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Adolescents : les couche-tôt mangent plus équilibré

Les adolescents qui dorment bien la nuit auraient plus tendance à manger des fruits et des légumes en journée, contrairement aux couche-tard, selon une étude américaine.

Après avoir examiné les liens entre durée de sommeil et alimentation chez 13 280 adolescents américains, des chercheurs de l’Université Stony Brook de New York ont montré que les jeunes qui dorment moins de sept heures par nuit ont tendance à se rendre dans les fast-foods deux fois ou plus par semaine.

« Les ados endormis mangent non seulement plus d’aliments mauvais à la santé, mais ils consomment aussi moins d’aliments bons pour eux », a noté la directrice de l’étude, Lauren Hale.

Dans le panel étudié, 18 % des ados tombaient dans la catégorie de « petits dormeurs » (moins de sept heures de sommeil). On note deux autres catégories, celle des moyens dormeurs (entre 7 et 8 heures de sommeil) et celle des bons dormeurs (plus de huit heures de sommeil).

L’association des pédiatres américains recommande des nuits de neuf à dix heures de sommeil.

Ces résultats ont été présentés lors du congrès annuel des Associated Professional Sleep Societies, SLEEP 2013.

Des chercheurs et des spécialistes présents lors de ce congrès ont par ailleurs souligné que ces résultats montrent la nécessité d’évoquer le manque de sommeil dans le cadre de la prévention de l’obésité.

Une autre étude parue en début d’année en Suède a montré que la fatigue pouvait avoir un effet sur l’alimentation des sujets, les personnes en manque de sommeil étant plus susceptibles de grignoter des encas très caloriques.

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Google propose son innovation en matière de nutrition

Les amateurs de bonne nutrition et d’une saine alimentation ont désormais accès à un tout nouvel outil en ligne, une gracieuseté du géant Google.

En effet, healthland.time rapporte que les internautes peuvent désormais compter sur des informations justes et précises concernant les valeurs nutritives et autres détails de vos aliments.

Jusqu’ici, rapporte aussi la même source, les informations obtenues en « googlant » un article ou un aliment étaient nombreuses, disparates et souvent incohérentes, compte tenu du nombre de sources proposées.

Désormais, c’est une véritable banque de données à laquelle auront accès les internautes soucieux de leur santé. Ce système doit également s’appliquer pour d’autres sphères de connaissances (voir la vidéo plus bas). 

« Ça va donner les réponses que les gens recherchent, rapidement et avec véracité. On souhaite que cela permette de meilleures décisions chez les consommateurs », lance Roya Soleimani, très proche du projet.

Les internautes peuvent donc dès maintenant tenter l’expérience en questionnant l’engin de recherche, en formule question comme auparavant.

Découvrez cette nouvelle façon de faire, grâce à cette vidéo promotionnelle et explicative proposée par Google.

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La prune officiellement bénéfique pour le système digestif, selon l’UE

L’Union Européenne et son organisation principale en santé viennent d’officialiser les bienfaits de la prune, selon ce que rapporte Medical News Today.

Ce qui peut sembler une nouvelle plutôt banale est en fait le résultat d’un long combat de la part des producteurs de prunes basés en Californie, qui désiraient voir l’Europe faire la promotion du produit.

On sait que la prune permet une meilleure digestion et s’avère donc un allié de la bonne santé, sauf qu’on tardait à en officialiser les bénéfices sur le territoire européen. Cela aura donc pris six ans au California Prune Board avant de remporter son pari afin que son produit soit inscrit comme allié officiel de la santé dans l’UE.

« Il faut dire que les fonctions des intestins sont des sujets difficiles en Angleterre, alors il est difficile de bien communiquer les informations… Pour fonctionner normalement, on recommande 25 grammes de fibre quotidiennement, et 80 % des Britanniques n’en mangent pas ou pas assez », lance Jeannette Higgs d’un ton très sérieux.

Bien que cette officialisation soit tardive et semble un brin inutile, on rappelle l’importance pour le public en général d’avoir accès à des informations justes et véridiques, et donc l’importance de ne pas laisser n’importe quel produit s’afficher comme « officiellement bon pour la santé ».

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Les pesticides pourraient expliquer une partie de la hausse des cas de cancer

Top Santé rapporte des conclusions émises par l’INSERM, qui s’inquiète du possible (et probable) lien entre l’utilisation de plus en plus massive des pesticides et les hausses globales de cas de cancer.

Il ne s’agit pas d’un constat lancé en l’air ni d’un rapport précipité, puisqu’on apprend que l’INSERM a analysé pratiquement toutes les études et recherches précédentes sur le sujet afin d’en arriver à une conclusion efficace.

De plus, l’exercice a été commandé par la DGS (Direction générale de la Santé) en France, qui désire mieux comprendre le phénomène et la possible cause à effet.

Les pesticides utilisés en agriculture et qui se retrouvent indirectement dans notre assiette seraient donc bel et bien responsables de la montée de certaines maladies comme le Parkinson et le cancer (de la prostate, notamment), en plus d’être visiblement néfastes pour le développement des enfants et d’augmenter les risques de leucémie.

Les chiffres avancés ici sont trop longs pour tous les partager en entier, mais il suffit d’y jeter un œil pour être assuré qu’il existe bel et bien un malaise profond dans notre façon d’aborder la consommation et en ce qui concerne le respect du consommateur.

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Selon Jamie Oliver, la cause de mortalité numéro 1 est la nourriture

On aura beau dire que les maladies cardiovasculaires et le cancer sont parmi les causes de mortalités les plus probables statistiquement parlant, si on cherche le dénominateur commun, on en arrivera inéluctablement au même constat, croit le chef Jamie Oliver.

Pour ce célèbre cuisinier, la cause de mortalité numéro 1 est la nourriture. Difficile de contredire ces propos lorsqu’on pense à l’impact de l’alimentation sur notre santé et sur notre avenir.

Le chef propose une vidéo-entrevue, ici rapportée par Authority Nutrition, dans laquelle il expose sa vision des choses.

Pour lui, les maladies liées à la diète sont LA cause numéro un de mortalité dans le monde occidental, mais l’avantage est qu’il s’agit d’un phénomène réversible.

Il s’attend à voir la prochaine génération bénéficier d’une longévité moins accrue que celle de leurs parents, une première dans l’histoire, et blâme les écoles qui considèrent la pizza et les frites comme des « légumes ».

Il rappelle également que plusieurs enfants reçoivent un succédané de « lait », rempli de sucre, en plus d’avoir accès à des machines distributrices ou encore à des chaînes de restauration rapide.

« Je souhaite voir tout le monde contribuer à un mouvement fort qui éduquera les jeunes à propos de la nourriture, qui inspirera les familles à cuisiner de nouveau et combattre l’obésité », lance le chef, qui demeure positif.

Voyez Jamie Oliver lors de cette entrevue inédite.

 

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L’impact de l’allaitement sur le cerveau

Une récente recherche conduite par les spécialistes de l’Université Brown démontre de nouvelles preuves concernant les bienfaits de l’allaitement sur le développement du cerveau des bébés.

À la suite de l’observation par résonnance magnétique, les améliorations ont été particulièrement notées dans les zones responsables du langage, des émotions et des aptitudes cognitives.

Alors que ces résultats étaient déjà connus chez les adolescents et les adultes, les chercheurs ne savaient toujours pas vers quel âge les effets bénéfiques se produisaient.

Grâce à cette étude, il est désormais clair que les bienfaits se produisent très tôt dans le développement de l’humain, soit avant l’âge de 2 ans. De plus, il est maintenant prouvé que plus longtemps un enfant est allaité, plus son cerveau se développe rapidement, et que les résultats s’améliorent nettement lorsque l’enfant est exclusivement nourri de lait maternel.

En effet, si le régime de bébé contient également de la formule maternisée, son développement s’en retrouve affecté.

Le Dr Deoni et son équipe ont ensuite confirmé leurs données d’imagerie avec une série de tests cognitifs de base sur un groupe d’enfants plus âgés ayant été allaités. Ces essais ont révélé une performance accrue du langage, de la réception visuelle et dans les performances de motricité.

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Devrait-on modifier génétiquement le lait maternel?

Dans une étude nommée The Utility of Breast Milk for Genetic or Genomic Studies: A Systematic Review, l’auteur décrit la possibilité d’obtenir l’information génétique du lait maternel et de le modifier afin d’en améliorer les qualités nutritives pour le nouveau-né.

Kelly Baumgartel et Yvette Conley de l’Université de Pittsburgh ont révisé la recherche afin de s’assurer que le lait maternel serait une bonne source pour ce type de processus.

Le tout serait apparemment facile et ne nécessiterait qu’un prélèvement très simple et non invasif du lait de la mère. En analysant ses composés, des modifications pourraient être faites afin de s’assurer que l’enfant obtiendrait tout ce dont il a besoin pour un développement optimal.

« La grande majorité des mères produit du lait qui correspond aux besoins de leur enfant étonnamment bien », dit le rédacteur en chef adjoint, David S. Newburg, professeur du département de biologie au Boston College.

« Mais pour les quelques enfants ayant des besoins particuliers, comme les bébés prématurés, ou pour les mères ayant des mutations génétiques rares dont le lait ne possède pas la gamme complète d’éléments bénéfiques, l’analyse génétique et génomique permettrait à la fois d’identifier les manques et de fournir les informations nécessaires pour produire un fortifiant complémentaire personnalisé. »

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Un professeur crée une pizza plus santé qu’une salade

Un professeur du nom de Mike Lean crée une commotion alimentaire et pourrait bien révolutionner le marché de la pizza en supermarché, alors qu’il affirme avoir créé la première pizza véritablement santé.

Cette pizza serait encore meilleure pour l’organisme qu’une salade, si l’on en croit les informations proposées par le Daily Mail.

Le produit créé par ce professeur spécialiste en alimentation et en obésité comprendrait 47 nutriments nécessaires à l’organisme, en quantité parfaitement étudiée.

Baptisé Eat Balanced Pizza par Lean et son équipe, le produit sera proposé en trois versions différentes, toutes aussi bonnes pour la santé les unes que les autres.

Si la nouvelle semble difficile à croire pour certains, le professeur rappelle que les multinationales alimentaires ne se soucient guère de la santé des consommateurs, tablant plutôt sur les marges de profits. Il était donc naturel que l’exploit soit accompli par un homme de science soucieux du bien-être des citoyens.

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Le plomb contenu dans le riz pourrait être dommageable pour les enfants

Des experts américains ont analysé de nombreux échantillons de riz provenant de différents pays et y ont détecté des taux de plomb dépassant largement la limite jugée acceptable, ce qui pose un risque pour la santé, particulièrement pour les enfants.

Le plus haut taux de plomb se trouvait dans des échantillons de la Chine et de Taiwan, mais des niveaux inquiétants ont également été détectés dans des échantillons provenant de la République tchèque, du Bhoutan, de l’Italie, de l’Inde et de la Thaïlande. Les chercheurs sont encore en train d’analyser du riz provenant du Pakistan et du Brésil.

Le niveau de plomb dans le riz était de 30 à 60 fois plus élevé que la limite acceptable pour les enfants, a révélé la FDA.

« Ces données sont particulièrement inquiétantes pour les bébés et les enfants, qui sont très vulnérables aux effets de l’empoisonnement au plomb », a indiqué l’auteur de l’étude, le Dr Tsanangurayi Tongesayi.

Le plomb s’accumule lentement dans l’organisme et est lié à un QI réduit ainsi qu’à des problèmes de comportement chez les enfants, selon The Telegraph.

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Nourrir les bébés prématurés

Souvent, l’incapacité d’un bébé à se nourrir adéquatement est le seul facteur qui empêche son transfert de l’hôpital à la maison. Donner le biberon à un bébé prématuré est même associé à des risques potentiellement graves, comme l’aspiration de lait ou des problèmes cardiorespiratoires.

À cause de cela, les infirmières ont donc souvent recours à des trucs, comme essayer différentes positions pendant le biberon. Mais jusqu’à maintenant, aucune étude n’avait analysé l’efficacité de celles-ci.

Des chercheurs ont mené une étude auprès de 41 bébés prématurés, qui étaient nés entre 24 et 33 semaines de grossesse. Ces nouveau-nés ont été séparés en 3 groupes : ceux qui ont été nourris au biberon dans une position plus verticale, avec la tête relevée, ceux qui ont été nourris couchés sur le côté, et ceux qui ont été nourris dans une position semi-couchée.

Les bébés étaient considérés comme « capables de se nourrir indépendamment » lorsqu’ils pouvaient recevoir 8 boires en 24 heures pendant 2 jours de suite sans complications.

Les bébés des 3 groupes ont atteint cette « indépendance » dans des temps similaires et à des âges gestationnels semblables. La position ne serait donc qu’une question de préférence individuelle, rapporte Medscape.