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Les poissons gras et les noix pour réduire les risques d’allergies d’un enfant à naître

Les poissons gras et les noix peuvent réduire les risques d’allergies alimentaires potentielles.
 
Selon le Journal of Physiology, les futures mères qui souhaitent réduire les risques que leur futur bébé développe des allergies alimentaires devraient adopter une alimentation riche en poissons gras et en noix.
 
Selon les chercheurs, les acides gras oméga-3 contenus dans les poissons gras et les noix stimulent le système immunitaire et aident le futur enfant à réduire ses risques d’allergies.
 
Le bébé à naître produit alors de nombreux anticorps, son système immunitaire se développe et murit plus rapidement, réduisant ainsi les risques de futures allergies alimentaires possibles.
 
De plus, il a déjà été prouvé que les oméga-3 durant la grossesse pouvaient également influencer la future intelligence du bébé.

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L’allaitement ne prévient pas l’eczéma

On propose maintenant de voir l’allaitement comme une prévention contre certaines allergies, et les femmes devraient, selon plusieurs instances, allaiter au moins six mois pour créer cet effet.

L’eczéma fait partie des maladies allergiques que l’on pourrait contrer en allaitant son enfant. Pourtant, une récente étude menée par le King’s College London vient de démontrer qu’il n’en est rien.

Parue dans le British Journal of Dermatology, elle consistait à comparer les répercussions – quant à l’eczéma – entre un allaitement s’arrêtant après quatre mois et un autre se poursuivant.

Il semble qu’il n’y ait aucun lien entre le développement de l’eczéma infantile et la durée de l’allaitement. Cette pratique ne protégerait aucunement contre la maladie de peau. Cette recherche a porté sur plus de 50 000 enfants de 8 à 12 ans provenant de 21 pays européens.

Ajoutons malgré tout qu’une incidence, quoique faible, avait été remarquée précédemment au sein de pays en voie de développement, et l’on aurait pu croire à une protection de l’eczéma par l’allaitement. Cette hypothèse est maintenant réfutée pour les pays industrialisés.

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Les parents d’enfants allergiques sont jugés

Si un enfant souffre d’une allergie grave, ses parents ont tendance à devenir trop protecteurs. Cela entraîne souvent des préjudices et des jugements, comme le soutient une étude récente parue dans Chronic Illness.

En outre, les enfants en paieraient aussi certaines conséquences, comme se faire intimider à l’école sur ce sujet.

De plus, dans le cas d’une allergie aux noix, les enfants atteints feraient souvent face à des attitudes négatives de même qu’à de l’étiquetage inadéquat.

Puisqu’ils avaient déjà vécu des situations très stressantes à cause de l’allergie de leurs jeunes, les parents de cette recherche faisaient montre d’une multitude de précautions afin d’assurer la sécurité de leur enfant.

Ce comportement semble malheureusement mener à de l’irritabilité et du scepticisme de la part des autres.

On conclut donc que les allergies alimentaires graves constituent une réelle source d’anxiété pour les familles visées, qui se retrouvent parfois isolées socialement, voire exclues.

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Les chiens hypoallergènes n’existeraient pas?

En raison d’allergies, certaines personnes qui aiment les chiens optent pour des races dites hypoallergènes comme les bichons, les caniches ou le chien d’eau portugais, mais une étude dévoile que ces chiens produiraient autant d’allergènes que les autres.
 
Des chercheurs du Henry Ford Hospital au Michigan ont analysé des échantillons de poussière de chambres d’enfants de 173 maisons avec un chien. 60 races étaient impliquées, dont 11 considérées comme hypoallergènes.
 
Aucune preuve n’a pu dire que ces chiens produisaient effectivement moins de squames, de salive et perdaient moins leurs poils.
 
« Nous n’avons trouvé aucune base scientifique démontrant que les chiens hypoallergènes étaient moins allergènes. L’exposition à un chien tôt dans la vie est la meilleure protection contre le développement d’une allergie au chien » , explique la Dre Christine Johnson à l’American Journal of Rhinology and Allergy.
 
Par contre, les chercheurs reconnaissent les limites de leur étude, notamment que le temps passé par le chien dans la chambre n’a pas été mesuré. Ils suggèrent tout de même de ne pas se fier au titre « hypoallergène » de certaines races de chiens.
 

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N’hésitez plus à faire vacciner votre enfant

On craint encore les dangers du vaccin contre la grippe chez les enfants qui souffrent d’une allergie aux œufs. Or, de nouvelles recommandations de l’Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP) soutiennent que tous les enfants peuvent recevoir un tel vaccin, mais selon certaines mesures préventives.

Toujours selon les conclusions de ce comité, le vaccin antigrippal inactif, le VTI, devra être administré aux personnes allergiques au lieu du vaccin actif, le LAIV. De plus, toute personne allergique devra être vaccinée dans un centre de santé et devra demeurer en observation durant 30 minutes.

Un accord a été voté en ce sens par l’ACIP en regard à plusieurs recherches sur le sujet, apprenons-nous sur Medpage Today. On retient que sur 17 études, aucun des plus de 2 600 patients allergiques aux œufs – dont 200 ayant des réactions allergiques sévères – n’avait eu de réaction à la suite d’un vaccin contre la grippe.

Rappelons pour terminer que l’allergie citée touche environ 1 % des enfants et qu’elle se développe avant l’entrée à l’école.

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Les allergies font partie de la réalité des enfants

Une vaste étude nationale nous apprend que chez nos voisins du sud, 8 % des enfants sont aux prises avec une allergie alimentaire.

Les cas sont en réelle augmentation aux États-Unis, comme le mentionne un article sur le sujet dans Pediatrics, The Prevalence, Severity and Distribution of Childhood Food Allergy in the United States. On peut se questionner quant à une augmentation semblable au Canada.

Ce taux correspond à 5,9 millions d’enfants. Il est certain que cette nouvelle réalité a un impact sur l’alimentation de la population en général et la perception de la nourriture : parmi les enfants atteints, presque le tiers (30,4 %) souffrent de plus d’une allergie alimentaire

De plus, on évalue à 38,7 % ceux qui ont subi une réaction sévère. Les aliments auxquels les enfants sont le plus souvent allergiques sont les noix (25,2 %), le lait (21,1 %) et les fruits de mer (17,2 %).

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Un traitement potentiel contre l’allergie aux arachides

Deux pédiatres européens ont mis au point un timbre (patch) qui libère de minuscules doses d’huile d’arachide sous la peau. Ceci dans le but de désensibiliser le corps à l’allergie aux arachides et ne plus provoquer de réactions extrêmes lorsqu’il y a une exposition aux arachides.
 
De premiers essais sur des humains sont en cours en Europe et aux États-Unis. On espère que ce nouveau traitement pourra être offert dans trois ou quatre ans, indique le Telegraph
 
Jusqu’ici, il était impossible de désensibiliser les patients à l’allergie, car la désensibilisation demande souvent des injections de l’allergène, comme le procédé utilisé pour les autres types d’allergies.
 
Les personnes allergiques aux arachides peuvent avoir de fortes réactions, même avec une faible quantité. Donc, même sous surveillance médicale, ce processus était risqué.
 
Avec le timbre, l’huile d’arachide libérée en minuscules doses ne va pas directement dans le sang, mais sous la peau. Cela réduirait considérablement les risques.
 
Rappelons que l’allergie aux arachides provoque un choc anaphylactique qui cause une inflammation des voies respiratoires, entraînant un arrêt respiratoire. Pour cette raison, les personnes qui en souffrent ont toujours avec elles ce que l’on appelle un EpiPen qui contient une dose d’adrénaline qui leur sauvera la vie si elles consomment des arachides par erreur.
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L’intolérance au lactose pourrait être psychologique

Des chercheurs italiens affirment que bien que de nombreuses personnes se disent intolérantes au lactose, peu d’entre elles ont un réel problème.
 
La majorité du temps, les gens sont plutôt stressés, anxieux ou déprimés, mais leurs symptômes sont réels. Toutefois, leur intolérance aux produits à base de lait n’est que dans leur esprit. Par conséquent, ils coupent les produits laitiers de leur alimentation, ce qui entraîne une fragilisation des os et un risque accru de fracture lors d’une chute pour les personnes âgées.
 
Des recherches précédentes disaient que neuf Britanniques sur 10 qui se disaient intolérants au lactose étaient en réalité en parfaite santé après examen. Même si 20 % des gens se disent allergiques ou intolérants et ne consomment pas de produits à base de lait, ce ne sont que 2 % des gens qui ont vraiment un problème en réalité.
 
La nouvelle étude révélée par le Daily Mail affirme que la majorité de ceux qui ressentent de la douleur à l’estomac, des ballonnements ou de la diarrhée après avoir consommé des produits avec du lactose n’est que stressée, anxieuse et déprimée. Le stress à lui seul provoque des maux de tête et de ventre.
 
Pour être certain d’avoir un réel problème avec le lactose, il serait préférable de consulter un médecin pour des examens approfondis avant de couper les produits laitiers de votre alimentation.
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Pollution et enfants : un nouveau cri d’alarme

Un colloque français réunissant 300 professionnels de la santé remet encore une fois la question de la pollution environnementale à l’avant-plan, comme nous pouvons le lire dans 20 Minutes.

Ces derniers jours, on a appris que la pollution pouvait mener à des problèmes de comportement chez les enfants s’ils y avaient été exposés avant leur naissance.
 
Selon les chercheurs du 3e colloque de l’Appel de Paris, dont il est question ici, la pollution environnementale pourrait avoir d’autres impacts sur la santé des enfants. Elle causerait non seulement le cancer et aggraverait les allergies, mais pourrait aussi engendrer le diabète et l’obésité.

En plus de demander une réduction de la pollution dans de très courts délais, les experts exigent aussi que l’on interdise l’utilisation du bisphénol A dans l’emballage alimentaire. Selon eux, il faut réduire les conséquences de la pollution et des substances chimiques le plus vite possible.

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Attention aux vaccins, pour les enfants allergiques

Les parents dont l’enfant est allergique au lait devront redoubler de prudence lors de sa vaccination.

On apprend dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology que les enfants qui ont ce type d’allergie pourraient réagir à la protéine du lait présente dans certains vaccins.

Il s’agit de celui contre le tétanos, la coqueluche et la diphtérie. Une recherche de l’École de médecine du Mont Sinai a en effet démontré que ce vaccin pourrait entraîner une forte réaction chez les enfants souffrant d’une allergie au lait sévère.

La protéine en question est un dérivé du lait de vache et elle est employée dans la constitution même dudit vaccin.

Selon les chercheurs de la présente étude, on aurait répertorié des patients ayant eu une réaction entre septembre 2007 et mars 2010. Précisément, on a relevé le cas de 5 garçons et 2 filles d’un âge moyen de 11 ans.

Les symptômes d’une réaction peuvent être une difficulté à respirer, de l’urticaire ou une toux persistante, par exemple.

Bien que ces résultats soient encore préliminaires, les chercheurs suggèrent aux parents de faire preuve de vigilance.