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Penser avant de manger, ça marche

Il existe une panoplie de trucs et conseils sur la nutrition, en plus des sempiternelles rengaines à propos des fruits, des légumes et de l’exercice régulier.

Voilà que www.nlm.nih.gov rapporte un conseil qui pourrait s’avérer l’un des plus importants de tous, quoique si simple qu’on l’oublie trop souvent. Il s’agit de penser avant de manger!

Les anglophones appellent le phénomène de manger sans réfléchir le « mindless eating », que l’on pourrait traduire par « la nutrition irresponsable ».

Par là, on entend qu’aucun questionnement n’est effectué avant la consommation d’aliments, qu’aucun processus de réflexion n’est fait avant de porter la fourchette à sa bouche.

On conseille plutôt de se demander d’abord si l’on a vraiment faim, la plupart des collations et repas devenant trop fréquents et lourds dans notre mode de vie.

De plus, évitez de vous créer des limites, des impositions, mais misez surtout sur la modération et l’incorporation d’un régime alimentaire quotidien sain, ce qui vous permettra de « tricher » à l’occasion sans remords.

L’un des meilleurs conseils (et des plus efficaces) est de noter ce que l’on mange dans un livre de bord, par exemple, afin de garder le compte des apports nutritionnels et des calories ingérées dans la journée.

On suggère aussi de consulter un spécialiste, un médecin ou un (e) nutritionniste pour vous aider à prendre de bonnes décisions.

 

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Le sucre : un ennemi à surveiller durant les fêtes

Prendre du poids durant les fêtes est un classique, presque une véritable tradition de Noël. Cependant, il n’est pas obligé d’en être ainsi, rapporte e-sante.fr.

Il suffit de surveiller spécialement les quantités de sucre ingérées, puisque ce dernier est l’ennemi numéro un d’une taille de guêpe.

On apprend par ailleurs que selon certaines spécialistes, la mauvaise presse que connait le sucre ne serait vérifiable dans les faits que lorsque les quantités sont trop importantes. Le sucre ne serait donc pas nécessairement « toxique » comme on l’entend un peu partout, et l’est dramatiquement moins lorsque consommé avec modération.

Alors, s’il ne faut surtout pas se priver des bonheurs gastronomiques durant les fêtes, selon la diététicienne consultée par le site, il serait par contre bénéfique de faire des choix éclairés et d’éviter certains produits.

Les plus néfastes et sucrés sont notamment les boissons gazeuses, les biscuits et gâteaux industriels (vendus en boîtes), les bonbons et les céréales commerciales sucrées, la crème glacée et les pâtisseries.

On conseille d’éviter massivement ces produits ou d’en consommer avec une extrême modération, afin de profiter des autres beaux repas de Noël qui comprendront déjà leur part de glucose.

Bien sûr, on rappelle l’importance de faire de l’exercice, le parfait allié à la lutte au surpoids… et au sucre.

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Le bouillon de poulet serait un antivirus naturel puissant

Le bouillon de poulet n’aurait pas que des propriétés psychosomatiques ou placebo, bien qu’il soit réconfortant, selon une récente étude sur le sujet.

En effet, topsante.com rapporte plutôt que selon les conclusions des chercheurs de l’étude, le bouillon de poulet serait bien plus qu’un remède de grand-mère ou une simple source de chaleur et de réconfort.

Il appert que le bouillon de poulet aurait aussi de véritables propriétés antivirales et permettrait ainsi de prévenir, guérir ou combattre la grippe.

Ce serait notamment grâce à une composante retrouvée généralement dans tous les bons bouillons de poulet : la carnosine.

Selon l’étude, publiée dans la plus récente édition de l’American Journal of Therapeutics, la carnosine permet d’attaquer l’influenza dès son apparition dans l’organisme, tout en augmentant les capacités du système immunitaire.

Plusieurs études précédentes viennent corroborer celle-ci, alors que d’autres chercheurs se sont longtemps demandé comment une « simple soupe » pouvait être aussi efficace contre un virus bien réel.

On en sait maintenant un peu plus. La carnosine, combinée à l’effet psychologique réconfortant et douillet du bouillon chaud, permet une revigoration presque instantanée.

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Les grains entiers réduisent les risques de prédiabète

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui donne de bonnes notes aux grains entiers en matière de prévention du diabète. Plus précisément, on parle ici de prédiabète, une condition qui se caractérise par une hausse massive des taux de sucre dans le sang et qui précède souvent le diabète.

Les chercheurs suédois en tête de ces recherches ont fait la preuve de cette affirmation en analysant les résultats obtenus sur deux groupes de personnes. Le premier groupe a reçu des doses importantes de grains entiers (50 grammes et plus) durant la période d’essai, et le deuxième groupe en recevait moins de 30 grammes par jour.

Au final, les chercheurs sont convaincus : ajouter des grains entiers à son alimentation peut réduire les risques de prédiabète jusqu’à 27 %.

« Ceci est d’une grande importance, parce que les statistiques concernant le prédiabète sont en hausse. Près d’un quart des gens aux prises avec une condition de prédiabète développeront le diabète dans leur vie », explique Tina Wirström, de l’Hôpital Universitaire Karolinska.

Il appert également que ce « régime de grains entiers » fonctionne mieux chez l’homme que chez la femme, en vertu des résultats obtenus.

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Les réseaux sociaux nuiraient à une alimentation saine

Une étude traitant des médias sociaux vient de paraître et accuse ce genre de site d’être un ennemi du contrôle de soi, et par conséquent d’une saine alimentation.

C’est ce qu’on apprend par l’entremise de santelog.com, qui rapporte les conclusions de l’étude proposée par l’Université Columbia et l’Université de Pittsburgh.

Selon les chercheurs, les sites comme Facebook peuvent mener à des comportements de négligence personnelle, notamment en ce qui concerne l’alimentation.

Outre les nombreuses heures passées devant l’écran, c’est un autre facteur qui viendrait renforcer ce phénomène : celui de la confiance en soi.

Il appert que s’il existe plusieurs aspects néfastes à cette nouvelle technologie, cette dernière permet également d’augmenter la confiance en soi. Cependant, avec la confiance viennent des choix plus égoïstes, notamment de manger ce que l’on désire au détriment de ce dont on a besoin.

Les gens seraient plus enclins à prendre de multiples collations lorsqu’ils sont en permanence sur le Web, expliquent les chercheurs.

Les chercheurs croient également que d’autres comportements peuvent être encouragés par cette nouvelle « dépendance », comme la boulimie et l’anorexie, par exemple.

Il y a fort à parier que plusieurs autres études sur le sujet seront publiées en 2013.

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Des bactéries qui influencent l’appétit et nos choix

« Avoir faim » est un processus beaucoup plus complexe qu’il n’y parait, et des études récentes démontraient, notamment, que le cerveau peut jouer un rôle important dans la notion d’appétit.

Cette fois, c’est santelog.com qui rapporte une autre étude sur le sujet, qui parle des bactéries gastro-intestinales et de leur influence sur la faim.

On apprend dans ces recherches, publiées dans une édition du Journal of Bacteriology, que ces bactéries jouent non seulement un rôle majeur dans l’organisme, mais qu’elles agissent et réagissent aussi en partenariat avec l’individu pour prendre des décisions comme quand et quoi manger.

En effet, il semble que ces bactéries (et la flore intestinale) ont un comportement de « boucle » avec le cerveau et l’organisme, et réagissent en fonction de ce que l’on mange et selon nos habitudes.

Ce que cela signifie, c’est que les bactéries gastro-intestinales réagissent presque émotionnellement et sont influençables. À l’origine de certains cancers, elles subiraient des changements selon les humeurs de l’individu et enverraient des messages au cerveau, qui lui « répondrait » à son tour.

« Les bactéries sont la reconnaissance et la synthèse des hormones neuroendocriniennes », conclut Victor Norris, de l’Université de Rouen.

Il s’agit d’une découverte qui pourrait changer la perception et l’analyse des spécialistes en matière d’alimentation, d’obésité et de certaines maladies graves.

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Rapport alarmant concernant la salmonelle et les animaux d’élevage

Radio-Canada rapporte que des inspecteurs alimentaires canadiens s’inquiètent de la présence de la salmonelle dans les aliments servis aux animaux d’élevage au pays.

Malgré une politique qui ne tolère aucun pourcentage d’erreur en la matière, il est surprenant d’apprendre que 13 % de la nourriture d’animaux en élevage pourrait présenter des traces de salmonelle.

Évidemment, les spécialistes s’interrogent et s’inquiètent des risques de contamination chez l’humain.

L’histoire débute à Winnipeg, alors qu’une équipe de Radio-Canada est allée inspecter elle-même des sacs d’aliments pour animaux d’élevage. Ils ont ensuite laissé les sacs aux fins d’analyses au professeur Rick Holley, de l’Université du Manitoba.

Le professeur conclut que deux sacs (17 % du total) étaient bien contaminés par la salmonelle. Il rappelle que ce constat est alarmant, puisque la nourriture contaminée est d’abord ingérée par les animaux, puis éliminée dans ce qui deviendra plus tard de l’engrais pour les terres agricoles. Celles-ci produiront à leur tour des aliments consommés par la population.

L’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) soutient ces conclusions et croit que des mesures doivent être mises en place immédiatement.

Il faut cependant rappeler que l’Agence a fait un excellent travail jusqu’à présent concernant la salmonelle et la sécurité civile.

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Les repas en famille aident les enfants à manger plus de fruits et légumes

Le Journal of Epidemiology & Community Health a publié les résultats d’une étude menée en Angleterre auprès de 2389 enfants du primaire.

Parmi ceux-ci, les enfants qui s’asseyaient toujours ensemble pour manger un repas en famille mangeaient 1,5 portion de plus de fruits de légumes que les enfants qui ne prenaient jamais de repas en famille.

Même les enfants qui n’avaient qu’un seul ou deux repas en famille par semaine mangeaient 1,2 portion de plus. Les enfants dont les parents préparaient des fruits ou des légumes à l’avance mangeaient également plus de ceux-ci.

« Même s’il ne s’agit que d’un seul repas familial par semaine, lorsque les enfants mangeant avec leurs parents ou leurs frères et sœurs plus vieux, ils apprennent à manger. Regarder les membres de leur famille manger ainsi que la variété de nourriture qu’ils consomment est vraiment la clé pour leur permettre de créer leurs propres habitudes et préférences alimentaires », a expliqué l’auteure de l’étude, Janet Cade, selon Science Daily.

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Rappel de certains produits congelés au Canada

Tout consommateur canadien devrait lire ce qui suit attentivement, pour éviter des désagréments inutiles lors des fêtes.

C’est l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) qui annonce le rappel de certains produits congelés, notamment des burgers et des pizzas. Ces derniers sont des mets populaires à l’approche du temps des fêtes, puisqu’ils se cuisinent facilement et font la joie de toute la famille.

Il faudra éviter les burgers et pizzas (et calzones) congelés de marque Butcher’s Choice et Hot Stuff Food Xpress, selon ce que rapporte radio-canada.ca.

Il semble que les burgers pourraient être contaminés par l’E. coli, qui frappe fort en 2012. Concernant les pizzas, on apprend qu’elles contiendraient de la moutarde, alors que l’étiquette et les ingrédients n’en font aucunement mention.

On confirme également que ces produits ont bel et bien déjà été distribués partout au pays, ce qui inclut le Québec.

Les produits sont maintenant en rappel, sous la surveillance de l’Agence canadienne d’inspection des aliments. Si vous possédez ces produits, il est suggéré de s’en débarrasser.

On vise particulièrement ceux qui portent le 2 mars 2013 comme date de péremption et qui sont vendus en paquet de 1,13 kg.

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Les poissons vendus à New York ne respectent pas tous les normes

Si vous habitez la Grosse Pomme ou que vous prévoyez un voyage à New York, vous voudrez peut-être éviter d’acheter ou de consommer des produits de la mer, notamment certains poissons.

On apprend, par l’entremise de www.nlm.nih.gov, que les poissons vendus à New York ne seraient pas tous respectueux des normes de qualité imposées.

De plus, il semble que plusieurs marchands n’hésitent pas à changer les étiquettes pour faire passer un produit pour ce qu’il n’est pas, c’est-à-dire plus frais ou encore de meilleure qualité.

C’est le groupe de défense des océans Oceana qui publie une étude sur le sujet et qui veut sensibiliser les New-Yorkais ainsi que les autorités au problème. On rapporte que près de trois commerces d’alimentation sur cinq commettraient ces fautes d’étiquetage, laissant le consommateur dans une zone grise.

Bien entendu, la motivation derrière ces comportements est économique. Plusieurs marchands n’hésiteraient pas à faire passer un poisson peu coûteux pour un produit de qualité supérieure, afin d’épargner des frais. Même chose du côté de plusieurs restaurants de sushis de la Grosse Pomme.

New York ne serait donc pas un choix judicieux pour aller déguster des fruits de mer et des sushis cette année. On conseille aux citoyens et aux touristes d’être vigilants.