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Exercice et bonne nutrition pour perdre des kilos après la grossesse

Pratiquer un sport de façon faible ou modérée, comme la marche, et avoir un régime équilibré n’a pas que des effets positifs durant la grossesse, mais aussi après l’accouchement, notamment en ce qui a trait à la perte rapide du poids de la mère.

En effet, il a été démontré dans une étude qui s’est penchée sur le cas de 49 femmes enceintes de 16 à 20 semaines que parmi celles qui avaient adopté une saine alimentation et avaient fait de la marche, surtout durant le second et le troisième trimestre de leur grossesse, 28 % se sont retrouvées à 4,4 livres de leur poids avant leur grossesse deux mois après l’accouchement, comparativement à 7 % chez celles qui avaient fait peu attention durant la grossesse.

Pour les besoins de l’enquête qui paraîtra en août dans le Medecine Journal & Science in Sports & Exercise, l’American College of Sports Medicine avait sélectionné au préalable un ensemble de femmes qui avaient toutes un poids santé avant leur grossesse. C’est en divisant le groupe en deux, et en faisant faire de l’exercice et un régime équilibré à certaines, qu’ils se sont aperçus que malgré un poids santé à la base, les résultats pouvaient grandement différer après l’accouchement.

Mentionnons toutefois qu’à la naissance, les bébés avaient tous un poids similaire, peu importe le groupe de femmes. Cela suggère qu’à court terme, le régime et l’exercice durant la grossesse ont peu d’impact sur le poids du nourrisson.

Les chercheurs rappellent que les futures mères devraient consommer seulement 200 à 500 kilocalories de plus par jour durant le deuxième et le troisième trimestre, et non « manger pour deux » comme le laissent croire certains.

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Les antioxydants ne fonctionnent pas sans un mode de vie sain

Depuis un moment déjà, on entend parler d’aliments contenants des antioxydants. Ces derniers luttent contre le vieillissement des cellules du corps. De plus, ils neutralisent l’action des radicaux libres qui affaiblissent notre système immunitaire et favorisent l’apparition de certaines maladies, dont le cancer.
 
Bien que les antioxydants soient effectivement bons pour la santé, ils ne sont pas d’une grande utilité seuls. Les antioxydants fonctionnent s’ils sont accompagnés d’un mode de vie sain.
 
Vous devez conserver un poids santé, faire de l’exercice physique régulièrement, des examens de santé périodiques et éviter le tabagisme, notamment.
 
Parmi les meilleurs antioxydants, on retrouve les vitamines A, B6, B12, C et E, ainsi que le bêta-carotène, l’acide folique et le sélénium. Beaucoup de ces éléments nutritifs se retrouvent dans les fruits et légumes, mais attention, les suppléments alimentaires ne sont pas aussi efficaces.
 
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Régimes : Méfiez-vous des belles promesses

En cette période estivale où le culte du corps est à son maximum en raison des journées à la plage ou à la piscine, l’Agence de sécurité sanitaire en France rappelle de se méfier des belles promesses.
 
Perdre du poids a des conséquences sur la santé. Ainsi, pour que cela soit sans danger et efficace, la prise en charge médicale et des conseils professionnels sont grandement recommandés. L’approche doit être individualisée et prévue à long terme.
 
Attentions aux produits amaigrissants qui représentent souvent un danger pour la santé ou sont sans effet. Les médicaments comme la sibutramine et le rimonabant sont à proscrire, car ils sont trop nocifs.
 
En cas de nécessité médicale, certaines approches peuvent être envisagées lorsque le changement d’alimentation et les exercices physiques ne suffisent pas.
 
Ainsi, sous supervision médicale, on pourrait opter pour des médicaments comme orlistat ou Xenical, mais leur efficacité est plutôt modeste.
 
Une chirurgie bariatrique pourrait aussi être recommandée dans les cas lourds d’obésité, mais à condition également de changer son mode de vie, donc avoir une meilleure alimentation et faire des activités physiques.
 
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Des changements alimentaires peuvent réduire les symptômes de la ménopause

Pour réduire leurs symptômes de la ménopause, comme les bouffées de chaleur et les sueurs nocturnes, les femmes devraient perdre quelques kilos, notamment avec un régime alimentaire faible en graisse et plus riche en fruits et légumes.
 
L’étude, publiée dans le journal Menopause, est la première à mesurer l’impact d’une perte de poids et l’influence des changements alimentaires sur les symptômes de la ménopause.
 
17 473 femmes ont été suivies pour l’occasion. Celles qui consommaient moins de graisse et plus de fruits et légumes notaient une réduction des bouffées de chaleur et des sueurs nocturnes.
 
En opposition, les femmes en surpoids ou obèses avaient plus de ces symptômes désagréables.
 
Avec l’âge, les femmes ont tendance à prendre du poids, il est donc favorable de prévenir la chose afin de ne pas vivre des symptômes de la ménopause de trop grande importance.
 
En fait, les experts mentionnent que la graisse corporelle assure une isolation, et c’est pourquoi les symptômes sont amplifiés.

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Un régime riche en graisse réduit la qualité du sommeil

Des études menées sur des rats démontrent qu’une alimentation régime en graisse réduit la qualité du sommeil chez ces animaux.
 
En fait, les rongeurs dorment plus que leurs congénères avec une alimentation normale, mais leur sommeil est fragmenté et ils vivent de la somnolence diurne, un peu comme celle que l’on remarque chez les personnes obèses.
 
« Les études chez l’homme indiquent une relation entre la qualité du sommeil et l’obésité. Nos travaux sur les animaux montrent un lien entre le sommeil de bonne qualité, la résistance à la prise de poids et une sensibilité accrue à orexine, une substance chimique du cerveau importante dans le cycle circadien. »
 
« Les études actuelles montrent que le gain de poids induit par un régime gras chez le rat entraîne une qualité de sommeil médiocre et que la sensibilité à l’orexine est diminuée. Ces résultats suggèrent qu’un mauvais sommeil associé à un gain de poids lié à un régime riche en graisse est une conséquence de cette sensibilité réduite à l’orexine », explique l’auteure principale des travaux, Catherine Kotz, dans la revue Appetite.
 
Ainsi, un gain de poids, un surpoids ou de l’obésité a un impact réel sur la qualité du sommeil.
 
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Des données toujours insuffisantes pour relier l’alimentation et l’acné

Le débat dure depuis des années. Déjà dans les années 40, on disait que certains aliments, comme les produits laitiers, favorisaient l’apparition de boutons d’acné, mais dans les années 70, des études ont réfuté ces informations.
 
Depuis, le débat est toujours d’actualité, rapporte le site Plaisirs Santé. En ce moment, les scientifiques s’accordent pour dire que d’autres études doivent être faites sur le sujet, car les données sont toujours insuffisantes.
 
Bien des études ont recueilli des informations rapportées, mais celles-ci sont-elles fiables à 100 %? Surtout lorsqu’on demande aux adultes de se remémorer ce qu’ils mangeaient durant leur adolescence.
 
Par contre, les aliments moins glycémiques, comme les fruits, légumes, céréales de son et légumineuses, semblent avoir un impact bénéfique contre l’acné. Les acides gras oméga-3 seraient aussi bénéfiques, de même que les antioxydants.
 
Tout cela doit cependant être confirmé avec certitude.
 
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L’alimentation revue dans certains centres de la petite enfance

Tous les enfants qui fréquentent un centre de la petite enfance de l’Île-du-Prince-Édouard pourront avoir une alimentation plus saine.

« Ces nouvelles lignes directrices confirment l’importance d’offrir un éventail de fruits et de légumes, de produits de grains entiers, de lait et substituts et de viandes maigres et substituts aux enfants », explique par voie de communiqué Ashley Murphy, diététiste professionnelle de l’Alliance pour la saine alimentation de l’Île-du-Prince-Édouard.

Elle ajoute : « Nous recommandons également de limiter la quantité d’aliments transformés servie, car ces aliments ont souvent une teneur élevée en sodium, en sucre ou en gras. La rétroaction est très positive, et les parents sont heureux de savoir que leurs enfants mangent des repas sains, ce qui favorise des modes de vie plus sains ».

Cette initiative, mise au point après une étude pilote qui consistait à examiner les menus d’une dizaine de centres de la petite enfance, permet aux personnes oeuvrant dans le milieu de mieux saisir en quoi consistent une saine alimentation et les besoins nutritionnels des bambins.

Le gouvernement de l’Île-du-Prince-Édouard appuie les modifications en mentionnant que des études affirment « que la consommation de collations et repas sains favorise la concentration et l’apprentissage des enfants, et que ces acquis ont une incidence sur toute leur scolarité et leur vie adulte ».

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L’alimentation liée à la dépression

L’Internal Journal of Obesity publie une nouvelle étude effectuée par la professeure Stéphanie Fulton et son équipe de l’Université de Montréal révélant qu’un régime riche en gras et en sucre favorise la dépression.
 
Une telle alimentation produit instantanément dans le cerveau une sécrétion de dopamine, qui est l’hormone de la récompense, mais l’effet euphorique se dissout rapidement, favorisant donc l’état dépressif.
 
« En plus de causer l’obésité, les aliments riches peuvent vraiment entraîner des réactions chimiques au cerveau, d’une manière qui s’apparente à celle des drogues illicites. Cela conduit ultimement à la dépression, à mesure que les effets s’atténuent », mentionne la professeure Fulton.
 
L’étude effectuée sur des souris démontre clairement que celles ayant eu un régime riche en gras et en sucre étaient non seulement obèses, mais aussi déprimées et stressées.
 
On comprend encore mal toutefois les mécanismes sous-jacents de ce phénomène.
 
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Les adolescents qui regardent moins la télévision mangent mieux

Selon les Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine, pour manger plus sainement, les adolescents devraient se tenir loin de la télévision.
 
Les jeunes accrocs à la télévision semblent consommer plus de friandises, de sodas, de fast-food et ils adoptent de mauvaises habitudes, comme sauter le petit déjeuner.
 
Ces résultats sont la conclusion d’analyses de données recueillies auprès de 12 640 adolescents dont la moyenne d’âge était de 13 ans.
 
Les plus jeunes semblent adopter plus de saines habitudes et consomment plus de fruits et légumes. Les filles font meilleure figure que les garçons en ce sens.
 
On croit que les publicités télévisées peuvent notamment influencer les jeunes, plus vulnérables à l’adolescence.
 
Cela expliquerait en partie pourquoi les adolescents mangent plus mal lorsqu’ils regardent plus la télévision.
 
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Bien manger rime avec qualité et non quantité

Selon les statistiques, 10 % des enfants québécois âgés de quatre ans font de l’embonpoint, alors que 4 % sont obèses.

Pour la première fois dans la province, une étude permet de voir que ce ne sont pas tous les parents d’enfants d’âge préscolaire qui perçoivent correctement ce que signifie une saine alimentation.

Parmi les parents des 1257 familles interrogées, 40,8 % croient que bien manger rime avec alimentation saine, alors que 31,4 % croient que cela consiste en la variété, et 23,5 % en l’aspect visuel de l’assiette.

Selon Stéphanie Pernice de l’Université de Montréal, nutritionniste et auteure de l’étude, le parent joue un rôle primordial dans l’influence alimentaire des petits. Ces derniers développent d’ailleurs leur comportement et intérêt alimentaire pour le futur jusqu’à l’âge de trois ans.

Au journal La Presse, Mme Pernice a conseillé aux parents d’offrir des aliments sains à leurs enfants, mais de les laisser choisir la quantité à manger.

« À long terme, ça fait des enfants qui ont une alimentation plus variée et une relation plus saine avec les aliments que si on met de la pression », dit-elle.

Parmi les trucs dévoilés par les parents sondés pour que leur enfant mange mieux, la nutritionniste trouve intéressant le fait que 71 % des familles partagent des discussions plaisantes à table, que 40,4 % mangent en famille, que 30,4 % n’ouvrent pas la télévision, que 22,9 % misent sur l’ambiance, et que le quart des parents font participer leurs enfants à la préparation des repas.

Selon la professionnelle, ces points sont beaucoup plus stratégiques que les astuces qui forcent les enfants à manger, comme le camouflage de légumes ou le chantage avec le dessert.