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Le lait n’est pas nécessaire pour la santé

Voilà une déclaration qui fait du bruit. Alors que la consommation de lait est fortement encouragée depuis belle lurette, deux spécialistes en nutrition hautement reconnus viennent remettre en question son utilité.

C’est ce que dévoilent David Ludwig, professeur de pédiatrie et de nutrition à l’École de médecine de Harvard et à l’Hôpital pour enfants de Boston, ainsi que Walter Willett, professeur d’épidémiologie et de nutrition et président du département de nutrition de l’École de santé publique de Harvard.

Ils ont publié les résultats de leur récente étude dans le journal médical JAMA Pediatrics.

On peut y lire qu’il n’existerait non seulement pas de preuves des bénéfices du lait sur la santé, mais que les recommandations officielles pousseraient les enfants à consommer une trop grande quantité de sucre, alors que les produits lactés pour jeunes en sont souvent bourrés.

Aussi, ils soulignent que l’homme n’a absolument pas besoin de consommer du lait de vache. La majeure partie de la population globale n’en consomme pas, ou très peu, et jouit tout de même d’une excellente santé.

Ils réfutent également la fausse idée, popularisée entre autres par l’industrie agroalimentaire, disant que les produits laitiers seraient nécessaires, notamment pour solidifier les os.

Ils déclarent : « À travers le monde, les taux de fractures sont moins élevés dans les pays qui ne consomment pas de lait, par rapport aux pays où on consomme des laitages. En plus, la consommation de lait ne protège pas des fractures chez l’adulte, selon une méta-analyse récente ».

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Une mauvaise alimentation pendant la grossesse apporte de lourdes conséquences chez l’enfant à naître

Déjà, dans une recherche précédente, on expliquait qu’une alimentation excessive de sucre et de gras modifiait la réponse du cerveau relativement à la « récompense ». En d’autres termes, elle prédisposait à la suralimentation et à diverses dépendances.

Or, cette nouvelle étude, menée par la neuroscientifique Nicole Avena, de l’Université de Floride, vient appuyer ces conclusions. Dès la gestation, le fœtus est sensible à l’apport en graisses et en glucides, et une surexposition le prédispose aux dépendances d’alcool et de drogues.

Ces conséquences se développeraient plus tard, à l’âge adulte, selon Santé Log, et s’ajoutent au risque très élevé de surpoids dès la naissance.

Dans le cas présent, ce sont deux groupes de rats qui ont été testés, le premier constitués de rats nés de mères nourries avec un régime alimentaire équilibré, et le second avec des rats dont les mères avaient été gavées de sucre et d’aliments gras.

La sensibilité à l’alcool et aux amphétamines des rats du second groupe était nettement plus élevée que ceux du premier groupe. Des résultats qui, malheureusement, sont très probants.

Cela encourage cependant les futures mères à prendre en compte leur alimentation dès les premiers trimestres de la grossesse.

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L’insécurité alimentaire liée aux troubles de comportement

Une longue étude menée par les chercheurs de l’INSERM a démontré un lien plutôt direct entre la précarité alimentaire et certains problèmes comme la dépression, la difficulté de concentration, l’anxiété et l’hyperactivité chez l’enfant.

À noter que l’INSERM qualifie la précarité alimentaire d’« accès restreint, inadéquat ou incertain à des aliments sains et nutritifs » causé par « des difficultés financières ».

Malheureusement, ce serait plus de 10 % des Occidentaux qui seraient dans cette situation, ce qui est plutôt alarmant.

Pour l’étude, ce sont les données de 2120 enfants québécois qui ont été analysées en deux étapes. D’abord entre 18 mois et 4 ans et demi, puis à l’âge de 4 à 8 ans. Les enfants ayant vécu cette insécurité comptaient pour 5,9 % du groupe.

Le constat est que ces jeunes étaient 3 fois plus enclins à souffrir des troubles mentionnés plus haut. Les enfants se retrouvent souvent à consommer trop de sucre et de matières grasses, en plus d’une ration insuffisante de fer, entre autres.

Dans le rapport publié par la revue scientifique Plos One, il est mentionné : « L’incapacité des parents à s’occuper de façon régulière et satisfaisante de l’alimentation de la famille pourrait fragiliser le lien parents-enfants dans la petite enfance, avec des effets sur le développement des enfants à long terme ».

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La FDA veut implanter de nouvelles règles en matière d’importation alimentaire

La FDA persiste et signe, rapporte Medical News Today, en confirmant son intention d’alourdir les règles en matière d’importation des aliments.

Cela s’inscrit notamment dans la lignée du Food Safety Modernization Act, signé par le président Barack Obama, qui cherche à protéger les consommateurs en alimentation.

Les autorités conjointes avouent souhaiter agir en prévention plutôt que de régler les problèmes lorsqu’ils arrivent, une philosophie toute à leur honneur.

Ainsi, on veut forcer les exportateurs d’aliments et de nourriture à s’assurer eux-mêmes des niveaux de qualité et de sécurité de leurs produits, les mêmes niveaux que ceux imposés aux aliments générés sur le sol américain.

Même chose pour les importateurs locaux, qui auront eux aussi la responsabilité d’inspecter les produits achetés et d’assurer la sécurité des consommateurs américains.

Ces mesures sont saluées quasi unanimement et confirment la volonté du gouvernement à faire des efforts en matière de sécurité alimentaire.

En ce moment, la moitié des fruits et 20 % des légumes seraient des produits importés aux États-Unis.

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Insécurité alimentaire : Bilan canadien catastrophique et inquiétant

Medical News Today trace un sombre bilan en ce qui concerne l’insécurité alimentaire au Canada, des chiffres qui auront de quoi surprendre plusieurs lecteurs, sans aucun doute.

Selon un rapport déposé par des chercheurs de l’Université de Toronto, les Canadiens qui ignorent s’ils pourront manger à leur faim dans un avenir rapproché se comptent… en millions.

Les chercheurs estiment à 3,9 millions le nombre de Canadiens qui affirment avoir eu du mal à se nourrir adéquatement en 2011, une hausse d’un demi-million si l’on compare aux statistiques de 2008.

Pire, un Canadien sur quatre exposés dans cette recherche serait en fait un enfant.

« L’impact de cette situation sur nos enfants, nos familles et nos communautés, ainsi que sur le système de santé et notre économie, ne peut être surévalué. Le problème n’est pas sous contrôle, et des réponses plus effectives sont requises d’urgence », lance avec inquiétude la Dre Valerie Tarasuk, de l’Université de Toronto.

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Encore plus de bénéfices pour l’allaitement

Afin de déterminer si le développement du TDAH (Trouble déficitaire de l’attention/Hyperactivité) était associé à l’absence ou à un faible taux d’allaitement maternel, le Dr Aviva Mimouni-Bloch, de la Faculté Sackler de l’Université de Tel-Aviv et chef du Centre neurologique de l’enfant à l’hôpital de Loewenstein, a réalisé une étude rétrospective sur les habitudes d’allaitement de trois groupes d’enfants.

Un était formé d’enfants atteints de TDAH, un autre avec les frères et sœurs de ceux-ci, et un groupe sans TDAH et sans aucun lien à la maladie.

Publiés dans le journal médical Breastfeeding Medecine, les résultats ont clairement montré un lien entre l’allaitement et les risques de développer le TDAH.

En fait, les nourrissons de 3 mois n’ayant pas été allaités voyaient leurs risques de le développer être 3 fois plus élevés que ceux ayant été allaités.

Des enfants n’ayant pas été allaités, certains avaient des frères et sœurs qui, eux, l’avaient été. Les résultats ont aussi démontré que malgré leur génétique familiale, ils étaient beaucoup moins atteints de TDAH, ce qui en dit long sur l’impact du lait maternel.

Bien que les chercheurs ne sachent pas encore pourquoi l’allaitement a un impact sur le développement du TDAH, il se pourrait que ce soit le lait maternel lui-même ou encore le rapprochement entre la mère et le bébé pendant l’allaitement qui joue un rôle. De plus amples recherches sont prévues sur le sujet.

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Le chocolat est bon pour les enfants

Ce sont les petits qui seront heureux! En effet, tant que l’on comprend bien la différence entre le bon et le mauvais chocolat, le premier devrait faire partie de l’alimentation de nos enfants autant que de la nôtre.

Plus le pourcentage de cacao est élevé, mieux c’est (65 à 95 % de cacao). Selon le nutritionniste Hervé Robert, « le chocolat est un aliment énergétique aux apports nutritionnels intéressants pour les enfants ».

Sur Famili.fr., il est expliqué qu’il en est ainsi à cause de ses propriétés antioxydantes et de sa teneur en magnésium, potassium, fer, phosphore, de vitamines PP, B2, B9 et des substances toniques et stimulantes comme la théobromine, la caféine, les cannabinoïdes et la phényléthylamine.

Contrairement à ce qu’on pourrait croire, il permet aussi de lutter contre le stress, la fatigue, les maladies cardiovasculaires, le diabète et certains cancers.

Fait encore plus surprenant, la poudre de cacao possède un effet anticariogène dû à la présence de tanins, de fluor et de phosphates, le tout aidant à prévenir la carie!

Pour les enfants, il est recommandé d’attendre l’âge de 2 ou 3 ans avant de donner du chocolat en morceau, et une dose de 50 g par jour semble être la quantité maximum.

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Comprendre et maximiser l’impact des protéines

Plusieurs mythes et théories circulent en ce qui concerne les fameuses protéines, ce qui rend la compréhension de la chose un peu difficile pour le consommateur moyen.

Fraservalley.healthcastle.com tente de démystifier l’affaire et parle d’abord de l’importance du synchronisme lorsqu’il est question de protéines. Le moment de la journée est donc un facteur déterminant dans le rôle et l’impact qu’auront les protéines sur votre journée.

On explique que le corps est un peu comme un entrepôt, mais qu’il possède un espace limité. Il stocke donc les protéines, essentielles à l’énergie, mais d’en manger trop d’un seul coup s’avère inutile et non stratégique.

On doit donc étaler ses portions de protéines au cours d’une journée, explique Michelle Shepherd, et le quart de chaque repas devrait en être constitué.

Elle explique également dans son article que les protéines permettent un meilleur sentiment de satiété et qu’elles peuvent donc, par conséquent, contribuer à la perte de poids! Voilà qui est contraire à certaines théories partagées.

Pour terminer, n’oublions pas qu’il est toujours fortement recommandé de prendre un bon petit déjeuner, car il s’agit d’un moment clé de la journée pour ne pas rater notre rendez-vous avec les précieuses protéines!

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Fraservalley.healthcastle.com tente de démystifier l’affaire et parle d’abord de l’importance du synchronisme lorsqu’il est question de protéines. Le moment de la journée est donc un facteur déterminant dans le rôle et l’impact qu’auront les protéines sur votre journée.

On explique que le corps est un peu comme un entrepôt, mais qu’il possède un espace limité. Il stocke donc les protéines, essentielles à l’énergie, mais d’en manger trop d’un seul coup s’avère inutile et non stratégique.

On doit donc étaler ses portions de protéines au cours d’une journée, explique Michelle Shepherd, et le quart de chaque repas devrait en être constitué.

Elle explique également dans son article que les protéines permettent un meilleur sentiment de satiété et qu’elles peuvent donc, par conséquent, contribuer à la perte de poids! Voilà qui est contraire à certaines théories partagées.

Pour terminer, n’oublions pas qu’il est toujours fortement recommandé de prendre un bon petit déjeuner, car il s’agit d’un moment clé de la journée pour ne pas rater notre rendez-vous avec les précieuses protéines!

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Vivez plus longtemps avec des fruits et légumes

Une étude suédoise publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition fait le point sur l’importance de consommer l’apport quotidien recommandé de fruits et légumes, soit 5 portions.

Y manquer pourrait vous faire souffrir de carence et écouter votre vie, selon les chercheurs. Les résultats sont basés sur des données recueillies auprès de plus de 71 000 participants âgés de 45 à 83, et ce, sur une période de 13 ans.

L’équipe d’Alicja Wolk, qui a travaillé sur la recherche à l’Institut Karolinska à Stockholm, a constaté que les personnes qui ont déclaré ne pas manger de fruits ou de légumes au début de l’étude étaient 53 % plus susceptibles de mourir au cours de la période de suivi que celles qui consommaient leurs cinq portions quotidiennes.

Aussi, les femmes auraient tendance à en consommer plus que les hommes.

Wolk a aussi souligné que les gens mangeant moins de fruits et légumes étaient plus susceptibles de fumer et avaient tendance à être moins instruits. Leur diète était plutôt constituée de viande rouge, de produits laitiers riches en matières grasses, de bonbons et de collations.

L’étude ne peut cependant pas prouver que les fruits et légumes allongent la durée de vie.

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La pizza nous rend heureux

Sur dailymail.co.uk, on peut voir les résultats fournis par une équipe ayant observé l’impact du comfort-food (nourriture réconfortante) sur le bonheur des gens.

Alors que la nourriture avec un taux élevé en gras et en sucre a tendance à nous faire ressentir beaucoup de satisfaction, il semblerait qu’il ne se soit pas nécessaire de l’ingérer. Le simple fait de dessiner ces aliments s’avèrerait suffisant pour stimuler le bonheur.

Les chercheurs de l’Université de St Bonaventure à New York ont recruté 61 étudiants et les ont séparés en 4 groupes. Chacun de ces groupes avait à dessiner un aliment, soit une pizza, des poivrons, des fraises ou de petits gâteaux, alors qu’ils avaient l’estomac vide.

Résultat surprenant, les groupes ayant eu à dessiner les aliments à haute teneur en gras et en sucre ont démontré une augmentation significative de leur humeur, soit 28 % d’augmentation pour la pizza et 27 % pour les gâteaux. Le groupe des fraises a indiqué une amélioration de 22 %, et celui des poivrons, seulement 1 %.

Nous savons donc maintenant que nous pouvons ressentir un certain plaisir à observer et dessiner cette nourriture généralement mauvaise pour nous, sans la consommer.

Ces données ont été publiées dans le Journal of Behavioural and Brain Science.