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Trop de sel pour les bébés

Le taux de sodium contenu dans les aliments inquiète de plus en plus. Des chercheurs se sont penchés sur celui que l’on retrouve dans l’alimentation de bébé. Selon Medicalnews, leurs résultats sont plutôt surprenants.

En effet, selon une étude de l’University of Bristol publiée dans l’European Journal of Clinical Nutrition, 70 % des bébés âgés de 8 mois seulement présentent une consommation en sel plus élevée que la quantité recommandée. Près de 1 200 bébés ont fait partie de cette recherche.

De plus, ces taux élevés de sodium ne concernent pas que les aliments eux-mêmes; le lait est aussi passé sous la loupe. Il semble que le lait de vache contienne plus de sel que le lait maternel ou maternisé, et de nombreux bébés en boivent avant l’âge d’un an.
 
Une alimentation à forte concentration en sel a des répercussions importantes. En plus de donner une envie d’aliments salés aux enfants en bas âge et à les encourager à prendre de mauvaises habitudes alimentaires, elle peut atteindre le développement de leurs reins.
 
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Découverte concernant l’ostéoporose

Depuis longtemps, les naturopathes ont établi le principe de l’équilibre acido-basique pour tenter de lutter contre certaines maladies.
 
Selon eux, les aliments comme la viande, le pain, le lait et le fromage ont un effet acidifiant sur l’organisme, alors que les fruits et légumes sont plutôt alcalinisants.
 
La nouvelle recherche publiée dans le Nutrition Journal n’a trouvé aucune preuve tangible qu’une alimentation acidifiante exposait à plus de maladies, dont l’ostéoporose. Pas plus qu’il n’y aurait des preuves que les aliments alcalinisants protègeraient les os.
 
Un bon apport en fruits et légumes est bon pour la santé, avec ce principe acido-basique ou non.
 
Ces résultats ont été obtenus après avoir analysé 22 essais cliniques, deux méta-analyses et 11 études épidémiologiques.

Les causes de l’ostéoporose sont multiples, mais selon certains experts, il se pourrait qu’un déséquilibre acido-basique soit une des causes du développement de cette dégénérescence.

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Avis contraires sur l’alimentation de maman

De façon générale, en regard aux dernières découvertes, on s’entend pour dire qu’une pauvre alimentation durant la grossesse augmente les risques pour le bébé de naître avec un faible poids de naissance. Des dangers pour sa santé future ont aussi été reconnus, dont des problèmes cardiaques.

Or, une toute nouvelle recherche, menée par la London School of Hygiene and Tropical Medicine, avance que la prise de suppléments alimentaires durant la grossesse n’offre pas une telle protection, une fois que l’enfant a atteint l’adolescence.

Ayant porté sur 1 300 enfants de 11 à 17 ans de la Gambie, en Afrique, l’étude consistait à évaluer certains des premiers risques de diabète et de maladies cardiaques. Pour la moitié d’entre eux, la mère avait pris des suppléments alimentaires équivalant à 1000 calories par jour, et ce, à partir de la 20e semaine de grossesse.

On n’a pu prouver une différence entre ce groupe et le deuxième, qui jouait ici le rôle de témoin, quant à leur indice de masse corporelle, leur pression sanguine, leur taux de cholestérol ou leur taux d’insuline.

De plus, la prise de calcium durant la grossesse n’a pas non plus eu d’impact sur la pression sanguine des enfants, une fois qu’ils ont eu de 5 à 10 ans.

Les résultats complets de cette recherche sont parus dernièrement dans l’American Journal of Clinical Nutrition.

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Prévoyez-vous une grossesse?

Une nouvelle étude confirme que l’alimentation d’avant la grossesse peut avoir des répercussions sur la santé du futur enfant, selon Medical News Today.

On soutient maintenant que si une femme a une alimentation pauvre avant même d’être enceinte, sa progéniture sera plus exposée à des risques d’obésité et de diabète de type 2. Le bébé aurait aussi plus de risques d’avoir un faible poids de naissance.

Présentée il y a quelques jours à l’Experimental Biology Annual Conference à Glasgow, cette expérimentation de l’Université d’Aarhus a été effectuée sur des souris. Des études précédentes basées sur le même modèle animal en étaient arrivées à des résultats similaires.

Les souris qui avaient suivi un régime alimentaire pauvre en protéines durant 10 semaines avant la conception avaient donné naissance à des petits d’un plus faible poids de naissance et présentant une forte sensibilité à l’insuline.

Il s’agirait là de réels effets de l’alimentation avant la grossesse, car ces mêmes souris avaient eu une alimentation normale durant leur gestation.

Les humains répondent de la même façon que les souris quant à l’alimentation durant la grossesse. Un lien peut donc être établi avec celle qui est suivie avant la conception.

On suggère donc aux femmes d’être conscientes de ce qu’elles mangent lorsqu’elles sont enceintes, mais aussi dès qu’elles souhaitent le devenir.

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Le secret des enfants minces

Une étude dont on devine la controverse suggère qu’on ne devrait pas empêcher nos enfants de manger des bonbons. Ceux qui en mangent, qu’ils soient enfants ou adolescents, ont tendance à être plus minces que les autres.

Précisément, ils seraient moins enclins à être obèses ou à accuser un surpoids. Les responsables de cette étude du Centre agricole de l’Université d’État de la Louisiane insistent toutefois sur le fait que cette relation ne doit pas être prise au pied de la lettre.

Les bonbons ne devraient jamais remplacer les éléments d’une saine alimentation, mais il semble qu’un petit spécial peut encourager la modération et, bien sûr, procurer du bonheur.

On peut lire les résultats de cette recherche dans Food & Nutrition Research. Il est certain qu’elle fera partie du débat actuel sur l’obésité infantile, laquelle est en hausse inquiétante dans nos sociétés modernes.

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Les parents sont plus conscients de l’obésité infantile

Une enquête menée auprès de 2 000 parents révèle que nous sommes de plus en plus concernés par l’obésité. Il semble même qu’un grand nombre d’entre eux (85 %) se sont dits responsables de l’état de santé de leurs enfants et souhaiteraient faire plus d’exercice avec eux.

Cette recherche américaine a aussi confirmé le taux grandissant d’obésité infantile dans la société d’aujourd’hui : un parent sur huit considérait que son enfant accusait un surpoids, lisons-nous sur OnePoll.

Plusieurs ont par ailleurs répondu que leur enfant était obèse et la majorité de ces derniers ont avoué tenir comme responsable leur mauvaise alimentation. Ajoutons que certains parlent encore beaucoup d’une possible raison génétique pour expliquer les problèmes de poids de leur progéniture.

Bien que les parents semblent conscients des défis que représente l’obésité chez la génération de demain, très peu semblent équipés pour y répondre efficacement. L’éducation demeure la meilleure voie.

À l’heure actuelle, seulement 58 % des répondants disaient avoir un enfant de poids normal. On prédit qu’en 2050, 25 % des enfants seront obèses, c’est-à-dire qu’ils auront un indice de masse corporelle supérieur à 30.

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L’activité physique est plus efficace qu’une saine alimentation

Le rapport Obésité au Canada mentionne que pour prévenir l’obésité, il n’y a pas mieux que d’augmenter son taux d’activité physique plutôt que d’adopter une saine alimentation.
 
Selon l’étude canadienne, si tous les citoyens du pays changeaient leur alimentation, on pourrait réduire le cas d’obésité de 350 000 personnes.
 
Par contre, bouger plus de 15 minutes par jour, à faible intensité, diminuerait les cas d’obésité d’un million de personnes, soit 646 000 femmes et 405 000 hommes.
 
« On a été un peu surpris. On pensait que la nutrition aurait un impact plus important que ça. Mais c’est plutôt l’activité physique qui arrive en tête », déclare le vice-président recherche et analyse à l’Institut canadien d’information sur la santé (ICIS), Jérémy Veillard.
 
Toutefois, le problème de l’obésité étant complexe et causé par divers facteurs, on ne pourrait tout régler.
 
Pour perdre du poids, c’est l’adoption d’une saine alimentation qui est le plus efficace.

L’obésité touche un adulte sur quatre au Canada et un enfant sur onze.

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Les allergies font partie de la réalité des enfants

Une vaste étude nationale nous apprend que chez nos voisins du sud, 8 % des enfants sont aux prises avec une allergie alimentaire.

Les cas sont en réelle augmentation aux États-Unis, comme le mentionne un article sur le sujet dans Pediatrics, The Prevalence, Severity and Distribution of Childhood Food Allergy in the United States. On peut se questionner quant à une augmentation semblable au Canada.

Ce taux correspond à 5,9 millions d’enfants. Il est certain que cette nouvelle réalité a un impact sur l’alimentation de la population en général et la perception de la nourriture : parmi les enfants atteints, presque le tiers (30,4 %) souffrent de plus d’une allergie alimentaire

De plus, on évalue à 38,7 % ceux qui ont subi une réaction sévère. Les aliments auxquels les enfants sont le plus souvent allergiques sont les noix (25,2 %), le lait (21,1 %) et les fruits de mer (17,2 %).

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Les allergies réduisent la qualité de vie

Une étude irlandaise a levé le voile sur des répercussions peu discutées des allergies alimentaires chez les enfants, lisons-nous sur Medical News Today. Il semble que les peurs des parents se transposent souvent chez l’enfant et peuvent avoir des conséquences importantes.

Après que l’on ait questionné 250 personnes vivant dans différents endroits du monde, on a remarqué que l’anxiété liée à la nourriture était très présente chez les jeunes allergiques. Les enfants sont très souvent réticents à essayer de nouveaux aliments, de peur d’une réaction.
 
Parallèlement, une étude italienne a pour sa part relevé que 75 % des enfants allergiques étaient réticents à essayer de nouveaux aliments. La même proportion d’enfants trouvent aussi que leur alimentation est monotone, ce qui est logique dans ce cas.
 
Presque le même nombre de parents avouent être peu confiants quant à l’étiquetage et avoir peur que leur enfant goûte à de nouveaux aliments. Et puisque peu de restaurants offrent des options aux personnes atteintes d’allergies, les sorties familiales sont réduites.

Tristement, il semble que près du cinquième des jeunes allergiques ne participe pas aux fêtes en raison de leur condition. Grand nombre de ces enfants sont finalement plus anxieux que les autres et se sentent différents.

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20 % des cancers seraient causés par l’alimentation

Selon David Khayat, chef du service de cancérologie à la Pitié-Salpetière en Europe, 20 % de l’ensemble des cancers seraient causés par l’alimentation, alors que 30 % seraient liés à des hormones de l’organisme et 30 % au tabagisme.
 
Selon lui, le thé vert, le jus de grenade, le gingembre et le pain seraient des aliments anticancers, bien qu’il n’existe aucun aliment qui peut réellement prévenir la maladie. Le saumon et le thon rouge seraient cancérigènes, toujours selon les dires de M. Khayat.
 
Soulignons que récemment, une étude affirmait qu’aucun aliment ne pouvait prévenir l’apparition du cancer, rappelle Relay.
 
Toutefois, il est reconnu qu’une alimentation saine et diversifiée, faible en aliments caloriques, en alcool, en viande rouge, en charcuteries et en sel, jumelée à de l’activité physique régulière, peut aider à diminuer les risques pour certains cancers.