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L’alimentation des Québécois s’améliore

La firme-conseil sur les comportements alimentaires VARIUM a fait une nouvelle étude sur l’indice de stress alimentaire. La dernière datait de 2007.
 
On constate que depuis 2007, l’alimentation des Québécois s’est améliorée. Selon les réponses des 1604 participants, l’indice a grimpé de 11,7 %.
 
Les répondants devaient dire s’ils avaient acheté des aliments d’après leurs bienfaits ou s’ils s’étaient abstenus d’en acheter en raison de leurs risques pour la santé. On leur avait donné 10 aliments néfastes (avec sel, gras trans, etc.) et 10 plus santé (avec fibres, probiotiques, etc.).
 
Dans les dernières années, les Québécois semblent avoir fait de meilleurs choix. Cela ne signifie pas qu’ils mangent bien tous les jours, mais cela s’est amélioré. 90 % des répondants auraient modifié leurs habitudes d’après les bienfaits ou les risques des aliments.
 
Dans les dernières années, il faut dire aussi que de nombreux nutriments ont gagné en popularité et font partie des composants de nombreux aliments, c’est le cas des oméga-3, des fibres, du calcium, des probiotiques, de la vitamine C et du potassium.

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Une alimentation sans gluten favorise la dépression

Les femmes qui ont une intolérance au gluten sont plus sujettes au stress, à la dépression et aux troubles de l’image corporelle si elles suivent un régime strict sans gluten.
 
177 femmes atteintes de la maladie coeliaque ont participé à cette recherche rapportée dans le journal Chronic Illness.
 
Cette maladie est causée par un trouble du système immunitaire après une consommation de gluten, soit les féculents comme le pain et les pâtes. Elle cause des douleurs abdominales, de la constipation, une baisse d’appétit, de la diarrhée, des nausées et des vomissements.
 
De plus, avec une diète qui limite la consommation de gluten, on note également plus de détresse psychosociale.
 
« Les sorties au restaurant et les repas entre amis peuvent être mal vécus par ces personnes, car elles doivent rester vigilantes. Elles peuvent avoir le sentiment d’être un fardeau pour leurs hôtes. Dans de nombreux cas, le seul traitement qu’on leur propose est de surveiller ce qu’elles mangent », mentionne un des auteurs de l’étude, John Smyth, dans un communiqué.
 
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Des changements d’alimentation pour prévenir l’Alzheimer

Une équipe de l’Oregon Health & Science University confirme les bienfaits des oméga-3, que l’on retrouve dans les poissons gras et les suppléments, sur le cerveau.
 
En effet, les personnes âgées qui avaient un haut niveau d’oméga-3 ont obtenu de meilleurs résultats à des tests de mémoire.
 
Des imageries du cerveau ont également confirmé que les oméga-3 et les vitamines D, B, C et E étaient liés à un volume cérébral plus important.
 
Il est donc encourageant de constater qu’avec un ajustement de son alimentation, il est possible de freiner le rétrécissement du cerveau qui caractérise le déclin cognitif.
 
Par contre, les chercheurs ont aussi observé que les personnes avec un niveau élevé de gras trans dans le sang ont obtenu de moins bons résultats aux tests de mémoire et elles avaient moins de tissus cérébraux. Peu d’études avaient lié le gras trans avec le déclin cognitif jusqu’à présent.
 
Il n’existe encore aucun moyen fiable de prévenir la maladie d’Alzheimer et les autres démences, mais certains facteurs peuvent aider à prévenir ou ralentir leur progression, comme avoir une alimentation équilibrée, faire de l’exercice régulièrement, maintenir une bonne santé, ne pas fumer et contrôler sa pression sanguine et son niveau de cholestérol.
 
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Les femmes enceintes n’ont pas besoin de manger pour deux

De nouvelles recommandations ont été publiées dans une brochure publiée par The Royal College of Obstetricians and Gynaecologists (RCOG).

Ce document a été réalisé pour prévenir le nombre croissant de femmes enceintes qui sont en surpoids ou obèses, même au début de leur grossesse.

Les besoins nutritionnels des femmes enceintes sont très élevés. Les futures mamans pensent, à tort, qu’elles peuvent faire des excès alimentaires afin de soutenir le foetus.

Les experts ont expliqué que les femmes enceintes n’ont pas besoin de calories supplémentaires avant le troisième trimestre. Un supplément de 200 calories par jour, l’équivalent de deux morceaux de pain grillé, est suffisant.

Ces kilos superflus mettent en danger leur santé et celle de leur futur bébé. L’obésité augmente notamment le risque de fausse couche, de caillots de sang, de diabète gestationnel et d’hypertension artérielle. Les femmes obèses sont d’ailleurs plus susceptibles d’avoir besoin d’une césarienne d’urgence.

La brochure recommande notamment aux femmes en surpoids d’adopter un régime alimentaire sain et de faire de l’activité physique.

Crédiot photo: Ambro / FreeDigitalPhotos.net

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De beaux cheveux commencent dans l’assiette

Pour avoir de beaux cheveux, il ne suffit pas d’utiliser de bons shampoings, revitalisants et masques capillaires. Une saine alimentation est la base.
 
Comme la kératine, qui est une protéine, est le composant le plus important du cheveu, il est essentiel d’ajouter des protéines à son alimentation. Il est impératif de privilégier les protéines animales, mais de viandes maigres comme la volaille et le poisson, mentionne Plurielles.
 
Le zinc, lui, permet la synthèse de la kératine et renforce les cheveux.
 
Les vitamines du groupe B jouent toutes un rôle dans la santé des cheveux. Ainsi, la vitamine B2 régule le sébum, la B3 stimule la microcirculation sanguine, la B5 aide à la croissance et la B6 favorise la production de kératine.
 
Pour avoir de beaux et longs cheveux, il est essentiel d’avoir un apport suffisant en fer et finalement, ne négligez pas les acides gras oméga-3 et 6.
 
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Les hôpitaux ne donnent pas l’exemple en matière d’alimentation

On pourrait croire que comme établissements de santé, les hôpitaux offrent des aliments sains, mais une étude américaine révèle que seulement 7 % des aliments proposés sont considérés comme des choix santé, indique l’Academic Pediatrics.
 
Les chercheurs ont visité 12 hôpitaux pour enfants en Californie et ont constaté que la nourriture était même parfois pire que celle offerte dans certaines chaînes de restauration rapide.
 
Sur une échelle de 0 à 37 (0 étant le moins bon, et 37 le plus santé), les établissements se situent en moyenne à 19,1. Il y a donc encore beaucoup de place à l’amélioration.
 
81 % des articles offerts près des caisses des cafétérias contenaient beaucoup de calories, par exemple des biscuits ou des crèmes glacées, et seulement 25 % des endroits proposaient du pain de blé entier.
 
On incite les administrateurs d’hôpitaux à revoir leurs offres et à donner l’exemple. Depuis le début de l’étude en 2010, certains ont changé des éléments, allant jusqu’à réduire les prix des salades, augmenter celui des boissons sucrées et couper les aliments frits.
 
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L’exercice physique incite à manger mieux

L’exercice provoque des changements dans le cerveau, ce qui influence les comportements impulsifs.
 
Selon le journal Obesity Reviews, notre société moderne prône la surconsommation, ce qui déclenche aussi ce type de réaction.
 
Il a déjà été prouvé que faire de l’exercice régulièrement changeait la structure du cerveau, notamment dans la zone de « contrôle inhibiteur », qui nous aide à garder le contrôle sur notre impulsivité et réprime les mauvais comportements.
 
Ainsi, l’exercice nous aide à résister aux tentations et nous permet de faire de meilleurs choix santé.
 
Lorsque l’exercice est accompagné d’un régime alimentaire, le traitement de l’obésité est plus efficace et les nouvelles habitudes alimentaires sont plus respectées à long terme.
 
Il est donc préférable de commencer par bouger avant d’entamer un régime, cela vous aidera à manger plus sainement ensuite.
 
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Le poisson pour une bonne santé pulmonaire

On lit dans Acta Paediatrica que l’intégration du poisson dans l’alimentation des bébés de moins de neuf mois aurait un impact sur leur santé pulmonaire. Si un bébé mange du poisson avant d’avoir atteint neuf mois, il serait moins enclin à avoir une respiration sifflante durant la petite enfance.

Toutefois, selon la même étude, un bébé y serait plus vulnérable s’il a pris des antibiotiques à large spectre durant sa première semaine de vie. La prise de paracétamol durant la grossesse augmenterait aussi les risques.

Des chercheurs suédois ont fait ces associations après avoir analysé les réponses à un questionnaire de 4171 familles. On devait répondre aux questions lorsque l’enfant ciblé était âgé de 6 mois, de 12 mois, puis de 4 ans et demi.

On tentait, par cette étude, de définir des facteurs de risque, d’une part, et protecteurs, d’autre part, de la respiration sifflante. Ce problème de santé est très répandu chez les jeunes enfants, et une meilleure compréhension de ses mécanismes sous-jacents aiderait à mieux le régler, en plus de médicaments plus efficaces.

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Difficile de ne pas succomber

Les personnes qui souhaitent perdre du poids avec un régime doivent avoir plus qu’une volonté de fer. Selon l’équipe de l’Université Cornell, ce n’est pas facile de ne pas succomber, car nous sommes esclaves de notre environnement.
 
Avec les fêtes de fin d’année qui approchent, synonymes de repas festifs en famille, ainsi que tout ce qui nous entoure, nous sommes incités à la surconsommation.
 
La perte de contrôle joue un rôle important dans le taux d’obésité. D’abord, le prix des aliments est un facteur important dans le choix de ces derniers. La malbouffe étant moins dispendieuse, celle-ci est plus facile d’accès, également avec les nombreux services de restauration rapide.
 
De plus, les facteurs sociaux ont une grande influence. Voir les autres manger ce qui nous est interdit est un grand incitatif.
 
Aussi, la taille des portions a considérablement augmenté dans les dernières années.
 
Selon le Public Health Nutrition, les diététiciens recommandent de tenir un graphique de notre consommation d’aliments pour nous faire prendre conscience de la réalité.
 
On demande également plus d’aide de la part des gouvernements, notamment pour réduire le prix des aliments sains, comme les fruits et légumes, afin d’inciter les gens à en manger plus et de les rendre plus accessibles aux familles à faible revenu.
 
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Une meilleure alimentation pour augmenter la fertilité des hommes

Couper la viande rouge, le café et l’alcool permet aux hommes d’augmenter leur fertilité, surtout s’ils optent pour une alimentation riche en fruits et céréales.
 
Par le passé, la mauvaise alimentation et l’obésité avaient clairement été liées à une fertilité réduite chez les femmes, mais les preuves n’étaient pas aussi claires chez les hommes.
 
Voilà que le Fertility and Sterility révèle une étude établissant les mêmes liens pour les hommes que pour les femmes. Une mauvaise alimentation réduit donc les chances de fonder une famille.
 
L’étude a été faite avec 250 hommes dont les conjointes ont eu un type de traitement de fertilité appelé injection intracytoplasmique de spermatozoïdes.
 
En mangeant surtout des fruits, des légumes, des céréales et en coupant les viandes rouges et l’alcool, la concentration de spermatozoïdes est augmentée et la mobilité de ceux-ci est améliorée.