Catégories
Uncategorized

Avec l’école, le retour des saines habitudes!

La rentrée des classes nous ramène à la routine, mais elle devrait aussi nous inciter à reprendre de saines habitudes. Bien que les enfants aient pu profiter des vacances estivales pour faire des écarts, il est désormais temps pour eux de suivre une meilleure alimentation et de faire plus d’exercice physique.

On lit sur ce sujet, sur Medical News Today, que l’été est un moment parfait pour se relâcher un peu et en profiter. Ainsi, on amène souvent les enfants manger au restaurant, et l’horaire habituel est doucement oublié.

Pourtant, avec la rentrée scolaire, on est souvent pris de court, et notre organisation manque de rigueur. Le manque de sommeil et les repas trop vite préparés mènent toutefois directement au gain de poids ou à d’autres problèmes de santé.

Les périodes de vacances n’ont pas toutes les mêmes répercussions. Durant le temps des fêtes, les enfants prennent souvent du poids. Malheureusement, tout ce poids n’est pas nécessairement perdu durant les vacances d’été.

On peut s’aider facilement, pour remédier à la situation ou prévenir les dérapages. On inscrit par exemple notre enfant à une activité sportive, et l’on accorde du temps à la planification des repas de la semaine – on parle ici d’une heure. Aussi, on voit à ce que les enfants aillent au lit plus tôt.

La rentrée scolaire peut donc devenir une belle occasion pour reprendre nos bonnes habitudes, et ce, pour toute la famille.

Catégories
Uncategorized

Donnons de bonnes habitudes aux tout-petits

Le Journal of the American Dietetic Association présente une revue des moyens d’action potentiels pour prévenir efficacement l’obésité chez les jeunes enfants. Des représentants de différentes instances de recherches américaines ont analysé 42 études pertinentes sur le sujet.

On soutient que la prise de saines habitudes de vie dès l’âge préscolaire aurait des impacts majeurs sur la santé générale de la population. Il s’agirait d’un moment clé pour faire découvrir les bienfaits de l’activité physique et d’une saine alimentation aux enfants.

Déjà, les chercheurs ont reconnu certaines possibilités afin de revoir les standards et mesures actuels. Il est temps d’agir, car en ce moment, de nombreux enfants de moins de cinq ans peuvent être déjà considérés comme obèses, aux États-Unis.

Au cours des trois dernières décennies, les garderies en sont venues à prendre le rôle de la famille en ce qui a trait aux habitudes alimentaires, d’où l’instauration de programmes dédiés.

Les parents devraient toutefois, selon les chercheurs, devenir les arbitres de l’alimentation de leur enfant et soutenir les changements qui pourraient s’opérer dans les programmes nutritionnels.

Catégories
Uncategorized

L’huile d’olive peut fournir de nombreuses vitamines

De nombreuses personnes présentent des carences en vitamines. Pour tenter de remédier à ce problème, vous pouvez augmenter votre consommation de fruits et de légumes ou consommer de l’huile d’olive.
 
Selon Genious Beauty, l’huile d’olive contient les vitamines A, B, E, D et K. Elle aide à renforcer les os, les muscles et la paroi intestinale. De plus, elle est efficace pour lutter contre les radicaux libres et prévient le vieillissement de l’organisme.
 
Une consommation régulière d’huile d’olive peut aussi aider à réduire le taux de cholestérol sanguin. Elle réduit donc, par conséquent, les risques de maladies cardiovasculaires, en raison du fait que jusqu’à 83 % des acides gras de l’huile d’olive sont monoinsaturés.
 
De plus, sachez que de manger des olives aide à la bonne santé de votre foie et de votre système digestif.
 
Catégories
Uncategorized

L’importance de la vitamine D

Des chercheurs affirment que la majorité des enfants atteints du VIH ont un taux de vitamine D insuffisant. Les résultats de leur recherche sur le sujet sont parus dans le Journal of Pediatrics.

Ces enfants auraient besoin de recevoir deux fois le traitement standard pour atteindre les degrés attendus. La vitamine D est évidemment recommandée à tous les enfants, rappellent les chercheurs.

Pour ce qui est d’une déficience de cette vitamine, les raisons peuvent être diverses. On pense entre autres à une trop faible exposition au soleil, à l’emploi courant, de nos jours, de la protection solaire ainsi qu’à une alimentation incomplète. D’autre part, les médicaments antirétroviraux pourraient également avoir un impact sur le taux de vitamine D.

La présente recherche a porté sur 53 enfants atteints du VIH. Au total, 85 % d’entre eux accusaient une carence en vitamine D.

Catégories
Uncategorized

Ces aliments qui causent des maux de tête

Le mal de tête n’est pas uniquement lié à l’état de santé d’une personne; il peut aussi être causé par son alimentation. À ce sujet, Healthmeup nous fait part des cinq aliments et breuvages qui les provoquent le plus souvent.

Le premier en lice est le fromage. On ne s’en douterait pas, mais la haute teneur en protéines de cet aliment entraîne une grande production de tyramine, ce qui peut causer un mal de tête.

Vient ensuite l’alcool, ce dont on se doutait fort bien. Apprenez toutefois qu’une toute petite quantité suffit pour avoir mal à la tête, car il est directement absorbé dans le sang.

Comme on en a plus d’une fois entendu parler, les colorants alimentaires peuvent être la source d’un mal de tête. Ils peuvent aussi engendrer une réaction allergique; demeurez prudent quant aux aliments qui en contiennent, de même que ceux qui comprennent des agents de conservation.

Quant au café, les avis sont contradictoires. Il est vrai qu’il peut soulager les maux de tête, mais il peut aussi en causer, lorsque sa caféine se mêle au magnésium dans l’organisme.

Finalement, la nourriture de la restauration rapide pourrait vous donner mal à la tête. Le glutamate monosodique, que l’on retrouve en forte teneur dans ce type d’alimentation, peut à la fois causer un mal de tête et l’amplifier. Il faut aussi dire que ces aliments sont difficiles à digérer.

Catégories
Uncategorized

À chaque chirurgie ses choix alimentaires

On recommande souvent quels aliments choisir après une chirurgie. Mais qu’en est-il de ceux à éviter? Lifemojo fournit quelques exemples en fonction de différentes interventions chirurgicales.

Par exemple, lors d’une chirurgie abdominale, on doit s’assurer que notre estomac demeurera au repos.

On évite donc les aliments qui prennent du temps à digérer ou qui laissent des dépôts dans les intestins. Entre autres, on ne mange pas d’aliments à haute teneur en fibres, épicés ou gras, et l’on se passe d’alcool et de boissons gazeuses.

D’autre part, si l’on doit subir une chirurgie dentaire importante, on veille à choisir les bons aliments aussi. Le jour suivant l’intervention, on commence par une alimentation liquide, on n’ingère aucun aliment solide.

Puis, les deux semaines suivantes, on commence doucement. Alors, on évite les noix, les légumes crus et les pommes, bref, tout ce qui est trop dur ou très croquant.

Catégories
Uncategorized

Si vous mangez des cornichons à la crème glacée…

Ce serait maintenant confirmé : ce que l’on mange durant la grossesse influe sur les goûts du futur bébé. C’est ce qu’avancent des chercheurs du Monell Chemical Senses Center, nous apprend Medical News Today.

Les goûts futurs du bébé se décideraient dans le ventre de la mère, car le liquide amniotique contiendrait les saveurs de ce que cette dernière mange. Cela formerait les souvenirs de ces mêmes saveurs avant la naissance.
 
Ainsi, l’enfant aurait certaines préférences alimentaires durant toute sa vie. Le même phénomène se produirait quant au lait maternel.
De plus, une protéine, la Serca3, jouerait un rôle particulier quant à la reconnaissance d’une saveur amère. Cela expliquerait pourquoi certaines personnes y sont plus sensibles que d’autres.
 
L’exposition avant la naissance à certaines saveurs et leur renforcement par la suite ferait en sorte qu’un enfant en vienne à les apprécier ou non.
 
L’alimentation de la mère durant la grossesse aurait donc des répercussions multiples sur l’enfant à naître.
Catégories
Uncategorized

Mangez bien, pour tomber enceinte

On lit dans BJOG les résultats de chercheurs du Royaume-Uni quant à l’impact de l’alimentation sur la conception. Il a clairement été démontré qu’un trouble alimentaire peut faire en sorte que la grossesse soit retardée.
 
Les femmes participant à cette étude qui avaient déjà souffert d’anorexie ou de boulimie avaient pris plus de 6 mois à tomber enceinte dans presque 40 % des cas.
 
Toutefois, après un an, il y avait autant de grossesses chez les femmes souffrant ou ayant souffert d’un trouble alimentaire que chez les autres.
 
Ces problèmes de santé devraient donc être soignés adéquatement, selon les chercheurs, bien avant un projet de conception.
 
Il serait tout indiqué d’être mieux renseigné quant aux impacts d’un trouble alimentaire sur la fécondité de la femme. D’autre part, des traitements devraient être attribués lorsque nécessaires.
 
Catégories
Uncategorized

Tous les oeufs ne sont pas égaux

La consommation d’œufs a souvent fait l’objet de débat. Alors que certains les disaient nutritifs, d’autres pointaient du doigt leur haut taux de cholestérol.

 

Le problème, c’est que tous les œufs ne sont pas égaux en terme nutritif. Cela dépend de ce que la poule mange, rapporte le Journal of Agricultural and Food Chemistry. 

 

Une poule qui a eu une alimentation faible en oméga-6 dès son plus jeune âge risque fort bien de produire des œufs qui causeront des dommages oxydatifs à la santé humaine, notamment au niveau du mauvais cholestérol.

 

Malheureusement, les œufs plus sains sont plus susceptibles d’être plus dispendieux et rares également, car la majorité du temps, ils ne sont pas vraiment disponibles en épicerie. Or, c’est précisément à cet endroit que la très grande majorité des consommateurs se les procurent.

 

Pour le moment, ils ne sont pas produits en grande quantité, car les producteurs d’œufs optent pour une alimentation moins dispendieuse pour leurs poules.

 

Catégories
Uncategorized

L’acide folique et la réussite vont de pair

Puisque les aptitudes cognitives sont en progression durant toute l’enfance et l’adolescence, une alimentation riche en acide folique est encore une fois recommandée. Des spécialistes de l’Université Orebro, en Suède, appuient l’hypothèse de plus en plus acceptée.
 
Se retrouvant dans les fruits, les légumes, le jus, le foie et le pain à grains entiers, entre autres, l’acide folique soutiendrait le bon développement du cerveau. Encore une fois, comme le mentionne Pediatrics, on vante les mérites de cette vitamine (B9) quant à la réussite scolaire.
 
On ne peut, pour l’instant, expliquer de manière concrète quelles sont les aptitudes les plus touchées par l’absorption d’acide folique, et de nombreux autres facteurs influencent aussi la réussite à l’école, mais un lien certain est noté.
 
Aucune autre étude n’aurait jusqu’ici démontré si clairement le rôle de la vitamine B9 dans le développement cérébral chez l’enfant et l’adolescent.