Chez le groupe ayant consommé le plus de gras, elles avaient augmenté. Par contre, elles avaient diminué chez le groupe ayant consommé moins de gras. De plus, ces personnes ont vu leur mémoire être améliorée, car elles ont obtenu de meilleurs résultats au test suivant l’étude que celui la précédant, rapportent les Archives of Neurology.
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Autre appui pour l’allaitement
Selon Pediatrics, on réduirait les risques de mort subite de 73 % en nourrissant un poupon uniquement de lait maternel. Cette annonce vient s’ajouter à la longue liste de bénéfices reconnus de l’allaitement, tant pour la mère que le bébé.
Finalement, on s’est demandé quel lien pouvait unir l’allaitement, le partage du lit parental et la prévention de la mort subite du nourrisson. Si le premier peut être encouragé par le second, il semble que l’allaitement à lui seul peut prévenir une mort prématurée du poupon.
Papa n’a pas toujours raison
Une recherche américaine parue dans le Journal of Nutrition Education and Behavior nous indique que le père aurait finalement un impact plus grand que la mère quant aux risques d’obésité de leur progéniture.
Ce que l’on remarque de nouveau, dans ce cas-ci, c’est que le choix de restaurant serait lié à l’obésité. Il y a fort à parier que des discussions naîtront au sein des familles lorsque papa décidera du lieu de sortie pour sa journée bien à lui…
Des chercheurs de l’Oregon Health & Science University viennent d’expliquer en quoi une alimentation riche en gras durant la grossesse peut comporter un danger pour le bébé.
Mentionnons finalement que cette expérimentation a été faite sur des macaques japonais, et ce, en raison de leurs similitudes avec l’être humain.
L’Agence française de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses), après avoir mandaté des experts sur la question de la prévention du cancer par l’alimentation, présente maintenant ses résultats.
Finalement, les méthodes de prévention du cancer ressemblent beaucoup à celles touchant d’autres maladies graves, soit de s’alimenter sainement et de faire de l’exercice sur une base régulière.
L’Université du Michigan a mené un programme pilote durant quatre auprès d’élèves de la sixième année provenant de cinq écoles du même État. Les résultats en sont si probants que l’on songe maintenant à étendre l’expérimentation à 14 écoles.
Il semble donc qu’un programme d’encadrement est tout désigné pour guider les enfants afin de préférer un mode de vie sain et une bonne alimentation.
Les parents aiment le resto!
Une étude du Département de l’Agriculture des États-Unis nous apprend que les parents américains accordent la moitié de leur budget alimentaire à des repas au restaurant.
Finalement, on a relevé encore une fois l’importance d’inculquer de bonnes habitudes alimentaires aux enfants et aux adolescents. Il semble que ces habitudes soient influencées d’une certaine façon par la manière dont l’enfant passe du temps avec ses parents.
On apprend sur MedPage Today qu’une étude américaine menée auprès de plus de 300 enfants donnerait une autre explication aux retards de développement. C’est que sur les 330 enfants évalués, 217 ne mangeaient pas convenablement.
Finalement, dans le cadre de cette étude, seulement 1,5 % des enfants ont eu un diagnostic définitif de retard de développement, pour ensuite suivre une thérapie hormonale de croissance. Une ingestion calorique déficiente a été relevée dans 60 % des cas.