de glucides simples pouvait augmenter les risques de maladies cardiaques.
 
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Les multiples bénéfices du manioc

Plusieurs connaissent le manioc pour ses propriétés anti-oxydantes ou anticancéreuses, mais l’aliment a bien d’autres vertus.

Par exemple, le manioc peut aider à traiter des rhumatismes en étendant sur la peau un mélange de feuilles de manioc et de gingembre.

Aussi, le manioc peut être efficace contre la fièvre. Une simple infusion de feuilles de manioc peut abaisser la température du corps de quelques degrés lorsque prise deux fois par jour. Ce type d’infusion peut également être efficace contre la diarrhée et les maux d’estomac.

Ensuite, il peut contrer l’infection des blessures. En pilant quelques tiges de manioc frais et en étendant la mixture sur la blessure, on réduit les risques d’infection. Si vous avez des maux de tête, remplacez l’acétaminophène en vous appliquant cette mixture sur le front et en pressant dessus.

De plus, la consommation de manioc peut augmenter la vigueur.

Toutefois, les feuilles peuvent être consommées telles quelles et soulager le béribéri.

Rappelons que So Nice fait maintenant le So Nice pour le café, qui contient entre autres de la fécule de manioc.

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Les multiples bénéfices du manioc

Plusieurs connaissent le manioc pour ses propriétés anti-oxydantes ou anticancéreuses, mais l’aliment a bien d’autres vertus.

Par exemple, le manioc peut aider à traiter des rhumatismes en étendant sur la peau un mélange de feuilles de manioc et de gingembre.

Aussi, le manioc peut être efficace contre la fièvre. Une simple infusion de feuilles de manioc peut abaisser la température du corps de quelques degrés lorsque prise deux fois par jour. Ce type d’infusion peut également être efficace contre la diarrhée et les maux d’estomac.

Ensuite, il peut contrer l’infection des blessures. En pilant quelques tiges de manioc frais et en étendant la mixture sur la blessure, on réduit les risques d’infection. Si vous avez des maux de tête, remplacez l’acétaminophène en vous appliquant cette mixture sur le front et en pressant dessus.

De plus, la consommation de manioc peut augmenter la vigueur.

Toutefois, les feuilles peuvent être consommées telles quelles et soulager le béribéri.

Rappelons que So Nice fait maintenant le So Nice pour le café, qui contient entre autres de la fécule de manioc.

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Comment faire aimer les légumes à ses enfants?

« Il arrive que l’on doit montrer ou faire goûter jusqu’à une quinzaine de fois un légume à un enfant pour qu’il l’adopte dans son alimentation », confie Geneviève Dulude de l’Université de Montréal, dont la thèse porte sur les attitudes et les comportements de la mère québécoise, l’alimentation et le poids de l’enfant préscolaire.

En effet, le combat entre l’adulte, l’enfant et l’assiette a pour origine la néophobie ou peur des nouveaux aliments. Les enfants refusent de goûter un aliment, car ils ne le connaissent pas.

Pour remédier à cette situation, la diététiste conseille aux parents de varier les achats et les recettes. Transformer le traditionnel brocoli cru et au goût peu plaisant en brocoli sauté dans un poulet teriyaki et en brocoli broyé dans le pâté au poulet peut être un exemple.

Si votre enfant résiste au brocoli un premier soir, ne lui présentez pas jour après jour le bouquet vert dans son assiette afin de le convaincre. Attendez une semaine, apprêtez-le d’une autre façon et, entre-temps, faites-lui découvrir la carotte, le navet, le chou-fleur, etc.

« Le parent qui démontre de l’enthousiasme quant au plaisir de manger certains aliments augmentera leur acceptation auprès de l’enfant », affirme la diététiste àl’Agence Science Presse.

L’autorité, l’obstination, la négligence ou le chantage émotif à la saveur de récompense du genre « Tu n’auras pas de dessert si tu ne manges pas tout » ne fait que rendre la situation pire, selon l’experte.

Des questionnaires remplis par 122 mères québécoises d’enfants âgés de 3 à 5 ans ont permis de voir que près d’un tiers d’entre elles qualifient l’heure du repas de pénible.