Catégories
Uncategorized

Chez les enfants, le sel et les boissons sucrées vont de pair

Des chercheurs australiens ont analysé les données provenant d’enfants et de jeunes de 2 à 16 ans et ont découvert un lien direct entre la consommation de sel et celle de boissons sucrées.

Chaque gramme de sel supplémentaire ajoutait en fait 17 grammes de boissons sucrées comme les jus et les sodas par jour.

En moyenne, les enfants consommaient plus de 6 grammes de sel par jour, un excédent énorme par rapport aux recommandations maximales de 1,5 gramme, ainsi que 248 grammes de boissons sucrées.

Parmi tous les enfants et jeunes étudiés, 62 % buvaient des boissons sucrées de façon quotidienne; la proportion était plus forte chez les enfants plus vieux et ceux provenant de milieux plus défavorisés.

Les enfants qui buvaient plus d’une boisson sucrée par jour étaient 35 % plus susceptibles d’être en surpoids ou encore obèses.

Les chercheurs ont expliqué qu’étant donné la corrélation entre le sel et les boissons sucrées, « la réduction du sel était associée non seulement à une amélioration de la tension artérielle, mais également à une réduction de la consommation de boissons sucrées, ce qui peut avoir un effet direct sur l’obésité chez les enfants », tel que rapporté par MedPageToday.

Catégories
Uncategorized

Une mauvaise alimentation durant la grossesse prédispose les bébés au diabète

Des chercheurs espagnols ont découvert que les bébés nés de mères qui se sont mal alimentées durant la grossesse naissaient avec un « profil diabétogène », c’est-à-dire que les nouveau-nés montraient un niveau de glucose sanguin et d’insuline plus élevés que la normale, ainsi qu’un marqueur de la résistance à l’insuline.

Même si les bébés tendaient à naître avec un poids d’environ 3,3 à 3,5 kilos lorsque la mère consommait suffisamment d’aliments pour lui procurer l’énergie adéquate, les chercheurs ont été surpris de constater que le nombre de calories n’était pourtant pas un gage d’une bonne alimentation.

« Plus de la moitié des femmes avaient une mauvaise alimentation, incluant beaucoup de protéines animales riches en gras saturés et pas assez de glucides provenant des légumes et des légumineuses. Les habitudes alimentaires de plus d’un tiers des femmes différaient grandement du régime méditerranéen, pourtant reconnu comme le meilleur au monde pour la santé. Il est surprenant que les femmes ne changent pas leurs habitudes en mieux durant la grossesse », a dit l’auteur de l’étude, Francisco Sanchez-Muniz, tel que rapporté par Medical News Today.

Les résultats ont été publiés dans l’European Journal of Clinical Nutrition.

Catégories
Uncategorized

La prudence serait de mise concernant les études en nutrition sur le cancer

www.nlm.nih.gov nous met en garde contre plusieurs études qui seraient parues concernant le cancer et la nutrition. Notamment, certaines de ces études en avaient contre plusieurs aliments qui, selon elles, pourraient favoriser le développement de divers cancers.

On parle entre autres de la cannelle et du homard qui, selon des chercheurs californiens, ne seraient pas dangereux du tout. Ces chercheurs ont d’abord dressé une liste de 50 aliments aléatoires, puis ont fait des recherches pour dénicher des études qui supposaient des risques de cancer plus élevés les concernant.

Leurs conclusions : beaucoup trop d’études « bidon » sont publiées, ce qui désinforme la population.

« Nous avons vu et étudié un grand nombre d’études… beaucoup trop d’études qui suggèrent que certains aliments spécifiques favoriseraient le développement de certains cancers. Les gens prennent peur ou croient qu’ils devront changer de style de vie et prendre de grosses décisions, puis se rendent compte que les études en question sont finalement réfutées quelque temps plus tard », lance le Dr John Loannidis du Stanford Prevention Research Center, en Californie.

Selon lui, la façon dont les études sont faites et publiées devrait être revue, afin d’assurer la meilleure qualité possible d’information donnée au public.

Catégories
Uncategorized

Cet hiver, misez sur les enzymes

Si vous ne connaissez pas les enzymes et leur impact sur l’organisme, vous voudrez peut-être lire ceci avant d’affronter la dure saison hivernale.

C’est topsante.com qui rapporte l’importance de ces éléments pour le corps, notamment afin de conserver une belle énergie lors de la saison morte.

Tout d’abord, les enzymes sont ces substances qui jouent un rôle constant dans les diverses réactions de l’organisme. Ce sont des catalyseurs biologiques qui permettent au métabolisme de fonctionner, et ainsi de vivre.

Le site avance même que plus de 7000 réactions métaboliques sont dues aux enzymes (quelques 3000) quotidiennement. On peut donc comprendre que si le corps vient à en manquer, plusieurs systèmes de l’organisme pourraient commencer à mal fonctionner.

Des problèmes de digestion peuvent s’avérer l’un des symptômes de ce phénomène. De plus, c’est à ce moment que le fameux effet de fatigue commence à se faire sentir en hiver.

Alors, comment s’assurer de ne pas manquer d’enzymes? D’abord en surveillant son alimentation, bien entendu, mais aussi en privilégiant des aliments crus, les légumes par exemple.

Il semble que les enzymes soient éliminées massivement des aliments lorsque ceux-ci sont cuits à une température de 70 degrés Celcius, ce qui n’est pas très élevé. On suggère donc de faire cuire vos aliments à la vapeur.

Les jus de fruits maison sont aussi une excellente source d’enzymes, tout comme les salades et les poissons.

Catégories
Uncategorized

L’eau du robinet jouerait-elle un rôle dans le développement des allergies?

Une étude rapportée par www.nlm.nih.gov propose un lien possible entre l’eau du robinet et le développement de certaines allergies alimentaires.

Si la nouvelle peut faire peur, on ne peut s’empêcher de constater qu’une telle cause à effet serait tout à fait logique, bien que les spécialistes se gardent d’employer une telle expression.

Plus concrètement, les chercheurs de l’American College of Allergy, Asthma and Immunology (ACAAI) ont étudié les composantes chimiques retrouvées dans l’eau « plate » du robinet, dont les dichlorophénols.

Ces derniers sont des composantes utilisées, entre autres, pour la création de pesticides. On pourrait retrouver ces pesticides dans le traitement de plusieurs fruits et légumes sur le marché.

L’étude suggère que « les hauts niveaux de pesticides à base de dichlorophénols peuvent possiblement affaiblir la tolérance à la nourriture chez certaines personnes ».

La Dre Elina Jerschow explique plus en détail le phénomène : « Ces composantes chimiques sont retrouvées fréquemment dans les pesticides utilisés par les fermiers, ainsi que dans les produits contre les insectes (moustiques, par exemple) et les produits contre les mauvaises herbes. Même chose pour l’eau du robinet ».

À la suite d’une étude plus approfondie qui impliquait plus de 2200 participants, les chercheurs ont constaté qu’un lien pouvait être établi entre l’eau du robinet et la montée en flèche des cas d’allergies alimentaires, notamment chez les enfants.

D’autres études sont attendues sur le sujet.

Catégories
Uncategorized

Des statistiques alarmantes concernant l’huile de palme

On apprenait récemment que le fameux Nutella pourrait bien se retrouver dans l’eau chaude à la suite de nombreuses études qui pointent du doigt les produits utilisateurs de l’huile de palme.

Cette huile est considérée par plusieurs comme néfaste pour la santé, ou à tout le moins grasse et propice au gain de poids.

Selon ce que rapporte topsante.com, il n’y aurait pas que le Nutella à placer au banc des accusés. De fait, on apprend qu’un produit sur trois vendu fréquemment en épicerie contiendrait de l’huile de palme ou une autre huile végétale grasse similaire, et que les étiquettes ne sont pas toujours claires à cet effet.

Une étude effectuée par l’Observatoire de la qualité de l’alimentation (Oqali) a permis de constater que la moitié des produits communs vendus dans les marchés contiennent de l’huile végétale grasse. Du nombre, 34 % contiennent de l’huile de palme.

Il semble que les grandes multinationales alimentaires aiment bien utiliser cette huile, en fonction de ses coûts de production moins élevés. On la retrouverait notamment dans les biscuits, les gâteaux industriels et les barres tendres.

On suggère aux gens de favoriser l’utilisation d’huiles végétales saines et l’achat de produits qui en contiennent, par exemple l’huile d’olive, l’huile de colza ou encore l’huile de noix.

Catégories
Uncategorized

La caféine pourrait bien vous rendre trouillard

Voici une nouvelle qui en surprendra plus d’un, et qui fera certes sourire plusieurs grands consommateurs de café.

C’est que la National Sleep Foundation vient de faire paraître une série de symptômes qui peuvent accompagner une trop grande consommation de caféine, et l’un de ceux-là est la peur.

www.nlm.nih.gov parle de « trouille », un sentiment relatif à la peur, mais aussi apparenté à l’angoisse et l’anxiété. On suggère d’abaisser sa consommation de café si l’on est sujet à ce genre de réactions négatives.

Aussi, on rappelle qu’un trop-plein de caféine peut aussi mener à de l’irritabilité, des étourdissements, des nausées, des maux de tête et de l’insomnie.

L’association parle également des risques de palpitations cardiaques, ou encore carrément de l’accélération du rythme du cœur. Aussi, une trop grande consommation de caféine peut mener à des problèmes de motricité, certaines personnes subissant soudainement des problèmes de coordination.

La déshydratation et des passages à la salle de bains plus fréquents sont à prévoir. On peut compenser la déshydratation par une consommation accrue d’eau, mais le meilleur moyen demeure encore de boire moins de café.

Plusieurs associations et spécialistes s’accordent pour dire qu’on ne devrait pas dépasser trois cafés par jour, en moyenne.

Catégories
Uncategorized

Manger et boire beaucoup de fruits, pas toujours un gage de perte de poids

On répète sans cesse que les fruits et légumes représentent la base d’une alimentation saine, et c’est un fait. Cependant, trop de gens croient que d’en manger constamment permet de se rassasier adéquatement, et d’ainsi prévenir le gain de poids.

Or, une nouvelle étude rapportée par www.nlm.nih.gov conclut qu’il pourrait s’agir d’un mythe. Des chercheurs ont tenté l’expérience, en proposant des fruits et légumes avant les repas à un groupe de patients tests (dont les bilans de santé variaient d’obèse à normal). D’autres ont reçu un jus de fruit, ce qui n’a pas semblé freiner les ardeurs gastronomiques des sujets, au contraire.

Des 34 participants à l’étude, presque tous ont quand même enregistré des gains de poids en ajoutant des fruits, ou des jus de fruits, à leur alimentation quotidienne.

Cela s’expliquerait par le fait que le simple fait d’ajouter des fruits et légumes ne signifie pas une perte de poids automatique, mais plutôt qu’il faut alors diminuer la consommation d’autres aliments.

De plus, l’absorption de liquides comme les jus de fruits ne stimule pas l’organisme de la même façon que le font les solides, ce qui vient brouiller les cartes.

On suggère donc de remplacer de « mauvais » aliments par des fruits, et non pas de les manger en plus! De plus, il semble que les jus de fruits sont à éviter, alors que les sujets de l’étude qui en ont reçu avant les repas ont mangé près de 200 calories par repas de plus que leurs congénères.

Catégories
Uncategorized

Le régime alimentaire des Américains bien en deçà des normes prescrites

Les autorités et associations américaines pour la santé doivent certainement commencer à être découragées par le comportement de leurs concitoyens, alors qu’une nouvelle étude vient encore confirmer que les Américains ne respectent pas les normes alimentaires prescrites par leurs propres spécialistes.

Ainsi, www.nlm.nih.gov rapporte qu’une récente étude sur le sujet démontre un manque flagrant de conscientisation alimentaire chez l’Américain moyen.

Cependant, les conclusions donnent tout de même de bonnes notes aux gens plus âgés, aux femmes ainsi qu’aux enfants, quoique les résultats demeurent décevants. C’est donc particulièrement inquiétant dans le cas des hommes d’âge moyen, qui ne semblent pas se soucier outre mesure de ce qu’ils avalent.

L’étude analysait les comportements alimentaires de 8272 Américains et proposait un système de pointage. Pour chaque aliment suggéré par l’Association (comme les fruits, les légumes, les noix, le poisson, etc.), on accordait des points. Seules les personnes âgées ont obtenu la note de passage, et de peu (65 %).

Gary Bennett, chercheur à l’Université Duke de Durham, en Caroline du Nord, conclut en affirmant : « Je crois qu’il s’agit d’une étude importante, parce qu’elle démontre clairement ce que nous avons suspecté depuis longtemps : il existe des disparités profondes dans les régimes alimentaires des Américains. La diète américaine en soi doit s’améliorer ».

Catégories
Uncategorized

La FDA urge la population d’abaisser sa consommation de sel

On le sait désormais, le sel n’est pas très bon pour la santé, voire nocif, et les aliments qui en contiennent sont pourtant fort nombreux.

Difficile donc de l’éviter, malgré toute la bonne volonté du monde. Cependant, la FDA veut essayer d’aider les gens en publiant quelques faits et suggestions sur son site www.fda.gov.

On note que la surconsommation de sel ne serait pas due à celui que les gens ajoutent dans leur assiette, mais plutôt à celui contenu massivement dans presque tous les produits.

On parle donc d’un effort « très difficile à réaliser » et de « réduction graduelle ». Ainsi, identifier certaines sources de sel et les éliminer de notre régime alimentaire petit à petit est déjà un excellent départ.

Lire les étiquettes des produits que l’on achète est hautement suggéré. On accuse aussi les restaurants de ne pas faire leur part, eux qui pourraient jouer un rôle majeur dans un revirement de situation éventuel.

Une surconsommation de sel peut mener à plusieurs problèmes de santé, dont des troubles cardiovasculaires et rénaux.

Selon des rapports américains, ces derniers devraient abaisser leur consommation de sel d’environ 2300 milligrammes… quotidiennement!

Voici quelques aliments populaires qui sont en tête de liste des aliments les plus salés : pain, pizza, viandes froides (jambon pressé, dinde, etc.), poulet, soupe, hamburger au fromage, sandwich, fromage, pâtes, croustilles, maïs soufflé et autres grignotines.