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Plus l’enfant joue avec sa nourriture, plus il apprend

Les recherches effectuées auprès de bébés de 16 mois ont donné des résultats étonnants. Selon les scientifiques, pour identifier des aliments non solides comme du pouding, du jus, de la compote, du yogourt, etc., les jeunes qui participaient faisaient tous la même chose.

Ils se basaient sur plusieurs sens, et non juste la vue, comme lorsqu’ils identifient des objets solides. En fait, plus l’enfant plongeait les mains dans la texture, en jouant avec, goûtant l’aliment, ou même en le lançant, plus rapidement il se rappelait ce que c’était.

D’autre part, les spécialistes ont noté que les bébés qui étaient dans un autre environnement que dans la chaise haute ne réagissaient pas de la même façon, comme s’ils n’avaient pas le droit de se salir, et n’obtenaient pas d’aussi bons résultats.

« On dirait que votre enfant joue dans la chaise haute lorsqu’il lance de la nourriture par terre. Mais en réalité, il récolte des données à partir de ces gestes », explique Larissa Samuelson, qui a participé à l’étude, rapporte Science World Report.

Le détail de la recherche a été publié dans la revue Developmental Science.

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Régime riche en gras à l’adolescence relié au risque élevé du cancer du sein

Une récente étude pointe du doigt les aliments gras consommés par les adolescentes. Ceux-ci s’avèrent dangereux à long terme, puisqu’ils augmentent considérablement les risques de cancer du sein, et ce, même si elles s’alimentent sainement dans leur vie adulte.

Selon ce que rapporte Science World Report, les chercheurs de l’organisme Breast Cancer and Environment Research Program à l’Université de l’État du Michigan en sont venus à une conclusion de grande importance.

Un régime alimentaire élevé en graisses chez les jeunes femmes pourrait augmenter la croissance cellulaire et altérer les cellules immunitaires des tissus du sein. Ces modifications, ont-ils constaté, persistent souvent durant la vie adulte, ce qui engendrerait le développement rapide de lésions précancéreuses. Ultimement, celles-ci mèneraient vers un cancer du sein.

« Il est important de noter que notre expérience se base sur l’alimentation riche en gras et n’inclut pas de facteur d’obésité, ce qui signifie que les résultats s’appliquent à un segment beaucoup plus important de la population », a révélé le microbiologiste Richard Schwartz, coauteur de l’étude.

Vous pouvez trouver plus de détails sur l’étude sur le site de l’Université de l’État du Michigan.

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Est-ce que tous les enfants devraient prendre des vitamines?

SheKnows rapporte les avis partagés de différents nutritionnistes.

« Un supplément vitaminique quotidien sert de filet de sûreté », dit la nutritionniste holistique Gail Michalski. Selon elle, les vitamines représentent une protection supplémentaire pour les enfants. Elles aident à compenser nos menus, qui sont rarement composés de tous les éléments nutritifs nécessaires à leur croissance et leur développement.

Entre autres, Michalski sensibilise au fait que les enfants ne sortent plus aussi souvent dehors, et qu’un supplément en vitamine D est essentiel.

En contrepartie, Erika Herman, autre nutritionniste, affirme qu’il vaut mieux laisser les aliments faire leur travail. Ceux-ci « nourrissent le corps d’une façon que les vitamines à elles seules sont incapables de combler ».

On ajoute que les multivitamines ne sont pas nécessaires si l’enfant se nourrit normalement, mais qu’il faut être alerte dans le cas d’enfants qui suivent un régime végétalien, sont intolérants au gluten ou ont d’autres allergies alimentaires, ou souffrent de maladies chroniques

D’une façon ou d’une autre, avant d’entreprendre l’étape des vitamines, parlez-en à votre médecin.

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Aliments sains à l’école : garants de meilleures habitudes alimentaires chez les enfants

Une récente étude démontre que les changements apportés au menu du midi font une réelle différence. « Nos résultats démontrent que les écoles peuvent contribuer fortement à une alimentation saine, en ligne avec le guide nutritionnel », explique Katherine Alaimo.

Selon ce que rapporte Science World Report, le ministère américain de l’Agriculture a demandé à ce que de nouveaux standards nutritionnels soient implantés dans les écoles, dès le 1er juillet 2014. Les Smart Snacks visent à limiter l’apport calorique servi aux enfants, en plus de diminuer la consommation en sucre, sel et aliments gras. 

Une excellente initiative, si l’on en juge par les résultats obtenus par Alaimo et son équipe auprès d’écoles qui ont déjà accepté de se prêter au changement. En tout, la consommation de fruits a rapidement augmenté de 26 % en moyenne, celle des légumes de 14 %, et celle de grains entiers de 30 %. Des améliorations au niveau de la prise de calcium et de vitamines A et C ont également été observées.

Un programme qu’il est souhaitable de voir se déployer mondialement.

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Faire les bons choix pour la santé de nos enfants

Néanmoins, comme l’explique She Knows, le choix est parfois ambigu. Il faut éviter certains pièges et commencer tôt à prendre de bonnes habitudes, puisqu’on ne devient pas obèse du jour au lendemain.

Réduisez le sucre sous toutes ses formes. Que ce soit des gâteries ou du sucre naturel dans le miel, les fruits ou les jus, il faut réduire, sinon éliminer. Des recherches ont prouvé que le sucre nous rend dépendants et nous incite à consommer des aliments sucrés. Lisez les étiquettes et apprenez à vos enfants à les lire aussi.

Prenez garde à ce que l’on dit « naturel ». La publicité nous incite à croire, par exemple, que le yogourt nous maintient en santé parce qu’il s’agit d’un produit naturel. Or, la majorité des yogourts contiennent du sucre ajouté, surtout dans les restaurants.

Des calories restent des calories. Que les 100 calories proviennent de légumes ou d’une barre tendre, le décompte est le même. Un surplus quotidien de calories mène inévitablement vers la prise de poids. Soyez-en conscient.

L’exercice physique commence par l’exemple. Si vous ne vous impliquez pas et demandez à votre enfant de bouger, alors que vous ne faites aucune activité vous-même, adieu la motivation. Prêcher par l’exemple et trouvez une activité qui vous obligera vous aussi à délier vos articulations rouillées.

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Les athlètes qui endossent la malbouffe n’aident pas les jeunes

Une récente étude démontre que trop souvent, lorsque les sportifs professionnels représentent des aliments, ceux-ci sont peu ou pas nutritifs.

Les résultats se retrouvent dans le journal Pediatrics. Il semble que la pierre angulaire soit encore au niveau des parents, puisque ceux-ci sont portés à acheter la nourriture publicisée par les athlètes, qui semble plus « santé ».

Ce sont les 100 athlètes les plus populaires et les plus publicisés qui ont été inclus dans la recherche. Les commanditaires les plus populaires étant les articles de sport (28,3 %), il n’en demeure pas moins que les aliments et boissons arrivent en second avec 23,8 % des commandites.

La plupart des commandites alimentaires représentent des boissons pour les sportifs, des liqueurs et de la malbouffe.

Les chercheurs demandent aux athlètes de se sensibiliser en fonction des messages contradictoires qu’ils envoient aux jeunes. En effet, les 12 à 17 ans sont ceux qui voient le plus grand nombre de publicités envoyées par ces sportifs. On pense entre autres à LeBron James, Peyton Manning et Serena Williams, selon Medical News Today.

En tout, 93 % des produits alimentaires commandités par les athlètes prennent 100 % de leurs calories en sucres ajoutés.

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Ne magasinez pas quand vous avez faim

On connaît tout de même l’adage qui dit qu’il est mieux d’avoir mangé avant de faire l’épicerie. C’est la même chose pour le magasinage, puisqu’on rencontre un nombre impressionnant de kiosques et restaurants de nourriture hypercalorique.

Une nouvelle étude des chercheurs de l’Université de Cornell a été effectuée auprès d’un premier échantillon de 62 personnes qui étaient privées de nourriture 5 heures avant le magasinage, puis d’un second groupe de 82 personnes à qui l’on avait donné des craquelins pour satisfaire leur faim.

La corrélation entre le niveau de privation de nourriture et les choix d’aliments effectués étaient flagrants. Plus les gens avaient faim, plus ils choisissaient des aliments à haute teneur calorique. Plus ils étaient rassasiés, plus les choix se tournaient vers des aliments sains.

L’étude a même vérifié, justement, les habitudes des gens à l’épicerie, en surveillant les paniers entre 16 h et 19 h, puis entre 13 h et 16 h. Le premier groupe était plus enclin à avoir faim, tandis que le second devait en principe être rassasié.

Les mêmes résultats ont été observés. Le premier groupe optait pour des solutions hypercaloriques, alors que le second groupe, en général, effectuait des choix santé.

Selon Medical News Today, l’auteur de l’étude a indiqué que même la plus petite faim influence nos choix d’alimentation. La meilleure option consiste donc à prendre une collation avant de partir.

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Les restaurants de malbouffe ont manqué à leur promesse

On sait que les aliments que l’on retrouve dans les restaurants rapides de malbouffe sont très élevés en calories, sel et sucre. Ces facteurs contribuent non seulement à l’obésité, mais aussi aux problèmes cardiaques.

Les résultats d’une récente recherche menée par Mary Hearst, physicienne et professeure de santé publique associée à l’Université de St. Catherine au Minnesota, déçoivent grandement. Du moins, c’est ce que rapporte Medical News Today.

« Il s’agit de la première étude qui mesure l’amélioration de la qualité nutritive des aliments contenus dans les menus, et ce, pendant une période où le gouvernement encourageait ces restaurants à le faire », explique Hearst dans son rapport.

Ce sont les 8 chaînes les plus communes de malbouffe aux États-Unis qui ont été évaluées, dont la moitié d’entre elles sont implantées pour ainsi dire partout : McDonald’s, Burger King, Poulet frit Kentucky et Dairy Queen.

De tous les restaurants, seul Poulet frit Kentucky a fait un réel effort pour améliorer la qualité de la nourriture offerte dans ses menus. Sur l’échelle HEI (Healthy Eating Index), les autres ont obtenu au maximum une amélioration de 3 points, comparativement aux 9 points de PFK.

Margo G. Wootan, du Center for Science in the Public Interest à Washington, a appuyé ces résultats. Elle se dit « déçue des résultats », alors que ces mêmes compagnies se sont vantées d’avoir changé le mode de cuisson, l’apport en gras trans, puis diminué le sel dans leurs aliments.

Continuez donc à éviter la malbouffe, malgré la publicité qui contredit les résultats de cette recherche.

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Six aliments qui stimuleront votre métabolisme

On connaît souvent mieux les aliments à éviter pour ne pas prendre de poids que ceux qu’il faut privilégier pour en perdre. Voici quelques super-aliments qui vous aideront dans votre croisade contre les kilos.

1. Amandes et noix – Parfaits pour les petits creux, ces aliments coupe-faim sont essentiels à la fabrication des muscles. Laissez de côté les variétés salées, qui favorisent le ballonnement.

2. Épinards et légumes à feuilles vertes – Très pauvres en calories, ces super-légumes aident à prévenir le cancer, l’obésité, les maladies cardiaques et même l’ostéoporose. Ils sont riches en antioxydants et en vitamines A, K, B et C.

3. Produits laitiers – Lait écrémé, yogourts et fromages peuvent vous aider à combattre les envies de sucre, à stimuler le métabolisme et à défendre le corps contre le cancer et les hausses de tension artérielle.

4. Huile d’olive – Croyez-le ou non, l’huile peut contribuer à la perte de poids. L’huile d’olive contient des graisses non saturées. Utilisée avec parcimonie, elle vous aidera à vous sentir rassasié tout au long de la journée.

5. Chocolat noir – Oubliez le chocolat au lait et privilégiez le chocolat noir. Des recherches publiées dans la revue American Journal of Clinical Nutrition ont montré que les sujets qui mangeaient du chocolat noir affichaient une plus grande sensibilité à l’insuline et une diminution de l’insulino-résistance que ceux qui mangeaient des quantités équivalentes de chocolat blanc.

6. Thé vert – Cette boisson riche en antioxydants peut contribuer à la perte de poids. Une étude publiée dans la revue Journal of Nutrition a révélé que la catéchine du thé vert pouvaient stimuler le métabolisme.

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Programme de jardinage et cuisine à l’école primaire

Medical News Today rapporte que des programmes de cuisine et de jardinage ont été intégrés dans le cadre scolaire de certaines écoles primaires de Melbourne, en Australie.

C’est un groupe de 764 élèves de la 3e à la 6e année qui ont participé au Stephanie Alexander Kitchen Garden Program. En tout, 45 minutes de jardinage par semaine, ainsi que 90 minutes de cuisine avec des spécialistes.

D’une part, les enfants apprenaient à cultiver les légumes et à entretenir le jardin, puis cuisinaient par la suite avec les aliments qu’ils avaient fait pousser. Pendant le programme, les jeunes apprenaient 3 ou 4 recettes simples.

Lisa Gibbs, responsable de la recherche, se dit ravie des résultats. « De nouveaux ingrédients et goûts ont été soumis aux enfants. En très peu de temps, presque tous les enfants étaient prêts à goûter un nouveau plat. Les professeurs de plusieurs écoles ont également noté une nette amélioration dans la qualité des dîners et collations que les jeunes apportaient à l’école après le début du programme. »

Les résultats sont publiés dans le Journal of Nutrition Education and Behavior, édition mars/avril 2013.