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Robert De Niro demande l’arrêt d’un tournage pour écouter la Coupe du monde

Celui qui possède l’une des feuilles de route les plus impressionnantes de l’histoire du cinéma américain, Robert De Niro, peut bien se permettre quelques petits caprices de temps en temps sur les plateaux.

C’est précisément ce qu’il a fait au cours des dernières heures, rapporte BANG, alors que l’acteur s’est permis de demander une pause de tournage afin de pouvoir écouter le match de la Coupe du monde de la FIFA opposant les États-Unis à l’Allemagne, hier (26 juin).

Robert De Niro, en tournage de The Intern, a vu la production accepter avec plaisir à sa demande. Les producteurs ont même tenté de brancher un portable via satellite afin de faire plaisir à leur vedette, mais un voisin et son groupe d’amis ont finalement tout bonnement invité De Niro à se joindre à eux pour écouter le match.

La production fut ainsi stoppée pour deux heures, le temps que la star de Raging Bullet Taxi Driver, notamment, puisse assister à la partie.

Les États-Unis se sont finalement inclinés 1-0 contre l’Allemagne, mais peuvent néanmoins accéder au prochain tour.

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Un médecin sauve une vie grâce à Dr House

La populaire série Dr. House, qui mettait en vedette Hugh Laurie, est peut-être terminée depuis un petit moment déjà, mais il semble que son impact soit encore palpable au sein de la population, et même chez des « homologues » médecins.

Top Santé rapporte en effet l’incroyable histoire du Dr Juergen Schaefer, un Allemand pratiquant dans une clinique universitaire de Marbourg, qui aurait littéralement sauvé la vie de l’un de ses patients grâce à sa passion pour Dr. House.

C’est lorsqu’un patient se présente au bureau du Dr Schaefer avec de sérieux et inexplicables symptômes, allant de l’insuffisance cardiaque à de sévères fièvres, que le praticien s’est ultimement souvenu d’un épisode de la série

L’épisode en question mettait en scène un personnage aux symptômes similaires, que le personnage de Hugh Laurie explique finalement par un improbable empoisonnement au cobalt.

Creusant la théorie du Dr House afin de l’appliquer à son propre patient, le Dr Schaefer a ensuite découvert que celui-ci avait subi des interventions à la hanche afin d’installer des prothèses.

L’une de ces prothèses avait tout simplement cassé, laissant dans l’organisme du patient des traces de métal, de chrome, et de cobalt.

L’homme de 55 ans aura donc finalement été sauvé par deux médecins, l’un réel et l’autre fictif.

« Un divertissement bien réalisé n’est pas seulement capable de divertir et éduquer, mais aussi de sauver des vies », lance le Dr Schaefer, non content de sa réussite.

Les détails de l’histoire ont été publiés dans le journal médical The Lancet.

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Allemagne/Royaume-Uni en Eurostar, c’est désormais possible… enfin presque

La compagnie ferroviaire qui relie le continent au pays de Sa Majesté vient de nouer un partenariat avec la Deutsche Bahn pour mettre en place un billet unique permettant de traverser la Manche au départ de l’Allemagne.

Six villes allemandes (Aachen, Cologne, Bonn, Düsseldorf, Francfort et Munich) sont dorénavant plus facilement connectées à Londres.

Sur la première partie de leur trajet, jusqu’à Bruxelles, les voyageurs emprunteront un ICE (train à grande vitesse) de la compagnie ferroviaire allemande. Une fois arrivés dans la capitale belge, ils embarqueront dans un Eurostar, direction Londres.

Un seul billet pourra être réservé pour tout le parcours. Les passagers pourront le trouver sur Eurostar.com, à partir de 54,50 € l’aller simple depuis Aachen, Cologne, Bonn et Düsseldorf, à partir de 89,50 € depuis Francfort, et à partir de 114,50 € depuis Munich.

Avec le lancement de billet combiné, Eurostar et la Deutsche Bahn veulent grappiller des parts de marché à l’aérien. Plus de 6,6 millions de personnes ont voyagé entre l’Allemagne et Londres en 2012.

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WiFi à l’hôtel : mieux vaut être aux États-Unis ou en Roumanie qu’en Allemagne

En réservant aux États-Unis, les touristes ont 89 % de chance de tomber sur un établissement proposant un accès direct au web depuis leur chambre, révèle une étude Trivago. 

Les vacanciers ne peuvent plus se passer d’internet. Selon un sondage paru l’été dernier, près d’un Français sur deux (47,2 %) emporte son ordinateur dans ses bagages, un taux qui monte à 60 % chez les 18-24 ans (Étude d’Easy Panel pour Crucial.fr).

Pour avoir la chance de rester connectés même à l’hôtel, les touristes doivent donc se tourner vers les États-Unis, puis la Nouvelle-Zélande qui arrive deuxième de ce classement mondial (82 % des hôtels proposant le WiFi).

La Roumanie complète le podium avec 78 % de ses adresses offrant un tel service. La France s’en tire honorablement, puisque les trois quarts de ses établissements sont équipés.

À l’inverse, deux grandes destinations touristiques européennes sont en retard. Il s’agit du Portugal (45 %) et de l’Espagne (46 %). L’Allemagne s’inscrit aussi parmi les mauvais élèves, car seul un hôtel sur deux propose du WiFi.

Mais d’une manière générale, le « Vieux continent » est plutôt connecté, puisque la majorité des 20 premières places du classement est occupée par des pays européens.

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Retards et annulations : les pires aéroports sont en Allemagne

À Francfort (Allemagne), Gatwick (Royaume-Uni) et Antalya (Turquie), les voyageurs ont dû prendre leur mal en patience l’an dernier. Ces trois aéroports ont enregistré le plus de retard de vols dans le monde, selon un classement réalisé par Refund.me.

Le site internet spécialisé en droits des passagers pointe aussi du doigt deux autres plateformes allemandes pour ce qui est des annulations. L’aéroport munichois Franz Josef Strauss occupe la 2e place de ce palmarès, juste devant celui de Francfort, à nouveau mauvais élève.

La palme de l’aéroport recensant le plus d’annulations l’an dernier revient à Heathrow, à Londres.

En France, seul Paris-Charles de Gaulle figure dans ces deux classements. Il décroche la 10e place pour ce qui est des retards, et manque de peu le podium pour les annulations (4e).

Ces classements ont été réalisés à partir des données de Refund.me concernant les demandes pour annulations traitées auprès de 394 aéroports et les requêtes pour retards traitées auprès de 419 aéroports.

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Musique

Rebecca Ferguson propose Light On

La chanteuse et ex-participante à l’émission The Voice propose un nouvel extrait, Light On, une ballade bien sentie qui s’avère plus inspirante que plusieurs extraits récents de la compétition.

L’extrait, dont la sortie est rapportée par Digital Spy, a été proposé pour souligner le 30e anniversaire d’une chaîne de télévision allemande, RTL, et touche la cible. Les mélodies et arrangements vocaux sont superbes, et la facture générale de Light On n’est pas sans rappeler les premiers efforts de Kelly Clarkson, à la suite de sa victoire à la première édition d’American Idol.

Rebecca Ferguson est également en vedette, apparaissant sur scène et vêtue d’une robe blanche, dans un clip promo qui allie la chanson à des images du réseau allemand.

La chanteuse propose ces temps-ci son premier effort studio, un album intitulé Freedom, qui reçoit de belles critiques pour un premier album professionnel complet.

Le précédent extrait I Hope et son clip avaient démontré les qualités vocales et la profondeur de Ferguson, une œuvre que vous pouvez découvrir ici.

Une nouvelle version de Freedom pourrait être lancée au cours de 2014.

Voyez Rebecca Ferguson avec Light On, pour RTL (Allemagne).

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Onze restaurants trois étoiles en Allemagne, 2e pays le plus étoilé d’Europe

« C’est la Ligue des champions, la victoire en Coupe du monde et aux Jeux olympiques réunies », a commenté le nouvel élu, Christian Jürgens, chef du restaurant Überfahrt à Rottach-Egern, en Bavière (sud), au lendemain de ses 45 ans.

Le nombre des restaurants porteurs d’une, de deux ou de trois étoiles n’a jamais été aussi élevé en Allemagne : 274 contre 255 l’an passé et 225 en 2010, selon le Michelin dont la première édition allemande date de 1910.

C’est le signe que l’Allemagne est bien « l’une des destinations les plus dynamiques » en matière de haute gastronomie, a souligné Michael Ellis, patron du célèbre petit livre rouge.

L’Allemagne compte 37 restaurants deux étoiles, parmi lesquels trois nouveaux cette année, dont le Facil de Berlin qui a sa cuisine dirigée par Michael Kempf, 36 ans.

D’après le guide Michelin, Berlin occupe d’ailleurs « de plus en plus une place centrale pour la cuisine en Europe en raison de son caractère multiculturel ».

Un total de 226 restaurants est estampillé une étoile (39 nouveaux).

L’édition 2014 du guide Michelin Allemagne récompense enfin 452 établissements d’un Bib Gourmand, moins prestigieux qu’une étoile, mais qui salue une cuisine de qualité à des prix plus abordables qu’un étoilé.

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Le pain allemand vise une reconnaissance par l’UNESCO

« C’est une part de l’identité allemande », explique le maître-boulanger Karl-Dietmar Plentz, en plongeant ses mains dans un bac de farine tout en évoquant le projet de faire reconnaître la diversité des pains d’Allemagne par l’UNESCO.

Vingt-six variétés de pains sont en train de cuire dans les fours de son entreprise familiale, créée il y a 136 ans à Schwante, village des environs de Berlin. Derrière lui, un employé, parmi la centaine qu’il occupe, pétrit avec adresse deux boules de pâte. Elles font partie d’un lot de « pain à la pomme de terre », une des spécialités que ce boulanger prépare à la manière de son grand-père.

Fiers d’un savoir-faire qui se décline en plusieurs centaines de variétés à travers le pays, les boulangers allemands souhaitent faire reconnaître leur art du pain comme « patrimoine immatériel » de l’Humanité, par l’agence des Nations unies responsable de la Culture. À l’instar du tango argentin, du tissage de tapis en Iran ou du repas gastronomique à la française.

Pour M. Plentz, 46 ans, qui représente la quatrième génération d’une famille de boulangers et a grandi derrière le Rideau de Fer, « il est important de défendre la diversité » culinaire.

Le défi n’est pas mince face aux changements des modes de vie qui détournent de plus en plus d’Allemands du pain artisanal. La concurrence des supermarchés ou des chaînes de distribution vendant des préparations industrielles moins chères et la lente disparition du rituel de l’« Abendbrot », dîner traditionnel associant pain et viandes froides, ont décimé la profession.

Quelque 500 boulangeries artisanales ont fermé l’an dernier en Allemagne, selon leur Fédération. Depuis le début des années 1990, leur nombre a été divisé par deux, à moins de 14 000 aujourd’hui. Et la profession, qui a mauvaise image, peine à recruter dans un pays en manque de jeunes.

Le président de la fédération des artisans boulangers, Peter Becker, juge que la « diversité » des pains est l’atout principal à faire valoir auprès de l’UNESCO. À ce stade, la fédération est en train de préparer le dossier de candidature. Il s’agit de faire reconnaître « la fierté dans nos produits », dont les recettes sont transmises de génération en génération et reflètent les identités régionales, selon lui.

« En France, il y a d’excellentes baguettes, en Italie des ciabatta exceptionnelles, mais à travers le monde je pense que seule l’Allemagne possède une telle variété, du pain complet au pain blanc », a-t-il expliqué à l’AFP.

Le mois dernier, la Fédération des boulangers a organisé sa première « journée du pain allemand » et désigné deux « ambassadeurs du pain » pour défendre sa cause.

Elle fait notamment connaître son « registre du pain », un appel à la population pour recenser la totalité des recettes connues en Allemagne, préalable à la candidature au patrimoine mondial. Quelque 3000 sortes ont déjà été répertoriées sur le site web www.brotregister.de, avec des variations de céréales, de formes, de taille, de levures, de cuisson, et d’ingrédients ajoutés comme des fruits, légumes, lait, œufs, etc.

L’histoire a parfois laissé des traces, comme à Hambourg où le « Franzbrötchen », littéralement « petit pain français », témoigne de la présence napoléonienne.

L’épouse de l’ambassadeur américain à Berlin Philip Murphy a expliqué avoir fait l’éloge du pain allemand auprès de la première dame Michelle Obama, à l’occasion de sa visite en juin. « Aucun autre pain ne le dépasse », a-t-elle déclaré à des journalistes.

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Création de la carte cérébrale la plus précise à ce jour

Plusieurs sources, dont Top Santé, rapportent la création d’une carte tridimensionnelle du cerveau humain, la plus sophistiquée à ce jour, grâce à l’effort conjoint de deux équipes de chercheurs.

Basée sur le cerveau réel d’une femme de 65 ans, la carte en 3D permet de mieux comprendre certains mécanismes de l’organe le plus complexe et mystérieux de l’homme.

Proposant une résolution de 0,02 millimètre, la carte serait cinquante fois plus précise que ses prédécesseures, permettant un pas de géant en recherche cérébrale et neurologique. La carte a été baptisée BigBrain et réjouit plusieurs communautés scientifiques.

« L’atlas BigBrain offre une résolution quasi cellulaire, c’est-à-dire des détails près de la cellule, une capacité qui n’existait pas auparavant en 3D pour le cerveau humain », explique Alan Evans, l’un des créateurs de la carte.

Le tour de force provoque aussi des réactions chez nous, alors que l’Hôpital neurologique de Montréal s’est empressé de publier un communiqué, déclarant : « BigBrain permettra et accélérera la modélisation informatique pour simuler des fonctions du cerveau en cas de maladie ».

Les chercheurs allemands et canadiens en tête de ce tour de force se réjouissent de ce succès!

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En Allemagne, le soja est l’avenir de la saucisse

Les jours de la saucisse et des escalopes panées sont-ils comptés en Allemagne? C’est du moins ce dont rêvent les adeptes du véganisme, de plus en plus nombreux dans le pays et friands de substituts de viande à base de végétaux.

Veganz, une jeune chaîne allemande de supermarchés végans, ne connaît pas la crise : après un an et demi d’existence à peine, son troisième magasin a ouvert fin mars dans un quartier branché de Berlin, et la marque veut se doter de 20 filiales en Europe d’ici trois ans.

L’engouement en Allemagne pour les produits n’intégrant aucune matière issue d’êtres vivants (ni viande, ni lait, ni oeuf, ni miel, ni cuir, ni laine…) est palpable dans son supermarché berlinois flambant neuf où se pressaient des centaines de personnes le jour de l’ouverture, notamment dans son rayon « viandes, saucisses et poissons », entièrement à base de produits végétaux.

On y trouve par exemple des saucisses au soja et au tofu, ou des schnitzels (escalopes de porc panées) à base de protéine de blé, qui ressemblent à s’y méprendre à de la viande.

Ces succédanés de viande sont « une part importante de notre chiffre d’affaires », car « en réalité, la plupart de nos clients ne sont pas végans à 100 % et ne veulent pas bouleverser leur mode d’alimentation, ils veulent des produits qui ressemblent à ce qu’ils connaissent déjà », explique le fondateur, Jan Bredack.

Les adeptes du véganisme essaient de vivre sans exploiter les animaux, que ce soit pour se nourrir, s’habiller ou pour tout autre but.

Ainsi dans le sillage de petits producteurs pionniers se positionnent des géants de la viande comme Vion Food, qui a lancé depuis quelques années Vegetaria, une gamme de substituts de viande.

Gare toutefois aux excès d’additifs dans la « viande végétale », un phénomène en contradiction avec le message de santé et de développement durable que leurs producteurs et distributeurs veulent promouvoir.

« Par le passé, certains substituts de viande que nous avions fait tester en laboratoire avaient révélé des traces de soja génétiquement modifié », des arômes ou des traces d’acides gras toxiques, note Birgit Hinsch, rédactrice à la rubrique alimentation du magazine pour consommateurs Ökotest.

Quant au goût, « certains produits se rapprochent effectivement de la viande, mais leur consistance est souvent plus molle, plus élastique », constate Mme Hinsch.

Le salut pour les gourmets végans viendra peut-être de la viande in vitro, fabriquée à partir de cellules d’animaux, sur laquelle travaillent des scientifiques dans le monde entier, notamment aux Pays-Bas. Mais vu l’état actuel des recherches, ce n’est pas encore pour demain.