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Des repas fréquents donnent-ils des enfants plus minces?

Des chercheurs ont analysé les données provenant de 18 849 enfants et jeunes âgés de 2 ans et plus, provenant de nombreux pays très différents.

Les enfants qui mangeaient 4 ou 5 fois par jour avaient 22 % moins de chance d’être obèses que les enfants qui ne prenaient que 3 repas.

Les garçons répondaient mieux à cette façon de manger que les filles, par contre, puisque les chercheurs ont conclu qu’il y avait peu de différence observée chez les filles.

Les chercheurs croient que manger plus fréquemment pourrait mieux réguler l’appétit et la compensation énergétique, accroître le ratio entre les glucides et les graisses, déplacer la majorité des calories plus tôt dans la journée, et faire la promotion d’un mode de vie plus sain.

« Les écoles ont peut-être un rôle important à jouer pour améliorer les préférences et les habitudes alimentaires des enfants, et selon cette perspective, intégrer des repas plus petits, mais plus fréquents dans l’environnement scolaire pourrait être une bonne manière de contrer l’obésité infantile », a noté l’auteure de l’étude, Mary Yannakoulia, selon Med Page Today.

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Les besoins nutritionnels des enfants

Lorsqu’on a des enfants difficiles, on peut parfois en arriver à se demander s’ils mangent assez. En contrepartie, avec les taux d’obésité infantile qui ne cessent de grimper, on peut aussi avoir peur qu’ils mangent trop… Quelle est la bonne quantité? Parents Magazine fait le point.

Entre 1 et 3 ans

Les enfants de cet âge ont besoin d’environ 1200 à 1400 calories. Après une fulgurante croissance durant leur première année, ils ralentissent le rythme et, par conséquent, ont moins faim. Il est normal pour ces petits d’avoir un appétit très variable : énorme une journée, très léger les jours p.

Entre 4 et 6 ans

Durant cette période, les enfants ont plutôt besoin de 1500 à 1750 calories. Lorsqu’ils commencent l’école et ont plusieurs activités parascolaires, ils ont besoin de collations nutritives, mais pas trop grosses, pour ne pas leur couper la faim lors des repas. À partir de cet âge, vous pouvez commencer à surveiller les signes pour éviter que les enfants mangent pour des raisons émotionnelles, ou simplement parce qu’ils s’ennuient.

Entre 7 et 9 ans

Leurs besoins nutritionnels sont de 1700 à 1950 calories, ce qui s’approche beaucoup de celui d’une femme adulte! La croissance à cet âge diminue encore plus, mais ces enfants ont quand même besoin de manger plus, simplement parce qu’ils sont très actifs. C’est un âge critique pour l’apparition de l’embonpoint, alors limitez les friandises et assurez-vous que vos enfants bougent!

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Les gènes pourraient en partie expliquer pourquoi certains enfants sont difficiles

Dans le cadre d’une nouvelle étude, les chercheurs ont observé 66 paires de jumeaux âgés de 4 à 7 ans. Ils ont conclu que les gènes pouvaient expliquer 72 % des variations entre les enfants en ce qui a trait à une certaine tendance à éviter les nouveaux aliments, tandis que le reste était influencé par l’environnement.

Les chercheurs ont noté que d’autres études précédentes révélaient des pourcentages similaires chez les adolescents et même les adultes, ce qui signifie que les gènes ont un impact sur les habitudes alimentaires la vie durant.

La présente étude, publiée dans la revue médicale Obesity, a mené à une découverte surprenante. En effet, les chercheurs ont examiné l’aversion aux nouveaux aliments en relation avec le pourcentage de gras chez l’enfant et ses parents. Si un des parents était en surpoids, c’était habituellement également le cas de l’enfant, mais uniquement si ce dernier évitait de goûter à de nouveaux aliments.

« L’aversion des enfants à essayer de nouveaux aliments est similaire à son tempérament ou sa personnalité. Certains enfants sont plus susceptibles que d’autres d’avoir ce problème. Par contre, ça ne veut pas dire que leur comportement ne peut pas changer, et qu’ils peuvent devenir un peu moins difficiles », a affirmé l’auteur de l’étude, Myles Faith, selon Medical News Today.

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Une mauvaise alimentation mène aussi à la mauvaise humeur

Le fait de ne pas veiller à son alimentation ne mènerait pas qu’à des problèmes de santé physique chez la femme, selon Santé Log.

D’après une étude en provenance de la Pennsylvanie, les problèmes de comportement en alimentation sont aussi gages de troubles psychologiques, notamment en ce qui a trait à l’humeur.

Présentées lors du dernier congrès annuel de l’American Psychosomatic Society, ces conclusions font état de la relation des femmes avec la nourriture, et des résultats sur leurs émotions qui en découlent.

« Nous nous sommes intéressés à l’étude de femmes dans leur vie de tous les jours pour suivre leur humeur et leurs habitudes alimentaires, et obtenir ainsi une image plus précise de la relation entre les émotions et l’alimentation », expliquent les chercheurs de Penn State.

Les résultats démontrent cependant qu’une femme de bonne humeur ne devrait pas nécessairement voir celle-ci se dégrader, mais que celle qui s’avère déjà colérique ou dépressive a de grandes chances d’empirer son cas.

Les chercheurs précisent également que ces variations d’humeur sont relatives au degré d’intensité du trouble alimentaire, les pires troubles étant ceux comme l’anorexie et la boulimie.

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Moins de risque d’obésité lorsque l’on retarde les aliments solides chez les bébés

Des chercheurs ont donné à des rats nouveau-nés du lait dont la composition était plus similaire à celui de leur mère (avec une majorité de calories dérivées des graisses), ou encore du lait enrichi de glucides (qui était donc la source première des calories).

Après 3 semaines, les ratons ont été sevrés et ont reçu de la moulée en portions contrôlées. Pendant ce temps, ils ont grossi normalement, de manière similaire aux ratons qui étaient nourris par leur mère. Lorsque l’accès à la nourriture est devenu libre, les ratons ont développé de l’obésité.

« Plusieurs aliments et jus donnés aux bébés humains ont une haute teneur en glucides, en particulier des sucres simples », a expliqué l’auteur de l’étude, Mulchand Patel, selon Medical News Today.

« Notre hypothèse était donc que l’introduction trop rapide des aliments solides augmente l’apport en glucides, ce qui fait grimper la production d’insuline et cause une sorte de “programmation métabolique” qui prédispose l’enfant à devenir obèse. »

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L’épidémie des collations

Selon une étude américaine récente, à la fin des années 70, les enfants âgés de 2 à 6 ans ne mangeaient qu’une seule collation entre les repas. Aujourd’hui, c’est plutôt trois. Ça donne un nombre de collations considérables à la fin de la journée!

Les collations sont importantes, « parce que les enfants ont à la fois un petit estomac et de grands besoins énergétiques », affirme une spécialiste en alimentation des petits, la Dre Katja Rowell.

Toutefois, si les enfants mangent constamment tout au long de la journée, ça ne leur donne pas la chance de comprendre leur faim et leur sentiment de satiété.

Cela pourrait même les rendre plus difficiles : si les enfants arrivent à table et qu’ils n’ont pas vraiment faim, ils seront beaucoup moins enclins à essayer de nouveaux aliments.

Les experts de l’obésité croient maintenant que la fréquence de l’alimentation, et pas seulement la grosseur des portions, est responsable du nombre de calories excessif que consomment beaucoup d’enfants. L’obésité chez les enfants peut survenir avec seulement 165 calories de trop par jour : c’est à peine une poignée de croustilles!

Les parents auraient donc intérêt à limiter les collations et à bien les choisir parmi les aliments équilibrés, qui ne donneront pas faim tout de suite après.

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Les boissons sucrées liées aux calories superflues chez les enfants

La consommation de boissons sucrées (sodas, jus, boissons pour sportifs et boissons énergétiques) a considérablement augmenté aux États-Unis depuis les 20 dernières années, mais jusqu’à récemment, il n’y avait pas de preuve scientifique que celles-ci étaient responsables du fait que les enfants consomment trop de calories.

« Le but premier de cette étude était de déterminer à quel point les boissons sucrées contribuent à un nombre excessif de calories chez les enfants et de trouver les aliments et les liquides associés à une plus grande consommation de boissons sucrées », a expliqué le nutritionniste Kevin Mathias, selon ce que rapporte EurekAlert!.

Celui-ci a analysé les données provenant de 10 955 enfants et jeunes âgés de 2 à 18 ans. Les résultats montrent que plus les enfants buvaient de boissons sucrées, plus ils mangeaient, mais aussi moins ils buvaient d’autres liquides meilleurs pour leur santé, comme du lait, de l’eau ou du vrai jus.

Parmi les aliments associés à une plus grande consommation de boissons sucrées, on retrouvait différentes sortes de malbouffe : de la pizza, des frites, ainsi que des desserts comme les gâteaux, les tartes, les biscuits et les sucreries.

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Les bébés qui ne grossissent pas assez n’ont pas besoin de calories supplémentaires

Des chercheurs ont étudié 11 499 bébés nés à terme dans les années 90 en Grande-Bretagne.

Parmi ceux-ci, et lorsque comparés aux chartes de croissance, 507 n’ont pas pris assez de poids durant les 8 premières semaines de leur vie (groupe précoce). 480 ont suivi la courbe durant les deux premiers mois, mais leur prise de poids a été beaucoup plus lente par la suite, jusqu’à neuf mois (groupe tardif). 30 bébés appartenaient simultanément aux deux groupes.

Les tout-petits du groupe précoce se sont rattrapés rapidement et avaient presque repris le poids auquel on s’attendait à l’âge de 2 ans. Ceux du groupe tardif ont plutôt poursuivi leur prise de poids lente jusqu’à l’âge de 7 ans, puis ont eu une « poussée » entre 7 et 10 ans.

Dans les deux groupes, leur poids était la plupart du temps considéré comme « normal » à 13 ans, même si ces enfants tendaient toujours à être plus petits et plus légers que la moyenne.

« De façon générale, les parents peuvent être rassurés à propos de leur enfant qui grossit lentement, si celui-ci est en bonne santé », a noté l’auteur, Alan Edmond, qui est professeur à l’Université de Bristol, selon Medical News Today.

Il a ajouté qu’il n’y avait pas lieu de comptabiliser les calories pour ces enfants, de leur procurer de la nourriture supplémentaire ou de les forcer à manger.

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Les enfants américains mangent moins de calories, mais trop de gras saturés

Contrairement à la croyance générale, les petits Américains mangent moins de calories maintenant qu’en 1999. Chez les garçons, l’alimentation quotidienne est passée de 2258 à 2100 calories en moyenne, tandis que chez les filles, le nombre est passé de 1831 à 1755 calories.

Les jeunes mangent maintenant un peu plus de protéines qu’avant (de 13,5 % à 14,7 % chez les garçons et de 13,4 % à 14,3 % chez les filles), tandis que la consommation de glucides a légèrement diminué (passant de 55 à 54 % chez les deux sexes).

Depuis 1999, la proportion de jeunes garçons obèses a augmenté, mais pas celle des filles. Dans les dernières années, le taux d’obésité s’est stabilisé chez les jeunes.

La proportion de gras saturés, qui se chiffre entre 11 et 12 %, est particulièrement inquiétante chez les enfants, ont fait remarquer les experts.

« Les pourcentages de calories provenant des protéines, des glucides et des graisses sont dans les fourchettes recommandées, mais le pourcentage de gras saturés était au-dessus des 10 % établis dans les guides alimentaires », ont-ils noté, selon Medscape.

Les statistiques ont été compilées par le National Center for Health Statistics, un organisme paragouvernemental américain.

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Y aurait-il un lien entre l’obésité et le déficit d’attention chez les enfants?

Une étude a soumis un groupe de souris à un régime très riche en graisses (environ 60 % des calories), et un autre à un régime très pauvre en matières grasses (environ 10 %).

La diète occidentale comporte normalement entre 35 % et 45 % de graisses.

« Après seulement une semaine de ce régime, même avant que l’on puisse constater une prise de poids, le comportement des souris du premier groupe a commencé à changer, » a affirmé l’auteur, le professeur Gregory Freund, selon Science Daily.

Les souris sont devenues plus anxieuses, et ont développé des déficits d’apprentissage et de mémoire. Si les souris changeaient de régime et revenaient à une alimentation faible en gras, ces problèmes disparaissaient au bout d’une semaine.

Si les souris continuaient avec ce régime trop gras, les effets négatifs se poursuivaient au cours des semaines suivantes.

Au bout de 10 semaines, toutefois, le niveau de dopamine revenait à la normale parce que le corps compensait ce régime inadéquat; mais à ce stade, les souris étaient devenues obèses et faisaient du diabète.

« L’étude suggère qu’une alimentation trop grasse pourrait déclencher de l’anxiété et des problèmes de mémoire chez les enfants qui ont des prédispositions génétiques, » a ajouté M. Freund.