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Les enfants ont besoin d’un minimum d’aliments gras

Patrick Tounian, spécialiste en nutrition chez l’enfant, rapporte que « trop d’enfants seraient en dessous des apports quotidiens lipidiques recommandés ».

Les acides gras compris dans les aliments (oméga-3) sont indispensables au développement du cerveau des enfants de moins d’un an, explique Top Santé. Voilà une première raison qui devrait convaincre les parents de baisser un peu la garde sur les aliments dits « gras ».

Contrairement aux adultes qui ne doivent pas dépasser de 35 à 40 % de lipides quotidiennement, l’alimentation d’un enfant de moins de 3 ans doit en être constituée de 45 à 50 %. On retrouve ces lipides principalement dans les produits laitiers et les poissons gras, mais il faut même ajouter un peu d’huile ou de beurre.

« Les besoins sont couverts tant que l’enfant ne consomme que du lait maternel ou infantile », spécifie cependant Tounian. Par contre, dès que vous intégrez les aliments solides, « il faudrait ajouter des matières grasses ».

Variez cependant entre acides gras végétaux et animaux. Il est possible de combler à l’aide de différentes huiles (colza, lin, tournesol et pépins de raisin).

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Le Danemark impose une taxe sur le gras

Soucieux d’inciter sa population à manger plus sainement, le Danemark impose maintenant une taxe sur les aliments qui sont moins bons pour la santé.

Ainsi, une taxe de 16 kroner (3 $) du kilo est ajoutée à la facture des aliments contenant des gras saturés.

À titre d’exemple concret, les Danois doivent maintenant payer en moyenne 0,15 $ de plus à l’achat d’un hamburger.

En septembre dernier, la Hongrie devançait le Danemark en devenant le tout premier pays à imposer une taxe sur certains produits contenant des gras saturés.

La loi danoise avait été ratifiée en mars dernier par les élus, qui y voient une solution pour augmenter la longévité de leurs concitoyens. Le gouvernement danois croit que l’espérance de vie, qui est à 79 ans dans ce pays nordique, augmentera de trois ans d’ici les 10 prochaines années.

Les Danois, comme plusieurs citoyens européens, paient déjà une taxe spéciale sur les aliments sucrés, le chocolat et les boissons gazeuses.

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Intolérance au lactose, vraiment?

Si les cas d’allergies aux produits laitiers semblent se multiplier, des chercheurs soutiennent que plusieurs personnes n’en souffriraient pas réellement. Elles croiraient souffrir d’une telle allergie, mais elles n’auraient en fait qu’ingéré trop d’aliments gras.

On lit sur Mail Online que le vrai coupable, dans bien des cas, serait le gras contenu dans le lait. Comme l’a expliqué un gastroentérologue de l’hôpital Wythenshawe (Manchester), Pr Peter Whorewell, des personnes qui auraient choisi le lait de soya sont parfois encouragées à réessayer le lait de vache.

Les allergies au lait demeurent toutefois rares chez les adultes. L’allergie au lait de vache, soit à ses protéines, touche par contre 7 % des bébés de moins d’un an. En grandissant, 90 % de ces derniers n’en souffriront plus.

La confusion quant aux allergies et aux intolérances fait toutefois en sorte que les gens sont portés à écouter de mauvais conseils, rappelle le professeur Whorewell.

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Les épices peuvent contrer les effets des aliments gras

Une alimentation riche en épices comme le curcuma, la cannelle, le paprika, peut aider à protéger des dommages physiques causés par des repas gras.

C’est ce que rapporte le Journal of Nutrition,après qu’une équipe du Penn State University ait étudié les effets des mélanges d’épices. Leurs antioxydants permettent de diminuer le stress que les aliments gras provoquent sur le cœur.

Les chercheurs ont constaté que l’ajout d’épices aux repas pouvait réduire de 30 % le taux de triglycérides dans le sang, ce qui freine l’accumulation des graisses.

Mais attention, il ne s’agit pas là d’une recette miracle qui vous permettra de manger sans danger tous les aliments gras que vous désirez. Encore une fois, il est préférable de plutôt réduire votre consommation de graisse pour le bien de votre santé.

 

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Comment les aliments gras agissent-ils sur le cerveau?

C’est prouvé depuis longtemps qu’il existe un lien entre l’état émotionnel d’une personne et sa consommation d’aliments. En effet, lorsque nous nous sentons surmenés et stressés, nous avons plus tendance à opter pour du chocolat que pour une pomme. Ces aliments nous réconfortent.
 
Selon les chercheurs de l’Université Louvain en Belgique, ces aliments agissent en effet comme réconfortants.
 
Ils ont mesuré les changements produits dans le cerveau quand une personne est triste. Lorsqu’ils ajoutaient des matières grasses dans l’estomac de la personne, cela diminuait la réponse des cellules nerveuses du comportement et des émotions tristes.
 
Ce processus a donc une implication importante dans un large éventail de problèmes, dont au niveau de l’obésité, des troubles alimentaires et de la dépression, rapporte le Journal of Clinical Investigation.
 
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Préférence pour les aliments gras : une question de gènes

Des chercheurs écossais viennent de mettre en lumière la cause de la préférence des aliments gras et de l’alcool chez les Occidentaux. En fait, ces personnes sont génétiquement programmées pour avoir un penchant pour ces aliments et boissons.
 
Selon le Dr Alasdair Mackenzie de l’Université d’Aberdeen, il ne s’agit que d’une question de survie à l’origine.
 
En effet, les Européens avaient besoin de calories pour passer à travers les mois d’hiver et ils en retrouvaient dans le lait et l’alcool.
 
Selon les chercheurs, il existe un interrupteur génétique qui régule l’appétit et la soif. Plus celui-ci est « ouvert » et plus grande sera l’attirance envers les aliments gras et l’alcool.
 
« Il est possible que durant les mois d’hiver, les anciens Européens qui avaient un interrupteur moins actif ne survivaient pas aussi facilement que ceux qui en avaient un plus actif. L’évolution a ainsi favorisé ceux qui avaient une diète élevée en gras et en alcool », explique le Dr Mackenzie au Journal of Neuropsychopharmacology.
 
Comme l’espérance de vie n’était que de 40 ans à cette époque, les effets néfastes du gras et de l’alcool n’étaient pas importants.
 
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Les aliments gras ont le même effet que la drogue

Si vous n’arrivez pas à vous passer de croustilles ou de frites et que vous avez des envies irrépressibles d’en manger, sachez qu’il existe pour cela une explication scientifique.
 
Selon les Proceedings of the National Academy of Science (PNAS), des chercheurs américains ont découvert que les aliments gras augmentent la production de substances chimiques dans le corps, les endocannabinoïdes, qui provoquent un sentiment de bien-être au même titre que le cannabis, entraînant donc une surconsommation.
 
Cela déclenche également des envies irrépressibles d’aliments comme des croustilles et des frites, par exemple. Toutefois, les aliments sucrés et protéinés n’ont pas cet effet.
 
« C’est la première démonstration que les signaux d’endocannabinoïdes dans le ventre jouent un rôle important de régulation de la consommation des graisses », explique la chercheuse Daniele Piomelli.
 
Par contre, vous pouvez avoir cette même sensation de bien-être de façon plus saine, car le sport augmente aussi la production d’endocannabinoïdes.

Cette découverte pourrait éventuellement mener à la création d’un médicament pouvant contrer ce processus, afin de briser les envies continuelles de consommation d’aliments gras.

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Étrange protection alimentaire pour le coeur

Cela ressemble plutôt à une recette pour avoir une crise cardiaque, mais apparemment, la friture et les beignets protègeraient le cœur d’une certaine façon, rapporte le Daily Mail.
 
Des chercheurs américains ont présenté ces résultats préliminaires lors de la conférence Experimental Biology. Les aliments gras permettraient d’accroître le muscle cardiaque, ce qui diminuerait les dommages après une attaque.
 
Attention toutefois, un avertissement est émis de la part des experts. Cette étude n’en est qu’au stade préliminaire et de nombreuses autres devront être faites avant que l’on affirme que les personnes devraient se permettre des aliments gras à l’occasion, même après une crise cardiaque.
 
Les résultats obtenus sur les souris ont été des plus surprenants, montrant que celles soumises à un régime riche en gras récupéraient plus rapidement après une crise cardiaque. Leurs problèmes étaient même moins intenses.
 
On croit que ce genre d’alimentation stimulerait l’énergie et favoriserait donc la guérison. Toutefois, on parle de repas occasionnels.
 
Pour le moment, les aliments gras sont plutôt reconnus pour faire augmenter le mauvais cholestérol et provoquer des problèmes cardiaques, alors avant de vous lancer dans une telle alimentation, il vaut mieux attendre que d’autres études confirment les résultats.
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Les aliments gras et sucrés créent une dépendance

Ne vous demandez plus pourquoi vous ne pouvez pas résister à un gâteau, une barre de chocolat ou encore à un hamburger de la chaîne de restauration rapide de votre coin. Des chercheurs américains ont trouvé que les aliments gras et sucrés créaient le même genre de dépendance que la drogue.
 
L’étude effectuée sur des rats s’est échelonnée sur trois ans. Les aliments gras et sucrés ont créé chez les animaux une véritable dépendance, similaire à ce que l’on constate avec la consommation de drogue.
 
Les rongeurs habitués à ce type d’alimentation pouvaient en manger compulsivement, au point de devenir obèses en seulement quelques mois.
 
Les chercheurs croient donc que comme la drogue, l’obésité aurait les mêmes fondements neurologiques.
 
Les effets obtenus chez les rats pourraient donc également se confirmer chez l’homme.