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Un régime riche en gras serait lié à la maladie d’Alzheimer

Des chercheurs américains affirment qu’un régime alimentaire faible en gras pourrait aider à prévenir la maladie d’Alzheimer.
 
Il a été démontré que les personnes qui mangent le plus de beurre, de fromage, de biscuits ou de pain blanc sont plus susceptibles de développer la maladie plus tard.
 
Depuis longtemps, les scientifiques savent que les personnes obèses sont plus à risque. On ignore exactement pourquoi, mais l’obésité peut causer des dommages aux vaisseaux sanguins du cerveau qui, à leur tour, tuent des cellules.
 
Les chercheurs ont suivi 50 personnes âgées dont certaines présentaient des problèmes de mémoire. Un groupe a eu un régime alimentaire riche en matières grasses et l’autre groupe a reçu une alimentation faible en gras.
 
Après quatre semaines, on a mesuré les niveaux de deux protéines connues pour être des signes annonciateurs de la maladie d’Alzheimer.

Chez le groupe ayant consommé le plus de gras, elles avaient augmenté. Par contre, elles avaient diminué chez le groupe ayant consommé moins de gras. De plus, ces personnes ont vu leur mémoire être améliorée, car elles ont obtenu de meilleurs résultats au test suivant l’étude que celui la précédant, rapportent les Archives of Neurology.

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Autre appui pour l’allaitement

Selon Pediatrics, on réduirait les risques de mort subite de 73 % en nourrissant un poupon uniquement de lait maternel. Cette annonce vient s’ajouter à la longue liste de bénéfices reconnus de l’allaitement, tant pour la mère que le bébé.

Tous les types d’allaitement entraient d’autre part en corrélation avec une chute de 45 % des risques d’une mort subite. Il semble, selon des experts, que l’allaitement devrait donc faire partie de ses facteurs préventifs au même titre que l’absence d’exposition à la fumée de cigarette.
 
En faisant une moyenne par rapport à l’allaitement unique et sa durée, on arrivait à 60 % moins de risques d’un tel événement. On suggère encore une fois de choisir l’allaitement comme alimentation unique de son enfant durant ses six premiers mois de vie. Il devrait ensuite être poursuivi jusqu’à un an.

Finalement, on s’est demandé quel lien pouvait unir l’allaitement, le partage du lit parental et la prévention de la mort subite du nourrisson. Si le premier peut être encouragé par le second, il semble que l’allaitement à lui seul peut prévenir une mort prématurée du poupon.

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Papa n’a pas toujours raison

Une recherche américaine parue dans le Journal of Nutrition Education and Behavior nous indique que le père aurait finalement un impact plus grand que la mère quant aux risques d’obésité de leur progéniture.

Conséquemment, un papa qui fréquente couramment des chaînes de restauration rapide aura plus souvent des enfants qui suivent cette même habitude.
 
Durant 15 mois, on a observé les choix alimentaires de parents ainsi que leur façon de passer du temps avec leurs enfants. Des études précédentes avaient déjà établi un lien entre la consommation de mets préparé en restauration rapide et l’obésité infantile.

Ce que l’on remarque de nouveau, dans ce cas-ci, c’est que le choix de restaurant serait lié à l’obésité. Il y a fort à parier que des discussions naîtront au sein des familles lorsque papa décidera du lieu de sortie pour sa journée bien à lui…

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Dangers de l’alimentation pour le bébé

Des chercheurs de l’Oregon Health & Science University viennent d’expliquer en quoi une alimentation riche en gras durant la grossesse peut comporter un danger pour le bébé.

Comme il est présenté dans Endocrinology, cette étude permet de mieux expliquer pourquoi un tel régime alimentaire augmente le risque de mort intra-utérine.
 
On constate donc que le régime alimentaire américain moyen, riche en gras, fait baisser le flux sanguin de la mère vers le placenta, ce qui peut entraîner des risques pour le fœtus. Avec une alimentation très calorique, l’enfant à naître est donc plus exposé à la mort intra-utérine.
 
De plus, les chercheurs ont remarqué que ce danger n’était pas propre aux femmes obèses; il touche autant celles qui sont minces.

Mentionnons finalement que cette expérimentation a été faite sur des macaques japonais, et ce, en raison de leurs similitudes avec l’être humain.

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La nutrition et la prévention du cancer

L’Agence française de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses), après avoir mandaté des experts sur la question de la prévention du cancer par l’alimentation, présente maintenant ses résultats.

On peut donc lire dans La Presse que si le comportement nutritionnel a effectivement un impact sur le développement du cancer, il n’existe toutefois pas d’aliment miracle.
 
Le cancer, comme le rappellent les experts, dépend de multiples facteurs, dont ceux reliés à l’environnement, au comportement et à des caractéristiques propres à chacun. On recommande donc une bonne alimentation et la pratique régulière d’exercices en guise de prévention de la maladie.
 
Bien que la diversité alimentaire semble gagnante, aucun aliment ne présente malgré tout des propriétés miracles qui pourraient nous protéger du cancer.
 
D’un autre côté, on suggère encore de modérer sa consommation d’alcool, de viande rouge et de sel, des relations avec certains cancers et ces aliments ayant été relevées.

Finalement, les méthodes de prévention du cancer ressemblent beaucoup à celles touchant d’autres maladies graves, soit de s’alimenter sainement et de faire de l’exercice sur une base régulière.

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Un surpoids cause également des dommages au cerveau

Un petit gâteau ne vous fera pas seulement prendre du poids. En effet, les chercheurs mentionnent qu’une mauvaise alimentation et un surplus de poids causent également des dommages au cerveau.
 
Cela peut causer des problèmes de mémoire et augmenter les risques de démence en vieillissant entre autres. Cela fait également vieillir prématurément la matière grise de 16 ans.
 
La matière grise est liée à la pensée et gère les muscles pour voir, entendre et parler. Elle est aussi liée à la mémoire et aux émotions. La matière blanche, elle, permet de relier les cellules entre elles.
 
L’embonpoint peut changer notre façon de penser, affecter notre jugement et nous donner envie d’aliments caloriques. Nous nous retrouvons donc comme un toxicomane qui a besoin de sa drogue.
 
Les régimes riches en matières grasses affectent les artères et la santé cardiaque. Ils ont les mêmes effets sur le cerveau, selon le Daily Mail.
 
Ce genre d’alimentation rétrécit le cerveau. Les scientifiques ont constaté que le cerveau des personnes obèses ou en surpoids était de 4 à 8 % plus petit que le cerveau des personnes avec un poids santé.
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Le père est le principal modèle alimentaire

La fréquentation des restaurants-minute par les enfants dépendrait beaucoup de leurs parents. Selon le Journal of Nutrition Education and Behavior, le style parental influence les jeunes dans leur fréquence de manger au restaurant.
 
312 familles de Houston au Texas ont été interrogées. Les enfants avaient de 9 à 11 ans et de 13 à 15 ans. On les a interrogés sur les horaires de travail de leurs parents, le style parental, l’interaction qu’ils avaient avec eux, les rituels des repas en famille et le temps passé en voiture ensemble.
 
Les familles dont les enfants fréquentaient le plus les restaurants-minute avaient des parents qui travaillaient de 9 h à 17 h. Souvent, le père mangeait régulièrement dans ce type d’établissement.
 
L’étude démontre d’ailleurs que c’est surtout le père qui sert de modèle quant à l’alimentation. Il devrait donc donner l’exemple et privilégier les repas en famille à la maison.
 
De plus, les enfants qui passaient beaucoup de temps avec leurs parents en voiture avaient aussi tendance à manger plus souvent au restaurant.
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Un programme éducatif qui fait aimer les légumes

L’Université du Michigan a mené un programme pilote durant quatre auprès d’élèves de la sixième année provenant de cinq écoles du même État. Les résultats en sont si probants que l’on songe maintenant à étendre l’expérimentation à 14 écoles.

Les buts de ce programme étaient de manger plus de fruits et légumes et moins d’aliments gras, de faire de meilleurs choix de boissons, de faire au moins 150 minutes d’exercice par semaine et de passer moins de temps devant la télévision et l’ordinateur.
 
Tout un programme! Les effets bénéfiques ont pourtant été remarquables. Le taux de cholestérol des élèves avait beaucoup diminué après quatre ans, de même que le temps passé devant la télé ou l’ordinateur.
 
Après des améliorations et des baisses, le temps passé à faire de l’exercice s’est finalement stabilisé au bout de quatre ans, pour finalement être positif. Un phénomène semblable s’est produit quant à la consommation de fruits et légumes.

Il semble donc qu’un programme d’encadrement est tout désigné pour guider les enfants afin de préférer un mode de vie sain et une bonne alimentation.

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Les parents aiment le resto!

Une étude du Département de l’Agriculture des États-Unis nous apprend que les parents américains accordent la moitié de leur budget alimentaire à des repas au restaurant.

Parue dans le Journal of Nutrition Education and Behavior, cette recherche fait état des conséquences du style de vie parental sur la santé des enfants. Nous savons bien sûr que la cuisine maison contient moins de gras saturés, de sodium et de calories que celle du restaurant.
 
On a pu remarquer cette forte fréquentation des établissements de restauration rapide et des restaurants libre-service après avoir questionné 312 familles de Houston, au Texas. Les enfants de ces familles étaient âgés soit de 9 à 11 ans, soit de 13 à 15 ans.
 
Les chercheurs ont pu tirer quelques autres conclusions subséquentes, par exemple en ce qui concerne les horaires de travail des deux parents de type 9 à 5, ou encore quant au temps passé en compagnie du père.

Finalement, on a relevé encore une fois l’importance d’inculquer de bonnes habitudes alimentaires aux enfants et aux adolescents. Il semble que ces habitudes soient influencées d’une certaine façon par la manière dont l’enfant passe du temps avec ses parents.

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L’alimentation, à la base des retards de développement?

On apprend sur MedPage Today qu’une étude américaine menée auprès de plus de 300 enfants donnerait une autre explication aux retards de développement. C’est que sur les 330 enfants évalués, 217 ne mangeaient pas convenablement.

Les chercheurs soutiennent que ledit retard serait dû, pour plusieurs, à un manque de calories ingérées. Ils suggèrent donc que des apports nutritionnels devraient être mis de l’avant, comme les formules à haute teneur calorique, par exemple.
 
On soutient qu’avant de faire passer toute une batterie de tests à un enfant que l’on croit en retard quant à son développement, on devrait tout d’abord vérifier s’il mange à sa faim et s’il mange bien.

Finalement, dans le cadre de cette étude, seulement 1,5 % des enfants ont eu un diagnostic définitif de retard de développement, pour ensuite suivre une thérapie hormonale de croissance. Une ingestion calorique déficiente a été relevée dans 60 % des cas.