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La Californie veut des avertissements sur les boissons gazeuses

Les Californiens se dirigent vers une nouvelle façon de faire en matière de vente et d’étiquetage des boissons gazeuses, un peu à l’image de ce qui a été fait pour les paquets de cigarettes il y a quelques années.

MedicalNewsToday rapporte qu’une nouvelle étape a été franchie vers une réforme en la matière, alors que l’État de la Californie a approuvé une nouvelle législation concernant la vente de boissons gazeuses.

La législation rédigée et introduite par les sénateurs Bill Monning et Tem Darrell Steinberg propose des étiquettes spéciales afin de s’assurer que les citoyens de la Californie sont bien au fait des dangers liés à la consommation de boissons gazeuses, notamment l’obésité et le diabète.

« Les consommateurs ont le droit de savoir et de connaître les effets retour sur la santé d’une consommation fréquente de boissons gazeuses. La législation SB 1000 fait exactement ce que l’industrie estime devoir faire depuis longtemps, c’est-à-dire éduquer le public », lance non sans fierté M. Monning.

La Californie devient donc un État pionnier en la matière, et les étiquettes d’avertissement pourraient se retrouver sur les produits visés dans un avenir rapproché.

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Toujours aucun traitement spécifique contre le syndrome du côlon irritable

Le syndrome du côlon irritable est défini par de multiples symptômes possibles et touche de plus en de gens. Si aucun traitement spécifique et efficace pour l’ensemble des patients n’est encore sur le marché, il existe cependant des pistes de solution, et il subsiste de l’espoir.

Le syndrome du côlon irritable peut prendre la forme de douleurs abdominales (ventre), de constipation et de sentiments de gonflement ou de ballonnement. Il est associé par plusieurs au stress grandissant ressenti par une grande partie de la population.

Éviter le stress s’avère donc la première piste pour calmer le jeu, et les symptômes sont souvent variables et réversibles, rappelle la FDA. Plusieurs pistes de solution sont envisagées pour l’avenir d’un traitement, mais de nombreuses questions demeurent.

« Il y a pas mal de recherches à propos du rôle des féculents dans le déclenchement du syndrome du côlon irritable, plus spécialement celui d’un nutriment appelé polyol. De plus, les médecins et chercheurs examinent de plus près le rôle du régime alimentaire. Bien que plusieurs conditions médicales ont une prédominance masculine ou féminine, on ne comprend pas encore pourquoi les femmes sont plus touchées par le syndrome », explique Andrew Mulberg, de la FDA.

Ce dernier suggère aux patients de consulter fréquemment leur médecin et de tenter de multiples expériences, notamment en réduction du stress et en alimentation, afin d’observer les variations des symptômes.

Les spécialistes ont bon espoir d’en arriver à un consensus et à un traitement du syndrome du côlon irritable dans le futur.

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Une diète à forte teneur en gras augmente les risques de cancer du sein

Les femmes qui observent des régimes à forte teneur en gras saturé sont plus à risque de développer un cancer du sein que les autres, nous dévoile une nouvelle étude rapportée par le Daily Mail (UK).

Des régimes comme la diète Atkins, par exemple, seraient possiblement des facteurs de risques supplémentaires à l’apparition éventuelle d’un cancer du sein chez la femme, conclut l’étude.

On évalue la hausse de ces risques à 28 %, selon les résultats proposés par les chercheurs du National Tumour Institute de Milan, en Italie.

« Les résultats de cette étude prospective sur une large population de femmes européennes indiquent que les diètes fortes en gras et gras saturés augmentent les risques du cancer du sein », mentionne la Dre Sabina Sieri, coauteure principale de l’étude.

L’étude tire ses conclusions de plus de 300 000 dossiers de femmes analysés au cours d’une période donnée, répartis dans 10 pays de l’Europe.

Les résultats de la Dre Sieri et de son équipe ont été publiés dans le Journal Of The National Cancer Institute.

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Les fèves, pois et lentilles en lutte au mauvais cholestérol

The National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude qui vante les mérites des fèves, pois et lentilles en lutte au mauvais cholestérol.

Les taux de mauvais cholestérol, appelé LDL, représentent un facteur de risque pour la santé cardiovasculaire. La hausse observable du phénomène au sein de la population pousse les chercheurs à tenter de trouver des solutions naturelles et alimentaires au problème.

C’est ainsi que des chercheurs canadiens se sont penchés sur les propriétés des pois et des lentilles, en se basant sur l’analyse de 26 études alimentaires sur le sujet, comprenant au total de plus de 1000 sujets volontaires.

Les résultats démontrent que seulement une portion par jour (3/4 de tasse) de ces légumes permet une réduction du LDL de 5 %.

5 % qui signifient aussi directement une baisse du risque cardiovasculaire de 5 %, selon le Dr John Sievenpiper de l’Hôpital St. Michaels de Toronto.

Même si aucune cause à effet n’a été démontrée, tous les spécialistes ayant travaillé à ces études ou ayant été questionnés sur le sujet n’ont pas hésité à conseiller vivement la consommation des pois, fèves et lentilles pour améliorer les taux de cholestérol dans le sang.

Les résultats de cette plus récente méta-analyse ont été publiés dans le Canadian Medical Association Journal.

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Le café serait bénéfique en prévention de la cirrhose

Le café pourrait-il s’avérer un allié en prévention de la cirrhose? Voilà la question à laquelle ont tenté de répondre des chercheurs chinois dans une nouvelle étude, rapporte The National Library of Medicine.

Les chercheurs de l’Université de Singapour concluent vraisemblablement que oui, si l’on se fie aux résultats proposés par l’étude, qui se penchait sur pas moins de 63 000 citoyens âgés de 45 à 74 ans.

L’étude trouvait ses racines en 1993, alors que l’on a demandé aux participants de répondre à des questions concernant leurs habitudes alimentaires et leur historique médical. Suivis sur une période d’en moyenne 15 ans, les sujets ont notamment permis de démontrer l’impact positif du café en prévention de la cirrhose.

On estime que deux tasses de café par jour permettraient une réduction de 66 % des risques de décès par cirrhose causée par l’hépatite non virale, selon les chercheurs chinois en tête de ces travaux.

La cirrhose causée par l’hépatite B ne semble pas répondre de la même façon que celle découlant de la souche non virale cependant.

L’étude ne permet malheureusement pas de prouver une cause à effet de façon officielle, mais s’avère concluante.

Les résultats ont été publiés dans le magazine médical Hepatology.

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Réduire l’apport en calories de 10 % pourrait vous sauver la vie

Une nouvelle étude américaine propose des conclusions qui pourraient bien en motiver plusieurs à apporter quelques changements à leur style de vie et à leur régime alimentaire.

Selon des chercheurs du Wisconsin, réduire son apport calorique quotidien de 10 % pourrait vous sauver la vie, en plus de vous épargner potentiellement l’apparition de certaines maladies.

C’est en analysant les comportements et l’évolution du bilan de santé de 76 singes rhésus, sur une période de 25 ans, que les chercheurs sont parvenus à établir de façon claire les impacts d’une réduction calorique sur la santé.

Le premier groupe de singes s’est vu obligé de suivre une diète plus stricte avec une réduction de 30 % des calories, alors que le second groupe pouvait manger selon ses désirs. Ce deuxième groupe aurait affiché trois fois plus de cas de maladies, en plus d’un risque de décès prématuré aussi trois fois plus élevé.

30 % moins de calories pour une chance de survie qui triple, voilà un peu le constat que proposent les chercheurs du Wisconsin dans l’étude. Ces derniers croient par ailleurs qu’une réduction de l’apport calorique de 10 % peut déjà améliorer la qualité de vie et la longévité, en plus de prévenir de plusieurs maladies.

L’étude rapportée par le Daily Mail (UK) a été effectuée au Wisconsin National Primate Research Center.

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Réduire l’apport en calories de 10 % pourrait vous sauver la vie

Une nouvelle étude américaine propose des conclusions qui pourraient bien en motiver plusieurs à apporter quelques changements à leur style de vie et à leur régime alimentaire.

Selon des chercheurs du Wisconsin, réduire son apport calorique quotidien de 10 % pourrait vous sauver la vie, en plus de vous épargner potentiellement l’apparition de certaines maladies.

C’est en analysant les comportements et l’évolution du bilan de santé de 76 singes rhésus, sur une période de 25 ans, que les chercheurs sont parvenus à établir de façon claire les impacts d’une réduction calorique sur la santé.

Le premier groupe de singes s’est vu obligé de suivre une diète plus stricte avec une réduction de 30 % des calories, alors que le second groupe pouvait manger selon ses désirs. Ce deuxième groupe aurait affiché trois fois plus de cas de maladies, en plus d’un risque de décès prématuré aussi trois fois plus élevé.

30 % moins de calories pour une chance de survie qui triple, voilà un peu le constat que proposent les chercheurs du Wisconsin dans l’étude. Ces derniers croient par ailleurs qu’une réduction de l’apport calorique de 10 % peut déjà améliorer la qualité de vie et la longévité, en plus de prévenir de plusieurs maladies.

L’étude rapportée par le Daily Mail (UK) a été effectuée au Wisconsin National Primate Research Center.

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La consommation de fruits et légumes bénéfique chez les jeunes femmes

Manger fréquemment des fruits et légumes lorsqu’on a 20 ans permettrait de nombreux bénéfices pour la santé plus tard au cours de la vie, mais surtout lorsqu’on est une femme, selon une étude rapportée par Santé Log.

L’étude présentée dans le cadre du projet CARDIA (Coronary Artery Risk Development in Young Adults) estime que les jeunes femmes au début de la vingtaine qui choisissent de manger des fruits et légumes auront moins de risques d’éprouver des problèmes cardiovasculaires au tournant de la quarantaine.

L’étude analyse les données de près de 2500 participants et note entre autres un risque réduit de 40 % de voir l’apparition de plaques au niveau des artères chez les femmes de 40 ans.

On conseille néanmoins aux hommes de consommer eux aussi leur part de fruits et de légumes, même si cette étude ne parvient pas à observer le même résultat pour les hommes que pour les femmes.

On rappelle également que d’autres facteurs peuvent influencer les statistiques et le risque de troubles cardiaques, comme le tabagisme, la sédentarité et la surconsommation de viandes rouges et de boissons sucrées.

Les résultats de l’étude ont été présentés lors du congrès de l’American College of Cardiology.

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Les boissons gazeuses diètes dangereuses pour la santé cardiaque des femmes?

La surconsommation de boissons gazeuses diètes serait possiblement dommageable pour la santé des femmes, selon une étude rapportée par The National Library of Medicine.

L’étude américaine en provenance de l’Iowa estime que les femmes qui consomment de grandes quantités de ces boissons sont plus à risque que les autres de subir un infarctus ou de développer des troubles cardiovasculaires.

Cette nouvelle recherche, qui se base sur les données de plus de 60 000 dossiers de patientes en post-ménopause, contribue donc à détruire le mythe que les boissons gazeuses diètes sont « sans danger » pour la santé.

« Ce n’est pas la première étude à démontrer un lien entre la consommation de soda diète et le risque d’attaque et de maladies cardiaques. Ce ne devrait plus être une surprise désormais », déclare la professeure Susie Swithers, qui analyse les résultats sans prendre part à l’étude.

Les conclusions complètes de l’étude seront présentées lors du prochain congrès de l’American College of Cardiology, du côté de Washington.

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L’hiver est aussi la saison du mauvais cholestérol

Une nouvelle étude propose quelques statistiques et facteurs qui indiquent une hausse générale des taux de mauvais cholestérol durant l’hiver, rapporte The National Library of Medicine.

Des chercheurs du Centre Ciccarone de prévention des maladies du coeur de l’Université Johns Hopkins estiment dans leurs travaux que les niveaux de LDL, le « mauvais cholestérol », grimpent en moyenne de 3,5 % chez les hommes et de 1,7 % chez les femmes durant la saison hivernale.

L’alimentation est bien entendue au cœur du problème, alors qu’une bonne partie de la population semble moins disciplinée en matière de choix alimentaires durant l’hiver, en plus de faire moins d’exercice.

Le mauvais temps et le manque de luminosité auraient des effets dévastateurs sur la motivation, un comportement que le Dr Gerard Fletcher compare à une hibernation.

Le Dr Fletcher et son équipe croient qu’il est donc d’autant plus important d’au moins continuer de surveiller son alimentation en hiver, afin de s’assurer que la hausse hivernale des taux de LDL ne soit pas celle qui sera fatale.

Les conclusions de l’étude seront présentées lors de la réunion annuelle de l’American College of Cardiology, du côté de Washington.