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Modifier son alimentation prévient le cancer de la prostate

Selon une nouvelle publiée dans le Journal of Human Nutrition and Dietetics, une alimentation faible en gras et en viandes rouges, mais riche en fruits et légumes, serait grandement bénéfique pour la prévention du cancer de la prostate.

On a étudié les recommandations nutritionnelles pour la prévention, mais également pour les patients déjà atteints. Une telle alimentation aide au traitement de la maladie.

En outre, la tomate, le chou-fleur, le brocoli, le thé vert, les vitamines, dont la E, et le sélénium diminueraient les risques de développer ce type de cancer.

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Pourquoi adopter le régime méditerranéen?

L’équipe de chercheurs du Dr Benoît Lamarche de l’Institut des nutraceutiques et des aliments fonctionnels de l’Université Laval (INAF) a présenté les résultats d’une recherche où l’on mesurait les vertus d’une diète méditerranéenne.

Selon eux, l’incidence de maladies cardiovasculaires chute, même chez les personnes obèses, si l’alimentation est riche en poissons, fruits et légumes, huile d’olive et antioxydants.

26 hommes âgés en moyenne de 50 ans ont participé à cette recherche. Lors des cinq premières semaines, ces patients ont consommé une diète typiquement canadienne, comme celle que la majorité des gens consomme tous les jours. Les cinq semaines suivantes, les chercheurs les ont nourris à un régime entièrement méditerranéen. Ensuite, ces derniers ont subi un régime amaigrissant qui leur a fait perdre près de 10 % de leur poids en moyenne.

Les scientifiques ont découvert que ce type d’alimentation a réduit de 22 % le taux de protéine C réactive, souvent associée aux maladies coronariennes.

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De bonnes habitudes pour prévenir le cancer

Le chercheur Michael Marmot, de l’American Institute for Cancer Research, affirme que de saines habitudes de vie permettent de réduire du tiers l’incidence de cancer.

Convaincu que les gens peuvent prévenir l’apparition de la maladie, le Dr Marnot indique qu’une alimentation équilibrée, un programme d’exercices régulier et un poids santé diminuent de 40 % le risque de cancer du côlon et du sein.

22 autres experts ont travaillé avec M. Marmot à décortiquer les habitudes de vie liées à différents types de cancer, dont celui des poumons. Leurs conclusions vont dans le même sens que celles de la World Health Organization, qui recommande une alimentation riche en fruits et légumes, en produits de grains entiers, avec moins de portions de viandes.

« Notre étude démontre qu’en apportant des changements significatifs au quotidien, on peut réduire le nombre de cas de cancer », a conclu le Dr Marmot.

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Les Québécoises manquent de temps

Un récent sondage national, réalisé par Harris Decima de chez Nutribar, prouve que le manque de temps est l’obstacle premier à une saine alimentation pour 37 % des femmes au Québec. 

Ce sondage montre également que près d’une Québécoise sur deux (42 %) avoue sauter un repas à l’occasion.

Les Québécoises sont donc les plus nombreuses au pays à avouer manquer de temps pour préparer des repas équilibrés.

En reflet de cette mauvaise alimentation, le sondage démontre qu’une femme sur trois (36 %) affirme ne pas être entièrement satisfaite de son corps.

La championne olympique en patinage de vitesse, Nathalie Lambert, affirme que les femmes qui n’ont pas le temps de manger un repas équilibré devraient opter pour des substituts de repas.

« Par contre, il faut faire attention : plusieurs barres dites “santé” ne contiennent pas nécessairement tous les éléments nutritifs nécessaires que seul un repas complet peut nous fournir. C’est pourquoi il est important de bien choisir son substitut de repas pour s’assurer d’obtenir tous les éléments essentiels afin de nous soutenir jusqu’au prochain repas. »

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L’alimentation et le risque d’insuffisance cardiaque

Une portion quotidienne supplémentaire de grains entiers diminue de 7 % l’incidence d’insuffisance cardiaque, nous apprend une étude menée par des chercheurs de l’Université du Texas.

Par contre, consommer des aliments à haute teneur calorifique ou encore des oeufs augmente respectivement ce risque de 8 et 23 %.

« Consommer de façon occasionnelle des produits à base de farine enrichie, un yogourt plus gras ou des oeufs ne signifie pas automatiquement une insuffisance cardiaque. Par contre, l’accumulation de ces habitudes alimentaires peut jouer dans la balance », a mentionné l’auteur de cette étude, la Dre Jennifer A. Nettleton.

Pendant 13 ans, la scientifique a analysé les habitudes alimentaires de 14 153 adultes âgés de 45 à 64 ans. Pendant ses travaux, 1 140 patients ont été hospitalisés pour une insuffisance cardiaque.

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L’alimentation joue un rôle sur l’Alzheimer

Les travaux de Frédéric Calon, chercheur à l’Université Laval, ont prouvé que les aliments riches en gras animal augmentaient l’incidence de la maladie de l’Alzheimer.

Pendant neuf mois, l’équipe du professeur Calon a soumis deux groupes de souris transgéniques à plusieurs régimes alimentaires afin d’analyser les effets sur leur cerveau.

Celles dont l’alimentation était pauvre en oméga-3 et riche en gras présentaient un taux plus élevé de protéines bêta-amyloïdes et de protéines tau, qui sont à l’origine des plaques séniles dans le cerveau des personnes atteintes de la maladie neurodégénérative.

De plus, une alimentation riche en gras signifie aussi une baisse de la protéine drébrine dans le cerveau, un autre phénomène associé à la maladie d’Alzheimer.

Tous les détails de cette recherche sont en ligne sur le site de Neurobiology of Aging.

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Manger rapidement fait engraisser

Une recherche, publiée en ligne sur le site du British Medical Journal, nous apprend qu’ingérer rapidement des aliments peut tripler le risque de surplus de poids.

3 287 personnes, âgées de 30 à 69 ans, ont participé à cette étude, d’une durée de 3 ans, où les chercheurs évaluaient les habitudes alimentaires.

50,9 % des hommes et 58,4 % des femmes ont confié qu’ils cessaient de manger uniquement lorsque le sentiment de satiété était atteint.

Dans 45,6 % et 36 % des cas, les hommes et les femmes ont respectivement confié que le temps des repas passait à la vitesse de l’éclair.

Ce sont d’ailleurs ces sujets qui avaient un indice de masse corporelle supérieur à la moyenne, comparativement aux participants qui mangeaient lentement de plus petites portions.

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Le roman qui fait maigrir

Lors du congrès annuel de l’Obesity Society, qui se déroulait à Phoenix, aux États-Unis, des chercheurs ont annoncé qu’un bouquin, écrit en collaboration avec des pédiatres, a réussi à favoriser grandement la perte de poids chez les adolescentes qui en ont fait la lecture.

L’héroïne principale de ce roman valorise une saine alimentation et un programme d’exercice régulier, ce qui encouragerait les jeunes filles dans leurs démarches pour atteindre un poids santé, selon la Dre Sarah Armstrong, qui a mené la recherche.

64 adolescentes âgées de 9 à 13 ans ont été réparties en trois groupes. Le premier ne lisait aucun livre, le deuxième lisait un livre « contrôle » et le troisième groupe lisait le roman en question, Lake Rescue.

Après six mois, les chercheurs ont observé une perte de 0,71 % de l’indice de masse corporelle chez le troisième groupe.

Ces résultats encouragent la Dre Armstrong, qui croit que cette méthode pourrait être utilisée auprès d’une jeune clientèle luttant contre le surplus de poids.

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Du poisson au menu

Une recherche, publiée dans Archives of Disease in Childhood, démontre que les bébés de moins de 9 mois qui ont mangé du poisson sont moins enclins à souffrir d’eczéma.

Alors qu’en 2000, l’American Academy of Pediatrics recommandait aux parents avec un historique d’eczéma de ne pas donner de poisson à leur enfant avant qu’il n’ait atteint l’âge de 3 ans, l’association faisait volte-face en 2008, et affirmait que le poisson ne représentait plus un risque pour les enfants.

« Il y a eu une crainte face à l’introduction du poisson chez le bébé avec un historique d’allergies. Les chercheurs croyaient que ça pouvait causer de l’eczéma, mais à la lumière de nos recherches, nous recommandons maintenant aux parents de donner du poisson à leur bébé », a souligné l’auteur de l’étude, le Dr Bernt Alm, de l’Université de Gothenburg.

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Prévenir le cancer du sein par la nutrition

Une étude, menée par le Département de nutrition de l’Université de Montréal, s’est penchée sur la relation entre l’alimentation et la prévention du cancer du sein.

Les travaux, menés par Vishnee Bissonauth, sous la supervision du professeur Parviz Ghadirian, ont permis de conclure que les fruits et légumes, les produits laitiers, la vitamine D, le calcium et les phytoestrogènes pouvaient réduire le risque de cancer du sein.

Toutefois, d’autres aliments, comme les viandes rouges, auraient l’effet contraire et augmenteraient l’incidence de cancer du sein. Le risque est accru lorsque les viandes sont grillées plutôt que bouillies ou cuites à la vapeur.

Il semble également que le nombre de calories ingérées quotidiennement joue un rôle. En effet, le risque d’être frappé par ce type de cancer augmente de 8 % si la femme prend plus de 2 000 calories par jour.