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Les bébés allaités seraient moins malades

Une récente recherche grecque a porté sur les avantages de l’allaitement sur la santé. Publiée dans Archives of Disease in Childhood, elle a porté sur 926 bébés.

Tous les petits participants ont été évalués durant leur première année de vie. Il en est ressorti que les bébés allaités avaient moins tendance à souffrir d’une infection pendant cette période.

De plus, il semble que s’ils venaient à être malades, ils l’étaient moins que ceux nourris au biberon.

Mentionnons au passage que parmi tous les poupons de l’étude, 91 % étaient allaités pendant leurs 6 premiers mois de vie.

On soutient que ces données devraient encourager encore plus de femmes à se tourner vers cette façon de nourrir leur enfant, et ce, dès la naissance.

Selon les meneurs de cette recherche, les femmes devraient considérer la prévention des maladies et des infections comme un avantage prépondérant de l’allaitement.

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L’allaitement influencerait la réussite scolaire

Selon une étude parue dans Pediatrics, l’allaitement maternel renforcerait la réussite scolaire. Ce serait encore plus vrai pour les garçons que pour les filles.

En fait, des enfants qui avaient été allaités durant 6 mois ou plus ont eu de meilleurs résultats à des tests de lecture, d’épellation et de mathématiques, à l’âge de 10 ans, que d’autres l’ayant été moins longtemps.

C’est à cette conclusion que sont parvenus des chercheurs australiens après avoir suivi près de 3 000 enfants.

Ils considèrent ainsi avoir démontré les bénéfices cognitifs de l’allaitement, après que nous ayons depuis longtemps reconnu ses avantages sur la santé de la mère et du bébé.

On pourrait finalement expliquer le phénomène par l’effet de certains nutriments du lait maternel, les acides gras polyinsaturés. Ces derniers sont essentiels au développement du cerveau, de ses cellules et de sa membrane.

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Un supplément durant l’allaitement influencerait certaines aptitudes intellectuelles

Des enfants de cinq ans ayant été allaités ont démontré une plus grande capacité d’attention que les autres dans le cadre d’une étude. Leur mère avait pris du DHA, ou acide docosahexaénoïque.

C’est la conclusion qu’ont tirée des chercheurs du Collège de médecine Baylor à Houston, après avoir suivi 119 femmes enceintes, puis leurs enfants.

Certaines des futures mères prenaient un supplément comprenant 200 mg de DHA, tandis que les autres recevaient un placebo.

Le détail de leurs conclusions est récemment paru dans le Journal of Pediatrics.

À l’âge de cinq ans, les enfants de l’étude ont passé quatre tests pour évaluer leur acuité visuelle. Six outils ont aussi été employés pour évaluer leurs fonctions neuropsychologiques.

Ceux dont la mère avait pris le supplément ont eu un score de 46,5 en attention contre 41,9 pour les autres.

On n’a toutefois remarqué aucune différence quant à d’autres capacités, comme l’acuité visuelle et des aptitudes verbales par exemple.

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Une bonne nouvelle pour les mamans épileptiques

Les résultats d’une étude attendue sur les effets de certains médicaments pris par les mères épileptiques sont très rassurants, pouvons-nous lire dans Neurology.

Des médicaments tels que la carbamazépine, la lamotrigine ou la phénytoïne ne causent aucun effet sur le QI du bébé lorsque la maman allaite.

Des chercheurs de l’Université Emory à Atlanta ont suivi 194 patientes épileptiques qui devaient prendre des médicaments pour empêcher leurs crises.

Sur les 199 bébés conçus par ces femmes, 42 % étaient allaités. Trois ans plus tard, des tests de quotient intellectuel ont été passés par tous ces enfants.

La différence était si mince que l’on peut la qualifier d’inexistante. En effet, le QI des enfants allaités était de 99 en moyenne, alors que celui des autres était de 98.

Toutefois, ceux dont la mère prenait du valporate, qu’ils aient été allaités ou non, avaient un QI plus faible.

L’Académie américaine de neurologie recommande donc d’éviter ce médicament durant la grossesse, pour cause de dommages aux capacités cognitives et d’autres problèmes de naissance.

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L’allaitement comme protection contre le choléra

Des experts de l’Organisation panaméricaine de la santé (OPS) ont découvert des bienfaits du lait maternel pour prévenir le choléra.

Pour ce faire, ils ont analysé le lait de plusieurs mères. Ils y ont découvert des facteurs immunitaires qui empêcheraient la propagation de cette maladie.

Ainsi, les bébés allaités auraient trois fois moins de risques d’être atteints par le choléra si leur mère en souffre.

Nous ne savons pas encore si l’allaitement maternel sera choisi par les autorités haïtiennes comme un moyen pour contrer l’épidémie qui touche durement le pays en ce moment.

D’autre part, en réalisant cette étude, les chercheurs de l’OPS ont découvert que le lait maternel diminuait aussi les risques de contamination liés à l’eau polluée.

De plus, ce mode de nutrition serait le plus efficace pour maintenir l’hydratation des bébés. Selon eux, donner un biberon d’eau serait inutile et il serait préférable d’éviter le lait maternisé.

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Les mères allaitent pour la santé du bébé

Huit femmes sur dix ont choisi la voie de l’allaitement maternel parce qu’elles y voyaient des points positifs pour la santé de leur enfant.

En effet, Relaxnews nous a fait part des résultats de ce sondage réalisé entre le 1er et le 15 octobre dernier. Les questions portaient essentiellement sur l’allaitement.

Ainsi, pour 41 % des femmes interrogées, le fait d’allaiter n’a représenté aucune difficulté. Celles qui ont rencontré des problèmes, par contre, ont révélé que ceux-ci étaient d’ordre physique à 22 %.

Nous pouvons aussi constater que les mamans, dans un ordre de 20 %, considéraient avoir reçu trop peu de renseignements sur le sujet.

Contrairement à la pensée générale, seulement 16 % de ces femmes croyaient que l’allaitement renforçait le lien mère-enfant.

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Des nitrites et des nitrates dans le lait maternel

Une quantité importante de nitrites et de nitrates est contenue dans le lait maternel, nous apprend une étude parue dans le journal Breastfeeding Medicine.

Elles sont primordiales quant au développement gastro-intestinal du bébé. Des chercheurs de l’Université du Texas, à Houston, ont établi la quantité de ces éléments transmis au nouveau-né durant ses premiers jours de vie.

Le Dr Nathan Bryan, qui dirigeait l’équipe, a donc pu démontrer le taux changeant de nitrites et de nitrates dans le lait. Celles-ci jouent un rôle tout aussi important que les protéines et le gras, lesquels aident à combattre les infections et à développer le système nerveux central.

La recherche en question portait sur 77 mères ayant donné des échantillons de leur lait. Ils étaient pris durant les trois premiers jours de vie (le colostrum), entre le troisième et le septième jour (le lait de transition), puis à huit jours et plus (lait mature).

Dans le colostrum, le taux de nitrites était plus élevé et celui de nitrates. Selon le Dr Bryan, cela serait donc une façon pour la nature d’offrir au nouveau-né de l’oxyde nitrique.

Cela permettrait ainsi au bébé de transformer les nitrates en nitrites dans leur système gastro-intestinal pendant qu’il est trop jeune pour le faire de lui-même, n’étant pas encore colonisé par les bactéries.

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Une banque de lait maternel en vue au Québec

Une organisation québécoise travaille en ce moment à prévoir les coûts, les risques et les bienfaits d’une banque de lait humain, comme nous l’apprenons dans The Gazette.

Ce service, qui vise à fournir du lait maternel aux mamans ne pouvant allaiter, est déjà pratique courante en Europe. L’Association européenne des banques de lait comprend 155 centres dispersés dans 23 pays. Dix y sont également en préparation.

Leur arrivée s’est donc faite beaucoup plus lente de l’autre côté de l’Atlantique. L’unique banque de lait maternel attestée à ce jour est située à Vancouver. Des procédures ont cours pour qu’une deuxième au pays ouvre ses portes à Toronto.

Héma-Québec, qui gère déjà la banque de sang de la province, a donc commandé une étude de faisabilité de 66 000 $ afin d’emboîter le pas et d’aider les mères québécoises ne produisant pas suffisamment de lait ou qui éprouvent d’autres problèmes liés à l’allaitement.

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L’allaitement est sans danger après un cancer du sein

Le sujet avait déjà été abordé dans le cadre de précédentes études, mais c’est maintenant confirmé. Selon France-Soir, allaiter après avoir eu un cancer du sein ne comporte aucun danger.

Le docteur Azim, qui a dirigé cette recherche, a par ailleurs démontré que l’allaitement ne pourrait pas non plus provoquer une rechute de la maladie.

Il a présenté les résultats de son travail au 35e Congrès de cancérologie, en Italie. Pour obtenir ceux-ci, il a suivi pendant 4 ans 20 jeunes mères qui avaient accouché après avoir contracté un cancer du sein.

La moitié a allaité par choix et l’autre ne l’a pas fait, sur avis médical. Dans chacun des groupes de 10 femmes, il y a eu 1 cas de rechute.

Finalement, le docteur Azim a constaté que trop de médecins recommandent encore à des femmes de ne pas allaiter après avoir eu un cancer du sein, et ce, sans qu’il y ait eu suffisamment d’études sur le sujet.

D’après lui, seules la faible production de lait, qui est liée à certaines radiothérapies, et la difficulté pour un poupon de téter un mamelon cicatrisé constitueraient les raisons encore valables de renoncer à l’allaitement.

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Les gras trans durant l’allaitement causent un excès de poids

Une étude présentée dans l’European Journal of Clinical Nutrition nous en dit un peu plus sur les dangers des gras trans.

Des chercheurs américains ont suivi 96 femmes et leur enfant. Ils ont découvert que les bébés qui ingéraient 4,5 grammes de gras trans par jour avaient 2 fois plus de chances d’avoir un haut pourcentage de graisse.

Dans le même ordre d’idée, les mères qui consommaient 4,5 grammes de gras trans par jour avaient 6 fois plus de chances d’avoir un surpoids.

Cela veut dire que la période durant laquelle une femme allaite est plus propice que toute autre à l’accumulation de poids.

De futures études pourront nous en dire plus sur le lien entre la santé des enfants et les habitudes alimentaires de leur mère.

Les enfants pourraient donc être suivis de la naissance à l’adolescence afin de voir l’incidence de la consommation de gras trans sur leur poids.