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Le désordre augmenterait les mauvaises habitudes alimentaires

Étrangement, certains experts croient que si votre maison est en désordre, vos avez plus de chance de prendre du poids. Pourquoi? Parce que vous aurez tendance à manger plus souvent à l’extérieur.
 
Si votre maison est encombrée et sens dessus dessous, vos habitudes alimentaires risquent fort bien de l’être tout autant. C’est une opinion que partage Peter Walsh dans son livre Does This Clutter Make My Butt Look Fat?.
 
Les vieux magazines qui traînent, les boîtes de chaussures qui s’empilent, bref si votre maison, et surtout votre cuisine, est encombrée, vous risquez de moins cuisiner et donc de succomber aux plats pour emporter ou aux repas au restaurant.
 
Notre maison serait le reflet de notre esprit et de notre corps. Apparemment, en remettant de l’ordre dans notre foyer, les mauvaises habitudes alimentaires ont tendance à disparaitre également, rapporte le Daily Mail.
 
La première étape vers une perte de poids serait donc de réévaluer son style de vie et son environnement afin de partir du bon pied et favoriser la réussite du programme.
 
Rendre son chez-soi propice aux bons repas sera un atout majeur dans la démarche.
 
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Le cancer colorectal lié à l’alimentation

Selon une récente étude du Simmons College à Boston, l’alimentation serait liée au cancer colorectal chez la femme. Le taux de C-peptide, une protéine qui augmente le risque de ce type de cancer, serait associée à une alimentation en particulier, lit-on sur ScienceDaily.

Par exemple, les risques de cancer colorectal, chez la femme, seraient accrus si elle consomme beaucoup de viande rouge, de poisson à chair rouge et de boissons gazeuses. À l’inverse, une faible consommation de grains entiers, de produits laitiers et de café augmenterait le taux de peptide-C.

On explique que cette étude donne une explication de plus quant à la relation entre l’alimentation et le risque de cancer colorectal, ainsi que ses mécanismes. Il semble que ce type de cancer en soit un sensible à l’insuline.

L’étude en question s’est étendue sur 22 ans. Des femmes devaient fournir un suivi, à l’aide d’un questionnaire, sur leur alimentation. Le questionnaire comprenait 130 aliments; les participantes devaient indiquer le nombre de fois qu’elles en mangeaient ou buvaient.

Les femmes qui suivaient le modèle alimentaire expliqué plus haut se sont avérées, une vingtaine d’années plus tard, avec des risques de cancer colorectal 35 % plus élevés. Aussi, ces risques étaient plus marqués chez les femmes en surpoids que chez celles qui étaient minces – les gens inactifs et avec un excès de poids semblent plus influencés par l’alimentation.

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L’alimentation du père lié à l’obésité infantile

Europe 1 révèle une étude selon laquelle l’alimentation du père, même avant la conception de l’enfant, joue un rôle important dans les risques d’obésité infantile.
 
Les risques d’avoir un enfant en surpoids ou obèse sont accrus si le père, même avant la conception, mange trop gras, trop sucré ou trop salé.
 
« Les carences ou les excès en certains vitamines ou minéraux peuvent avoir des conséquences et, à l’arrivée, ce seront des pathologies qui vont s’exprimer non pas dès la naissance, mais à l’âge adulte », mentionne la chercheuse du Centre d’assistance à la procréation à Bondy, Rachel Levy.
 
Déjà cette semaine, une étude disait également que la malbouffe affectait la fertilité des jeunes hommes, les rendant moins susceptibles de devenir pères plus tard.
 
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Papa et ma santé

On lit dans Psychology of Men and Masculinity une analyse du rôle du père d’aujourd’hui par rapport à la santé des enfants. Les pères jouent un tout nouveau rôle dans la famille moderne, mais cela demeure encore très peu documenté.

La Northwestern University a donc entrepris une étude sur le sujet. On apprend tout d’abord que papa participe activement à la santé de ses enfants. Il est enclin à les encourager à maintenir une saine alimentation et à faire de l’exercice physique.

Toutefois, il semble qu’il puisse lui arriver de donner la mauvaise dose lorsqu’il est question de médicaments. Parallèlement, il est encore peu à l’aise quant aux soins et aux traitements médicaux de sa progéniture.

Vu la situation actuelle, selon laquelle les pères prennent une plus grande place dans l’éducation des enfants, on souligne que les présents résultats devraient encourager les instances de la santé à mieux les inclure. On a encore tendance à se concentrer uniquement sur la maman.

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Avoir de beaux cheveux grâce à son alimentation

Avoir de beaux cheveux ne dépend pas seulement des visites chez le coiffeur et des produits que vous utilisez. Si vous ne pouvez empêcher l’hérédité de faire son œuvre dans la chute de vos cheveux, vous pouvez tout de même en améliorer leur santé par votre assiette.
 
Des cheveux sains et en santé dépendent notamment de la quantité de protéines consommée. Pour cela, il est préférable de choisir celles des œufs, de la volaille et des produits laitiers légers.
 
Vous devez également consommer des oméga-3, du zinc, du fer et de la vitamine A, mais attention de ne pas abuser de cette dernière, qui provoquerait alors la chute des cheveux.
 
Selon MyHealthNewsDaily, les amandes, les noix de pécan, les noix, les noix de cajou et la vitamine B8 aident également à renforcer la chevelure. Les légumes verts contiennent des vitamines A et C qui sont bénéfiques pour votre crinière, et le sélénium aide à avoir un cuir chevelu sain.
 
Rappelez-vous que le stress, le tabagisme, l’alcool et l’exposition au soleil endommagent les cheveux et peuvent favoriser leur chute.
 
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Votre enfant aime les fruits et légumes, sachez-le!

On veille toujours sur la bonne alimentation de notre enfant, et l’heure des repas s’avère souvent un casse-tête lorsque vient le temps de lui faire avaler ses légumes. Mais notre enfant s’entêterait-il? Il semble oui, selon une récente étude d’Interfel.

Après avoir questionné 300 enfants de 5 à 11 ans, on a appris que 70 % d’entre eux aiment les légumes, et 90 % aiment les fruits.

Les favoris, parmi les légumes, sont la tomate – surtout chez les plus jeunes répondants –, les carottes, les haricots verts, les petits poids, puis les radis. Du côté des fruits, les enfants préfèrent la fraise, la banane, la framboise, la pomme ainsi que la cerise.

Quant aux fruits et légumes qu’ils n’aiment pas, on compte le pamplemousse et le kiwi, de même que les épinards, les choux de Bruxelles et le chou-fleur.

Toutefois, malgré la bonne nouvelle, on a relevé, par le biais de ce sondage, qu’à peine plus de la moitié des enfants (57 %) mangent la dose quotidienne de fruits et légumes recommandée, soit 5 portions.

Crédit phot : photostock / FreeDigitalPhotos.net

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Un régime alimentaire spécial pour les autistes

Une récente étude vient de démontrer qu’un régime alimentaire sans gluten et sans caséine (une protéine contenant des composants azotés du lait) n’a pas d’effet sur les symptômes de l’autisme.

Pourtant, on estime que la moitié des enfants autistes suivent un tel régime alimentaire, car leurs parents souhaitent améliorer leurs symptômes, et ce, malgré les avis contradictoires sur cette méthode.

En se basant sur 22 enfants âgés de 30 à 54 mois, dont 14 ont finalement pu suivre strictement le régime alimentaire en question au moins 4 semaines, les chercheurs ont observé leur comportement après 6 semaines, lit-on sur WebMD.

Aucune différence n’a pu être relevée quant au sommeil, aux selles, à la capacité d’attention ou dans les interactions sociales des enfants à l’étude. Aucune amélioration du langage ou du comportement n’a pu être remarquée non plus.

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Alimentation durant la grossesse : oui, c’est important

L’alimentation durant la grossesse est sans contredit d’une importance capitale pour le bébé à naître. Des chercheurs de la Stanford University viennent de le démontrer à leur tour.

On entend souvent parler du rôle de l’acide folique durant la grossesse. Bien qu’il ait été prouvé qu’il prévenait les malformations du tube neural, il ne protège pas de toutes les anomalies congénitales.

Les chercheurs proposent donc que ce soient les choix alimentaires de la femme enceinte qui sont le plus en lien avec un tel risque. Une alimentation saine réduirait la prévalence des anomalies chez le fœtus, incluant celles du tube neural et orofaciales.

Ajoutons que cette relation persiste même après que l’on ait ajusté certains facteurs, dont la consommation de suppléments de grossesse en vitamines et minéraux.

Une approche basée essentiellement sur une saine alimentation pourrait réduire de manière importante les risques d’anomalies congénitales, et elle pourrait s’ajouter aux efforts déjà existants pour améliorer les qualités nutritives des aliments et encourager la prise desdits suppléments vitaminiques et minéraux.

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Les enfants difficiles et les troubles alimentaires

Selon les données actuelles, 10 % des enfants souffrirait d’un trouble alimentaire. Comme nous pouvons le lire sur Health Day, un trouble alimentaire infantile n’est pas la même chose qu’être difficile à l’heure du repas.

Il est normal pour un enfant d’être difficile quant à certains aliments, mais il faut reconnaître les signes d’un trouble, car celui-ci peut entraîner des conséquences graves sur son développement physique et mental. Rejeter tous les aliments empêche évidemment un enfant d’absorber tous les nutriments dont il a besoin.

Quelques indices peuvent aider à reconnaître l’apparition d’un trouble alimentaire infantile. Une fatigue inexpliquée et une perte d’énergie peuvent indiquer un problème. Des changements soudains dans les habitudes alimentaires qui durent plus de 30 jours aussi.

Durant le repas, si un enfant tousse beaucoup ou s’étouffe avec la nourriture, cela peut aussi constituer un indicateur. Un comportement dérangeant durant les heures de repas peut également mettre la puce à l’oreille.

Sans que cela ne devienne trop paniquant, il faut observer son enfant et réagir le plus rapidement possible, car la voie de la guérison n’en sera que plus facile pour lui.

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La télévision liée à une mauvaise alimentation

Le temps passé à regarder la télévision est lié à la consommation accrue de boissons et nourritures malsaines, rapporte le Science Daily.
 
L’étude de l’Université de Loughborough, en Angleterre, a analysé 53 recherches sur le mode de vie sédentaire et l’apport alimentaire.
 
Les chercheurs ont établi un lien clair entre le temps passé devant la télévision et une mauvaise alimentation, tant chez les enfants et les adolescents que chez les adultes. On croit que ce sont d’abord les adultes qui devraient donner l’exemple aux plus jeunes.
 
Devant la télévision, on consomme plus de collations caloriques, de boissons sucrées et de fast-food, et moins de fruits et légumes.
 
Une raison à cela est l’influence des publicités qui déterminent nos choix alimentaires, mais aussi le fait que la télévision est une trop grande distraction. Ainsi, la concentration n’est pas portée sur le repas, mais sur l’écran, ce qui entraine bien souvent une surconsommation également.