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L’OMS recommande l’allaitement maternel exclusif jusqu’à l’âge de six mois

 

 

(Relaxnews) – Dans le cadre de la Semaine mondiale de l’allaitement maternel (1er – 7 août), l’OMS réitère ses recommandations pour protéger les nourrissons des maladies courantes et de la malnutrition.

Comme chaque année, plus de 170 pays à travers le monde, dont la France, organisent la Semaine mondiale de l’allaitement maternel. L’occasion de rappeler les avantages de ce mode d’alimentation pour les nourrissons.

Alors que seuls près de 40 % des bébés âgés de moins de six mois sont exclusivement nourris au sein, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) rappelle que l’allaitement maternel « est l’un des moyens les plus efficaces de préserver la santé et d’assurer la survie de l’enfant ».

L’autorité mondiale rappelle que ce mode d’alimentation est constitué d’anticorps nécessaires à la protection des nourrissons contre de nombreuses maladies courantes, comme la diarrhée ou la pneumonie.

De fait, l’OMS recommande l’allaitement maternel dès la première heure suivant la naissance, et appelle les mères à continuer à nourrir exclusivement l’enfant au lait maternel pendant six mois. Des aliments complémentaires doivent être introduits après les six premiers mois de vie, tout en continuant l’allaitement au sein jusqu’à l’âge de deux ans.

« L’allaitement maternel optimal allié à une alimentation d’appoint aide à prévenir la malnutrition et peut sauver près d’un million de vies d’enfants. […] Si les mères et les familles étaient encouragées à allaiter au sein, de nombreuses vies pourraient être sauvées », précise l’OMS.

 

 

 

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Un test sanguin pour dépister le plomb chez les femmes enceintes?

Leur point est soutenu par le fait que « la majorité des femmes aux États-Unis sont exposées très faiblement au plomb, seul environ 1 % des femmes en âge de procréer ont des niveaux de plomb plus élevés que la normale dans le sang (5 microgrammes par décilitre ou plus) », explique la Dre Eva K. Pressman, qui a travaillé sur les nouvelles recommandations de l’ACOG.

Ainsi, la spécialiste suggère en premier lieu aux médecins d’explorer le passé et d’en savoir plus sur l’histoire de leurs patientes, afin de voir s’il y a des risques que ces dernières soient concernées par un niveau élevé de plomb dans le sang. Si c’est le cas, des mesures de précaution peuvent être prises.

Mentionnons que le plomb peut être transmis par le placenta d’une femme enceinte au fœtus ou par le lait maternel au bébé. Il est toxique et particulièrement nocif pour le développement du système nerveux et peut grandement toucher le QI.

L’empoisonnement au plomb peut causer des changements comportementaux, de l’hypertension, des maux de tête et de la fatigue. Des niveaux très élevés de ce métal peuvent entraîner des convulsions, le coma ou même la mort, tant chez l’adulte que chez l’enfant.

Selon les experts, les femmes qui vivent dans des maisons anciennes ayant été peintes avec de la peinture au plomb à l’époque ou qui utilisent des cosmétiques importés ou des médecines alternatives pouvant être contaminées sont plus à risque d’avoir un taux de plomb élevé dans le sang.

La Dre Pressman met toutefois en garde les femmes inquiètes qui se sentent concernées et qui voudraient mettre un terme à leur grossesse. Dans le Reuters, elle spécifie que « des niveaux élevés de plomb ne signifient pas nécessairement que le bébé aura des problèmes ».

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VIH : Le lait maternel touché par des médicaments antirétroviraux

C’est par le biais d’échantillons de cheveux et de sang prélevés sur des nourrissons de 3 mois que des preuves que certains médicaments touchent l’enfant in utero et pendant l’allaitement ont été découvertes.

En effet, le lopinavir et le ritonavir atteignent directement l’enfant dans l’utérus, tandis que l’éfavirenz semble être transmis in utero tout comme pendant l’allaitement.

Pour en arriver à ces conclusions, les chercheurs de l’Université de Californie à San Francisco et de l’Université de Makerere en Ouganda ont observé plus de 100 mères séropositives qui allaitaient leurs poupons et qui prenaient l’un de ces médicaments.

Les chercheurs ont aussi analysé des échantillons de cheveux et de sang prélevés sur les femmes et leurs nourrissons. Des tests sanguins ont pu détecter une exposition récente à un médicament, tandis que les échantillons capillaires pouvaient montrer une exposition plus ancienne aux médicaments et même lors d’un mois précis durant la grossesse.

Mentionnons que les femmes séropositives prennent des médicaments antirétroviraux pour les aider à empêcher la transmission du VIH à leur fœtus, mais elles ne devraient pas allaiter, car le VIH peut être transmis par le lait maternel, disent les experts. Toutefois dans certains pays en développement, l’allaitement au sein demeure la seule option pour nourrir son petit.

Avec ces données, les chercheurs espèrent être capables de mieux venir en aide aux petits et d’atténuer les conséquences désastreuses.

Les informations sont parues sur le site Babycenter.com.

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Des intolérances aux noix provoquées par l’allaitement?

Ces derniers auraient en fait une fois et demi plus de risques de développer une intolérance aux noix que ceux qui ont été nourris avec d’autres fluides ou encore au sein, mais combinés à d’autres aliments, avancent des chercheurs de l’Australian National University.
 
« Ces résultats contribuent à l’argument que l’allaitement maternel par lui-même ne semble pas avoir un effet protecteur contre l’allergie aux noix chez les enfants, mais plutôt être en fait la cause de l’allergie », affirment les experts dans l’International Journal of Pediatrics.
 
Pour en arriver à leurs conclusions, les spécialistes ont questionné plus de 15 000 parents d’enfants australiens qui entraient à la maternelle au sujet des possibles allergies de leurs bambins et de la manière dont ils avaient nourri ces derniers durant leurs six premiers mois de vie.
 
Si les chercheurs affirment que leurs résultats concordent avec des études antérieures, des spécialistes en allergies trouvent les conclusions « inappropriées et ridicules », tandis que d’autres, fervents de l’allaitement, s’indignent de la chose
 
Le Dr Scott Sicherer, professeur en pédiatrie au Jaffe Food Allergy Institute, dit « ne pas être au courant des études qui disent que l’allaitement en soi provoque une allergie aux noix ».
 
L’homme croit plutôt que les études devraient se pencher sur d’autres variables, comme des prédispositions génétiques qui pourraient fortement être en cause dans le développement d’allergies aux noix.
 
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L’allaitement aide les mères à rester minces

Les mères qui allaitent leurs bébés réduisent leur risque de devenir obèses quand elles vieillissent, indique une étude qui a suivi plus de 700 000 femmes postménopausées et qui a été publiée dans l‘International Journal of Obesity.

« Notre recherche suggère que seulement six mois d’allaitement pour les femmes britanniques pourraient réduire leur risque d’obésité plus tard dans la vie », a déclaré la professeure Valérie Beral, directrice de l’Unité d’épidémiologie du cancer à l’Université d’Oxford et membre de l’équipe de l’étude.

Une réduction de 1 % de l’IMC peut sembler faible, mais répartie dans la population du Royaume-Uni, cela pourrait signifier environ moins 10 000 décès prématurés par décennie liés à l’obésité, notamment le diabète, les maladies cardiaques et certains cancers, indique la professeure.

Elle souligne : « Nous savons déjà que l’allaitement maternel est bénéfique pour les bébés. Cette étude montre aussi que l’allaitement est formidable pour la mère, même 30 ans après qu’elle ait donné naissance ».

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Oui à l’allaitement au sein à la demande de bébé

L’allaitement au sein à la demande de bébé faciliterait non seulement la poursuite de cette méthode, mais serait également avantageuse pour la santé de l’enfant et de la maman, selon la revue Prescrire.

Les règles trop rigides concernant l’allaitement sont plus néfastes qu’utiles, souligne d’ailleurs la publication. Le sein à la demande permet notamment de diminuer la prise de compléments artificiels et réduit le risque d’engorgement des seins.

Il n’est pas obligatoire de suivre un rythme particulier pour l’allaitement. Cependant, il est préférable de le commencer dès la naissance et de le poursuivre jusqu’aux six mois de l’enfant.

Durant l’allaitement, vous pouvez donner un sein ou deux. La consigne à suivre est de laisser l’enfant vider entièrement le sein avant de passer au second. Vous éviterez ainsi les engorgements.

Les médicaments pour produire davantage de lait ne sont pas nécessaires. L’année dernière, l’Agence du médicament a d’ailleurs lancé une mise en garde contre la prise de ces produits.

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Trucs et astuces pour faciliter l’allaitement en nature

D’abord, afin que l’allaitement soit confortable, elle recommande de bien se préparer, par exemple, en apportant deux chandails de rechange; un pour vous et un pour votre enfant. Puis, utilisez un foulard pour vous protéger tous les deux du soleil.

De plus, Hilton suggère de vous donner de l’espace, de vous installer dans un endroit où vous êtes à l’aise d’allaiter. Au lieu de le faire dans les toilettes publiques, pourquoi ne pas aller s’asseoir dans un parc?

Ensuite, vous devez bien vous hydrater s’il fait chaud, car votre bébé pourrait avoir besoin d’être nourri plus souvent.

Aussi, souvenez-vous qu’un ou deux verres de vin ne nuisent pas, mais après plus de verres, vous pourriez vous sentir éméchée, et l’alcool sera présent dans votre lait. Si vous prévoyez boire, il vaut mieux extraire votre lait avant.

Finalement, protéger vos seins du soleil est primordial, et le fait de se faire bronzer sans haut de maillot n’est pas recommandé. La crème solaire a un goût désagréable pour bébé.

Rappelons qu’il ne faut pas vous empêcher d’allaiter parce que vous allez dehors. L’allaitement augmente le nombre de bactéries bénéfiques pour l’intestin des bébés.

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Sport et allaitement: pas de danger pour le bébé

« D’après ce que nous savons, les bébés de mères qui font du sport ne gagnent pas moins de poids que les bébés de mères qui n’en font pas », dit à Reuters Health l’auteure de la recherche, Amanda J.Daley, de l’Université de Birmingham. 

Les femmes pourraient donc s’exercer sans crainte lorsqu’elles allaitent.
 
Les inquiétudes provenaient des effets de l’exercice physique sur la production de lait de la mère. 
 
Malgré tout, si vous ne faisiez pas d’exercice avant ou pendant la grossesse, mieux vaut y aller doucement au début. La professeure de nutrition de l’University of North Carolina Greensboro suggère d’abord de prendre quelques semaines pour établir l’allaitement avant de devenir active graduellement.
 
« Commencez avec de la marche 15 minutes par jour, puis ajoutez deux minutes par jour jusqu’à ce que vous marchiez 45 minutes en tout », dit-elle.
 
Toutefois, une autre étude a démontré que le lait des mères actives perdait une certaine quantité de bactéries renforçant le système immunitaire des bébés avec le temps. De plus, il est possible que le taux d’acide lactique dans le lait le rende moins efficace. 
 
Rappelons cependant que l’allaitement ne devrait pas être négligé en fonction de votre activité physique. L’allaitement maternel permettrait aux bébés d’avoir une colonisation bactérienne plus diversifiée que les enfants nourris par préparation artificielle. Ils seraient ainsi mieux protégés contre les antigènes alimentaires et les agents pathogènes, selon le site SantéLog.
 
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Le personnel médical nuit à l’allaitement

C’est ce que révèle une étude des Centers for Disease Control and Prevention publiée aujourd’hui (4 juin).

Si une mère commençait à allaiter son bébé dans l’heure suivant sa naissance et que ce dernier ne recevait donc pas de suppléments alimentaires des médecins, elle serait plus susceptible d’allaiter son enfant durant plusieurs mois avec succès, selon les experts.

Cependant, 40 % des mères ayant pris part à cette étude affirment que le personnel médical auquel elles avaient eu affaire a donné à leur bébé des suppléments dès leur naissance.

Certains scientifiques s’inquiètent, puisque les suppléments sont rapidement donnés pour calmer le bébé ou tester son habileté à sucer.

« Les suppléments utilisés par les hôpitaux sont associés avec l’apparition tardive de la lactation, des pratiques suboptimales de l’allaitement, la perception de problème durant l’allaitement pendant le séjour à l’hôpital ainsi qu’une durée plus courte de l’allaitement », peut-on lire dans la revue Pediatrics.

Rappelons que l’allaitement au sein augmente le nombre de bactéries bénéfiques pour l’intestin des bébés. Il permettrait aux petits d’avoir une colonisation bactérienne plus diversifiée que les enfants nourris par préparation artificielle, étant ainsi mieux protégés contre les antigènes alimentaires et les agents pathogènes.

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Le lait de soja aussi bon que le lait en poudre

« Alors que nous estimons qu’il y a des avantages significatifs à allaiter, les parents qui ne peuvent pas ou ne veulent pas allaiter ne doivent pas se sentir coupables et craindre des problèmes de développement pour leur enfant », a affirmé Thomas Badger, directeur de l’Arkansas Children’s Nutrition Center, au Huffington Post.

En effet, le lait en poudre, et désormais le lait de soja, serait presque aussi bon pour la santé et le développement de bébé que le lait donné au sein, si l’on se fie à l’étude de M. Badger publiée dans la revue Pediatrics.

Pour arriver à ces conclusions, 400 bébés ont été suivis à intervalle de trois mois jusqu’à ce qu’ils aient un an. Ils ont été divisés en trois groupes. Certains étaient nourris au sein, d’autres au biberon avec du lait commercial, et d’autres avec du lait végétal.

Prenant en considération l’âge de la mère, le QI et le statut social et économique des parents, il s’est avéré qu’il y avait une minime différence entre l’allaitement au sein et celui au biberon, mais aucune différence n’a été remarquée entre les deux laits donnés au biberon.

Les bébés allaités ont donc connu un meilleur développement que les autres, notamment concernant leur habilité à combiner leurs fonctions cognitives et leurs capacités physiques, mais « les différences sont minimes », conclut M. Badger.

Cette récente recherche vient à l’encontre d’études antérieures qui avançaient que la consommation de lait de soja par les bébés pouvait causer des problèmes de développements sexuels et comportementaux.