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Facebook favoriserait le développement de troubles alimentaires

Les jeunes femmes qui passent beaucoup de temps sur les médias sociaux, en particulier sur Facebook, seraient plus à risque de développer un trouble alimentaire et une mauvaise estime de soi.

C’est ce qui ressort d’une nouvelle étude sur le sujet, rapportée par The National Library of Medicine, et qui parle des impacts du plus populaire média social sur l’alimentation d’un grand nombre de jeunes femmes.

Les chercheurs de l’Université de Floride en tête de l’étude ont analysé les cas de 960 étudiantes universitaires. Les observations ont permis de constater que celles qui passaient le plus de temps sur Facebook affichaient des tendances plus marquées vers les troubles alimentaires, et s’inquiétaient davantage de leur alimentation et de leur image.

« Facebook combine sur une seule plate-forme l’influence des pairs à de forts messages de société qui se concentrent beaucoup sur l’apparence des femmes. Ces images sont ensuite conservées mentalement le reste de la journée. Alors que les chercheurs et cliniciens tentent de comprendre et de démontrer les facteurs de risque des troubles alimentaires, une plus grande attention doit être portée sur le rôle des médias sociaux dans la vie des jeunes adultes », explique l’auteur de l’étude Pamela Keel.

D’autres études précédentes avaient révélé des impacts similaires de la part des médias sociaux sur les jeunes femmes.

Les résultats de l’étude floridienne ont été publiés dans l’International Journal of Eating Disorders.

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Une étude estime que les carnivores sont plus en santé que les végétariens

Des chercheurs autrichiens risquent de soulever l’ire des végétariens et de donner des munitions aux mangeurs de viande avec la parution de cette nouvelle étude qui compare les deux habitudes alimentaires.

Selon les chercheurs de l’Université de Graz en Autriche, les carnivores auraient une longueur d’avance sur les végétariens en matière de santé, rapporte Top Santé

Ceux qui estimeront qu’il ne peut s’agir d’une étude exhaustive devront se raviser, puisque les chercheurs autrichiens auraient analysé 15 000 dossiers pour en arriver à de telles conclusions.

« Nous avons commencé notre étude avec 15 000 études de cas et avons divisé les témoins en groupes alimentaires. Nous avons sélectionné 343 végétariens et avons ensuite examiné leur âge, leur sexe et leur origine sociale et économique, qui comprenait le niveau d’éducation, le revenu et leur carrière. Nous avons ensuite comparé les végétariens avec des personnes aux caractéristiques similaires dans les trois autres groupes d’aliments », précise la coauteure de l’étude, Nathalie Burkert.

Au nombre des observations, on remarque qu’un grand nombre de végétariens déclarent ne pas se sentir en bonne santé, souffrir d’allergies et même ressentir des lacunes sur le plan social.

Nathalie Burkett souligne cependant qu’elle ignore si le choix du végétarisme est la cause de ces symptômes, ou si l’inverse serait vérifiable.

Elle croit cependant que l’étude démontre clairement encore une fois que le meilleur choix de diète demeure la méditerranéenne.

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Trop de protéines peuvent affecter la santé des cinquantenaires

Les gens qui traversent le cap de la quarantaine et de la cinquantaine devraient surveiller leurs apports en protéines dans leur alimentation, si l’on se fie aux conclusions proposées dans une nouvelle étude.

L’étude en question, rapportée par The National Library of Medicine, estime qu’une diète à forte teneur en protéines peut s’avérer dommageable pour la santé des personnes en « milieu de vie », soit entre 45 et 60 ans.

Passé cet âge, étrangement, il semble que les protéines redeviennent un allié de la santé, comme le confirmait d’ailleurs une récente étude sur le sujet.

« La recherche démontre qu’une diète faible en protéines en milieu de vie peut être utile pour prévenir du cancer et de la mortalité en général. Cependant, nous proposons également qu’à un âge plus avancé, il peut être important d’éviter une diète faible en protéines afin de maintenir un poids santé », explique la coauteure de l’étude, Eileen Crimmins, de l’Université de la Californie du Sud.

En clair, l’humain doit s’adapter selon son groupe d’âge en matière de santé, et cette nouvelle étude confirme que les besoins et dangers du corps humain évoluent avec les autres facteurs lors du vieillissement.

Les conclusions de l’étude californienne ont été publiées dans le magazine Cell Metabolism.

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La réforme alimentaire scolaire aux États-Unis porte ses fruits

Il semble que la campagne et la réforme en alimentation dans les écoles américaines aient commencé à porter leurs fruits, alors que l’on recense une hausse de la consommation des fruits et légumes chez les étudiants.

C’est à tout le moins les conclusions proposées par une étude en provenance de la Harvard School of Public Health, à Boston, qui suggère un premier succès pour la réforme qui avait pris naissance en 2012.

On se souviendra que Michele Obama y avait été d’un intense plaidoyer en faveur d’une amélioration de la nourriture proposée dans les écoles, mais surtout d’un accès bonifié aux fruits, légumes et aliments sains pour les jeunes moins favorisés.

Une réforme officielle de la part de l’US Department of Agriculture (USDA) avait alors été proposée à l’automne 2012, rappelle MedicalNewsToday.

Selon les recherches effectuées par l’équipe de Harvard, Juliana Cohen en tête, c’est pas moins de 32 millions d’étudiants qui mangent un repas à l’école chaque jour. Du lot, un grand nombre d’étudiants issus de familles moins fortunées vont chercher 50 % de leur apport calorique quotidien à l’intérieur des murs de leur école.

Cohen et son équipe se réjouissent donc maintenant de constater que la consommation de fruits et de légumes est en hausse de près de 23 % chez ces étudiants.

Un premier pas de franchi, donc, dans la lutte sans relâche que tentent de mener les autorités contre le fléau de l’obésité en Amérique du Nord.

Les conclusions de la recherche en provenance de Harvard ont été publiées dans l’American Journal of Preventive Medicine.

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Le chocolat noir est aussi bénéfique pour la santé vasculaire

Une nouvelle étude vante les mérites du chocolat noir sur la santé, rapporte Santé Log, cette fois sur celle des vaisseaux sanguins et du système cardiovasculaire.

La recherche provient des Pays-Bas, plus précisément de l’Université de Wageningen, où des chercheurs ont pu observer l’effet d’une consommation de chocolat noir sur les vaisseaux sanguins.

Il appert que l’aliment fort prisé permet d’assouplir les artères et de réduire l’adhérence des globules blancs aux parois des vaisseaux. En clair, ces effets permettent une réduction des risques d’athérosclérose, selon les chercheurs néerlandais.

C’est après des essais menés sur 44 hommes que ces derniers ont pu confirmer l’étendue des bienfaits du chocolat noir sur la santé cardiovasculaire et celle des vaisseaux sanguins, estimant que le chocolat noir est un allié non négligeable.

Une bonne raison d’incorporer le chocolat noir, avec modération, dans son alimentation, ce qui n’est pas le pire des sacrifices, avouons-le.

Les conclusions de cette recherche ont été publiées dans le Faseb Journal.

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La viande rouge et l’exercice vantés pour contrer les effets du vieillissement

La viande rouge ne connaît pas ses meilleurs moments depuis quelques années, étant sauvagement vilipendée par plusieurs lobbys et spécialistes en santé et nutrition.

Les amateurs de viande rouge se consoleront peut-être avec les conclusions de cette nouvelle étude rapportée par Medical News Today, qui vante pour une rare fois les mérites de la viande rouge.

L’étude de l’Université Deakin affirme en effet que des apports en viande rouge maigre et de l’exercice physique régulier peuvent permettre d’éviter certains signes de ralentissements cognitifs dus au vieillissement, et ainsi réduire les risques de développement de la maladie d’Alzheimer et de la démence.

« Considérant les résultats de l’étude, nous croyons que de manger les trois ou quatre portions recommandées par semaine et de les combiner avec un programme d’entraînement pourrait s’avérer la clé pour conserver le corps et l’esprit en condition optimale », explique le professeur Robin Daly.

Ces conclusions peuvent étonner et vont à contresens de plusieurs théories anti-viandes véhiculées abondamment depuis quelques années, mais semblent on ne peut plus réalistes.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans l’American Journal of Clinical Nutrition.

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Manger des fraises peut contribuer à contrôler le cholestérol

ScienceDaily rapporte une étude intéressante en nutrition qui accorde un bénéfice important aux fraises en matière de contrôle des taux de cholestérol dans le sang.

Selon les informations dévoilées, des chercheurs italiens et espagnols ont demandé à une équipe de volontaires de consommer un demi-kilo de fraises quotidiennement, afin de vérifier les effets et impacts de ces petits fruits sur le sang.

L’équipe a ainsi pu confirmer les conclusions de plusieurs autres études sur les bienfaits et apports des antioxydants retrouvés dans la fraise. Mais les chercheurs européens ont également remarqué des changements dans les taux de cholestérol dans le sang affichés par les patients volontaires.

Les niveaux de mauvais cholestérol et de triglycérides des sujets ayant mangé la quantité de fraises proposée au cours du mois d’essai auraient descendu de façon « significative ».

En ajoutant cette fonction aux précédentes accordées à la fraise, on peut donc conclure que le petit fruit est un précieux allié du sang et de la santé, et qu’il serait donc bénéfique de l’inclure à notre alimentation de façon répétée.

Les conclusions de cette recherche ont été publiées dans le Journal of Nutritional Biochemistry.

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L’obésité est maintenant aussi un phénomène européen

L’Amérique du Nord et les États-Unis n’ont plus le « monopole » de l’obésité, semble-t-il, alors que le phénomène semble maintenant s’étendre jusqu’en Europe.

C’est ce que rapporte Top Santé, qui reprend un rapport de l’OMS sur la santé des Européens et sonne l’alarme alimentaire sur le territoire du vieux continent.

Le rapport de l’OMS parle de « nouvelle norme » en matière de poids pour l’Europe, statuant que le surpoids est maintenant plus une moyenne qu’une exception, à l’image des Américains.

L’alimentation des citoyens des 53 pays analysés ferait très souvent largement défaut, ce qui fait augmenter les statistiques de surpoids chez les plus jeunes. 33 % des jeunes 11 ans seraient près de l’obésité, pour 27 % des adolescents, toujours en Europe.

« L’obésité gagne du terrain pour deux raisons. Un trop peu d’activité physique et une surconsommation de produits riches en sucre, en sel et en graisse. Cette combinaison de facteurs est mortelle, d’autant que le phénomène n’étonne plus », lance la directrice de l’OMS en Europe, Zsuzsanna Jakab.

Outre la sédentarité, il ne faudrait peut-être pas oublier de mentionner le phénomène « d’américanisation » observable un peu partout dans le monde, qui comprend ses avantages, mais aussi ses inconvénients.

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La vitamine E et le sélénium augmenteraient les risques de cancer de la prostate

Des apports trop élevés en vitamine E et en sélénium pourraient être hautement dangereux pour certains hommes, selon ce que rapporte Top Santé.

Ce sont les conclusions proposées dans une étude se basant sur les premiers essais du programme Selenium and Vitamin E Cancer Prevention Trial (SELECT) et mettant en doute les bienfaits des suppléments de vitamine E chez certains hommes.

L’étude en provenance du Fred Hutchinson Cancer Research Center avance des chiffres stupéfiants en la matière, considérant que les essais effectués avaient pour but de déterminer la réduction des risques de cancer liée à une prise de suppléments en vitamine E et en sélénium.

Au lieu de cela, on estime une hausse de 91 % des risques de cancer de la prostate chez les hommes consommateurs de suppléments de sélénium. La hausse des risques liée aux suppléments de vitamine E serait quant à elle de 63 %.

« Prendre des suppléments de sélénium sans carence peut devenir toxique. Les hommes qui prennent ce type de suppléments doivent arrêter. Les effets des suppléments simples à forte dose sont imprévisibles, complexes et souvent nuisibles. Les niveaux optimaux sont souvent ceux liés simplement à une alimentation saine », croit l’équipe de chercheurs en tête de l’étude.

Ces inquiétants résultats ont été publiés dans le Journal of the National Cancer Institute.

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Penser au présent influence négativement les choix alimentaires

On nous parle souvent de l’importance de profiter du moment présent et de privilégier celui-ci au lieu d’avoir la tête dans le futur, mais cette idéologie pourrait bien être plus néfaste qu’autre chose en matière d’alimentation.

Selon une étude américaine en provenance de l’Université du Delaware, les personnes aptes à manger de façon équilibrée ou à tenir le coup face à un régime seraient celles dont les pensées sont axées vers le futur, rapporte Top Santé.

Parfois hors de contrôle, le réflexe de se concentrer sur le présent et sur les choses réconfortantes de l’environnement immédiat survient souvent lors de mauvaises passes et de moments de déprime, selon le professeur Meryl Gardner.

Cette dernière, qui dirige l’étude, explique : « Lorsque nous nous sentons mal à l’aise ou de mauvaise humeur, nous savons que quelque chose ne va pas. C’est logique de se concentrer sur ce qui est proche de nous physiquement et temporairement. Si les personnes de mauvaise humeur choisissent souvent des aliments qui leur fournissent une récompense immédiate, il serait plus efficace de les encourager à améliorer leur humeur d’une autre façon. Si vous ne vous sentez pas en phase avec vous-même, au lieu de vous concentrer sur la nourriture et les étiquettes, essayez de parler à des amis ou d’écouter de la musique ».

Comme ces recherches l’indiquent, il est possible de conditionner un patient à prendre les bonnes décisions alimentaires lors de phases de déprime ou de détresse psychologique, et ainsi éviter de compenser ou de se réconforter dans la nourriture.

La clé résiderait donc dans la capacité à penser au futur et à se tourner vers l’avenir, afin de se concentrer sur de meilleurs jours à venir et les conséquences de mauvais choix alimentaires, et non sur ce gâteau au chocolat disponible au présent.