Catégories
Uncategorized

Stimuler les neurones fait engraisser

Le chercheur Jean-Philippe Chaput, de la faculté de médecine de l’Université Laval, a découvert, avec surprise, que les personnes ayant fourni un effort intellectuel intense avaient tendance à manger davantage, même si elles avouaient de pas ressentir la faim.

Pour en arriver à ces conclusions, le Dr Chaput a fait passé trois tests à ses sujets : lire et résumer un texte de vulgarisation, faire des tests d’attention, de mémoire et de vigilance à l’ordinateur et finalement, relaxer en position assise.

Les participants dont les neurones étaient le plus stimulés consommaient jusqu’à 200 calories de plus que les sujets soumis à des séances de relaxation.

Pour le Dr Chaput, le travail intellectuel intense étant plus stressant, il déstabiliserait plusieurs hormones, dont le cortisol, et ferait chuter le taux de sucre dans le sang. Cette baisse de glycémie stimulerait l’appétit et les personnes auraient tendance à manger davantage.

Catégories
Uncategorized

Les Canadiens modifient leurs habitudes liées à la nourriture

Selon une étude commandée par le Groupe Investors, 75 % des répondants disent avoir remarqué une hausse de leur facture d’épicerie au cours des trois derniers mois.

Près de la moitié (48 %) des répondants disent avoir déjà commencé à acheter des produits moins coûteux.

Cette situation, que les Canadiens attribuent à la hausse des prix des carburants, devrait entraîner des changements d’attitude. En effet, même si les prix des aliments n’ont augmenté que de 1,2 % au pays au cours de la dernière année (Statistique Canada, avril 2008), de nombreux Canadiens craignent de voir monter les prix des aliments et envisagent de modifier certaines de leurs habitudes. 

Ainsi, 87 % des répondants disent vouloir manger à la maison plutôt qu’au restaurant; 85 % préfèrent acheter des produits locaux, transportés sur une courte distance; 55 % songent à cesser d’acheter des fruits exotiques ou hors saison; 46 % disent vouloir cultiver un jardin; enfin, 41 % sont prêts à manger moins de viande.

Au total, ce sont 1 030 Canadiens de 18 ans et plus qui ont répondu au sondage national, effectué par téléphone entre le 5 et le 9 juin 2008.

Catégories
Uncategorized

Les gènes modifiés par les habitudes de vie

Changer ses habitudes de vie n’est pas seulement bénéfique pour l’état de santé, mais aussi pour le bagage génétique, selon des chercheurs américains.

Ces derniers ont observé 30 hommes atteints d’une forme bénigne du cancer de la prostate ayant décidé de ne pas suivre les traitements traditionnels comme la chirurgie ou la radiation.

Pendant trois mois, les sujets ont apporté des changements radicaux à leurs habitudes de vie en ajoutant plusieurs portions de fruits et de légumes, de fibres et de soja à leur menu quotidien. En plus de modifier leur alimentation, ils ont adopté un programme quotidien de marche et de méditation.

Il en résulte une modification génétique de 500 gènes. Pour le Dr Dean Ornish du Preventive Medicine Research Institute de Sausalito, cette découverte peut grandement encourager les personnes fatalistes qui se croient frappées du cancer uniquement en raison de l’hérédité.

Catégories
Uncategorized

Les Canadiens craquent pour les repas-minutes

Une étude réalisée par le groupe Synovate et commandée par la BBC dévoile la consommation de restauration rapide à l’échelle mondiale. Environ 9 000 sujets de 13 pays ont accepté de préciser ce qu’ils mangent quotidiennement ainsi que leurs perceptions sur les habitudes alimentaires.

Après le Royaume-Uni (45,2 %) et les États-Unis (44 %), le Canada est l’endroit où la population craque pour le hamburger et les frites. Près de 37 % de la population canadienne a avoué que les repas-minutes figurent à leur menu.

Ce sont les Français qui boudent le plus le fast-food avec un 18,7 % de la population qui en consomme.

Bien que la majorité des sujets observés soient conscients qu’une mauvaise alimentation peut avoir des conséquences sur la santé ou l’obésité, bien peu se disent prêts à renoncer à la malbouffe.

La nutritionniste Isabelle Huot mentionne : « Il y a une différence entre être conscient et passer à l’action. Les Canadiens ne sont pas prêts à délaisser les formules de restauration rapide. »

Voici le pourcentage des personnes qui affirment manger des repas rapides dans divers pays :

Royaume-Uni : 45,2 %
États-Unis : 44 %
Canada : 36,9 %
Australie : 31,5 %
France : 18,7 %

Catégories
Uncategorized

L’impact de l’alimentation durant la grossesse

Des chercheurs britanniques suggèrent que le goût pour des aliments malsains serait acquis par les enfants encore dans le ventre de leur mère qui en consomme.
En effet, cette étude effectuée sur des rats tend à démontrer que la consommation d’aliments gras et sucrés par une femme enceinte entraînerait chez son futur enfant l’attirance envers cette même nourriture.

Selon le Dr. Neil Stickland et son équipe du Collège vétérinaire royal de Londres, le comportement des rats étudiés pourrait être semblable aux comportements des femmes et de leur futur bébé.

Cette étude parue dans le British Journal of Nutrition confirme la programmation fœtale; ce que le fœtus vit durant la gestation influencera sa santé et sa physiologie lorsqu’il sera au monde.

Catégories
Uncategorized

Le risque de récidive du cancer colorectal

Selon les travaux de chercheurs américains de l’Institut du Cancer Dana-Farber, l’alimentation serait à considérer dans le risque de récidive du cancer colorectal. 

En effet, le risque que ce type de cancer réapparaisse triple lorsqu’il y a  une consommation élevée de viandes, graisses et certaines céréales, contrairement à ceux dont le régime est riche en fruits, légumes et poissons.

Les chercheurs se sont basés sur l’observation des habitudes alimentaires de plus de 1 000 individus à qui on a diagnostiqué un cancer du colon.