Catégories
Uncategorized

Les petits Québécois sont mal nourris

On ne le rappellera jamais assez, une bonne alimentation est la base d’une bonne santé. Pourtant, trop de gens négligent leur alimentation et pire encore, celle de leurs enfants.
 
Selon une étude de l’Institut de la statistique du Québec, les enfants québécois âgés de 1 à 18 ans sont mal nourris.
 
Fait alarmant, 14 % des enfants ne mangent pas trois repas par jour et plus ils vieillissent, plus leur alimentation devient déficiente.
 
Les enfants mangent plusieurs collations, mais la plupart du temps, elles ne sont nullement nutritives.
 
« Les collations consommées sont souvent composées d’aliments moins nutritifs, riches en sucre, en gras ou en sel, particulièrement chez les 14-18 ans; en effet, la contribution des “autres aliments” (n’appartenant pas aux quatre groupes du Guide alimentaire) atteint jusqu’à 48 % des apports en énergie », indique l’étude.
 
Voilà pourquoi plusieurs établissements scolaires ont revu leur menu à la cafétéria et que seules les collations comme les fruits et légumes, le fromage et le yogourt sont acceptées.
 
C’est dès le jeune âge que les bonnes habitudes alimentaires doivent être inculquées, mentionnent les spécialistes. 
Catégories
Uncategorized

Les petits Québécois sont mal nourris

On ne le rappellera jamais assez, une bonne alimentation est la base d’une bonne santé. Pourtant, trop de gens négligent leur alimentation et pire encore, celle de leurs enfants.
 
Selon une étude de l’Institut de la statistique du Québec, les enfants québécois âgés de 1 à 18 ans sont mal nourris.
 
Fait alarmant, 14 % des enfants ne mangent pas trois repas par jour et plus ils vieillissent, plus leur alimentation devient déficiente.
 
Les enfants mangent plusieurs collations, mais la plupart du temps, elles ne sont nullement nutritives.
 
« Les collations consommées sont souvent composées d’aliments moins nutritifs, riches en sucre, en gras ou en sel, particulièrement chez les 14-18 ans; en effet, la contribution des “autres aliments” (n’appartenant pas aux quatre groupes du Guide alimentaire) atteint jusqu’à 48 % des apports en énergie », indique l’étude.
 
Voilà pourquoi plusieurs établissements scolaires ont revu leur menu à la cafétéria et que seules les collations comme les fruits et légumes, le fromage et le yogourt sont acceptées.
 
C’est dès le jeune âge que les bonnes habitudes alimentaires doivent être inculquées, mentionnent les spécialistes. 
Catégories
Uncategorized

L’alimentation durant la grossesse influence les risques de fausses couches

Il semble que l’on vient d’ajouter un facteur de risque pour les fausses couches. Nous savions déjà que l’âge des futurs parents pouvait jouer un rôle, de même qu’une insuffisance ou une surcharge pondérale, mais voilà que la nutrition aurait une incidence également.
 
Une mère qui ne s’alimente pas correctement a plus de risques d’avoir une fausse couche que celle qui a une alimentation équilibrée. Les femmes enceintes devraient donc prioriser les légumes verts, les fruits, le lait, les fromages, les œufs et consommer un peu de poissons, de beurre et d’huile.
 
Les futurs pères doivent également faire attention à leur alimentation avant la conception du bébé, rappelle Famili. Ainsi, ils devraient privilégier les vitamines et oligoaliments, ne négligeant pas de consommer des aliments comme le melon, la tomate, le brocoli, la laitue, les amandes, les carottes, les épinards, les œufs et le poisson par exemple.
Catégories
Uncategorized

La malbouffe serait comme une drogue pour le cerveau

Une étude américaine dirigée par les docteurs Paul Johnson et Paul Kenny de l’Institut Scripps démontre que la malbouffe crée une dépendance.
 
Le Nature Neuroscience mentionne qu’après des expériences menées sur des rats, on a découvert qu’une mauvaise alimentation influençait les mêmes régions du cerveau que celles activées par la drogue, comme la cocaïne par exemple. Ce phénomène inciterait donc à une plus grande consommation en créant une dépendance.
 
L’équilibre chimique des circuits de récompense se détériore peu à peu, ce qui entraîne une plus grande consommation. « L’étude présente la preuve la plus précise et la plus rigoureuse que la dépendance aux drogues et l’obésité sont fondées sur les mêmes mécanismes neurobiologiques sous-jacents », indique Paul Kenny.
 
Pour la recherche, on a donné à des rats leur alimentation normale, en plus d’ajouter de la nourriture riche en calories comme du bacon ou du chocolat. Rapidement, les rats se sont suralimentés de façon compulsive et sont devenus obèses.
 
Cette étude démontre clairement que la malbouffe crée une dépendance.
Catégories
Uncategorized

Habitudes de vie inquiétantes des Québécois

Conseils Nuitrition.tv a organisé un sondage en ligne pour découvrir les habitudes des Québécois face aux aliments.
 
Les résultats sont inquiétants et révèlent une relation malsaine avec l’alimentation comme dans plusieurs pays du globe. Les gens ont une mauvaise perception de leur apparence et adoptent des comportements néfastes.
 
Ainsi, l’étude révèle que 91 % des Québécois sont terrifiés à l’idée d’être gros. 94% disent se préoccuper des calories ingurgitées et 83 % se sentent coupables après avoir mangé.
 
De plus, 46 % disent s’être privés de nourriture alors qu’ils avaient faim, 33 % des personnes se pèsent plusieurs fois par jour et 39 % sont embarrassées de manger devant d’autres personnes. Finalement, 80 % des répondants disent manger lorsqu’ils sont tristes, déprimés, frustrés ou qu’ils s’ennuient.
 
Est-ce le résultat de la pression des médias qui prône la maigreur? Conseils Nutrition.tv affirme que la nouvelle tendance de 2010 devra être le bien-être. Au-delà de son poids, on doit prendre soin de soi et adopter des habitudes de vie saines qui ne mettent pas en péril notre santé.
Catégories
Uncategorized

Les bébés n’ont pas une bonne alimentation

Une étude de l’Institut d’études In Vivo BVA, pour le Syndicat français des aliments de l’enfance, dévoile que les bébés âgés de 1 à 3 ans ont une alimentation inadéquate qui est plutôt faite d’excès et d’aliments non adaptés habituellement réservés aux adultes.

On estime que 34 % des enfants de 13 à 18 mois consomment déjà des charcuteries. Il existe donc un réel écart entre la réalité et les recommandations nutritionnelles des tout-petits.

Trois facteurs sont attribuables à cet écart, soit l’ajout d’aliments non essentiels comme le beurre ou le fromage, les repas non adaptés pour les besoins des enfants et l’utilisation des aliments destinés aux adultes comme les frites et les poissons panés. L’étude indique que 53 % des 13 à 18 mois et 98 % des 31 à 36 moins ont déjà adopté une alimentation semblable à celle de leurs parents.

Pourtant, la période de 1 à 3 ans est cruciale pour le développement des enfants et leur alimentation doit répondre à leurs besoins spécifiques. Cela jouera un rôle plus tard sur leur santé et leur préférence au niveau des aliments.

Catégories
Uncategorized

Une mauvaise alimentation augmente les risques de dépression

Non seulement une mauvaise alimentation cause des problèmes de santé physique, mais elle entraîne également un risque accru de dépression.

Le British Journal of Psychiatry rapporte que des chercheurs de l’University College de Londres ont analysé l’alimentation de 3 500 personnes pendant cinq ans, tout en observant leur état mental.

Après avoir tenu compte de différents facteurs comme le sexe, l’âge, l’éducation, le tabagisme et les maladies chroniques, on a noté une grande différence entre les personnes qui se nourrissaient surtout de légumes, de fruits et de poissons et celles qui mangeaient des aliments transformés comme la friture, les desserts sucrés, les viandes transformées et les produits laitiers gras.

Les sujets qui avaient une alimentation équilibrée n’avaient que 26 % des chances d’avoir une dépression future, comparativement à 58 % chez l’autre groupe.

On explique cela par le fait que les aliments sains augmentent le taux d’antioxydants et offrent une meilleure protection en raison de la combinaison de différents nutriments essentiels, ce qui diminue les risques de dépression.

Catégories
Uncategorized

Les adolescents très préoccupés par leur poids

Selon un sondage mené sur le Web par Habbo, 2 adolescents sur 3 en France se préoccupent de leur poids et un sur trois dit ressentir une forte pression à ce sujet.

La grande majorité des adolescents mentionnent avoir une alimentation équilibrée, alors que 31 % disent vouloir la changer pour maigrir et améliorer leur apparence.

61 078 répondants provenant de 30 pays ont participé à l’enquête. Il semble que les Portugais et les Brésiliens seraient les plus préoccupés par leur poids, alors que les Norvégiens et les Néerlandais s’en soucient beaucoup moins.

En ce qui concerne les corps stéréotypés que l’on retrouve dans les médias, 60 % des adolescents français estiment que cela est irréaliste.

Parmi les répondants en France, plus des trois quarts déclarent prendre trois repas par jour, mais moins de la moitié d’entre eux mentionnent n’en avoir jamais sauté un.

Catégories
Uncategorized

8 femmes sur 10 au régime

Le magazine Top Santé a demandé à la firme Harris Interactive d’effectuer un sondage pour connaître les habitudes alimentaires des femmes.

Les résultats démontrent que 8 femmes sur 10 surveillent leur alimentation afin de perdre du poids. 30 % d’entre elles font continuellement attention à ce qu’elles mangent.

Les femmes interrogées disent se contraindre à un régime surtout avant l’arrivée de l’été, après les Fêtes, au retour des vacances ou avant un évènement important.

Par contre, cela entraîne des contraintes importantes, comme la faim entre les repas, la fatigue et les repas entre amis ou d’affaires qui deviennent compliqués, car les femmes craignent de devoir renoncer à certains aliments.

Les prises de poids sont souvent associées au grignotage, à une alimentation déséquilibrée et à la ménopause chez les femmes.

Les répondantes au sondage disent vouloir perdre du poids pour se sentir mieux ou pour des raisons de santé, mais 4 femmes sur 10 disent que c’est pour plaire davantage.

Catégories
Uncategorized

Une bonne hygiène de vie payante

Une étude, dont les résultats se trouvent dans le Journal of the American Medical Association, arrive à la conclusion qu’une bonne alimentation, un programme d’exercice physique et un poids santé sont la clé pour un coeur en santé.

Le Dr Luc Djousse, de la faculté de médecine de l’Université Harvard, a travaillé avec 83 882 femmes et 20 900 hommes chez qui il a évalué le risque de maladies cardiovasculaires et les habitudes de vie.

Parmi toutes les bonnes habitudes à adopter, l’auteur de cette étude croit que c’est l’exercice physique qui se distingue. À titre d’exemple, le risque de défaillance cardiaque chez les sportifs est de 11 % et augmente à 14 % chez les sédentaires.