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Les habitudes alimentaires seraient influencées par les opinions sur l’obésité

Une nouvelle étude vient tracer un lien pour la toute première fois entre ce que les gens pensent de l’obésité et des raisons qui provoquent un gain de poids, et leur poids actuel.

En clair, selon The National Library of Medicine, les opinions et les idées préconçues sur l’obésité et le surpoids influenceraient les habitudes alimentaires de la plupart des consommateurs.

Des chercheurs ont mis sur pied un vaste sondage impliquant des répondants de partout dans le monde. Ils ont rapidement découvert qu’un fort pourcentage de ceux-ci associaient la prise de poids à une mauvaise alimentation ou à l’absence d’activité physique, mais rarement aux deux en même temps.

L’ADN et le bagage génétique semblent aussi des raisons complètement oubliées.

Ainsi, les répondants qui croient que le manque d’exercice physique est uniquement à blâmer pour le surpoids auraient tendance à manger plus, notamment de chocolat!

Par contre, ceux qui accusent la mauvaise alimentation afficheraient, quant à eux, une masse corporelle moins importante que les autres.

Ces derniers n’ont cependant pas plus raison que les autres répondants, le gain de poids s’expliquant très souvent par les deux facteurs combinés, et non pas un seul.

Les auteurs de l’étude croient qu’il s’agit de la preuve qu’une meilleure sensibilisation et information de la population est possible dans le dossier. 

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Une « carte alimentaire » bientôt à l’essai

Nutrition News rapporte que des chercheurs de l’Université de Caroline du Nord travaillent sur un concept fort intéressant qui pourrait venir en aide à des millions de consommateurs qui s’interrogent quant à leur alimentation.

Il s’agit d’un projet de « carte alimentaire », qui permettrait aux citoyens de s’y retrouver à travers les nombreux produits offerts en magasins et en supermarchés, mais aussi parmi les nombreuses légendes et théories qui pullulent en alimentation.

Tellement que la fascination pour la nourriture et la santé tourne maintenant en obsession, et les informations qui circulent sont si nombreuses et contradictoires qu’elles laissent souvent le consommateur dans une zone grise… ou carrément dans le noir.

Ainsi, cette carte de la nourriture permettrait d’obtenir en un instant toutes les informations relatives à un produit ainsi qu’à tous ses dérivés et marques diverses.

Des informations et des guides alimentaires seraient également accessibles. Bref, tous les outils afin de mieux informer le citoyen, pour que ce dernier puisse faire des choix éclairés en toute connaissance de cause.

On apprend que le projet découle d’une série de mesures commandées par la première dame des États-Unis, Michelle Obama, qui souhaite participer à la lutte à l’obésité et aux problèmes de santé des Nord-Américains.

On attend maintenant la finalisation du projet « carte alimentaire » afin d’en vérifier l’utilité.

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Photographier ses repas pourrait indiquer un trouble alimentaire

S’il y a une mode bien étrange en ce moment, c’est celle de prendre des repas en photo pour les partager sur les nombreux réseaux sociaux.

Qui n’a pas déjà vu passer des photographies d’assiettes remplies, de fast-food ou de sushis, se demandant quel était le but réel de cette manœuvre.

Pour Valerie Taylor, du Women’ s College Hospital de l’Université de Toronto, ce phénomène n’est pas toujours bénin. En fait, il est même probable qu’il cache un problème alimentaire chez plusieurs de ces personnes, rapporte La Dépêche, qui reprend les propos de la spécialiste.

« J’ai des patients pour qui la nourriture est devenue problématique, et il leur est difficile de sortir sans parler d’autre chose que de ce qu’ils mangent, quand ils mangent, le moment où ils vont de nouveau passer à table », explique Taylor.

Vous reconnaissez quelqu’un qui ressemble à ce profil? Ou peut-être faites-vous vous-même partie de cette catégorie…

Pour la spécialiste, qui s’exprimait lors du Sommet canadien sur l’obésité récemment, l’obsession de la nourriture est un trouble alimentaire en soi, et souvent un pas vers l’obésité.

« On prend des photos de ce qui est important pour nous, et pour certaines personnes, la nourriture devient centrale alors que tout le reste — le lieu, les personnes, etc. — fait uniquement partie du décor », termine Taylor, qui présente ici un problème fort intéressant.

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Des craintes majeures concernant l’accès à l’eau dans le monde d’ici deux ans

2015, une année pas si lointaine, pourrait marquer le début de ce qu’on appelle la « crise de l’eau », un problème déjà existant et qui ne pourrait faire qu’empirer si aucun effort international n’est mis de l’avant.

C’est un peu ce qui ressort des conclusions publiées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui presse les gouvernements du monde entier d’agir en la matière avant qu’il soit trop tard, rapporte Santé Log.

Le rapport, intitulé Progress on sanitation and drinking-water 2013 update, parle de près de 2,5 milliards de personnes qui n’auront pas accès à de l’eau potable traitée d’ici 2015, des chiffres qui font mal.

« Chaque jour, des centaines d’enfants meurent, des milliers de parents pleurent leurs enfants », s’indigne Sanjay Wijesekera de l’UNICEF.

Un sentiment légitime, alors que seulement 64 % de la population mondiale aurait accès à des installations sanitaires et d’eau potable. À peine la note de passage, dans un examen où la seule réussite se situe au seuil du 100 %.

Il ne faut pas être de gauche ou de droite pour comprendre l’importance et la capacité des gouvernements et des richissimes compagnies à y faire quelque chose, mais les priorités sont souvent celles dictées par le symbole $.

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Les allergies alimentaires et l’eczéma en hausse chez les enfants

Les Centers for Disease Control and Prevention ont fait une mise à jour des données compilées entre 1997 et 1999, qui indiquaient que 3,4 % des jeunes étaient aux prises avec de l’eczéma ou des allergies alimentaires. Entre 2009 et 2011, c’est 5,1 % des enfants qui se retrouvent dans cette situation.

En ce qui a trait à l’eczéma, les données ont grimpé de 5 %, passant de 7,4 à 12,5 % dans le dernier rapport. Fort heureusement, pour les troubles respiratoires, notamment l’asthme et le rhume des foins, les résultats n’ont présenté aucune hausse des cas recensés.

My Health News Daily rapporte que les causes sont encore indéterminées, selon LaJeana Howie, responsable de l’étude. Cependant, on suggère que les enfants doivent être exposés à différents germes ou infections dans leur petite enfance, ce que la société moderne élimine avec ses normes « trop hygiéniques ».

Il serait tout indiqué, donc, que l’on diminue un peu cette frénésie hygiénique. Celle-ci nous prive de l’exposition naturelle aux germes présents dans notre environnement. Depuis la grippe H1N1, les lieux publics, tout comme nos maisons, se sont transformés en endroits stérilisés.

Prenons conscience que ces mesures affaiblissent nos défenses immunitaires naturelles.

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Percée étonnante dans le traitement des troubles alimentaires

Plusieurs troubles alimentaires pourraient être mieux traités dans un avenir rapproché, si les récentes découvertes d’un groupe de chercheurs de l’Université d’East Anglia s’avéraient fondées.

Selon Nutrition News, ces spécialistes auraient réussi à cerner le processus qui régit le contrôle de l’appétit, en plus de déterminer que notre relation avec notre estomac serait tracée dès la naissance.

Certaines personnes seraient appelées à manger plus que d’autres « naturellement », la différence s’établissant dès la formation du cerveau chez le bambin.

Toutefois, les chercheurs en tête de ces recherches croient qu’il est possible de « recâbler » le cerveau d’une telle façon que l’on permettrait à ces gens de retrouver des sentiments de faim et un appétit dans la moyenne.

Exit alors les problèmes d’obésité, et on croit même que ce procédé permettrait des percées intéressantes dans le traitement d’autres troubles de la santé, comme l’anorexie.

Dans la plus récente édition du Journal of Neuroscience, les chercheurs font état d’un groupe de cellules souches qui permettraient la régénération des neurones capables de réguler efficacement l’appétit, une découverte fascinante!

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Le régime alimentaire « de l’Ouest » blâmé par des Britanniques

Des chercheurs britanniques viennent de publier une étude qui n’est pas tendre à l’endroit des Nord-Américains, rapporte The National Library of Medicine.

En fait, ces spécialistes y vont de salves à l’endroit de ce qu’ils baptisent « la diète de l’Ouest », qu’ils considèrent comme un excellent moyen de se retrouver six pieds sous terre avant son temps.

On considère comme faisant partie de ce régime alimentaire les viandes transformées (ou séparées mécaniquement), les aliments sucrés, les aliments frits (frites, poulet, etc.), les grains raffinés et les produits laitiers.

Les chercheurs, qui publient ces conclusions dans The American Journal of Medicine, ont étudié les cas de plus de 5000 personnes (deux fois plus d’hommes que de femmes) sur une période de 24 ans.

Analysant les différents types de régime alimentaire de chacun des sujets de l’étude, les chercheurs ont constaté aisément que les pourcentages de longévité étaient beaucoup moins impressionnants chez ceux qui se nourrissent « à l’américaine ».

De plus, on rappelle que ceux qui « survivront » à ce type de diète ont également beaucoup moins de chance de vieillir en santé et de pouvoir profiter de leurs vieux jours.

Ils croient qu’une véritable révolution alimentaire s’impose. Difficile de les contredire…

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LeAnn Rimes nie les rumeurs d’anorexie

LeAnn Rimes a beau avoir connu sa part de problèmes, rapporte le magazine Us, elle n’est pas anorexique, affirme-t-elle.

La chanteuse déclare ne pas souffrir d’un trouble alimentaire quelconque, contrairement à ce que plusieurs rumeurs et sources persistent à avancer.

LeAnn Rimes démontre depuis deux ans des pertes de poids qui inquiètent les observateurs, mais elle persiste et signe en affirmant que ces changements de masse n’étaient dus qu’au stress.

« Les gens ont dit que j’étais anorexique, mais je n’avais pas de problèmes avec le fait de manger, je mange énormément tout le temps. Je pourrais manger mon mari sous la table. », lance maladroitement Rimes.

Elle ajoute : « Mais je traversais une période difficile et je ne dormais pas. Mon esprit ne voulait pas se fermer et mon cœur se brisait ».

Elle fait ici référence à sa relation avec l’homme qui allait devenir son mari, Eddie Cibrian, hautement médiatisée et critiquée par bien des gens.

LeAnn Rimes semble maintenant en pleine forme, ce qui pourrait confirmer ces propos.

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Une mauvaise alimentation mène aussi à la mauvaise humeur

Le fait de ne pas veiller à son alimentation ne mènerait pas qu’à des problèmes de santé physique chez la femme, selon Santé Log.

D’après une étude en provenance de la Pennsylvanie, les problèmes de comportement en alimentation sont aussi gages de troubles psychologiques, notamment en ce qui a trait à l’humeur.

Présentées lors du dernier congrès annuel de l’American Psychosomatic Society, ces conclusions font état de la relation des femmes avec la nourriture, et des résultats sur leurs émotions qui en découlent.

« Nous nous sommes intéressés à l’étude de femmes dans leur vie de tous les jours pour suivre leur humeur et leurs habitudes alimentaires, et obtenir ainsi une image plus précise de la relation entre les émotions et l’alimentation », expliquent les chercheurs de Penn State.

Les résultats démontrent cependant qu’une femme de bonne humeur ne devrait pas nécessairement voir celle-ci se dégrader, mais que celle qui s’avère déjà colérique ou dépressive a de grandes chances d’empirer son cas.

Les chercheurs précisent également que ces variations d’humeur sont relatives au degré d’intensité du trouble alimentaire, les pires troubles étant ceux comme l’anorexie et la boulimie.

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Une technique extrême pour soigner l’anorexie

On apprend via La Presse qu’une nouvelle méthode pour traiter l’anorexie pourrait faire son apparition. Le problème est que la technique est invasive et assez extrême, mais les spécialistes croient qu’il s’agit d’une excellente solution, qui mérite d’être étudiée.

On parle donc d’implantation d’électrodes dans le cerveau, une phrase qui suffit à faire frémir. Cependant, pour les gens aux prises avec un trouble alimentaire comme l’anorexie grave (et incurable), il pourrait s’agir d’une avenue vers la guérison.

Les chercheurs, qui publiaient les résultats de leurs recherches sur le sujet dans le journal médical Lancet, croient que la technique est tout à fait réalisable et pourrait en effet soigner des gens qui souffrent d’anorexie.

Pour arriver à ce constat, les chercheurs nord-américains ont tenté l’expérience sur six patientes de 24 à 57 ans, et trois sont parvenues à dompter la maladie.

« Cette amélioration de l’humeur et de l’anxiété chez des patientes affichant un poids insuffisant est particulièrement frappante, alors que ces malades répondent généralement mal aux thérapies médicamenteuses ou aux psychothérapies », résume le Dr Andres Lozano, qui coordonnait l’étude.