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L’hormone de l’amour en traitement de l’anorexie?

L’hormone de l’amour peut-elle venir en aide aux personnes aux prises avec des troubles alimentaires comme l’anorexie? C’est ce que suggère une nouvelle étude rapportée par The National Library of Medicine, alors que des chercheurs britanniques ont testé une hormone appelée l’ocytocine sur des patients souffrant d’anorexie.

L’étude s’est effectuée avec un groupe test de 64 sujets, dont 31 ont reçu de l’ocytocine ou un placébo. 33 personnes constituaient le groupe test de sujets « sains », c’est-à-dire sans trouble alimentaire.

Les résultats sont étonnants, alors qu’une série d’images proposée aux patients a démontré que ces derniers semblaient moins concentrés sur les aspects négatifs de la nourriture et moins anxieux qu’à l’habitude.

L’hormone associée au plaisir et au sentiment amoureux pourrait donc bel et bien aider les personnes anorexiques, croit Janet Treasure, auteure principale de l’étude.

« C’est une recherche préliminaire avec un petit nombre de participants, mais il est grandement excitant de voir le potentiel de ce traitement. On aura besoin d’essais plus larges avant d’entamer des changements dans la manière dont les patients sont traités », explique Mme Treasure.

Les résultats de l’étude britannique ont été publiés dans le journal Psychoneuroendocrinology.

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L’insécurité alimentaire frappe aussi le Canada

Malgré une reprise économique intéressante, le Canada ne fait pas exception en matière d’insécurité alimentaire, selon des informations rapportées par le Medical News Today.

En étudiant les statistiques dévoilées dans le second rapport PROOF sur l’insécurité alimentaire des foyers canadiens, on se rend compte que le phénomène de manque touche quatre millions de Canadiens, dont 1,15 million d’enfants.

Le rapport va plus loin, en spécifiant pour la toute première fois le bilan de 33 grandes villes canadiennes en la matière. On apprend ainsi que la ville la plus touchée serait Halifax, avec un foyer sur cinq aux prises avec un problème d’insécurité alimentaire.

Sherbrooke et Québec sont parmi les villes les moins touchées, tout comme Hamilton et Sudbury.

« Le rapport brise la norme en soulignant les sérieuses inquiétudes concernant les taux élevés d’insécurité alimentaire au Canada. L’information du rapport est extrêmement précieuse pour les communautés afin qu’elles comprennent l’importance du problème dans leurs régions », croit le Dr Bernie Pauly, de l’Université de Victoria.

La prochaine étape sera sans doute de trouver des pistes de solution afin de venir en aide à ces familles et ces personnes touchées par le phénomène, alors que les banques alimentaires affirment elles même être au maximum de leur capacité.

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L’effet Facebook sur les troubles alimentaires

Plusieurs effets retour du plus important et populaire média social de notre époque, Facebook, commencent à faire leur apparition. Quelques études ont précédemment établi que, malgré ses avantages évidents, le système comprend quelques dangers pour la santé psychologique, notamment pour l’estime de soi.

Le Daily Mail (UK) en rapporte une nouvelle sur le sujet, alors que des chercheurs de l’American University, à Washington, constatent que Facebook peut avoir des effets néfastes sur la vision qu’ont d’elles-mêmes plusieurs jeunes femmes, pavant ainsi la voie à un déclenchement potentiel de certains troubles alimentaires.

Le web, on le sait, peut renvoyer une image irréaliste, alors que la majorité des personnes s’y décrivent et proposent des photos à leur avantage. Or, en regardant constamment des photographies d’autres jeunes femmes plus minces, plus « belles » ou plus heureuses, certaines seront enclines à désespérer sur leur sort et entrevoir des options néfastes pour la santé.

C’est ce que croient les chercheurs impliqués dans cette étude, qui analysait les comportements de 103 jeunes femmes volontaires. Cette recherche, tout de même sommaire, peut s’ajouter aux quelques-unes publiées précédemment pour proposer une solution plus qu’évidente : le temps passé sur les médias sociaux se doit d’être modéré… il en va de la santé mentale collective.

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Nouveau traitement prometteur mais controversé contre les troubles alimentaires

Des chercheurs de l’University Health Network de Toronto publient les résultats d’une recherche clinique et affirment détenir la clé d’une nouvelle méthode de traitement de certains troubles alimentaires comme la boulimie ou l’anorexie.

Il s’agit d’un traitement expérimental, prometteur mais controversé, qui utilise un système de stimulation magnétique au cerveau. Bien que l’on affirme que le traitement est « non invasif », toute stimulation cérébrale externe soulève bien sûr son lot de questions.

Toutefois, rapporte The National Library of Medicine, l’équipe torontoise menée par le Dr Jonathan Downar croit fermement que la méthode peut aider les patients aux prises avec de sérieux troubles alimentaires comme l’anorexie ou la boulimie, des problèmes qui demeurent extrêmement difficiles à soigner.

« Les résultats démontrent qu’entre 50 et 60 % du temps, vous voyez une réduction de 50 % des comportements compulsifs. Et ceci, chez des patients qui ont pourtant déjà essayé tous les autres traitements pour mettre un terme à leur trouble alimentaire, sans succès. Alors, ce dont nous parlons est absolument sans précédent », explique Downar, convaincant.

Downar et son équipe présentaient les conclusions de leur recherche à la rencontre annuelle de la Society for Neuroscience, à San Diego.

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Les troubles alimentaires touchent aussi les garçons

Radio-Canada rapporte une entrevue accordée à Catherine Perrin par trois invités qui se spécialisent à leur façon dans les troubles alimentaires, trois hommes de surcroît, et qui croient qu’on ne parle pas assez de ce type de problèmes chez les garçons.

Il s’agit du Dr Jean Wilkins, de l’auteur Simon Boulerice et de Jean-Marie Lapointe, qui partagent tous le même avis.

Simon Boulerice et Jean-Marie Lapointe veulent sensibiliser les garçons victimes de boulimie et d’anorexie et leur entourage, et lancer le message que le phénomène n’est pas plus banal lorsqu’il s’agit d’un garçon que d’une fille.

Le Dr Wilkins a quant à lui fondé la division de médecine adolescente de Sainte-Justine, et souligne qu’une personne sur dix souffrant de troubles alimentaires est en fait un garçon.

« Le contrôle est central dans cette maladie-là. On pourrait dire que c’est une inflammation du contrôle : une contrôlite! », explique avec couleur le spécialiste.

Boulerice et Lapointe en profitent pour partager leurs expériences avec la maladie, mais surtout pour dénoncer l’absence presque totale de compréhension et d’empathie de la part des gens, simplement parce qu’ils sont des hommes. Un problème que le trio souhaite contribuer à changer.

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Les efforts pour contrer l’obésité des jeunes commencent à porter des fruits

C’est Medical News Today qui rapporte ces données encourageantes. Bien que l’obésité infantile demeure préoccupante, les résultats sont tout de même encourageants.

En 2010, selon les centres de prévention et de contrôle des maladies, aux États-Unis, plus d’un tiers des enfants et adolescents présentaient un surplus de poids ou étaient déjà obèses. Cependant, entre 2008 et 2011, à la suite de mesures prises par le système de santé, le taux d’obésité a chuté dans 19 États.

La nouvelle étude menée par Eunice Kennedy au National Institute of Child Health and Human Development, à Bethesda, offre des résultats appréciables. Les données récoltées auprès de 35 000 enfants et adolescents démontrent qu’entre 2001 et 2009, les habitudes alimentaires et l’exercice physique ont pris une plus grande place chez les jeunes.

Par exemple, en 2001, la consommation de fruits et de légumes était présente de 2 à 4 jours par semaine. En 2009, elle a grimpé de 5 à 6 jours. D’autre part, les jeunes sont désormais plus conscients de l’importance de manger un déjeuner et consomment moins de boissons sucrées.

Bien que l’exercice soit encore loin de l’heure par jour recommandée, les jeunes ont tout de même augmenté de 4,33 à 4,53 les heures d’activité physique par semaine. De même, le temps passé devant la télévision a diminué.

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L’ex de Jane Lynch veut encore plus d’argent

Jane Lynch croyait bien avoir réussi son divorce, à défaut d’avoir réussi son mariage, mais il semble que celui-ci soit sur le point de devenir subitement beaucoup plus houleux que prévu, selon ce que rapporte TMZ.

En effet, la superstar de Glee et volubile actrice semblait se diriger tout droit vers un divorce amical… avant que son ex-femme décide maintenant de réclamer 93 000 $ par mois en pension alimentaire!

La demanderesse, Dre Lara Embry, évalue les revenus mensuels de Lynch à près de 235 000 $ et mentionne les épargnes précédentes et les avoirs du couple.
 
Embry ne semble pas avoir toute la bonne foi du monde, et son argumentation repose principalement sur un « style de vie auquel elle s’est grandement habituée ». Elle souhaite donc que son ex-femme d’actrice s’assure qu’elle puisse maintenir ce genre de train de vie, qui pouvait parfois frôler les 40 000 $ en simples achats par carte de crédit!
 
Jane Lynch pourra-t-elle se sortir de ce mauvais pas?
 
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L’ex de Jane Lynch veut encore plus d’argent

Jane Lynch croyait bien avoir réussi son divorce, à défaut d’avoir réussi son mariage, mais il semble que celui-ci soit sur le point de devenir subitement beaucoup plus houleux que prévu, selon ce que rapporte TMZ.

En effet, la superstar de Glee et volubile actrice semblait se diriger tout droit vers un divorce amical… avant que son ex-femme décide maintenant de réclamer 93 000 $ par mois en pension alimentaire!

La demanderesse, Dre Lara Embry, évalue les revenus mensuels de Lynch à près de 235 000 $ et mentionne les épargnes précédentes et les avoirs du couple.

Embry ne semble pas avoir toute la bonne foi du monde, et son argumentation repose principalement sur un « style de vie auquel elle s’est grandement habituée ». Elle souhaite donc que son ex-femme d’actrice s’assure qu’elle puisse maintenir ce genre de train de vie, qui pouvait parfois frôler les 40 000 $ en simples achats par carte de crédit!

Jane Lynch pourra-t-elle se sortir de ce mauvais pas?

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L’ex de Brendan Fraser n’entend pas se contenter de moins d’argent

On peut dire que l’ex-femme de Brendan Fraser, Afton Smith, n’a pas l’intention de laisser l’acteur respirer un peu en ce qui concerne la pension alimentaire de 50 000 $ qu’il lui verse mensuellement, selon ce que rapporte Female First (UK)

Fraser a pourtant fait valoir à la cour, en février dernier, que le ralentissement de sa carrière au cinéma ne lui permettait plus d’être aussi généreux qu’à l’habitude en ce qui concerne cesdits paiements mensuels.

Smith contre-attaque en mentionnant les derniers films de la star ainsi que sa valeur nette de plus de 25 millions de dollars. L’acteur de 44 ans rétorque que plusieurs problèmes médicaux et personnels ont fait baisser cette valeur, en plus d’avoir perdu un peu de sa popularité chez les décideurs hollywoodiens.

Si on fait le calcul, une pension alimentaire de 50 000 $ par mois représente au bas mot 600 000 $ annuellement, une somme considérable, avouons-le.

Qui aura le dernier mot?

 

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Stevia : la nouvelle alternative efficace au sucre

Non, il ne s’agit pas d’un nouveau prénom en vogue, mais plutôt d’un sucre nouveau genre qui pourrait être appelé à devenir la solution parfaite au remplacement du sucre raffiné.

Stevia, donc, est le nom de ce nouveau produit que le Daily Mail (UK) décrit comme étant « doux comme le sucre, mais sans aucune de ses calories ».

Le produit provient d’une plante extraite d’Amérique du Sud et qui jouit d’une vague de popularité auprès de plusieurs observateurs qui aimeraient bien mousser Stevia comme alternative au sucre, qualifié d’ennemi numéro un de la nutrition depuis quelque temps.

« Stevia peut aider les gens à apprécier un sucre de texture naturelle, tout en réduisant les calories, s’intégrant ainsi parfaitement dans le cadre d’une diète équilibrée et bonne pour la santé. Il y a d’énormes occasions pour l’industrie de satisfaire les demandes nationales et internationales de réduction des apports en sucre dans les produits afin de contrer la crise de l’obésité », résume la Dre Margaret Ashwell, membre de la Scientific Advisory Board of the Global Stevia Institute.