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Alerte aux allergies

L’Agence canadienne d’inspection des aliments a émis un avertissement concernant la présence d’œufs non déclarée dans des knishes aux pommes de terre de la marque Montréal Kosher.

 

Les produits visés sont :

Knishes aux pommes de terre de format 283 g  CUP 068342006715

Knishes aux pommes de terre de format 454 g  CUP 068342007019

Knishes aux pommes de terre de format 340 g  CUP 068342006715

 

Les produits ont été vendus au Québec et en Ontario.

 

Un cas de réaction allergique a été rapporté.

 

La consommation de ces produits peut déclencher une réaction grave, voire mortelle, chez les personnes allergiques aux oeufs.

 

Le fabricant, Montreal Kosher, de Montréal (Québec), retire volontairement du marché les produits visés. L’ACIA surveille l’efficacité du rappel.

 

Pour de plus amples renseignements, les consommateurs et les gens de l’industrie peuvent appeler l’un des numéros suivants :

 

Montreal Kosher, au 514-739-3651;

 

l’ACIA au 1-800-442-2342/ATS 1-800-465-7735 (du lundi au vendredi de 8 h à 20 h, heure de l’Est).

 

 

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Futures mamans, mangez des noix pour prévenir l’asthme de bébé

Il y a à peine 4 ans, les futures mamans devaient à tout prix éviter la consommation de noix et d’arachides pendant la grossesse. On sait à quel point les allergies alimentaires, autant que leur gravité, font désormais partie de prises en charges importantes, notamment dans les écoles, les garderies et les camps de jours.

Néanmoins, l’American Academy of Pediatrics retire sa recommandation relative aux noix et aux arachides. En effet, selon Health24, les enfants nés de mères qui consommaient ces aliments ont moins de chance de développer de l’asthme. Il reste à savoir ce qui est le plus important : éviter l’asthme ou éviter les allergies alimentaires.

Une étude danoise, dirigée par l’équipe du docteur Maslova, appuie cependant l’American Academy of Pediatrics. Elle a été publiée dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology.

Les conclusions tirées de cette recherche font suite à l’analyse faite sur plus de 60 000 femmes ayant accouché entre 1996 et 2002. Les résultats, selon leurs dires, sont probants.

Plus l’enfant vieillit, plus les probabilités de développer de l’asthme diminuent, et ce, chez les femmes enceintes qui ont consommé des noix et des arachides. Ainsi, 15 % des enfants de 18 mois avaient de l’asthme, mais à 7 ans, les mêmes enfants étaient 34 % moins susceptibles de développer de l’asthme.

Quant aux mères qui n’avaient pas consommé de noix et d’arachides, elles avaient des enfants qui présentaient, à l’âge de 7 ans, 21 % moins de chances de développer les symptômes de l’asthme.

Le docteur Maslova croit que la vitamine E et les antioxydants présents dans ces aliments sont liés aux résultats. Cependant, il n’y a pas de preuve concrète que c’est directement lié à ce facteur.

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Les fraises ne sont pas toujours bonnes pour la santé

Les fraises sont reconnues pour leurs nombreux bienfaits sur la santé, notamment en raison de leurs antioxydants et leurs vitamines. Elles améliorent le fonctionnement du cerveau et ont des effets contre certains types de cancer.
Cependant, ces fruits rouges ne sont pas toujours sains pour la santé. Selon MedicMagic, les personnes qui ont l’estomac sensible devraient peut-être s’abstenir d’en manger. Les petites granules à la surface des fraises peuvent irriter les muqueuses de l’estomac, et l’acidité peut aussi causer des douleurs.
 
Les personnes qui souffrent d’hypertension, surtout si elles prennent des médicaments pour abaisser leur pression, devraient aussi se méfier. Les fraises et les médicaments peuvent causer une interférence avec les reins.
 
Finalement, les fraises sont aussi une cause d’allergie sévère, notamment en raison de la protéine qui procure leur couleur rouge.
 
Donc, prenez garde si vous aimez consommer des fraises.
 
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Un moyen de vaincre les intolérances aux oeufs?

Une personne qui souffre d’allergie alimentaire et qui prend peu à peu des quantités croissantes de l’aliment allergène peut en venir à traiter son intolérance, explique une nouvelle étude américaine publiée dans le New England Journal of Medicine.

Des chercheurs américains se sont aperçus que parmi les 40 enfants qui ont pratiqué la « thérapie de l’œuf » sous la supervision d’un médecin qualifié (qui décidait progressivement de la dose quotidienne de blanc d’œuf en poudre que ceux-ci devaient prendre), 75 % sont devenus asymptomatiques après près de deux ans, et 27 % sont restés sans symptômes une autre année après l’absence de traitement.

À la suite du traitement, presque la totalité des enfants pouvait déguster des œufs naturels ou tout autre produit contenant des œufs.

Les experts tiennent à préciser que bien que ces données soient encourageantes, il est important pour la population de comprendre que ce traitement expérimental sans risque peut être uniquement pratiqué par des médecins dûment formés. Ils ajoutent que ce type de thérapie est encore à ses premiers stades expérimentaux et que des recherches supplémentaires seront nécessaires.

Mentionnons que les œufs peuvent se retrouver dans les cosmétiques, les shampoings, les crèmes et les médicaments, même le vaccin contre la grippe contient des protéines d’oeuf.

Le conseil de la Fondation Asthme et Allergie d’Amérique suggère à la population de lire attentivement toutes les étiquettes si elle soupçonne une allergie quelconque.

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Des intolérances aux noix provoquées par l’allaitement?

Ces derniers auraient en fait une fois et demi plus de risques de développer une intolérance aux noix que ceux qui ont été nourris avec d’autres fluides ou encore au sein, mais combinés à d’autres aliments, avancent des chercheurs de l’Australian National University.
 
« Ces résultats contribuent à l’argument que l’allaitement maternel par lui-même ne semble pas avoir un effet protecteur contre l’allergie aux noix chez les enfants, mais plutôt être en fait la cause de l’allergie », affirment les experts dans l’International Journal of Pediatrics.
 
Pour en arriver à leurs conclusions, les spécialistes ont questionné plus de 15 000 parents d’enfants australiens qui entraient à la maternelle au sujet des possibles allergies de leurs bambins et de la manière dont ils avaient nourri ces derniers durant leurs six premiers mois de vie.
 
Si les chercheurs affirment que leurs résultats concordent avec des études antérieures, des spécialistes en allergies trouvent les conclusions « inappropriées et ridicules », tandis que d’autres, fervents de l’allaitement, s’indignent de la chose
 
Le Dr Scott Sicherer, professeur en pédiatrie au Jaffe Food Allergy Institute, dit « ne pas être au courant des études qui disent que l’allaitement en soi provoque une allergie aux noix ».
 
L’homme croit plutôt que les études devraient se pencher sur d’autres variables, comme des prédispositions génétiques qui pourraient fortement être en cause dans le développement d’allergies aux noix.
 
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Les allergies reliées aux préservatifs et aux antibactériens

Les chercheurs du Johns Hopkins Children’s Center ont examiné le lien entre les niveaux d’antibactériens et de préservatifs dans l’urine de plusieurs enfants et la présence d’anticorps IgE dans leur sang.

Toutefois, les anticorps IgE sont présents dans le sang lorsque le corps réagit à un allergène.

« Nous avons remarqué un lien entre l’exposition, mesurée par la quantité d’agents antimicrobiens dans l’urine, et le risque d’allergies, indiqué par la circulation d’anticorps de certains allergènes », explique la principale chercheuse derrière cette recherche, Jessica Savage.

Les enfants ayant les plus hauts niveaux d’agent antibactérien triclosan avaient plus du double de risques de souffrir d’allergies alimentaires et presque le double de risques de souffrir d’allergies reliées à leur environnement.

Cependant, les chercheurs n’assurent pas que ces produits dans le sang et l’urine sont entièrement responsables des allergies. Ils croient plutôt que leurs composants chimiques pourraient avoir une incidence sur le système immunitaire des enfants.

Rappelons également que les enfants de la ville auraient plus d’allergies que les enfants de la campagne, selon une étude de la Northern University Feinberg School of Medicine.

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Les enfants de la ville ont plus d’allergies

Les enfants vivant dans de grands centres urbains sont deux fois plus susceptibles d’être allergiques aux fruits de mer et aux arachides que les enfants vivant à la campagne.

En fait, dans les centres urbains, 9,8 % des enfants ont des allergies alimentaires, tandis qu’en milieu rural, ce chiffre n’est que de 6,2 %. Cela constitue une différence de presque 3,5 %.

« Cela démontre que l’environnement a un impact sur le développement des allergies alimentaires. Des tendances similaires ont été observées pour des problèmes de santé comme l’asthme. La grande question est ce qui les déclenche dans l’environnement. Une meilleure connaissance de l’environnement nous aidera à prévenir ces allergies », explique Ruchi Gupta, auteure et professeure assistante de pédiatrie.

Environ 5,9 millions d’enfants de moins de 18 ans souffrent d’allergies alimentaires potentiellement fatales aux États-Unis. Les réactions allergiques dangereuses peuvent se traduire par une baisse de la pression sanguine, des difficultés respiratoires ainsi que le gonflement de la gorge.

Rappelons qu’une compagnie française souhaite commercialiser d’ici 2016 des timbres contre les allergies alimentaires. Cependant, les résultats ne seraient pas instantanés. Cela pourrait prendre plus de trois ans avant que la personne allergique puisse consommer l’aliment qui provoque l’allergie.

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La grosseur du thymus du foetus : un indice de prééclampsie?

Le thymus du fœtus chez les femmes atteintes de prééclampsie serait significativement plus petit que chez les bébés des femmes en bonne santé, révèle une étude menée par des chercheurs australiens de la Sydney Medical School Nepean.
 
Alors que la prééclampsie apparaît habituellement lors des trois derniers mois de la grossesse, il serait dorénavant possible, par un test qui analyse le thymus du fœtus, de prévoir quelles femmes pourraient en souffrir bien avant les premiers symptômes, soit environ à la 20e semaine de grossesse.
 
Mentionnons que ce dépistage permettrait à plus de femmes de poursuivre leur grossesse à terme, car le seul moyen connu de libérer la femme de cette maladie est de déclencher un accouchement prématurément.
 
Le professeur Ralph Nanan, auteur de l’étude, explique dans le Journal of Reproductive Immunology que « le thymus du fœtus est une structure qui se trouve derrière le sternum du bébé et qui est connue comme étant le “berceau” d’un important ensemble de globules blancs ».
 
En plus, du fait qu’il pourrait avoir un impact sur la santé de la mère, « le thymus joue un rôle central dans l’élaboration du système immunitaire de l’enfant et le protège contre le développement des allergies, des maladies auto-immunes et des cancers pour sa vie future », indique le professeur.
 
Dans le but de confirmer ces résultats, l’étude sur 1200 femmes enceintes se poursuit.
 
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Des timbres contre les allergies alimentaires d’ici 2016

En France, plus de 5 % des enfants et 2 % des adultes souffrent d’allergies alimentaires qui mènent parfois à l’hospitalisation pour chocs anaphylactiques.

En fait, ces chocs résultent de l’ingestion d’une substance allergène qui provoque une chute de la tension artérielle et, dans les pires cas, peut mener jusqu’à la mort.

Le timbre Viaskin serait la meilleure option pour les allergies alimentaires. Une fois le timbre appliqué, les allergènes qu’il contient entrent en contact avec la peau. Ils sont donc capturés et transportés par des cellules spécifiques des ganglions lymphatiques, qui stimulent la production de cellules et rendent doucement le corps plus tenace face aux allergènes.

« Avec le timbre, la peau n’est pas entaillée, ce qui supprime tout passage de l’allergène dans le sang, responsable des chocs anaphylactiques », explique le pédiatre français Christophe Dupont.

Cependant, les résultats ne sont pas instantanés. Cela peut prendre plus de trois ans avant que la personne allergique puisse consommer l’aliment qui provoque l’allergie. De plus, il est trop tôt, selon les experts, pour affirmer que de consommer cet aliment sera définitivement sécuritaire pour la personne.

Rappelons aussi qu’une nouvelle technique permettrait aux gens allergiques aux arachides de consommer les produits qui en contiennent. Une équipe de Toulouse a créé une méthode qui permettrait d’extraire la grande majorité des éléments nocifs des cacahuètes.

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La saleté et les germes sont bons pour la santé des enfants

Selon l’hypothèse hygiéniste, les enfants qui souffrent de l’asthme, de l’eczéma, du rhume des foins et du diabète se sont probablement rarement roulés dans la boue et dans les flaques d’eau ou ont rarement joué avec des animaux.

Si l’enfant n’est pas exposé très tôt à la saleté et aux germes de son environnement, son système immunitaire n’apprendra pas à contrôler sa réaction devant les envahisseurs de tous les jours, tels que la poussière et le pollen.

La revue Science rapporte que des expériences sur des souris par des chercheurs américains de l’Université Harvard ont permis de découvrir que les rongeurs axéniques, gardés dans des cages stériles et nourris d’aliments stériles, développaient des problèmes aux poumons et aux intestins beaucoup plus sévères, et ce, à peine quelques jours après avoir été placés avec des souris normales, hors de leur environnement habituel.

Pour le chercheur Richard Blumberg, il y a une importance cruciale d’approprier les microbes au système immunitaire dès les premières semaines de vie.

Finalement, il a été démontré également que les enfants qui capturent des insectes, jouent davantage dehors et ceux qui côtoient des animaux ou vivent sur une ferme sont moins susceptibles de souffrir d’allergies.