Étiquette : alimentation
On apprenait il y a quelques jours que les colorants alimentaires étaient pointés du doigt par plusieurs experts, car ils seraient responsables de la prépondérance de l’hyperactivité chez les enfants d’aujourd’hui.
Jusqu’ici, sur 50 études ayant porté sur le sujet, la FDA n’en a retenu que 30. Pour l’instant, elle a rejeté la requête voulant que huit des neuf colorants utilisés couramment soient bannis.
Comment prévenir la constipation
Selon le Harvard Medical School Family Health Guide, on pourrait éviter la constipation en respectant certaines règles quant à notre style de vie.
Finalement, il semble que la prise de laxatifs soit conseillée. On recommande ceux qui donnent un effet de satiété de l’estomac, comme le psyllium, la méthylcellulose et la pectine.
Selon une récente étude australienne, un bébé aurait une préférence, voire une dépendance, à la malbouffe si sa mère en a beaucoup consommé lorsqu’elle était enceinte.
En effet, il semble qu’une alimentation riche en gras et en sucre durant la grossesse viendrait à influencer certains modèles présents dans le cerveau du fœtus, ce qui altèrerait ses goûts alimentaires.
Ainsi, une fois né, l’enfant serait plus porté à préférer la malbouffe à d’autres types de nourriture.
Bien que cette étude parue dans FASEB Journal ait porté sur des rats, on peut déjà voir une explication possible quant à la capacité pour certaines personnes de résister à des tentations sucrées ou riches en gras, alors que d’autres n’y arrivent tout simplement pas.
De plus, on peut y voir un nouveau facteur de l’augmentation du taux d’obésité dans nos sociétés. Ces résultats nous indiquent surtout une nouvelle façon d’aider les futures mamans et celles qui allaitent à faire les bons choix alimentaires, afin d’offrir les meilleures bases à leur enfant.
Une récente recherche menée par l’Université de Cambridge a démontré de nouveaux effets néfastes d’une mauvaise alimentation durant la grossesse. Les enfants seraient plus vulnérables quant au processus de vieillissement.
On peut en effet lire sur Medical News Today que les enfants nés d’une mère s’étant mal alimentée durant sa grossesse courent plus de risques de développer le diabète de type 2 ou un cancer.
Les chercheurs ont donc analysé l’interaction entre certains facteurs environnementaux et les gènes durant une vie humaine. L’alimentation durant les périodes importantes du développement fœtal faisait partie de ces facteurs.
Jusqu’ici, on n’avait pu prouver un lien inéluctable entre l’alimentation de la femme enceinte et le comportement des gènes.
À la suite d’analyses génétiques, on a pu ici établir que l’alimentation maternelle peut en effet marquer les gènes, et ce, dès les premiers stades de la vie.
De nombreuses personnes, surtout des femmes, sont obsédées par leur apparence et leur corps. Certaines veulent tellement être minces qu’elles en deviennent anorexiques.
HelpGuide a publié une liste de symptômes qui pourra vous aider à reconnaître si un proche souffre d’anorexie.
Si la personne continue de suivre un régime malgré le fait qu’elle soit mince, et si elle ne consomme que des aliments faibles en calories, posez-vous des questions.
De plus, si la personne est obsédée par le nombre de calories, les matières grasses et la teneur des nutriments et mesure chaque aliment, et si elle pense continuellement à la nourriture, cuisine toujours pour les autres, mais mange peu, il y a lieu de commencer à s’inquiéter.
Une personne anorexique peut aussi avoir des habitudes alimentaires étranges, comme refuser de manger en public, couper ses aliments en tout petits morceaux, mastiquer très longtemps ou même recracher la nourriture mastiquée.
L’anorexie peut s’accompagner d’une importante perte de poids en peu de temps. Aussi, la personne a toujours le sentiment d’être grosse, a une très mauvaise image d’elle-même et critique continuellement son apparence. Elle peut passer beaucoup de temps devant un miroir à se chercher des défauts.
Une personne anorexique refuse souvent de reconnaître qu’elle est trop maigre et fera en sorte de camoufler son corps avec des vêtements trop grands, par exemple, ou elle boira beaucoup juste avant de se peser. Elle peut également avoir une obsession pour les pilules pour maigrir, les laxatifs et les diurétiques.
De plus, si la personne fait de l’exercice à l’extrême et vomit après les repas, ce n’est pas non plus bon signe. Habituellement, si elle se rend à la salle de bain après avoir mangé pour vomir, elle ouvrira le robinet d’eau pour masquer le bruit et masquera l’odeur avec du rince-bouche ou une menthe.
C’est bien connu, les enfants ont une bien mauvaise alimentation, mais les experts sonnent l’alarme.
Selon le Daily Mail, les enfants de sept ans ingurgitent plus de sel que la quantité maximale recommandée pour les adultes.
On recommande aux gens de ne pas dépasser 6 g de sel par jour, mais une récente étude révèle que chez les enfants de 7 à 14 ans, les garçons consomment 6,4 g de sel chaque jour, contre 5,6 g pour les filles. De plus, les experts pensent que ces données sont faussées, car la consommation aurait été sous-déclarée.
Les chercheurs croient qu’une réduction de 42 % de l’apport en sel chez les enfants réduirait considérablement de graves problèmes de santé à l’âge adulte comme la pression artérielle. La malbouffe, les pâtes déjà préparées et les céréales pour enfants ont contribué à augmenter la consommation de sodium.
Les experts se soucient également de la hausse de consommation de gras saturés et de sucre ainsi que du manque de vitamines et de minéraux essentiels chez les jeunes enfants. Cela peut mener au diabète de type 2, aux maladies cardiovasculaires et au cancer, en plus d’encourager le développement de l’obésité infantile.
Est-ce que les collations jouent un rôle dans l’épidémie de cas d’obésité infantile que l’on observe depuis quelques années?
Selon Gina Bucciferro, pédiatre et diététicienne du Centre médical de l’Université de Loyola, les collations peuvent jouer un rôle important dans l’apport quotidien de nutriments nécessaires à la bonne santé d’un enfant, lit-on sur Medical News Today.
Aux États-Unis seulement, 88 % des enfants n’ingèrent pas la quantité attendue de fruits par jour et 92 % ne mangent pas suffisamment de légumes pour répondre aux mêmes critères.
Les collations devraient donc être perçues comme une manière efficace de combler ces manques nutritionnels, mais certaines règles devraient être respectées
Ainsi, on recommande de se sustenter après avoir fait une activité physique et l’on propose à ce moment de manger des fruits, des légumes et des céréales entières sans sucre ni gras.
De plus, en proposant ces mêmes aliments deux à trois heures avant un repas, on répondra encore une fois aux besoins nutritionnels de l’enfant sans gâcher son appétit, ce qu’un aliment riche en gras ferait.
D’autre part, il faut éviter de proposer les collations comme des récompenses, car notre relation avec la nourriture se crée à un jeune âge.
Finalement, demeurez aux aguets quant à votre enfant afin de déceler s’il mange une collation pour se désennuyer. Si c’est le cas, proposez plutôt une activité, qu’elle soit physique ou qu’il s’agisse de colorier tout simplement. Réduire le temps devant la télévision constitue une voie positive.
Il semble que l’alimentation de l’enfant a un impact important sur son intelligence. C’est ce que suggère une récente étude de l’Université de Bristol en Angleterre.
Les résultats de cette étude réalisée sur 4 000 enfants portent à croire que les petits qui ont une alimentation riche en gras, en sucre et en nourriture transformée vers l’âge de trois ans accusent une baisse de quotient intellectuel un peu plus tard.
À l’inverse, les participants qui avaient une alimentation santé, composée de pâtes, de salades, de fruits et de légumes en grande partie, ont eu des résultats plus élevés aux tests d’intelligence de la recherche.
Ainsi, les enfants qui avaient une alimentation plus pauvre démontraient une baisse de QI de 1,67 point à l’âge de 8 ans et demi. Ceux qui avaient une alimentation plus saine avaient un gain de 1,20 point dans leur QI au même âge lors des mêmes tests.
Selon les chercheurs, l’association entre l’alimentation d’un enfant à trois ans et son intelligence future pourrait s’expliquer facilement. En effet, la croissance du cerveau est la plus rapide de l’existence durant les trois premières années de vie.
Des études antérieures ont démontré que la croissance de la tête lors de cette période avait des impacts cognitifs. Il est donc possible qu’une alimentation saine durant cette période puisse soutenir le développement optimal du cerveau.
Les résultats complets de cette étude sont parus dernièrement dans la revue en ligne Journal of Epidemiology and Community Health.