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L’influence des parents n’est pas si forte sur les habitudes alimentaires de leur enfant

Des chercheurs de l’École de santé publique Johns Hopkins à Bloomberg, aux États-Unis, ont passé en revue la littérature des dernières années quant à l’influence des parents sur l’alimentation de leur progéniture.

Il semble que les parents aient une influence bien plus mince que la croyance populaire le veut. Plusieurs autres facteurs s’ajoutent, dont les aliments offerts dans son milieu de vie et les initiatives gouvernementales quant aux repas à l’école, entre autres.

Parue dans le Journal of Epidemiology and Community, l’étude s’est faite en collaboration avec une université espagnole et elle a porté sur des résultats de recherches s’étendant de 1989 à 2009.

On a comparé différents jumelages, comme de mère à fille, de père à fils, etc., ainsi que les différentes régions du monde, les méthodes d’évaluation de l’alimentation, et ce, à travers le temps.

Cette recherche nous aidera donc à mieux comprendre comment les habitudes alimentaires peuvent être apprises par l’enfant et à quel degré elles proviennent de chacune des sphères ci-haut mentionnées.

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L’alimentation de la mère pourrait influer sur le développement du cerveau du bébé

Des chercheurs de l’Université du Colorado ont trouvé pourquoi le bébé est porté à aimer ce que sa mère ingérait durant sa grossesse, apprenons-nous sur MailOnline

Les odeurs présentes dans le liquide amniotique atteindraient une partie du cerveau responsable du goût et de l’odorat.

Ainsi, le bébé sera porté à mieux aimer ce que sa mère aimait aussi durant sa grossesse. En effet, il croira que tout ce que la mère ingère est bon pour la santé.

Plus vieux, l’enfant aura tendance à manger de la même façon que sa mère lorsqu’elle était enceinte, car son cerveau aura appris à aimer certaines odeurs et saveurs.

Les chercheurs concluent sur l’importance de préférer une saine alimentation durant la grossesse, en plus d’éviter l’alcool pendant celle-ci et durant l’allaitement.

Pour la première fois, on aura donc fait un lien entre l’alimentation durant la grossesse et le cerveau du fœtus, ce qui met en lumière une fois de plus l’importance de favoriser la bonne santé de l’enfant le plus tôt possible.

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Un lien clair entre l’obésité de l’enfant et le régime gras de la future mère

Une étude qui portait au départ sur le sommeil nous en a finalement dit plus long sur les liens entre une alimentation riche en gras de la femme enceinte et la future condition physique de son enfant.

En effet, d’après le FASEB Journal, les habitudes alimentaires de la future mère pourraient causer des changements génétiques faisant en sorte que le bébé à venir devienne obèse ou fasse de l’embonpoint plus tard.

Le gène Npas2 serait visiblement en cause. Ce dernier est responsable de la régularité du rythme circadien.

Pour arriver à ces conclusions, des chercheurs du Collège de médecine Baylor, à Houston, ont analysé les cas de trois groupes de singes japonais.

Durant la grossesse des mères ayant une alimentation riche en gras, il semble que les gènes du foie du foetus aient été modifiés, en particulier le Npas2.

Toutefois, il appert qu’une amélioration du régime alimentaire durant la grossesse ou l’allaitement, ou encore de celui du bébé après la naissance, pourrait restaurer en partie le système circadien.

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Moins bien manger une fois adulte en raison des bonnes habitudes?

Des chercheurs du Collège universitaire de Londres ont démontré un lien entre le désir de bien manger des parents et les mauvaises habitudes adoptées par leurs enfants plus tard.

D’après les résultats publiés dans le Journal of American Dietetic Association, le point de départ a été le lien entre la faible pression maternelle et l’amour de la nourriture.

Il semble au contraire que si les parents insistent pour que l’enfant termine son repas, celui-ci court plus de risques de devenir un mangeur compulsif.

De plus, si les parents sont insistants quant aux saines habitudes alimentaires, l’enfant aura tendance à aller dans la direction inverse à l’âge adulte.

Tous ces liens ont été faits sans regard au poids de l’enfant. Cette étude a porté sur 213 mères ayant des enfants âgés de 7 à 9 ans.

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Le végétarisme pour sauver la planète

La Food Standards Agency publie un rapport qui est loin de faire l’unanimité. Selon les scientifiques qui ont effectué cette étude, le végétarisme serait la solution afin de sauver la planète.
 
Selon eux, notre régime alimentaire doit être modifié. Le bœuf devrait être remplacé par le porc, le fromage par les œufs, la crème glacée par le yogourt et le whisky par la bière.
 
La meilleure option serait principalement d’opter pour le végétarisme, ce que l’Union des fermiers en Europe déplore. Selon cette dernière, il faudrait effectuer des changements sur la production et le transport des aliments plutôt que de choisir les fruits et légumes.
 
Les chercheurs britanniques de l’Université d’East Anglia ont analysé les effets nutritionnels et environnementaux de différents aliments. Selon eux, manger moins de viandes bovines, de sucre et de fromage pourrait avoir un impact positif sur l’environnement.
 
De plus, on recommande de manger les aliments de la saison pour réduire le transport et prendre le moins d’énergie possible lors de la préparation des repas.
 
Ils demandent également aux écoles d’instaurer ces nouveautés rapidement afin que les jeunes les adoptent.
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Les risques de transmission du diabète de père en fille selon l’état de santé

Parue dans Nature, l’étude nous apprend que les parents atteints de diabète qui sont en surpoids et qui ont une alimentation riche en gras transmettraient plus facilement le diabète.

En fait, ces facteurs causeraient une intolérance au glucose et une résistance à l’insuline chez leurs enfants.

De plus, il semble que les pères ayant une alimentation déficiente mettraient au monde des filles ayant des cellules anormales qui produisent l’insuline.

Ainsi, des facteurs non génétiques seraient en cause dans l’apparition du diabète de type 2.

Pour arriver à ces conclusions, des rats en surpoids, en conséquence d’une alimentation à taux élevés de gras, ont été accouplés avec des femelles normales.

La progéniture femelle présentait des déficiences, en grandissant, en ce qui concerne la tolérance au glucose et la production d’insuline.

Les chercheurs ajoutent que l’augmentation de l’obésité dans toutes les tranches d’âge et chez les deux sexes est reliée à cette émergence hâtive du diabète de type 2.

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Perdre du poids grâce à la cannelle

Selon les chercheurs, il serait possible de perdre du poids grâce à la cannelle. Celle-ci améliorerait les processus métaboliques du corps humain.
 
Ces métabolismes permettent de convertir les aliments consommés en énergie. Un métabolisme rapide brûle plus de calories, donc permet une plus grande perte de poids.
 
De plus, la cannelle calmerait les fringales d’aliments caloriques. En se basant sur une recherche du Département américain de l’agriculture effectuée en 2004, Ann Kulze, médecin et membre du Wellness Council of America, affirme que la cannelle réduit les envies de manger en prolongeant la sensation de satiété. Le processus de digestion se fait plus lentement avec la cannelle.
 
Ainsi, on suggère de consommer une demi-cuillère à café de cannelle en poudre pour augmenter votre métabolisme et vous aider à perdre du poids. La cannelle peut être ajoutée à des boissons comme le thé, à des aliments comme le pain ou à divers repas. Il faut toutefois éviter également d’en consommer une trop grande quantité.
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De nouveaux moyens pour combattre la démence

Après avoir suivi 1 433 personnes de plus de 65 ans en bonne santé pendant quelques années, on constate qu’il y a certains facteurs de risques que l’on peut modifier afin de freiner les nouveaux cas de démence, rapporte le Bristish Medical Journal.
 
Bien que les causes de la démence demeurent encore inconnues, certains facteurs jouent un rôle dans l’apparition des symptômes et certains peuvent être modifiés à un jeune âge.
 
Ainsi, il faut combattre les pathologies cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux, l’hypertension, l’obésité, le diabète, le cholestérol élevé, les antécédents de dépression, l’alimentation, les habitudes de consommation d’alcool et le niveau d’éducation.
 
Quatre de ces facteurs se démarquent et ont un impact significatif sur l’apparition des nouveaux cas de démence. Ainsi, améliorer ses capacités intellectuelles diminue les nouveaux cas de 18 %, alors que combattre la dépression, surveiller le diabète et consommer plus de fruits diminuent de 21 % les risques de développer la maladie.
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Les enfants autistes ont plus de problèmes d’alimentation

Une étude publiée dans la revue Pediatrics mentionne que les enfants atteints du trouble du spectre autistique (TSA) peuvent présenter des problèmes d’alimentation et refuser de se nourrir, leurs préférences alimentaires étant déjà limitées dès l’enfance.
Toutefois, l’apport énergétique et leur croissance n’en seraient pas affectés.
 
Pour la recherche, on a comparé l’alimentation et les habitudes alimentaires de 79 enfants autistes à celles de 12 901 enfants en bonne santé.
 
On constate que les bébés autistes sont souvent décrits comme plus lents et on leur introduit des aliments plus solides à cinq mois. À 15 mois, leur régime alimentaire est beaucoup moins varié que le groupe témoin. À environ 5 ans, 8 % de ceux atteints du TSA ont adopté un régime spécial pour les allergies.
 
Comparativement au groupe témoin, les jeunes autistes mangeaient moins de légumes, de salades, de fruits frais, mais aussi moins de sucreries et de boissons gazeuses.
 
Par contre, on note que la consommation de glucides, de protéines, de graisses et d’énergie totale se ressemble beaucoup dans les deux groupes. Il n’y a pas de différences significatives au niveau du poids, de la grandeur et de l’indice de masse corporelle (IMC).
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L’alimentation influencerait le moment des premières règles

Les fillettes qui consomment beaucoup de viande rouge ont leurs premières règles à un âge plus précoce.
 
Selon le journal Public Health Nutrition, les chercheurs britanniques de l’Université Brighton ont constaté que 45 % des fillettes qui avaient mangé 12 portions de viande rouge par semaine à l’âge de sept ans ont eu leurs premières menstruations à l’âge de 12 ans, comparativement à 35 % des filles qui mangeaient quatre portions et moins.
 
Les régimes alimentaires de 3 000 adolescentes de 12 ans ont été comparés pour l’étude.
 
Les experts affirment que ce type d’alimentation prépare le corps à la grossesse, donc déclenche la puberté à un âge précoce.
 
Cette découverte laisse croire aux chercheurs que l’alimentation des jeunes filles a un lien direct avec le développement de certaines maladies à l’âge adulte. Il est toutefois important de manger de la viande rouge de façon modérée, car c’est une excellente source de fer et de zinc, des éléments essentiels à l’organisme.