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Les personnes impulsives plus à risque d’obésité

Une nouvelle étude américaine trace un parallèle entre l’impulsivité et une hausse des risques d’obésité, rapporte Santé Log.

Selon des chercheurs de l’Université de Géorgie, un comportement impulsif peut mener rapidement à une prise de poids. La même chose s’applique à l’abus d’alcool et de drogues, mais le phénomène serait particulièrement sournois en matière d’alimentation.

Ce lien a pu être tracé grâce à l’analyse de sujets volontaires, que l’on a soumis à deux types de tests. Le premier vérifiait le niveau de dépendance alimentaire et les habitudes de consommation, alors que le deuxième s’attardait au degré d’impulsivité des sujets. 233 de ces volontaires à l’étude ont permis d’établir le lien exposé par les chercheurs.

Ils croient ainsi qu’il est possible de s’attaquer à l’obésité et aux troubles alimentaires de la même façon qu’on le fait pour traiter d’autres dépendances découlant de l’impulsivité.

Cette étude s’ajoute donc à plusieurs autres qui ont précédemment établi que la surconsommation de nourriture et certains troubles alimentaires sont des phénomènes similaires aux autres dépendances.

Les aliments gras, salés, sucrés ou réconfortants permettent tous de créer une réaction dans la « zone de récompense » du cerveau, pavant ainsi la voie aux abus et à l’obésité.

D’autres études et recherches sont attendues afin d’analyser les possibles méthodes de traitements afin de venir en aide aux personnes impulsives qui souhaiteraient améliorer leurs habitudes de consommation de nourriture.

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La dangerosité des emballages d’aliments encore démontrée

Une nouvelle étude confirme la dangerosité de la plupart des contenants et processus d’emballage de plusieurs aliments retrouvés dans nos supermarchés, selon ce que rapporte Medical News Today.

Cette nouvelle recherche menée par des scientifiques spécialistes en environnement sonne l’alarme et a de quoi inquiéter les consommateurs.

On y révèle que malgré la régulation de plusieurs produits chimiques, la population entre en contact avec de dangereux produits chaque jour par l’entremise des produits alimentaires transformés ou emballés en usine.

Les plastiques, cartons et autres emballages présentent souvent des traces importantes de formaldéhyde, de bisphénol A, de tributytine, de triclosane et de phtalates, croient les scientifiques impliqués dans l’étude.

« Ces faits sont peut-être d’une grande importance pour les scientifiques qui s’intéressent aux origines de développement des maladies, et des expositions environnementales chez les enfants. Alors que la science de ces substances est débattue et que les faiseurs de règles peinent à satisfaire les actionnaires, les consommateurs sont exposés à ces produits chimiques sur une base quotidienne, la plupart du temps à leur insu », expliquent avec fougue les spécialistes de l’étude.

De quoi créer une véritable réflexion sur nos habitudes de consommation et nous inciter à repenser notre façon de manger.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le Journal of Epidemiology and Community Health.

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Une poignée de noix pour prévenir du cancer du pancréas

Quelques noix peuvent-elles changer la donne en matière de prévention du cancer du pancréas? C’est ce que semble indiquer une nouvelle étude rapportée par le Daily Mail (UK), et qui vante les mérites des noix en prévention de ce virulent type de cancer.

L’étude exhaustive en provenance de l’Université Harvard analysait les données recueillies auprès de 75 000 femmes. Les résultats semblent clairs pour les chercheurs de la prestigieuse université : la consommation de noix peut bel et bien réduire les risques de cancer du pancréas.

On parle d’une diminution des risques de tumeur de 35 % chez les femmes qui consommaient des noix au moins deux fois par semaine.

L’étude ne mentionne pas quel type de noix serait plus efficace en matière de prévention, mais en suggère simplement la consommation hebdomadaire.

Les noix sont également vantées dans plusieurs autres études en nutrition. Elles préviendraient plusieurs maladies et troubles de la santé, et devraient faire partie d’un régime équilibré, selon une majorité de spécialistes.

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Une orange par jour…

Si une pomme par jour éloigne le docteur pour toujours, une orange pourrait bien le garder à distance pour une bonne période de temps également, selon ce que rapporte Medical News Today.

En se basant sur une série d’articles en nutrition, MNT fait la promotion de l’orange comme alliée de la santé, et vante les mérites de sa consommation quotidienne.

Du lot des bienfaits reconnus, l’orange favoriserait une plus belle peau, abaisserait les risques de développer plusieurs types de maladies et s’avère peu calorique.

On mentionne aussi que l’orange possède de fortes propriétés anti-inflammatoires, notamment grâce aux flavonoïdes, en plus de multiples antioxydants.

Il ne faudrait surtout pas oublier la fameuse vitamine C, l’un des bienfaits de l’orange connu de tous. Mais l’orange contient aussi de la vitamine B6, du phosphore, du magnésium et du sélénium, pour ne nommer que ceux-là, des nutriments qui contribuent à un système immunitaire fort.

Plusieurs autres nutriments contenus dans l’orange seraient capables de faire baisser les risques de développer certains cancers, une raison de plus pour adopter le fruit à son alimentation quotidienne.

Même les risques d’ACV et de haute pression seraient à la baisse chez les consommateurs d’orange, toujours selon cette même source.

En somme, l’orange possède tant de qualités qu’il faudra peut-être un jour penser à changer l’adage. Une orange par jour…

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La salade de chou, nouvelle alliée de la santé?

Qui aurait cru que des spécialistes nous conseilleraient un jour de manger davantage de salade de chou? C’est pourtant ce qui ressort d’une nouvelle étude qui vante les mérites des aliments fermentés comme ladite salade, les marinades et certains fromages.

Cette plus récente recherche abonde donc dans le même sens que celle publiée il y a quelques jours à peine par des chercheurs de Cambridge qui vantait les mérites du yogourt pour des raisons similaires, rapporte le Daily Mail (UK).

D’autres études préconisant la consommation d’aliments fermentés ont également été publiées au cours des derniers mois et des dernières années. Ces produits permettraient notamment de prévenir certaines maladies, des virus, des allergies, et favoriseraient une meilleure digestion.

Le phénomène s’explique par la présence bactéries, qui permettent une protection accrue de l’organisme.

« La perception de la santé publique a toujours été obsédée par les bactéries. On les considère comme des ennemies, mais 99,9 % d’entre elles sont bénignes. Un grand nombre de bactéries sont en relation symbiotique avec nous. Elles nous aident, et nous en avons besoin », tranche Michael Pollan, un spécialiste en nutrition américain.

Ces conclusions abondent dans le même sens que deux études publiées dans le Journal of Dairy Research et le journal Critical Reviews in Microbiology.

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Les épinards et les oeufs favoriseraient des réflexes plus rapides

Certains aliments peuvent-ils augmenter votre vitesse de réaction et vos réflexes?

Si l’on se fie aux informations rapportées par Science Daily, il semble que oui, à condition que ces aliments contiennent de la tyrosine. Cette dernière est un acide aminé compris dans la composition des protéines, notamment.

Les épinards et les œufs sont d’excellents exemples d’aliments renfermant de la tyrosine, semble-t-il, puisqu’ils sont cités en exemple dans cette étude en provenance des universités Leiden et d’Amsterdam.

Les chercheurs ont testé les bienfaits des aliments renfermant de la tyrosine sur un groupe de sujets, et ont rapidement décelé une amélioration des réflexes et du temps de réaction de ceux-ci dans certaines situations données.

Notamment, on avance que les personnes ayant consommé des œufs ou des épinards avant de prendre le volant auraient moins de chances de faire un accident, ou à tout le moins de réagir plus rapidement que les autres en situation d’accident potentiel.

Les résultats étonnants de cette étude ont été publiés dans le journal Neuropsychologia.

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Création d’une vaste étude sur les bienfaits de la nourriture bio

Un accès simplifié aux aliments bios et une crainte face aux produits transformés et aux pesticides ont largement contribué à l’essor de l’industrie de l’alimentation biologique au cours des dernières années.

Avec cette hausse de popularité vient également un large débat sur les dangers réels de l’alimentation dite « traditionnelle », ainsi que sur la véracité des bienfaits allégués par les défenseurs de la nourriture bio.

Pour permettre des réponses plus claires à ces nombreuses questions, un groupe d’experts décide de mettre sur pied une vaste étude sur les bienfaits véritables des produits alimentaires biologiques, rapporte Top Santé.

Baptisée BioNutriNet en lien avec l’initiative française NutriNet Santé, l’étude sera conduite par le professeur Serge Hercberg et la Dre Emmanuelle Kesse-Guyot.

100 000 sujets volontaires, certains consommateurs de bio et d’autres non, seront analysés sous tous les angles durant cinq années, afin d’observer les changements et impacts de leurs différents types d’alimentation sur leur santé.

300 candidats subiront également des tests sanguins, notamment pour évaluer les taux de vitamines et la présence de pesticides dans leur organisme.

Une étude exhaustive, en somme, qui devrait permettre de mieux comprendre les impacts réels des aliments biologiques sur la santé humaine.

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L’insécurité alimentaire frappe aussi le Canada

Malgré une reprise économique intéressante, le Canada ne fait pas exception en matière d’insécurité alimentaire, selon des informations rapportées par le Medical News Today.

En étudiant les statistiques dévoilées dans le second rapport PROOF sur l’insécurité alimentaire des foyers canadiens, on se rend compte que le phénomène de manque touche quatre millions de Canadiens, dont 1,15 million d’enfants.

Le rapport va plus loin, en spécifiant pour la toute première fois le bilan de 33 grandes villes canadiennes en la matière. On apprend ainsi que la ville la plus touchée serait Halifax, avec un foyer sur cinq aux prises avec un problème d’insécurité alimentaire.

Sherbrooke et Québec sont parmi les villes les moins touchées, tout comme Hamilton et Sudbury.

« Le rapport brise la norme en soulignant les sérieuses inquiétudes concernant les taux élevés d’insécurité alimentaire au Canada. L’information du rapport est extrêmement précieuse pour les communautés afin qu’elles comprennent l’importance du problème dans leurs régions », croit le Dr Bernie Pauly, de l’Université de Victoria.

La prochaine étape sera sans doute de trouver des pistes de solution afin de venir en aide à ces familles et ces personnes touchées par le phénomène, alors que les banques alimentaires affirment elles même être au maximum de leur capacité.

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Les yogourts faibles en gras pourraient prévenir le diabète

The National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude qui vante les mérites des yogourts faibles en gras en prévention du diabète.

L’étude en question, publiée par des chercheurs britanniques, suggère de fortes propriétés préventives en matière de diabète à ces produits, qui pourraient contribuer à réduire le nombre de cas de diabète de type II.

Les chercheurs parlent d’une réduction des risques pouvant même aller jusqu’à 30 % chez les personnes qui consomment ces yogourts quotidiennement, comparativement à celles qui n’en consomment pas du tout.

D’autres produits laitiers fermentés pourraient avoir des impacts similaires sur la santé, selon l’équipe de chercheurs basée à l’Université de Cambridge, par exemple certains fromages à faible teneur en gras.

« Ce que notre étude démontre surtout est que le yogourt devrait faire partie d’un régime équilibré », lance le Dr Nita Forouhi, qui dirige ces recherches.

Foruhi fait cependant remarquer que cette étude ne démontre pas de cause à effet, mais que certaines statistiques ne mentent pas.

Les apports en calcium, magnésium et vitamine D seraient tous des facteurs qui contribueraient à un risque réduit de développement du diabète de type II.

Ces conclusions et observations ont été publiées dans le journal Diabetologia.

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Un meilleur accès à de bons aliments ne garantit pas une meilleure alimentation

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une étude en alimentation, qui constate un faible impact social découlant d’un meilleur accès à des aliments jugés « santé ».

En clair, proposer une plus grande offre de produits sains et de commerces en alimentation santé ne garantirait en rien une amélioration des habitudes de consommation des citoyens, selon l’étude proposée par des chercheurs de la Penn State University et de la London School of Hygiene and Tropical Medicine.

Les chercheurs ont analysé pour le bien de l’étude les impacts de l’ouverture d’un nouveau supermarché dans un quartier défavorisé de Philadelphie, l’un des 88 nouvellement ouverts en Pennsylvanie dans le cadre de la démarche Pennsylvania Fresh Food Financing Initiative.

En suivant 650 citoyens sur une période de quatre ans, les chercheurs ont constaté que bien peu avaient changé leurs habitudes alimentaires pour le mieux, même en étant conscients de la soudaine proximité d’aliments frais et bons pour la santé.

Seulement 27 % des citoyens ont utilisé le nouveau supermarché comme source principale d’alimentation, et à peine la moitié a fréquenté le commerce.

L’étude suggère donc que ces initiatives doivent être accompagnées de féroces campagnes de marketing, afin de sensibiliser et encourager les gens à changer leurs habitudes de vie et à profiter des nouveaux commerces qui leur sont offerts.