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Une super-étude confirme de nouveau les bienfaits des oeufs

La mauvaise presse que subissent les pauvres œufs semble de plus en plus s’effriter, à mesure que les rapports de spécialistes vantant leurs mérites s’empilent.

C’est précisément le cas d’une nouvelle super-étude rapportée par Top Santé, qui conclut que plusieurs mythes en matière d’œufs restent à prouver, et que les bienfaits d’une consommation d’œufs dépassent en réalité les effets néfastes potentiels.

Publiée dans le British Medical Journal par une équipe de l’Université Huazhong, en Chine, l’étude analyse les données de plus de 20 autres recherches sur le sujet, précédemment déposées.

On conclut ici que, malgré sa forte teneur en cholestérol, « consommer un œuf par jour n’est aucunement lié à une augmentation du risque d’infarctus ». On cite en exemple la population japonaise, friande d’œufs, mais affichant des taux de maladies cardiovasculaires plus bas que plusieurs autres pays.

Les œufs renferment plusieurs vitamines et protéines. Ils s’avèrent très utiles en prévention de nombreuses maladies, notamment celles liées au cerveau, rappellent également les chercheurs.

Encore un bon coup pour l’œuf, qui mériterait donc de retrouver une place de choix dans nos assiettes, selon ces chercheurs chinois.

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Des apports alimentaires en cuivre pourraient contribuer au développement de l’Alzheimer

Santé Log rapporte des conclusions tirées d’une étude américaine à l’effet qu’une diète riche en cuivre pourrait contribuer à l’apparition de la maladie d’Alzheimer.

Le cuivre, moins souvent mentionné que d’autres éléments en alimentation, se retrouve dans plusieurs produits jugés bons pour la santé, dont les noix, les lentilles, les fruits et légumes ainsi que les fruits de mer.

On en retrouve également dans la viande rouge, et les chercheurs en tête de ces nouvelles recherches croient que des apports élevés en cuivre pourraient contribuer à la formation et à l’accumulation de plaques bêta-amyloïdes au cerveau.

Ces dernières sont désormais reconnues comme une cause du développement de la maladie d’Alzheimer et sont majoritairement bloquées par des procédés cellulaires naturels.

Le problème, c’est que le cuivre circule dans les vaisseaux sanguins du cerveau et vient en diminuer ou en abolir la protection naturelle, dans certains cas.

C’est ce que révèlent les tests effectués sur des souris, des conclusions publiées dans PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences).

D’autres tests doivent être effectués, pour confirmer le modèle chez l’homme.

anté Log rapporte des conclusions tirées d’une étude américaine à l’effet qu’une diète riche en cuivre pourrait contribuer à l’apparition de la maladie d’Alzheimer.

Le cuivre, moins souvent mentionné que d’autres éléments en alimentation, se retrouve dans plusieurs produits jugés bons pour la santé, dont les noix, les lentilles, les fruits et légumes ainsi que les fruits de mer.

On en retrouve également dans la viande rouge, et les chercheurs en tête de ces nouvelles recherches croient que des apports élevés en cuivre pourraient contribuer à la formation et à l’accumulation de plaques bêta-amyloïdes au cerveau.

Ces dernières sont désormais reconnues comme une cause du développement de la maladie d’Alzheimer et sont majoritairement bloquées par des procédés cellulaires naturels.

Le problème, c’est que le cuivre circule dans les vaisseaux sanguins du cerveau et vient en diminuer ou en abolir la protection naturelle, dans certains cas.

C’est ce que révèlent les tests effectués sur des souris, des conclusions publiées dans PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences).

D’autres tests doivent être effectués, pour confirmer le modèle chez l’homme.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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L’alimentation au service de la procréation chez l’homme

Voici une étude qui s’adresse aux hommes, et plus particulièrement à ceux qui sont concernés par la question de la paternité.

Selon le Daily Mail (UK), bien manger n’aurait pas qu’une incidence sur la bonne santé, mais aussi sur la capacité à procréer chez l’homme.

En effet, selon cette plus récente étude californienne sur le sujet, les hommes qui mangent mieux que la moyenne ou qui décident de changer leur alimentation en prenant de l’âge ont plus de chances de conserver leur capacité à se reproduire.

On vante particulièrement les noix, les fruits et légumes, et les poissons, notamment, qui procurent de forts apports en vitamines C et E, ainsi qu’en zinc.

Les spécialistes, dirigés par le professeur Simon Fishel, croient que les hommes qui ont du mal à réaliser leur rêve de faire un enfant devraient d’abord se tourner vers leur alimentation.

« Ce que l’on mange peut avoir une incidence positive ou dommageable. Les composantes associées à l’œstrogène qui passent dans la chaîne alimentaire, par exemple par la viande, peuvent avoir un effet dommageable sur le développement du sperme », résume le professeur Fishel.

i une étude qui s’adresse aux hommes, et plus particulièrement à ceux qui sont concernés par la question de la paternité.

Selon le Daily Mail (UK), bien manger n’aurait pas qu’une incidence sur la bonne santé, mais aussi sur la capacité à procréer chez l’homme.

En effet, selon cette plus récente étude californienne sur le sujet, les hommes qui mangent mieux que la moyenne ou qui décident de changer leur alimentation en prenant de l’âge ont plus de chances de conserver leur capacité à se reproduire.

On vante particulièrement les noix, les fruits et légumes, et les poissons, notamment, qui procurent de forts apports en vitamines C et E, ainsi qu’en zinc.

Les spécialistes, dirigés par le professeur Simon Fishel, croient que les hommes qui ont du mal à réaliser leur rêve de faire un enfant devraient d’abord se tourner vers leur alimentation.

« Ce que l’on mange peut avoir une incidence positive ou dommageable. Les composantes associées à l’œstrogène qui passent dans la chaîne alimentaire, par exemple par la viande, peuvent avoir un effet dommageable sur le développement du sperme », résume le professeur Fishel.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Attention aux nouvelles barres de chocolat

Selon le site du Telegraph, deux carrés de la barre Wonka Millionaire’s Shortbread contiennent à eux seuls plus de 111 calories.

Il serait bon de rappeler l’importance de toujours vérifier l’étiquette d’éléments nutritifs apposée à tous les aliments vendus au marché. Certains ont des taux de sucre, de gras et de calories si élevés qu’ils équivalent à un repas complet de malbouffe.

On apprend que la teneur en calories de cette nouvelle chocolaterie est supérieure de deux fois à celle d’un hamburger Big Mac de McDonald’s.

Les organisations faisant campagne pour la santé partent en guerre contre Nestlé. Particulièrement le National Obesity Forum, qui accuse entre autres la compagnie de ne pas respecter le programme gouvernemental Responsability Deal, qui consiste à s’engager à couper l’apport calorifique dans les bonbons et sucreries.

Tam Fry, administratrice du National Obesity Forum, déclare : « Nous tentons de réduire l’obésité infantile, et Nestlé peut bien dire qu’elle vise les femmes de 25 ans, mais ils savent, je sais, et vous savez aussi que Wonka va enthousiasmer les enfants, et qu’eux aussi vont en manger. C’est impardonnable ».

Bien que Nestlé soit visée ici, d’autres grandes compagnies produisent des barres tout aussi caloriques, notamment Cadbury.

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Possible lien entre l’anorexie et l’autisme

Une étude américaine parue dans le BioMed Central Journal Molecular Autism suggère que les jeunes femmes souffrant de troubles alimentaires présentent un profil proche de celui d’enfants souffrant d’autisme.

Plus de 1660 jeunes filles saines et 66 autres qui étaient atteintes d’anorexie ont eu à répondre à un questionnaire habituellement destiné aux jeunes autistes. C’est en comparant ces résultats que les chercheurs ont pu en venir à cette conclusion.

Les traits communs sont, entre autres, un intérêt particulier pour l’ordre, peu d’empathie, une tendance à être autocentré et une fascination pour les détails.

Cependant, l’anorexie est un trouble diagnostiqué plus souvent chez la femme, tandis que l’autisme l’est surtout chez l’homme.

Face à ces données, Bonnie Auyeung, l’une des chercheuses de l’étude, remarque : « Cette nouvelle étude suggère qu’une proportion de femmes atteintes d’autisme auraient pu être mal diagnostiquées, car quand elles arrivent à l’hôpital, elles présentent des signes d’anorexie ».

Il ne s’agit tout de même là qu’une suggestion, alors que d’autres éléments pourraient être en cause. En effet, une personne atteinte d’anorexie pourrait, à cause de la faim, développer le même genre de trait de caractère mentionné plus haut.

« Néanmoins, l’étude permet de mieux comprendre les personnes souffrant d’anorexie et la façon dont elles peuvent être traitées », ajoutent les chercheurs.

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Le fer végétal meilleur que le fer animal

Les aliments riches en fer sont les viandes, les céréales, les fruits et les légumes. Il faudrait cependant prioriser une sorte de fer plutôt qu’une autre. Le fer contenu dans la viande augmenterait le stress oxydatif, contrairement au fer issu de végétaux, comme les légumes. C’est ce que suggère une étude espagnole publiée par le Nutrition Journal.

On en parle sur le site lanutrition.fr en expliquant qu’essentiel à notre organisme, le fer devrait toujours faire partie de notre alimentation. Bien que notre corps absorbe mieux le fer dit héminique, il y aurait un lien entre la prise de celui-ci et le risque de souffrir de maladies cardiovasculaires ou de cancers.

D’ailleurs, les personnes qui consomment du fer d’origine animale en trop grande quantité hausseraient leur risque de souffrir de diabète de type 2, qui est aussi influencé par le stress oxydatif.

À l’inverse, une grande consommation de fer non héminique ne démontre que des effets bénéfiques. Comme il se trouve dans les fruits et les légumes, qui sont aussi une source d’antioxydants, ces deniers pourraient limiter les effets négatifs du fer sur la santé.

La population aurait donc tout à gagner en priorisant les sources végétales de fer plutôt qu’animales.

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Les bienfaits d’un gros déjeuner

Des chercheurs confirment qu’il est bénéfique de manger de gros déjeuners. Seulement, on découvre maintenant qu’il y aurait encore plus de côtés positifs à le faire.

En effet, selon ce que rapporte la revue médicale Obesity, bien manger est essentiel, mais la période de la journée à laquelle vous mangez est aussi très importante.

Au cours de l’étude menée par la professeure Daniela Jakubowicz de l’Université de Tel-Aviv et ses collègues, il a été conclu qu’en mangeant la plus grande quantité de calories au déjeuner, l’hormone responsable de l’appétit était moins active le restant de la journée et réduisait notamment les envies de grignoter.

Au contraire, si le repas le plus calorique est consommé plus tard en journée, le taux de gras s’élèvera de façon significative et augmentera de beaucoup le taux d’insuline, de glucose et de triglycérides.

Jakubowicz commente aussi les résultats en rappelant que les collations du soir devant l’ordinateur ou la télévision collaborent au développement de l’obésité et donc de plusieurs autres problèmes de santé comme la haute pression, les troubles cardiovasculaires et les débalancements aigus de glucose, qui sont particulièrement dangereux chez les diabétiques.

En mangeant beaucoup au déjeuner, vous pourriez ainsi aider votre organisme à contrer toutes ces graves conséquences sur votre santé globale.

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Les intrépides mangent plus épicé!

Une étude venant tout juste d’être présentée à la rencontre annuelle de l‘Institute of Food Technologists démontre le lien entre la préférence des aliments épicés et les personnalités intrépides.

Pour le Dr Alan Hirsch de la Smell and Taste Treatment ans Research Foundation à Chicago, il n’y a rien de surprenant. « Depuis longtemps, une hypothèse suggère que les gens en manque d’adrénaline prendront des risques pour contrer leur carence et se sentir mieux. C’en est de même pour la nourriture épicée; elle vous fait un peu souffrir et augmente donc votre taux d’adrénaline », dit-il.

L’étude s’est concentrée sur 200 individus non-fumeurs de 18 à 45 ans. Il leur a été demandé de remplir un questionnaire en notant leurs intérêts face à diverses activités plus ou moins trépidantes, tel qu’expliqué par Nadia Bynes du département des Sciences nutritives de l’Université de Penn State.

« L’échelle pose des questions sur combien l’individu aime certaines sensations, comme écouter de la musique forte, regarder des films à suspense, parler en public, jouer et parier ou encore se tenir debout sur le bord de quelque chose de haut en regardant vers le bas. »

Les sujets ont ensuite consommé un produit épicé et ont aussi dû noter leur appréciation. Il a été clairement déterminé que ceux ayant un faible pour les activités fortes en adrénaline préféraient également les aliments épicés.

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Polyphénols et flavonoïdes : Nourrissez votre flore intestinale

Des chercheurs espagnols ont dévoilé les résultats de leur récente recherche sur le sujet dans le Journal of Nutritional Biochemistry.

Repris sur www.lasante.com, on y explique entre autres comment les polyphénols jouent un rôle positif sur la flore intestinale en favorisant la production de bonnes bactéries, en plus de nuire aux mauvaises.

Sachant que notre flore intestinale lutte contre les troubles gastro-intestinaux, aide la digestion et est liée à notre système immunitaire, la consommation de flavonoïdes et polyphénols n’est pas à négliger.

De plus, ces derniers ont des propriétés anti-inflammatoires, anti-cancérigènes, anti-diabète et anti-oxydantes. C’est pourquoi il est largement recommandé d’avoir une alimentation riche en polyphénols, ce qui réduit le risque de maladies chroniques.

De nombreuses vertus sont d’ailleurs prêtées au chocolat en raison des polyphénols qu’il contient. Voilà donc une excellente raison de consommer, sans culpabilité, quelques morceaux de votre chocolat préféré. Plus il est riche en cacao, meilleur il est.

On peut aussi trouver ces fameux composés dans les légumes, le thé vert, le café, les céréales et le vin. À noter cependant qu’il y a plus de polyphénols dans les végétaux cultivés sans pesticides. D’où l’intérêt de consommer bio.

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Différencier la bonne de la mauvaise nourriture en conserve

Sur le site telegraph.co.uk, l’expert nutritionniste et auteur Ian Marber explique qu’en plus des aliments frais, certains produits en conserve peuvent collaborer à une saine alimentation.

Cela signifie que vous pouvez avoir un repas sain, faible en gras et riche en protéines et en fibres tout en mélangeant produits frais et en conserve.

En plus d’être souvent assez économique et rapide à préparer, vous obtiendrez plus facilement vos deux à cinq portions de fruits et légumes quotidiennes recommandées, même en saison hivernale.

Carottes, petits pois, maïs, macédoines, ratatouille cuite; il ne faut que bien lire les étiquettes pour vous assurer que vous obtiendrez les éléments nutritifs appropriés sans consommer ceux que vous ne voulez pas.

Marber conseille de n’acheter que ceux qui sont dans l’eau et non pas dans l’huile ou les marinades. Choisissez donc les aliments non salés, non sucrés et sans huile.

Certains produits afficheront du sucre dans la liste des ingrédients, mais selon le nutritionniste, la plupart ne présenteraient qu’un infime pourcentage, et il ne faudrait donc pas s’en inquiéter.

Sachant que les ingrédients sont inscrits sur les étiquettes par ordre de quantité présente dans le produit, si le sucre ou le sel est inscrit sur la première ligne, il serait préférable de choisir une autre sorte.

Donc, en incorporant des produits en conserve à vos aliments frais, vous jouirez d’un repas tout à fait équilibré.