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10 minutes par jour pour convaincre les enfants de manger plus de fruits et légumes

Selon une récente étude, rapporte Female First, le cumul de ces minutes représente l’équivalent de 3 jours annuellement. Qui plus est, le sondage a permis de récolter les méthodes parfois créatives utilisées par les parents pour faciliter les bonnes habitudes alimentaires.

La méthode la plus populaire, avec 35 % des parents, consiste à cacher les fruits ou légumes avec le reste de la nourriture.

Celle qui est le moins utilisée est la punition (pas de dessert, aller tôt au lit), à 15 %, si les fruits ou légumes n’ont pas été terminés.

Les autres solutions mentionnées :

– 29 % offrent des récompenses si l’enfant les mange tous;

– 23 % racontent les bienfaits des fruits et légumes;

– 22 % créent des formes ou des images avec les fruits et légumes;

– 21 % les transforment en jus, soupes ou sucettes glacées;

– 16 % interdisent à l’enfant de quitter la table tant qu’il n’a pas terminé ses fruits ou légumes.

Malgré tous ces efforts, moins de la moitié des parents sont satisfaits de la quantité consommée par leurs enfants.

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Évitez la malbouffe même avant la grossesse

Il ne s’agit pas de modifier nos habitudes alimentaires lorsqu’on apprend que l’on est enceinte. Au contraire, il faut le prévoir, puisque l’impact sur la grossesse est direct et dangereux.

Ce sont des chercheurs en Australie qui sont arrivés à cette conclusion. L’équipe de l’Université Adélaïde a lié l’alimentation en malbouffe, sucre et gras à un risque de naissance avant 37 semaines de 50 % plus élevé que la normale.

Les spécialistes de l’Institut de recherche Robinson ont suivi les schémas diététiques de plus de 300 femmes en Australie du Sud, et ce, pour une durée de 12 mois avant la conception d’un enfant.

« Dans notre étude, les femmes qui consommaient des aliments riches en protéines, incluant des viandes, du poisson et du poulet, en plus de fruits, grains entiers et légumes, démontraient des risques beaucoup plus bas de naissances prématurées », rapporte la Dre Jessica Grieger.

Ce sont des changements que les femmes peuvent facilement effectuer, et qui pourraient changer radicalement les statistiques d’accouchement avant terme.

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L’allaitement à long terme : cause du manque de diversification de l’alimentation du bébé

L’étude du Centre médical pour enfants de Cincinnati avait pour objectif de mesurer la nécessité de mieux informer les mères quant à l’importance d’introduire les 4 groupes alimentaires chez l’enfant dès 6 mois, et surtout avant l’âge de 2 ans.

La spécialiste Jessica G.Woo explique que toutes les précédentes recherches ont priorisé les nations sous-développées, celles qui n’ont pas accès aux aliments, rapporte Medical News Today.

« Ces recherches nous ont portés à nous questionner à propos des nourrissons des nations développées, particulièrement aux États-Unis », mentionne Woo. Par contre, l’étude ne comporte aucune donnée quant aux conséquences attribuables au manque de diversification alimentaire et à la croissance des enfants.

En évaluant les aliments que consommaient 365 bébés nourris au sein après 6 mois à Cincinnati, Shanghai et Mexico, les chercheurs ont réalisé que Cincinnati traînait de la patte. Seulement 28 % des nourrissons de 6 à 12 mois consommaient des aliments diversifiés.

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Comment intégrer les légumes dans l’alimentation de l’enfant avant 2 ans

Le projet que rapporte Top Santé s’intitule HabEat. Il a été réalisé en partenariat avec de nombreux instituts et scientifiques. Il en ressort que les habitudes alimentaires de l’enfant se forgent pour la plupart dans les 2 premières années de vie.

Ainsi, introduire des légumes après cette période risque d’être plus laborieux pour les parents. Si l’enfant résiste ou refuse un nouveau légume, il suffit de le lui présenter à plusieurs reprises. Il finira par s’y habituer. Autrement, on peut le faire choisir entre deux légumes, une méthode qui s’avère apparemment efficace.

D’autre part, vous aurez plus de chances si, dès le départ, lorsque l’enfant mange de la purée, vous l’habituez au goût des différents légumes. Si les pots pour bébé sont limités, n’hésitez pas à faire vos propres purées.

Ce sont 18 000 mères et leurs enfants qui ont participé à cette étude d’envergure, échelonnée sur 4 ans. Le projet HabEat sera transposé en guide alimentaire pour les parents ainsi que les différents intervenants auprès des enfants.

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Les parents doivent prendre une part de responsabilité pour l’obésité de leurs enfants

L’équipe de recherche menée par Dre Eliana M. Perrin, de l’Université de médecine de la Caroline du Nord, a récemment publié une nouvelle étude dans la revue Pediatrics.

Les experts ont évalué 863 familles à faible revenu et leurs nourrissons, dans le cadre d’un programme de prévention de l’obésité nommé Greenlight.

Les résultats ont révélé que les mauvaises pratiques des parents sont en grande partie responsables de l’augmentation du risque de surpoids et d’obésité de l’enfant, et ce, dès l’âge de 3 ans.

Chez 12 % des familles, la nourriture solide avait été introduite avant 4 mois, ce qui suggère un risque d’obésité, selon d’autres études, rapporte Medical News Today.

De plus, 43 % des parents mettaient leur enfant au lit avec une bouteille de lait, et 23 % ont admis qu’ils tenaient la bouteille, ce qui peut mener à du gavage.

Environ 20 % des répondants nourrissaient leur bébé dès qu’il pleurait, et 38 % insistaient pour que l’enfant termine sa bouteille de lait.

Enfin, 50 % des bébés étaient placés régulièrement devant la télévision.

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Facebook favoriserait le développement de troubles alimentaires

Les jeunes femmes qui passent beaucoup de temps sur les médias sociaux, en particulier sur Facebook, seraient plus à risque de développer un trouble alimentaire et une mauvaise estime de soi.

C’est ce qui ressort d’une nouvelle étude sur le sujet, rapportée par The National Library of Medicine, et qui parle des impacts du plus populaire média social sur l’alimentation d’un grand nombre de jeunes femmes.

Les chercheurs de l’Université de Floride en tête de l’étude ont analysé les cas de 960 étudiantes universitaires. Les observations ont permis de constater que celles qui passaient le plus de temps sur Facebook affichaient des tendances plus marquées vers les troubles alimentaires, et s’inquiétaient davantage de leur alimentation et de leur image.

« Facebook combine sur une seule plate-forme l’influence des pairs à de forts messages de société qui se concentrent beaucoup sur l’apparence des femmes. Ces images sont ensuite conservées mentalement le reste de la journée. Alors que les chercheurs et cliniciens tentent de comprendre et de démontrer les facteurs de risque des troubles alimentaires, une plus grande attention doit être portée sur le rôle des médias sociaux dans la vie des jeunes adultes », explique l’auteur de l’étude Pamela Keel.

D’autres études précédentes avaient révélé des impacts similaires de la part des médias sociaux sur les jeunes femmes.

Les résultats de l’étude floridienne ont été publiés dans l’International Journal of Eating Disorders.

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Obésité infantile en baisse significative aux États-Unis

Il s’agit des résultats publiés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), rapporte Top Santé. Si l’on compare les données de ce jour avec celles de 2003, l’obésité chez les 2 à 5 ans a diminué de 43 %.

Même Michelle Obama, femme du Président des États-Unis, a commenté ces résultats ahurissants. Elle s’implique énormément dans la santé des Américains et se dit « ravie des progrès accomplis ces quelques dernières années pour faire baisser le taux d’obésité parmi les plus jeunes Américains. »

Les 4 dernières années ont été décisives selon la Première dame. Les parents et enfants participent de plus en plus au programme Let’s Move, qui encourage l’activité physique et des habitudes de vie plus saines.

Top Santé indique que jeudi dernier, 27 février, la Maison-Blanche a déclaré obligatoire l’affichage de la valeur nutritionnelle sur les emballages des aliments. Une mesure qui permettra aux consommateurs d’effectuer des choix éclairés.

Rappelons qu’il s’agit néanmoins d’une petite victoire, puisque globalement, l’obésité chez le reste des Américains n’a pas diminué.

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Les parents n’encouragent pas suffisamment leurs enfants à manger des légumes

L’étude avait pour objectif de vérifier la variété des aliments proposés aux enfants. Les résultats se sont avérés plutôt surprenants. L’enfant moyen n’aurait que 5 variations de repas à l’heure du souper.

Female First rapporte les 5 repas les plus répandus :

1- Spaghetti bolognais – 43 %
2- Saucisses et frites – 40 %
3- Rosbif ou autre viande rôtie – 37 %
4- Saucisses et purée de pommes de terre – 35 %
5- Doigts de poissons frits et croustilles – 35 %

Trois parents sur cinq ont avoué que l’alimentation de leurs enfants était très limitée. Cependant, seulement 23 % d’entre eux ont affirmé qu’ils avaient tenté d’élargir les préférences alimentaires de leurs jeunes.

Les enfants seraient surtout difficiles et pour la plupart, refuseraient simplement de manger des légumes.

L’un des chercheurs s’est dit très surpris que si peu de parents tentent de modifier les habitudes alimentaires des enfants. « Il n’y a pas de solution magique pour les enfants difficiles, mais introduire un nouvel aliment à la fois, en petite portion, peut alléger la difficulté. »

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Une suce qui fredonne des chansons pour les bébés prématurés

Il est prouvé que la voix de la mère fait des miracles au niveau du développement du bébé. Ainsi, les chercheurs ont donné des suces avec la voix de leur mère préenregistrée sur un dispositif. Elles y chantaient une berceuse. Les bébés qui ont profité de ce test ont été débranchés plus rapidement de l’intraveineuse.

Les chercheurs du centre médical de l’Université de Vanderbilt ont ainsi conclu que le réflexe de la tétée se développait plus aisément grâce à cette suce. Ils ont procédé à une sélection aléatoire de 94 nouveau-nés prématurés, nés entre la 34e et la 36e semaine de grossesse, dont les conditions respiratoires étaient totalement autonomes.

Les nouveau-nés ont reçu la suce musicale 15 minutes par jour, pendant 5 jours consécutifs. Les bébés étaient récompensés de la berceuse de leur mère uniquement s’ils tétaient la suce.

Dre Nathalie Maitre, professeure assistante de l’unité de pédiatrie, a expliqué : « Les bébés aiment et connaissent la voix de leur mère. Nous avons démontré qu’il s’agit du meilleur incitatif pour ces bébés ».

Science World Report mentionne que les nourrissons ayant participé à l’étude se sont fait retirer leur intraveineuse une semaine plus tôt que les autres bébés.

La recherche a été publiée dans la revue Pediatrics.

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Trois-Rivières approuve la fluoration de son eau

Trois-Rivières a tranché dans le débat concernant l’ajout de fluor dans les eaux potables du Québec, et décide de passer dans le camp du « oui », rapporte Radio-Canada.

La ville de Trois-Rivières a en effet accepté de donner son accord au projet de fluoration de l’eau potable, à la suite d’un vote qui s’est terminé de façon serrée. Neuf conseillers municipaux sur seize sondés ont voté en faveur du projet, ce qui a soulevé des réactions mixtes de la part du public présent lors de l’assemblée.

Pour les conseillers Marie-Claude Camirand et André Noël, qui ont voté contre, il semble que le feu vert accordé dans ces circonstances soit une erreur. « Je n’ai pas constaté d’acceptabilité sociale. Je ne veux pas imposer cette mesure-là à ma population », lance Marie-Claude Camirand.

André Noël, pour sa part, affirme : « Cette mesure-là doit être évaluée sur une base provinciale. Je vais voter contre, car je n’ai pas l’intention de me substituer au gouvernement ».

Certains conseillers qui ont voté en faveur du fluor dans l’eau ont aussi émis des réserves, un bon indicateur du vif débat qui règne au Québec en la matière depuis quelque temps.

La qualité du fluor utilisé dans l’eau et ses impacts sur la santé sont au cœur du débat, et la décision reviendra maintenant à chaque municipalité, comme le désirait le gouvernement provincial.